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Critiques de Catherine Robertson (37)
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La maison aux secrets

April Turner mène une existence spartiate, un choix qu'elle a fait après la mort de son petit garçon. April, sa maman, l'attendait de l'autre côté de la rue, c'était son premier jour d'école et, quand il l'a aperçue, il a couru, une voiture l'a fauché, il a été tué sur le coup. Depuis, elle a quitté son mari, ses amis, toute sa vie d'avant. Elle vit dans un petit appartement, donne des cours ; sa seule amie, une vieille voisine. April refuse tout plaisir. Une lettre la désignant comme héritière d'une grosse propriété en Angleterre va bouleverser sa petite vie tranquille. Dilemme, que va-t-elle faire ? Va-t-elle quitter la Nouvelle-Zélande, pays de Catherine Robertson, l'auteure de ce roman, pour l'Angleterre où l'attend son héritage ?

Une lecture agréable !



Challenge Atout prix 2017 - Lauréat du Nelson Public Library Ward

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Le joli mois de mai

Vite lue

Une nouvelle très vite lue en même pas 1 heure mais qui s’oublie tout aussi vite sans intérêt l’histoire n’a ni queue ni tête Dommage car l’idée de départ était bonne. Heureusement que c’est gratuit sur kindle
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La maison aux secrets

La maison aux secrets.

Best-seller en Nouvelle-Zélande et lauréat du Nelson Public Library Award, La maison aux secrets s'annonçait comme un roman bouleversant sur le thème du deuil. L'idée que le personnage principal, April Turner se rende en Angleterre pour une affaire d'héritage ajoutait une pointe de mystère qui me plaisait. Au fond, je ne sais pas trop à quoi je m'attendais entre la couverture aux allures de Downton Abbey et le titre évocateur, mais je dois bien avouer qu'en dépit des qualités du roman, je reste quand même un peu déçue par deux éléments clés : le rythme de l'intrigue qui était trop lent à mon goût et les personnages auxquels je n'ai pas réussi à m'attacher, exception faite de Sunny, une vieille dame à la personnalité haute en couleur.

D'une écriture soignée, ce roman avance au rythme de la lente réflexion intérieure d'April, mais aussi au rythme de la nature. En effet, entre la rénovation de la vieille bâtisse et les travaux de jardinage pour remettre en ordre la propriété décrépite laissée à l'abandon, ce livre fait la part belle à la nature avec une véritable plongée dans le monde du jardinage. D'ailleurs, l'auteure a précisé dans ses remerciements qu'elle avait même acheté l'Encyclopédie populaire du jardinage. Alors, oui, c'est une lecture éclairante sur ce sujet, mais j'ai eu du mal à adhérer à l'univers global. le coeur du roman demeure le travail interne mené par April qui s'est imposée une vie exempte de tout bonheur (aussi simple soit-il) car elle s'estime responsable de la mort de son fils. Au fil des chapitres et au gré de ses interactions avec le casting de personnages (notamment Jack et Oran), elle va progressivement modifier sa vision de la vie.

Par ailleurs, le passé vient éclairer la narration avec des flashbacks réguliers à l'époque de la jeunesse de Sunny ; une structure que j'affectionne particulièrement dans les romans.

J'ai trouvé que le cheminement d'April avait abouti à un épilogue satisfaisant et plein d'espoir.

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La maison aux secrets

April Turner, la quarantaine, vit seule en Nouvelle-Zélande. C'est un femme meurtrie depuis le décès de son petit garçon de cinq ans, renversé par une voiture à la sortie de l'école. Depuis, elle est divorcée et ne s'autorise aucun moment de joie. Les mois et les années défilent toujours de la même façon. Un jour, pourtant, son morne quotidien se voit bouleversé par l'arrivée soudaine d'un inconnu qui sonne à sa porte. L'homme détient une enveloppe qui a traversé l'Océan depuis l'Angleterre. Dans cette enveloppe se trouve le courrier d'un notaire lui annonçant l'héritage d'une grande demeure "L'empyrée". Peu désireuse dans un premier temps de quitter son île, April finit par faire le voyage jusqu'en Europe afin de mettre en vente ce bien et revenir le plus vite possible.



"La maison aux secrets" est l'histoire d'une reconstruction, le portrait d'une femme en deuil ne prenant plus aucun risque jusqu'au jour où elle doit se faire violence grâce à l'existence d'un héritage à l'autre bout du monde.



Elle arrive ainsi dans une petite province anglaise, pleine de charme, habitée par de grandes familles depuis des décennies. Là-bas, elle fait des rencontres. Ce sont celles de M. Edwards, d'Oran et de Sunny qui l'aideront à sortir de sa coquille.





Le roman alterne entre la période actuelle et les années 1930, au gré du récit de Sunny, vieille femme au passé tumultueux, racontant toute sa vie, de son enfance à aujourd'hui. April prend de plus en plus plaisir à lui rendre visite, à l'écouter et doucement l'envie d'entretenir et d'embellir le manoir s'offre à elle. C'est ainsi qu'elle va de découvertes en découvertes, en arpentant les pièces et en vidant les vieux meubles d'un aïeul qu'elle n'a jamais connu.





Il s'agit de l'histoire d'une femme qui va s'ouvrir et à nouveau aimer la vie grâce au changement d'environnement, au gré des amitiés nouvelles et de la bienveillance des gens qui l'entoure.





Les chapitres sont courts, mais l'histoire est longue. Je me suis terriblement ennuyée durant cette lecture. J'ai trouvé le récit plat, sans action ni suspense, me perdant dans des détails à n'en plus finir. La fin est prévisible. J'ai mis plusieurs jours à lire ce livre tant j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages et à me laisser porter par les mots de l'auteure.


Lien : http://labibliothequedemarjo..
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La maison aux secrets

Coup de cœur !

Trouvé par hasard, ce roman m’a captivée dès les premières pages et je n’ai pu le lâcher qu’une fois finie la lecture… !

L’origine néozélandaise de l’auteure apporte un regard quelque peu différent sur la vie (moins européen !) bien que l’histoire se déroule principalement en Angleterre.

J’ai été saisie par cette écriture poétique, claire et profonde à la fois. Les personnages me semblaient très proches et me tenaient compagnie, les lieux nous charment au travers des descriptions. On a envie de se retrouver par une journée fraîche, peut-être pluvieuse, avec une tasse de thé et quelques scones à la confiture …

Chaque personnage est charismatique et se distingue franchement des autres sans être toutefois caricaturé. Ils ont chacun une forte personnalité et des principes auxquels ils tiennent jusqu’à s’imposer des choix de vie singulier.

J’ai aimé l’omniprésence de la nature, les nombreuses évocations des éléments naturels, plantes, animaux au point que j’avais envie de me rendre dans ces lieux et me promener à loisir.

Ce roman est un roman « cocoon » où l’on se sent bien. Bien sûr l’histoire raconte des tragédies, des deuils, des blessures. Mais elle illustre également des résiliences ou des acceptations permettant de vivre avec.

Pour moi, il a été un roman « feel good » !

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La maison aux secrets

La maison aux secrets est un roman qui ne m'a pas vraiment emballé. Malgré de nombreuses choses qui m'ont portant apparu intéressantes et valables, je me suis toujours sentie en retrait comme si j'observais tout cela sans jamais vraiment entrer dans l'histoire. Aucun des personnages ne m'a réellement touchée. Je ne me suis attachée à aucun d'eux, même pas à Sunny, la vielle dame.

Franchement, je ne comprends pas ce qui s'est passé avec ce roman. Il y a beaucoup de choses et de personnages que je n'ai pas compris ou qui ne m'ont pas convaincu, surtout April, l'héroïne, James, son ancêtre et Jack, l'homme mystérieux de la forêt... Je suis plutôt restée avec des questions : comment est mort James finalement ? J'ai peut-être loupé un passage !!? Pourquoi son attitude envers Lily ? Pourquoi cette fin avec Jack ? Quel est le sens de l'épilogue à votre avis, pour celles qui ont lu le roman ? Est-ce juste une façon d'annoncer une suite ? Si vous avez les réponses, je suis preneuse. Par ailleurs, c'est la première fois que j'entends parler de ce genre de réaction face à la perte d'un être cher dont on se sent responsable, sans raison formelle, qui consiste à éprouver tant de culpabilité que l'on refuse volontairement tout plaisir, toute joie et tout réconfort. La mort de son propre enfant en bas âge est une abomination à vivre, c'est certain. La plupart du temps, cela mène à un grand chagrin, c'est bien normal, sûrement l'un des deuils les plus difficiles à faire, on est d'accord. Cela peut aller jusqu'à la dépression lorsque l'on ne s'en remet pas avec la perte du goût de vivre. Mais ici, et c'est nouveau pour moi, la réaction est celle d'un rejet de toutes tentations pour se punir. Refuser toute joie et plaisir parce que celui qui est mort ne peut plus les vivre, je peux le concevoir dans un comportement inconscient car la personne ne s'en rend pas compte. Il me semble que dans un cas pareil, le parent perd plutôt le goût des choses et que plus rien n'a de sens. Mais ici, l'héroïne semble tout à fait consciente de ses choix, à refuser tout ce qui peut lui faire du bien ou lui faire plaisir même lorsqu'elle en a envie. J'ai trouvé ça plutôt agaçant et pénible à la longue, je m'en suis lassée au bout d'un moment, et du coup, je ne me suis pas attachée à elle.

Pour résumé, l'histoire est celle d'un couple vivant en Nouvelle-Zélande un grand bonheur jusqu'à la perte accidentelle de leur fils âgé de cinq ans. April, la mère, se sent coupable à tort de cette mort. Depuis, elle se punit en se refermant sur elle-même, en ayant une vie diamétralement opposée à celle qu'elle vivait jusqu'au drame, une vie faite de morosité, sans plaisir et sans joie, son mari ayant refait la sienne. Cinq ans après le décès de son fils, April apprend qu'elle a hérité d'une grande et vieille maison d'époque abandonnée au coeur de la campagne anglaise. Sa décision fut celle de vendre et les événements la mène à rester en Angleterre lors de sa visite pour voir la maison et commencer avec de l'aide la restauration de quelques pièces pour pouvoir la vendre plus facilement. C'est dans ce contexte que, peu à peu, elle réapprend à vivre et à partager, notamment avec la pétillante Sunny, la vieille dame qui sera le lien dans cette histoire entre le présent et l'époque de sa jeunesse passée dans cette maison dans les années 1930-1940. L'histoire est donc celle aussi de la famille propriétaire de cette maison à cette époque dont les membres sont les ancêtres d'April, mais aussi de plusieurs personnages qui transitent autour.

Alors, il y a des divers personnages très intéressants, aussi bien dans le passé que dans le présent, qui laissent présager une histoire comme je les aime. Sauf que pour toutes les raisons qui ont été évoquées ci-dessus, ce ne fut pas le cas. Je me suis même parfois ennuyée. C'est dommage car je trouve à cette histoire quelque chose de vraiment singulier mais pourtant la mayonnaise n'a pas pris pour moi, si je puis dire ! Ceci dit, il ne s'agit là que de mon ressenti et de mon avis ! Peut-être que pour vous le charme agirait vous permettant de mieux l'apprécier !!!

www.ladyromance.over-blog.com
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La maison aux secrets

Mon avis sur ce roman est mitigé. D'un côté j'ai trouvé le caractère inflexible d'Avril un peu trop dur et James un peu trop mou et d'un autre côté La maison aux secrets est une belle histoire ou se mêlent secrets et mystères. La fin de ce livre est assez énigmatique...
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La maison aux secrets

Suite à la mort de son jeune fils, April Turner s’est refermé sur elle-même et s’empêche de vivre pleinement sa vie. Jusqu’au jour où elle reçoit un courrier l’informant qu’elle vient d’hériter d’une vieille bâtisse, L’Empyrée, en Angleterre. Comme rien ne retient April en Nouvelle-Zélande, elle va dépenser ses derniers dollars dans l’achat d’un billet d’avion en direction d’Angleterre.



Le début de ce roman est assez froid. April, notre protagoniste, se montre rigide et distante, elle s’ouvre peu aux lecteurs et reste mystérieuse sur sa vie et sur ce qu’elle ressent. L’Empyrée, qui est le nom de la bâtisse dont a hérité April, est elle aussi très froide. Les descriptions faites nous renvoie l’image d’un manoir peu accueillant et sombre.



Heureusement, plus les chapitres défilent et plus le lecteur entrevoit une lumière pleine d’espoir entre les pages du récit. La maison, déjà, s’emplie peu à peu de vie. April, aidée par Oran le bricoleur, s’escriment à restaurer cette maison abandonnée. Ils lui redonnent des couleurs et une nouvelle vie. Le paysage change, la vie s’installe à l’Empyrée et le lecteur, tout comme April, se sent de mieux en mieux dans cette maison. La jeune femme commence à s’attacher à cette vieille maison dont elle a hérité ; c’est sans doute pour cette raison qu’elle cherche à en savoir plus sur l’histoire de l’Empyrée. Et c’est Sunny, une vieille dame ayant connu les anciens propriétaires de la bâtisse, qui va lui raconter tous les secrets de l’Empyrée.



Pour percer les mystères de l’Empyrée, les chapitres se succéderont entre le moment présent et les moments passé. Nous retournerons au début des années 1930, à l’orée de la guerre, et ferons connaissance avec James, Lily, Rowan et Sunny, alors qu’elle n’était encore qu’une enfant. Les pièces du puzzle s’assembleront et l’histoire de l’Empyrée se mettra peu à peu à prendre vie sous nos yeux.



C’est grâce à cette bâtisse – à l’énergie dépensée dans sa restauration, aux nombreux mystères qu’elle met à jour – qu’April retrouve peu à peu goût à la vie. La jeune femme cherche à redonner du sens à sa vie, tout en se battant constamment avec les démons du passé qui la hantent. Heureusement, dans ce combat personnel et spirituel, elle sera aidé par Sunny et Edward, qui deviendront très vite de très proches amis.



Le rythme du récit est assez lent ; l’auteure prend son nom et décrit avec abondances les lieux, pour permettre aux lecteurs de mieux se les représenter. Une lenteur qui peut gêner certains, ou qui peut permettre à d’autres de savourer pleinement leur récit. Pour ma part, j’ai trouvé que certains passages étaient un peu long et sans grand intérêt. Ce qui n’enlève rien au fait que j’ai apprécié ma lecture. Mais un peu plus de dynamisme ne m’aurait pas déplu.



La maison aux secrets, est un beau roman, sorte d’ode à la vie, qui enjoint chacun à garder espoir en la vie et à vivre intensément chaque moment. La fin de ce récit, énigmatique, laisse présager une suite à cette histoire. C’est donc affaire à suivre…
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Le joli mois de mai

Gwyn, frère de Cady et Olly, petit ami de la même, passent leur temps à se disputer, à se chamailler pour savoir ce qui convient le mieux à leur belle. Celle-ci en a d’ailleurs assez de subir leurs sollicitudes et leurs influences contradictoires. Tous trois sont à la veille de la fête de mai, celle du renouveau, du printemps qui l'emporte enfin sur l'hiver. La nuit des esprits où toutes sortes de choses étranges peuvent se produire. Et voilà que se présente Oran, un bel inconnu qui risque de mettre tout le monde d’accord. Puis Cady part la nuit dans la forêt en suivant un autre homme qu’elle ne connait pas non plus…

« Le joli mois de mai » est une longue nouvelle (ou une novella) un peu étrange où l’on sent une certaine inspiration de Lewis Caroll. C’est assez poétique, un brin onirique, voire psychanalytique. L’auteur évoque les traditions anciennes d’une plume alerte, agréable et assez descriptive. Tout tourne autour de Cady, l’héroïne aussi naïve qu’indécise qui finit par se lancer contre toute attente. Les hommes ne sont que des personnages secondaires sans grande importance qui apparaissent et disparaissent comme dans un théâtre d’ombre. L’ensemble est divertissant mais sans grande profondeur ni développement psychologique ou dramatique. Il ravira les amateurs du genre d’autant plus qu’il est proposé gratuitement par l’éditeur Charleston.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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La maison aux secrets

« La maison aux secrets » m’a séduite par son titre, sa couverture intrigante et en même temps dépaysante et par son résumé. Je me suis donc laissée porter, entre la Nouvelle-Zélande et l’Angleterre, entre le passé et le présent, entre la privation et le bonheur.



Dès les premières pages du roman, on est dans l’histoire. On découvre rapidement April et son quotidien, on prend connaissance de son traumatisme, même si toute son ampleur nous est révélée au fur et à mesure de la lecture. April, cette femme qui a laissé sa vie derrière elle, qui se refuse à tout plaisir depuis que son enfant est mort, cinq ans auparavant. Une femme blessée, qui ne réussit pas à se reconstruire et qui rajoute à sa tristesse la culpabilité de la mort de son enfant. Une femme qui se punit elle-même et qui du jour au lendemain a tout quitté et refusé de profiter de cette vie que son petit garçon ne connaitrait jamais. April est une femme en même temps détruite mais également déterminée à « respecter » cette vie de non-plaisir. Une femme que l’on imagine parfaitement et pour qui la vie s’est arrêtée en même temps que celle de son fils. April est une femme complexe remplie de tristesse, une tristesse dont on ne peut lui vouloir mais dont on aimerait aussi qu’elle sorte. Parce que malgré les douleurs, le chagrin et la catastrophe, elle ne réussit pas à avancer.



Alors forcément, quand une maison l’emporte loin de son quotidien à la découverte d’un héritage dont elle ne veut pas du tout, on part avec elle. Avec espoir. Avec envie. Avec curiosité aussi.



Déterminée, April l’est vraiment. À vendre cette maison, à s’en débarrasser, à ne pas profiter de l’argent, à ne rien ressentir, à ne pas prendre le temps de se balader et de contempler la beauté d’un endroit qui lui appartient.



Et bien que son choix soit arrêté, elle va se laisser entrainer dans le passé et les secrets de l’Empyrean. Cette maison qui a connu tant d’épreuves également. Une maison qui a vécu les plus grands bonheurs, et qui a dû faire face au malheur, sans jamais s’en relever. Comme April. Une parallèle qui n’est pas difficile à comprendre. Et plus on avance dans l’histoire, plus on prend conscience de la douleur du passé, et plus April renait à la vie. Elle s’autorise à s’ouvrir, à vivre, à accepter le plaisir. À accepter le passé, simplement. Un chemin qui n’aurait pas été possible sans les personnages secondaires, tous aussi attachants les uns des autres.



« La maison aux secrets » est un roman émouvant, douloureux et un peu triste aussi. Je m’attendais à un livre différent mais je n’ai pas de déception. Il est poignant et émouvant. L’histoire est belle, parfois triste. Comme la vie peut l’être parfois. Il faut simplement accepter, se relever et continuer.

Une jolie histoire d’espoir et d’acceptation.




Lien : http://vudemeslunettes.fr/20..
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La maison aux secrets

Des romans ayant pour départ une jeune femme qui se découvre un héritage mystérieux du jour au lendemain, il y en a pléthore. Et La maison aux secrets de Catherine Robertson en est un parmi tant d’autres. Seulement, tous ne sont pas lauréats d’un prix, à la différence de celui-ci qui a remporté le prix du Nelson Public Library Award.



April a perdu sa raison de vivre le jour où Ben, son fils de cinq ans, s’est fait renversé par une voiture et a été tué sur le coup. Persuadée de ne plus avoir droit au bonheur, elle ne résiste cependant pas à la curiosité le jour où un notaire anglais l’informe d’un héritage lui revenant. Afin d’en apprendre plus, elle quitte alors la Nouvelle-Zélande pour l’Angleterre où de nombreuses rencontres vont l’amener à revoir sa ligne de conduite de vie et à s’ouvrir de nouveau au monde qui l’entoure. Sur les traces d’un passé familial dont elle ignorait tout jusqu’ici, elle ne s’attendait certainement pas à faire remonter à la surface des secrets qu’il aurait peut-être mieux valu laisser dans l’oubli.



Certes, il s’agit d’un classique du genre et a priori La maison des secrets n’a rien de particulièrement original. Que ce soit pour son point de départ que pour sa forme (alternance passé/présent) ou encore son contexte historique (présent et milieu du XXème siècle – années 1930 jusqu’à la fin de la Seconde Guerre Mondiale), il n’y a rien qui se démarque des autres romans du même genre. Pourtant, une fois entré dans La maison aux secrets, il est impossible d’en ressortir. La plume de Catherine Robertson est magique et nous prend dans un piège pour ne nous en libérer qu’à la toute dernière page.



Qu’il s’agisse d’April, d’Edward, de Sunny ou encore de James, aucun de ces personnages ne laisse indifférent. Avec leurs défauts, leurs craintes, ils n’ont rien de parfait t c’est ce qui les rend humains, c’est ce qui les rend vivants. Chacun a ses petites cachotteries, tous n’ont pas eu un comportement exemplaire ou ne serait-ce qu’honnête, agissant même parfois par pur égoïsme. Mais il est impossible de les détester, on a envie qu’ils trouvent le bonheur. Certains vont d’ailleurs le trouver, d’autres malheureusement pas. April en sera le témoin des décennies plus tard. Ces révélations l’aideront-elles à aller de l’avant ? À porter un autre regard sur ce qu’elle a vécu et comment elle le gère ? S’autorisera-t-elle enfin à vivre de nouveau ?



La maison aux secrets est un très beau roman qui nous raconte l’histoire de familles déchirées, d’amitiés mises à l’épreuve et d’amours non partagées. Mais c’est aussi et surtout une ode à la vie.
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Le Café du coeur





J'ai craqué devant cette sublime couverture, je suis faible. Elle est simple mais colorée et lumineuse. Je n'ai qu'une hâte, trouver le moment où j'aurais besoin de lire ce livre.



Et puis un soir, j'étais à la recherche d'un peu de légèreté et de douceur. Je pars donc à la rencontre de Darrell, une romancière qui,  après le décès de son mari, quitte la Nouvelle-Zélande pour Londres. La vie lui offrirait-elle une seconde chance au café du coin ?



J'aime beaucoup notre protagoniste attachante et j'aime suivre ses tribulations. J'apprécie également l'ambiance cosy So British de ce petit roman. Je passe un excellent moment.



Au départ,  je suis un peu déroutée par le style un peu particulier de l'auteure qui part dans tous les sens mais je m'y habitue assez vite.



Même si elle était assez prévisible,  je dois dire que cette lecture m'a conquise.



Je vous conseille cette lecture.





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La maison aux secrets

Le résumé de ce roman m'attirait beaucoup, mais j'avoue être mitigée quand à mon avis sur cette lecture. Malgré un titre et un résumé accrocheurs, j'ai trouvé ce roman très lent, et je n'ai pas réussi à accrocher aux différents personnages, exception faite peut-être de Sunny, vieille dame à la forte personnalité. Malgré l'alternance passé/présent que j'affectionne particulièrement et la découverte des secrets du village où April débarque, j'ai trouvé ce roman plat où il n'y a ni action, ni rebondissements, ni suspense et je me suis souvent perdue dans les détails qui m'ont poussée parfois à survoler des paragraphes entiers...
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La maison aux secrets

La maison aux secrets est un roman de Catherine Robertson, qui raconte l'histoire d'April, une femme qui s'efforce de vivre dans le dénuement depuis la mort tragique de son fils, dont elle se sent responsable. Elle apprend néanmoins un jour qu'elle est l'héritière d'une maison en Angleterre, et découvre progressivement le passé de son lointain parent, James.



Mon avis sur cette lecture est plutôt partagé. Il y a des points positifs, comme la plume de l'auteur, qui se lit vite et bien. Je l'ai trouvée un peu trop imagée au début, et j'ignore si je m'y suis habituée au fil des pages ou si cela s'est simplement estompé après quelques chapitres, mais en tout cas, cela ne m'a plus dérangée par la suite.



Les personnages secondaires sont également très agréables, très attachants, qu'il s'agisse de la pétillante Sunny, un tourbillon d'énergie de quatre-vingt dix ans, du cynique Edward ou encore du sympathique Oran. Tout comme April, on passe un excellent moment avec eux. En revanche, je n'en dirais pas autant de cette dernière.



Elle fait tout pour éviter que l'on s'attache à elle, qu'on la remarque, et cela fonctionne. Malgré le deuil par lequel elle a été frappée, je n'ai pas réussi à ressentir de l'empathie pour elle. Pire, je l'ai trouvée égoïste. Persuadée que la mort de son fils est de son fait, elle s'obstine depuis ce jour à mener une vie d'ascète. Pour cela, elle se coupe de toute relation : amis, proches... Elle a même quitté son mari, ce qui me semble assez cruel, car cela implique de tourner le dos à une personne qui traverse la même épreuve qu'elle, et qui aurait peut-être eu besoin du soutien de son épouse.



Qui plus est, je n'ai pas compris l'intérêt de se flageller à sa manière en se privant de tous les plaisirs de la vie. Certes, elle refuse de jouir d'un bonheur auquel son fils n'aura plus accès, mais à quoi cela rime ? Pourquoi ne s'est-elle pas suicidée, dans ce cas ? Une vie pour une vie, cela aurait presque paru plus cohérent. Elle aurait également pu se mettre au service d'autrui, accomplir de bonnes actions, au lieu de quoi, elle ne fait rien du tout. Sa punition, dans le fond, s'apparente surtout à un incommensurable gâchis, et les autres personnages semblent d'ailleurs plutôt de cet avis, au point de parvenir progressivement à l'arracher à sa coquille.



C'est surtout l'oeuvre de Jack, un personnage énigmatique qui, parvenue à la fin du livre, m'a fait froncer les sourcils. Je pense avoir percé le mystère qui l'entoure, mais c'est si irrationnel que je n'en comprends pas l'intérêt, et encore moins ce que l'auteur a cherché à faire avec lui. A-t-elle tenté de distiller une goutte de magie dans son oeuvre ?



La mort de James est également très trouble. Même une fois son histoire dévoilée, le prologue reste flou, et il n'est pas totalement possible de lui donner un sens. Qui plus est, même si James n'a jamais été particulièrement sympathique, j'ai trouvé son attitude vis-à-vis de Lily, puis de Rowan, absolument ignoble et inexcusable. Je ne me l'explique d'ailleurs pas.



La maison aux secrets est donc un roman avec du bon, du moins bon, et surtout des éléments très vagues qui ne sont pas toujours faciles à interpréter. le meilleur moyen de vous faire une opinion est encore de le lire par vous-même.
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La maison aux secrets

April vit en Nouvelle-Zélande, emmurée dans sa propre vie telle une pénitente, pour expier la mort de son petit garçon dont elle se sent responsable. Elle veut s'effacer du monde. Jusqu'au jour où elle hérite d'une demeure en Angleterre. Pour couper court à son imagination, elle se rend en Angleterre pour voir par elle-même la demeure avant de la revendre. Là, elle est accueillie par Edward, le notaire et Sunny, fringante nonagénaire, qui a connu la demeure et ses propriétaires au temps de sa splendeur. Afin de mieux vendre la maison, April décide de la rénover un peu à l'aide d'Oran Feares, un ami de Sunny et homme à tout faire toujours plein d'entrain. Au cours d'une promenade , April fait la connaissance de Jack, un homme mystérieux qui vit dans les bois avoisinants.



Ce roman, c'est l'histoire d'une double résurrection, celle de la demeure et celle d'April qui, au contact de ces personnages hauts en couleurs et pourtant aux profondes fêlures, reprend vie peu à peu.



C'est un roman qui m'a profondément touchée et séduite: l'auteur parvient à nous faire ressentir cette renaissance jusque dans son écriture. Le début du roman est plutôt terne et morne à l'image de la vie d'April, sans lumière, sans vie, sans espoir puis au fil de l'histoire, les couleurs s'immiscent par petites touches pour l' illuminer.



La maison est en quelque sorte le double d'April: l'état d'abandon dans lequel elle se trouve est aussi la conséquence de la mort d'un fils, celui de l'ancien propriétaire dont l'histoire est racontée en alternance avec celle d'April. Elles sont à l'image l'une de l'autre, encore fraîches à l'extérieur mais complètement abîmées intérieurement. Et plus, April en apprend sur la maison, plus elle en apprend sur elle-même.



Pas un seul moment je n'ai trouvé ce roman triste même dans les instants plus sombres durant lesquels le lecteur à l'instar l'héroïne, ne ressent rien. La folie douce des autres personnages allège l'atmosphère de l'ensemble en lui apportant tout à la fois une touche d'humour et de profondeur.



C'est un 5 étoiles amplement mérité.

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La maison aux secrets

Un grand merci aux éditions Charleston pour m'avoir envoyé ce manuscrit en avant-première dans le cadre de l'aventure Lectrice Charleston 2017.



« La maison aux secrets » de Catherine Robertson met en scène April, une femme qui décide de vivre une vie austère et sans plaisir suite au décès de son fils.

Cependant, son quotidien va être chamboulé lorsqu’elle va hériter, d'un lointain parent, d’une propriété en Angleterre. Elle va alors quitter la Nouvelle-Zélande pour se charger de la vente de cette maison, ne plus jamais en entendre parler et retrouver son quotidien gris et morne, loin de toute joie et plaisir.

Mais ce qu'April ne sait pas encore c'est que les nombreux secrets autour de cet héritage vont, petit-à-petit, transformer sa vie.



Dès le début, nous savons que ce récit aura une saveur particulière.

J'ai d'abord été un peu sceptique face aux choix de vie qu'April fait et son quotidien est vraiment particulier.

Cependant, passées ces premières pages et dès son arrivée en Angleterre, le texte devient subitement plus addictif, plus vivant.



J'ai été séduite par les paysages, par les personnages et par la propriété, l'Empyrean, qui est également un protagoniste à part entière de ce récit. La plume de Catherine Robertson est touchante, bouleversante et l'on tourne les pages à une vitesse folle : on est vraiment happé par ce récit poignant.



Chaque personnage, comme la propriété, connaissent une évolution frappante et émouvante. C'est comme si, en redonnant ses lettres de noblesse à l'Empyrean, tous les personnages se voyaient transformés également.



J'ai été tout autant séduite par les passages mettant en scène April que par les chapitres qui nous font retourner dans le passé, à l'époque de cette chère Sunny et de James. Petit-à-petit, nous découvrons chaque secret ou nous les devinons. Tel un bourgeon de fleur, le récit s'ouvre et nous révèle tout son potentiel, nous laissant vraiment pantois face à cette complexité insoupçonnée.



Il y a énormément de messages cachés dans cette histoire et beaucoup de choses inexplicables.

Jack, un homme que va rencontrer April, est-il une personne à part entière ou un fantôme ? On peut se poser cette question puisqu’elle est la seule, pendant tout le livre, à le connaître et même à le voir.

Le rouge-gorge et la couleur rouge sont aussi très présents du début jusqu’à la fin. Symbolisant le renouveau, l’évolution, l’égarement, ils apparaissent de manière anodine, mais sont porteurs de messages.

Enfin, que dire du dernier chapitre avec cette fameuse cabine téléphonique ? April reçoit un appel de qui ? Pourquoi ? Est-ce James ? Jack ou Ben ? Ou les trois ?

Cette fin ne m’a pas laissée indifférente et je suis curieuse de savoir quel sens vous donnez à ce dernier chapitre et de pouvoir tout simplement échanger avec vous là-dessus.





En conclusion, « La maison aux secrets » m'a vraiment séduite par son univers riche en couleurs et en émotions. Catherine Robertson nous fait rire, pleurer, détester, aimer, rêver. Plus qu'un roman, c'est une vraie ode à l'espoir, à l'amitié et à l'amour qui ne laissera personne indifférent.





Un livre à lire, à savourer.
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La maison aux secrets

Nouvelle parution Charleston que j’attendais avec impatience. Une vielle bâtisse chargée d’histoire, des secrets bien enfouis, ce roman ne pouvait que me plaire ! Dès sa sortie j’ai foncé l’acheter et je l’ai lu dans la foulée. J’ai trouvé que c’était une lecture très agréable malgré quelques longueurs.



En Nouvelle-Zélande, April Turner s’est arrêtée de vivre à la mort de son petit garçon . Elle ne s’autorise aucun plaisir, aucun loisir. Se sentant responsable de cet accident, elle veut faire pénitence. Mais un beau jour, elle hérite de l’Empyrean, cette vieille maison en Angleterre… Contre toute attente, elle décide de se rendre sur place, attirée malgré elle par ce vieux manoir. Sa décision est prise, elle ne veut pas le garder mais pour pouvoir séduire d’éventuels acheteurs, encore faut il qu’il soit rénové… N’ayant que peu de moyen, April s’attèle à la tâche avec l’aide d’Oran.



J’ai eu beaucoup de mal à m’attacher à April. Elle ne dégageait aucune joie de vivre, se lamentait sur son sort plus qu’autre chose. Au départ, elle m’a beaucoup agacé, j’avais envie de la secouer. Mais petit à petit, au contact des autres personnages (Edward, Sunny, Oran, Jack), elle va s’ouvrir lentement et reprendre goût à la vie. Pour elle, cette rénovation a été un exutoire, plus la maison retrouvait son âme d’antan, plus April redevenait vivante. J’ai trouvé son évolution très intéressante, et je pense que cela fait la force de ce roman.



Les autres personnages ne sont pas en reste. J’ai adoré Sunny, cette nonagénaire qui a son franc-parler et qui ne mâche pas ses mots. Elle m’a d’emblée conquise. La petite fille qu’elle était m’a aussi séduite, notamment par son mépris des convenances et des bonnes manières. Oran m’a également beaucoup touché. C’est un homme torturé et en quête d’identité. Mais le personnage qui m’a le plus intrigué est Jack, cet homme vivant dans les bois qui semble tout connaître de la nature. Je n’ai d’ailleurs toujours pas percé son mystère. Les protagonistes du passé sont également attachants, notamment Lily, Rowan et même James.



J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire au départ. Pour moi, l’intrigue se mettait en place trop doucement. Les éléments du passé sont révélés au compte goutte. Je ne voyais pas forcément l’intérêt de nous raconter ces détails qui paraissaient insignifiants. Mais petit à petit, le mystère s’épaissit autour de cette maison, et le passé s’imbrique de plus en plus dans le présent. Chaque détail prend son importance, et j’ai trouvé que c’était fait de façon très habile.



Le rythme est assez lent, mais l’écriture fluide et addictive. Passé la moitié du roman, je n’ai pas pu le lâcher. Et en le refermant, finalement, j’ai trouvé qu’il était très bien ficelé. Le dénouement m’a surprise, car il laisse le mystère planer… Tous les secrets n’ont pas été révélés et bizarrement cela ne m’a pas gêné, bien au contraire ! Je recommande donc vivement ce livre même s’il faut s’accrocher au départ !



A noter qu’une nouvelle inédite de l’auteur est disponible ! Je me replongerai dans cet univers avec plaisir.
Lien : https://monjardinlitteraire...
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La maison aux secrets

Une histoire où j'attendais tellement plus et au final je suis un peu déçu de cette lecture. Mon avis complet via le lien.
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Le Café du coeur

Depuis le décès inattendu de son mari, l'autrice de romance Darrell Kincaid souffre du syndrome de la page blanche. Plus les mois passent et plus elle envisage de changer de cadre de vie et de routine. C'est ainsi que Darrell va quitter sa Nouvelle-Zélande natale pour Londres où elle va immédiatement se rendre un petit café italien qui ne paie pas de mine. Ce dernier semble être propice aux rencontres et elle pourrait bien en faire l'expérience...



J'ai beaucoup apprécié ce petit feel-good qui se déroule principalement dans un charmant petit café. Les tenanciers sont accueillants et les habitants du quartier sont tous habitués à passer prendre une boisson chaude à un moment bien précis de leur journée. Malgré le fait que Darrell va faire des rencontres amoureuses et se rapprocher de certaines personnes, j'ai surtout adoré suivre l'évolution de ses relations amicales. Ces inconnus rencontrés au gré du hasard qui vont, petit à petit, prendre une place considérable dans la vie de la jeune femme en dévoilant une partie de leur passé ou de leurs secrets.



Au niveau des relations amoureuses à proprement parler, certains personnages masculins m'ont vraiment exaspérée mais la fin m'a réconciliée sur ce point. Enfin, je dois avouer que l'élément qui m'a le plus mise en joie dans ce récit était la plume très originale de l'autrice (l'autrice du roman et non Darrell on s'entend). Elle passe du coq à l'âne, avec sarcasme, auto-dérision et une bonne dose d'humour. J'ai pouffé de rire à maintes reprises grâce à ces jeux de mots parfois très alambiqués.



Une lecture que je vous conseille si vous souhaitez un petit feel-good autour d'un petit café brulant.
Lien : https://viedelivres.com/2022..
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Le Café du coeur

J'ai beaucoup aimé lire cet été ce roman plein de fraîcheur. Ce roman est une délicieux mélange de romance et de roman feel good. J'ai beaucoup aimé voir évoluer le personnage de Darrell tout au long du roman. Elle fait preuve d'une grande force de caractère pour tout plaquer après la mort de son mari et de courage pour partir construire une nouvelle vie ailleurs. J'ai aimé suivre tous les personnages qui gravitent dans ce café.

Je découvre l'autrice grâce à ce roman et j'ai trouvé sa plume extrêmement légère et agréable à lire. Personnellement j'ai bien aimé les passages où Darrell s'adresse directement au lecteur. Cela donne une atmosphère encore plus intime au récit.

J'ai passé un agréable moment de lecture et je vous recommande cette lecture feel good.
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