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Critiques de Catherine Ternaux (19)
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Le secret de la Joconde

Amandine Toupet est une petite fille de neuf ans pétillante, enjouée et curieuse. Passionnée de peinture, Arthur un voisin lui donne quelques cours. Un jour, il décide de l'emmener visiter le musée du Louvre. Comme tout le monde, Amandine est intriguée par le fameux sourire et le regard énigmatique de La Joconde. Mais, il est difficile pour elle de l'observer attentivement, tellement il y a de gens amassés autour du tableau de Léonard de Vinci.

Sa curiosité pousse la demoiselle à mettre tout en oeuvre pour percer le secret de La Joconde... et la nuit même, là voilà qui se faufile dans le musée. Hélas, elle n'est pas seule ; deux cambrioleurs arpentent aussi les sombres couloirs. Ils ont le projet de dérober l'illustre tableau.

Avant qu'ils commettent leur larcin, La Joconde va s'adresser à Amandine... oui, vous avez bien lu !

Et c'est grâce aux révélations de La Joconde qu'Amandine, aidé d'Arthur va retrouver le tableau volé après de nombreuses péripéties.

Un roman très drôle à mi-chemin entre le policier et le fantastique mené tambour battant par des personnages bien croqués, invitant implicitement le petit lecteur à réfléchir sur l'art.
Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Zoppot

Personnages de papier, avez-vous donc une âme ?

Telle est la question que pose ce court roman qui se lit d’une traite car de là souffle un vent de fraîcheur et de douce folie.



Maurice, retraité et jeune écrivain, vient de mettre un terme à son premier roman. Il lui faut maintenant le déclarer à la grande bibliothèque. Il en est ainsi : chaque nouveau personnage doit être répertorié ! Mais face aux tracasseries administratives, Maurice décide de prendre la poudre d’escampette et de fuir à Zoppot en Pologne. Là, pense-t’il, il sera à l’abri...



Vous croyez tout savoir des personnages de romans ? Et bien Zoppot vous prouvera que vous faites fausse route. Et même si Zoppot se trouve en Pologne, pour moi ce roman a l’apparence des matriochkas, ces petites poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres. Une écriture plutôt poétique. Un roman court, très court avec une belle envolée existentielle. Des questions qui flottent. Et au final, une question demeure : qui écrit mon histoire ?



Un grand merci à Babelio et aux éditions L’Escampette pour cette belle et prenante diversion littéraire.
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Variations de la pesanteur

Une très jolie découverte toute récente faite par hasard à ma médiathèque...en fouinant dans les rayonnages...

Un très beau recueil de nouvelles, pleines de tendresse et de poésie, reflétant un grand amour des gens et de la nature.



Une de mes préférences, la nouvelle, étonnante, insolite et pleine d'émotion intitulée, "Infinitif passé", une lectrice achète en solde à son librairee qui va fermer son commerce de livres, une grammaire d'un certain Gaston Blain... qui va l'entraîner dans une drôle d'aventure....une nouvelle incroyable qui parle d'amour, de tous les rêves, de l'imaginaire que la présence, la lecture des livres libèrent...fut-ce-t-elle une grammaire des plus anodines... Chut......pour la conclusion de cette mini-fiction...Top secret !!!



Avec cet extrait, je ne lève qu'une petite partie du voile : "



Cher Gaston,

Peut-être avez-vous reçu des centaines de lettres comme la mienne ou peut-être suis-je la seule. J'ai lu toutes vos grammaires. J'ai parcouru, à travers les exemples que vous donnez, le récit de votre vie, du moins jusqu'à ces dernières années. Je m'étais habituée à lire dans votre coeur et soudain vous brouillez les pistes, vous coupez court à vos tendres confidences. Si j'avais acheté un roman et qu'aux trois-quarts du livre l'auteur ne poursuive pas l'histoire qu'il a entrepris de narrer, j'aurais écrit de même pour signaler que je m'en suis aperçu et que je reste bien curieuse de connaître la suite. Bien sûr, Gaston, il s'agit dans votre cas d'un manuel de grammaire, elle, continue...et qu'elle est même complète ! On ne peut donc rien vous reprocher. Mais qui vous parle de reproche. Je vous parle, moi, d'amour...... (p.29)
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Le secret de la Joconde

Ce roman m'a beaucoup plu et il est très enthousiasmant pour les jeunes. Le Louvre est devenu un topos des fictions et il est plutôt bien exploité ici.
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Une affaire de lunettes

Julien a de nouvelles lunettes. Elles ont été fabriquées par monsieur Pasimiro, un opticien-magicien. À chaque fois que Julien regarde une hoto, il plonge dedans, mais cela ne dure pas trop longtemps.



Quand il veut épater Éloïse... il lui promet de l'emmener voir le concert de Patrice Cruel... mais il écrase ses lunettes. Que va-t-il bien pouvoir faire?



L'histoire est sympathique, mettre la magie au quotidien, c'est souvent synonyme de rêve pour les enfants. Julien est un héros attachant. Les rapports avec les adultes sont plutôt bien vus. Les dessins qui émaillent le récit aussi.



Mais, cela manque un peu de souffle et d'équilibre, le récit se terminant là où on souhaiterait qu'il démarre. Pas de morale non plus, mais un peu d'humour.
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Zoppot

Ce roman aussi bref qu'absurde de Catherine Ternaux nous amène à suivre Maurice Bodéran, un paisible retraité de Saumur et auteur de roman, qui, indigné par une procédure de déclaration de son personnage principal auprès de l'administration française et rêvant d'une épopée à la hauteur de celle qu'il décrit dans son manuscrit va partir sur un coup de tête dans la petite ville de Zoppot en Pologne. Seul... ou presque, puisqu'il emporte avec lui l'ébauche de son roman et son héroïne, la fière amazone Xanthippe qui ne quitte jamais son esprit.





Le livre de Catherine Ternaux est agréable et léger. Son charme est avant tout lié à son style d'écriture fluide, à son humour pince sans rire et à son ironie discrète : "Ça ne rigole pas là haut (il pointa son index vers le ciel comme s'il faisait référence à un fonctionnaire céleste)." Si la comparaison avec Borges en 4eme de couverture me semble un peu poussée, le roman m'a fait pensé aux nouvelles du Belge Bernard Quiriny avec qui l'auteure partage un talent pour le format court ainsi qu'un certain sens de l'absurde.





Seule petite ombre au tableau : une fin un brin prévisible. On pourra également regretter la brièveté de l'ouvrage (tout juste 86 pages assez aérées - c' est presque une longue nouvelle plutôt qu'un roman).





En conclusion, ce petit roman léger et sympathique est idéal pour une pause légère et absurde après un ouvrage plus long ou davantage exigeant.
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Le secret de la Joconde

Un petit roman policier qui permet de parler de la Joconde et du Louvre aux enfants à partir de 8-9 ans.

Amandine Toupet adore la peinture et son voisin Arthur lui donne des cours Il décide un jour de l'emmèner voir la Joconde au Musée du Louvre...
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Zoppot

Un roman sympathique qui allie une belle écriture à une situation qui vire à l'absurde...

L'histoire d'un écrivain qui, si il veut être publié, doit déclarer son personnage à l'administration comme on le ferait lors d'une naissance... Refus puis fuite... Une situation qui vire à l'absurde: qui doit déclarer qui et doit être déclaré...

Une vrai bonne idée que ce court roman servit par l'écriture fluide et agréable de l'auteure. J'ai eu beaucoup de plaisir à cette lecture qui pousse à l'absurde une situation administrative qui, si on ne fait pas attention, pourrait bien nous guetter un jour ou l'autre...



Merci à Babelio et aux éditions L'Escampette pour cette belle découverte!
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Zoppot

Ce livre là m'avait fait de l'oeil lors de la précédente Masse Critique (Janvier 2020) et je l'avais sélectionné. L'attirance en était tellement forte que je me suis décidé à l'acheter parce que l'histoire me semblait prometteuse et la couverture me plaisait bien. J'ai eu le nez fin.



Le topo de l'histoire est simple. Tout auteur se doit de déclarer ses nouveaux personnages et de s'acquitter d'une taxe de bon droit d'auteur. On ne badine pas avec les personnages. Vous comprendrez bien que nous ne sommes pas ici pour rigoler et l'ordre dans tout cela ?



Et c'est là que l'histoire s'en va dans les méandres incongrus du non sens poétique et chimérique. Une chatte n'y retrouveraient plus ses petits non déclarés. le personnage qui est le personnage personnage en tant que personnage déambule à travers la France et la Pologne non déclarées et l'auteure.ice se perd en divagation sous des carnets-plumes qui s'écoulent des poèmes suaves. Vous suivez ? Naturellement que vous suivez. Vous n'y comprenez rien avouez le !



J'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice qui se dit auteure. Je vais aller de ce pas la dénoncer à L Académie Française non déclarée. D'ailleurs, tout ce charivaris de quiproquos et de non sens m'a envoûte parce que le concept mélangé entre deux auteurs fort connus fut bien trouvé et aussi parce que c'est une histoire qui touchera la coeur, non déclaré, des lecteurs et des amoureux des livres. C'est un premier roman assez court de 88 pages qui nous plonge en tant que personnage. Vous suivez toujours ? Etes-vous encore là ?



Pour terminer, je vais vous avouer que je ne suis pas l'auteur de cette critique. Je suis un personnage non déclaré par Bibalice. Un PNJ si vous voulez. Mais, je ne sais plus très bien en fait. Et d'ailleurs, qui êtes-vous, vous là qui lisez cette ineptie non déclarée ? J'aime les ovnis littéraires.

Hum. Je suis confus de confusion.



Quelque chose à déclarer ? Alors allez faire un tour à Zoppot.
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La polygamie, pourquoi pas ?

Voilà un livre qui ouvre la voie à une réforme vraie de nos manières d’aimer souvent confondues avec la volonté de s'approprier l'autre ; une réflexion qui vise à un élargissement de l’amour, et conjugue le sens de la fidélité, de l’engagement et de la liberté. Fondé sur l’idée simple, mais toujours oubliée, que personne n’appartient à personne, mais qu’on est pourtant responsable à jamais de ce qu’on a apprivoisé, ce livre limpide est d’un surprenant romantisme, et procède d’une profonde tendresse.
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Variations de la pesanteur

Les nouvelles de Catherine Ternaux sont drôles, poétiques et tendres. On y trouve des adolescents farceurs ou esseulés, des rêves d'amour qui prennent chair, des coureurs à pieds qui conjuguent leurs efforts pour accélérer la terre... Et comme on tombe sous le charme, on se précipite vers tous les recueils publiés par l'auteur, et l'on retrouve des angoisses transfigurées, des solitudes apaisées, des rencontres improbables mais qui ont pourtant lieu, ou presque...Et dans le style, jamais rien qui pause ou qui pèse. On se désaltère à la source claire de cette imagination féconde.
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Respiration

Un excellent guide pour découvrir ou améliorer sa respiration et pour ainsi faire face à toutes les émotions du quotidien, le tout avec une écriture toute en légèreté et avec des dessins très ludiques.
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La polygamie, pourquoi pas ?

Les rapports sociaux, au crépuscule de cette année 2013, sont en plein changement. Les rapports sentimentaux et sexuels ne sont pas en reste. Depuis une soixantaine d'années plusieurs modèles se sont succèdes. Au réseau social limité et des rencontres qui l'étaient tout autant de nos grands parents campagnards s'est substitué la « révolution sexuelle » de nos parents où ces derniers pouvaient coïter joyeusement sans peur du sida ou d'une grossesse non désirée. Pourtant, aussi séduisant que soit ce dernier modèle, la réalité a rapidement rattrapé nos joyeux hippies et leurs belles unions se sont globalement terminées par des divorces à gogo et des gamins ballottés de famille recomposée en famille recomposée S'en suit aujourd'hui une certaine instabilité des relations sentimentales. Que faire ? Se choisir une seule et unique personne pour le restant de sa vie comme nos grands parents quitte à péter un câble aux alentours de la quarantaine ? Ou choper à tout va et multiplier les conquêtes même si c'est prendre le risque de terminer comme ses parents ? En somme la situation sentimentale des 18-35 ans est assez chaotique.



C'est en cela qu'il est toujours très intéressant de remettre en cause les paradigmes dominants et d'explorer d'autres voies, différentes alternatives et pratiques qui peuvent amener un vent de nouveauté et d'espoir dans nos sociétés décadentes. De ce point de vue le livre de Catherine Ternaux semblait passionnant. Face à l'hégémonie du modèle traditionnel du couple hétérosexuel et exclusif, prôner la polygamie et le partage de l'amour à 3, 4 ou plus si affinités me paraissait être une idée séduisante et pleine d'avenir. Hélas si le polyamour reste toujours une idée intéressante, il n'en est point question ici. Ou du moins dans un sens bien restreint.



Dès les trois premières pages de son essai, l'auteur pose directement les limites de sa pensée : non elle ne parlera pas de libertinage, non elle ne traitera pas de polyamour. Selon elle la polygamie ne peut s'épanouir que... dans le mariage ! Et c'est là à mon sens que le bas blesse. Si l'idée de la polygamie (ou de la polygynie) est une piste intéressante, la cantonner au seul mariage est une erreur. C'est pourtant ce que fait Catherine Ternaux ; En ne traitant la polygamie que du seul point de vue du mariage, elle se tire une balle dans le pied en limitant son propos et en n'explorant pas tous les possibilités laissées par la polygamie.



Il serait néanmoins malvenu de taxer le livre de malhonnête. L'auteur avoue très clairement et sans tourner autour du pot que son livre ne traitera que de la polygamie maritale. Soit, c'est un parti prit et il est respectable. Mais quel dommage que de limiter ainsi son propos ! Si la polygamie est LA solution pour résoudre les crises sentimentales, annihiler la jalousie et rendre les individus heureux et épanouis, un simple bout de papier n'est que superflu. Laisser les personnes s'aimer et copuler comme ils l'entendent en libérant les consciences serait bien plus judicieux que de les enfermer dans un cadre juridique contraignant n'est peut être pas la seule idée qui vaille. Un super pacs, une simple reconnaissance d'une situation de fait ou encore des cours et une sensibilisation des amours à plusieurs dans les écoles sont autant de pistes envisageable et respectables. Dès lors pourquoi cette limitation ? Dommage car on sent parfois que l'auteur est en manque sur certains arguments lorsqu'elle donne l'exemple de personnalités polyamoureuses ou libertines mais qui pour autant n'aspirent pas au mariage. En ne limitant pas son propos à la polygamie maritale, Catherine Ternaux aurait eu une plus grande liberté pour traiter de l'ensemble de son sujet.



Cette déception passée, intéressons-nous aux arguments développés au cours de ce court essai. Le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur est convaincue par son propos. Mais si le contraire aurait été étonnant, être convaincu ne suffit pas à convaincre les autres. A l'instar d'Ovidie et de la pornographie dans son « Porno Manifesto », Catherine Ternaux porte la polygamie aux nues. Un homme qui épouse plusieurs femmes ? C'est super. Une femme qui épouse plusieurs hommes ? C'est génial. Ceux qui n'ont pas compris cela sont des rétrogrades sexistes. D'accord. Et donc ? Dire « J'ai raison, ce que je fais est bien. Les autres ont tort » est un peu le degré zéro de la réflexion. Je caricature un brin le propos de l'auteur mais c'est l'impression que j'ai eu en lisant ce livre.



Le livre ne se veut pas une enquête sociologique de l'expérience polygame. Exit donc la rigueur scientifique. Peu importe car même un livre écrit par des amateurs peut être pertinent. Pourtant les exemples cités par Catherine Ternaux sont bien trop rares pour être pertinents. Quelques exemples historiques, quelques noms de personnalités, un ou deux inconnus pour faire plus proche des gens... et c'est tout. De plus sur une grande moitié du livre, l'argumentaire de l'auteur s'articulera autour des idées et positions des partisans des relations monogames. Choix sémantique mais qui n'apporte pas vraiment d'eau au moulin. On se doute bien que Ternaux ne sera pas d'accord avec eux et que leurs arguments lui feront horreur. Mais en lisant ce livre on s'attend à être convaincu, bousculé dans nos croyances et nos a priori. Pas à entendre à longueur de page que le camp d'en face n'ont rien compris.



Quand Catherine Ternaux se décide enfin à nous expliquer ce que la polygamie a à nous apporter, les arguments sont parfois un brin capillotractés. Ainsi l'auteur nous explique que le simple fait de se marier, de divorcer puis de se remarier ferait de nous des polygames en puissance. Polygames différés certes, mais polygame quand même. Fichtre. Donc si je suis la logique, le fait d'avoir des relations sexuelles avec plusieurs filles, mais à des moments différents, ferait de moi un libertin amateur d'orgies ? Un peu léger tout de même...



On sent donc un manque de rigueur criant dans ce livre qui semble avoir été écrit en un week-end par une personne déjà convaincue par ce qu'elle allait dire mais peu convaincante dans ce qu'elle explique. Pour autant il m'est difficile d'enterrer ce bouquin. D'une part comme je le disais car le propos est honnête. Malgré beaucoup de maladresses, on sent que l'auteur pense sincèrement que la polygamie maritale peut amener à réinventer les relations hommes-femmes et influencer positivement la société. D'autre part parce que les propositions alternatives quant à une sexualité et des relations sentimentales renouvelées sont suffisamment rares et originales pour qu'on ne les descende pas en flèche et, qu'au contraire, on les encourage.



Allez c'était bien tenté Catherine et ton idée n'est pas idiote. Tu peux mieux faire !

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Olla-Podrida

Les nouvelles de Catherine Ternaux sont drôles, poétiques et tendres. On y trouve des adolescents farceurs ou esseulés, des rêves d'amour qui prennent chair, des coureurs à pieds qui conjuguent leurs efforts pour accélérer la terre... Et comme on tombe sous le charme, on se précipite vers tous les recueils publiés par l'auteur, et l'on retrouve des angoisses transfigurées, des solitudes apaisées, des rencontres improbables mais qui ont pourtant lieu, ou presque...Et dans le style, jamais rien qui pause ou qui pèse. On se désaltère à la source claire de cette imagination féconde.
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Les coeurs fragiles

Les nouvelles de Catherine Ternaux sont drôles, poétiques et tendres. On y trouve des adolescents farceurs ou esseulés, des rêves d'amour qui prennent chair, des coureurs à pieds qui conjuguent leurs efforts pour accélérer la terre... Et comme on tombe sous le charme, on se précipite vers tous les recueils publiés par l'auteur, et l'on retrouve des angoisses transfigurées, des solitudes apaisées, des rencontres improbables mais qui ont pourtant lieu, ou presque...Et dans le style, jamais rien qui pause ou qui pèse. On se désaltère à la source claire de cette imagination féconde.
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Une délicate attention

Les nouvelles de Catherine Ternaux sont drôles, poétiques et tendres. On y trouve des adolescents farceurs ou esseulés, des rêves d'amour qui prennent chair, des coureurs à pieds qui conjuguent leurs efforts pour accélérer la terre... Et comme on tombe sous le charme, on se précipite vers tous les recueils publiés par l'auteur, et l'on retrouve des angoisses transfigurées, des solitudes apaisées, des rencontres improbables mais qui ont pourtant lieu, ou presque...Et dans le style, jamais rien qui pause ou qui pèse. On se désaltère à la source claire de cette imagination féconde.
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La polygamie, pourquoi pas ?

"Catherine Ternaux pourfend clichés, hypocrisies et manipulations pour nous donner un essai brillant et intelligent qui montre la force de la pensée, quand on lui donne le temps de se construire." (Librairie du Rivage - Royan)
Lien : http://www.librairie-du-riva..
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La polygamie, pourquoi pas ?

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La polygamie, pourquoi pas ?

Approche assez décomplexée, difficile à accepter, mais largement discutée dans un livre qui met sens dessus dessous nos assurances et nos certitudes.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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