Cavan Scott

Dans l’ombre de Dark Vador



Les Contes du Château est un recueil de nouvelles diverses et variées qui sont enchâssées dans un récit de plus grande envergure… Chacune d’elle fait intervenir des figures iconiques de l’univers foisonnant de Star Wars dans une ambiance inquiétante évoquant les Contes de la Cryptes, série bien connue des vieux abonnés de Canal+…



Sans être une œuvre majeure, cet album n’en reste pas moins passionnant pour les afficionados de l’univers né de l’imagination de Georges Lucas… d’autant qu’elle entraîne le lecteur sur la planète de Mustafar où s’est déroulé le mythique duel entre Obi-Wan Kenobi et son jeune padawan que la rage et les manœuvres machiavéliques de Palpatine avaient attiré vers le côté obscur…
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On pourrait croire à tort, à première vue, que ce titre ne dégage rien de particulier. Cependant, sans révolutionner la saga, il permet par sa fluidité de lecture et ses nombreux protagonistes originaux, de plonger au cœur de la forteresse de Dark Vador. Nul besoin d’être un incollable de l’univers de Star Wars pour se sentir aspiré par la trame concoctée par Cavan Scott.
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Je n’ai pas du tout accroché au concept de ce Comics.

Vaneé, serviteur de Dark Vador, a capturé un certain Thom Hudd, un rebelle et le torture sur la fameuse planète Mustafar.

L’occasion pour le premier de conter plusieurs histoires avec pour « héros », un vilain de la saga Star Wars : Dark Maul, Asajj Ventress, Jabba...

Je ne sais pas si c’est le style d’écriture, le dessin ou tout simplement les récits que je n’ai pas apprécié (probablement les trois en fait) mais je n’ai pas retrouvé ce qui me plaisait dans les autres Comics Star Wars. Un style, certes plus proche du Comics de Super-Héros américain mais pour moi, cela ne convient pas à Star Wars.

Ensuite, les histoires sont fades, sans grands intérêts (j’avoue je ne les ai pas lu jusqu’au bout pour certaines tant elles m’ont déplus), rien que la première avec Dark Maul donne le ton, insipide, de l’album...

• « 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐨𝐫 𝐖𝐡𝐨 : 𝐓𝐡𝐞 𝐍𝐢𝐧𝐭𝐡 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐨𝐫 𝐕𝐨𝐥𝐮𝐦𝐞 𝟏 - 𝐖𝐞𝐚𝐩𝐨𝐧𝐬 𝐨𝐟 𝐏𝐚𝐬𝐭 𝐃𝐞𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 » 𝐝𝐞 𝐂𝐚𝐯𝐚𝐧 𝐒𝐜𝐨𝐭𝐭, 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢é 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐓𝐢𝐭𝐚𝐧 𝐂𝐨𝐦𝐢𝐜𝐬.



• Ça-y-est, après une longue pause d'environ deux ans, me voilà de retours dans l'univers de Doctor Who. J'avais complétement laissé de côté les dernières saisons de la série télévisée qui avaient un grave problème d'écriture et ne correspondaient plus vraiment à mes attentes. Un ami m'en a reparlé récemment et j'ai eu envie de redonner une chance à cette série qui m'a tant suivie dans mon adolescence. Je suis totalement à jour du côté de la télévision, et passe donc au média comics pour voir ce que peut bien donner Doctor Who de ce côté.. Vous me suivez ?



[𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞]



• Je commence donc les comics avec le docteur interprété sous les traits de Christopher Eccleston, le visage du neuvième docteur qui a initié la résurrection de la série auprès du grand public. J'appréciais beaucoup son interprétation, trop courte à mes yeux, qui reste l'un des profils les plus saisissants de la série à mon sens. L'acteur se refuse à faire de nouvelles apparitions dans la série télévisée du fait de son passif houleux avec l'ancienne équipe de réalisation et de ses problèmes de santé datant de cette époque, et c'est donc uniquement en dehors du format télévisé que l'on peut encore le retrouver dans ce rôle.



• L'histoire est intéressante, même si elle n'est pas non plus des plus mémorables. Première saison oblige, on parle énormément de la Guerre du Temps, fil rouge principal des débuts de la nouvelle série de 2005. Une histoire qui aurait probablement été réalisée de façon différente à la télévision, les moyens techniques nécessaires à une telle retranscription étant de l'ordre de l'impossible pour le budget alloué à la série.. Et c'est peut-être ce qui me plaît le moins dans ce comics, le fait de savoir que jamais un tel épisode ne pourrait se voir intégrer à la série. La transposition de la personnalité du neuvième Docteur est très réussie, on retrouve parfaitement le personnage avec sa façon d'être, ses mimiques, ses réflexions.. C'est tout bonnement génial pour les fans ! Même chose du côté des compagnons du Docteur, Rose et Jack Harkness, qui sont eux aussi très bien amenée sur le papier.



• Au niveau de la chronologie, cette aventure se place entre les épisodes dix ( The Doctor Dances ) et onze (Boom Town) de la première saison de la série de 2005. Elle est également considérée comme "canon", c'est-à-dire faisant partie intégrante de l'univers Doctor Who, même si elle n'a pas un impact conséquent sur le reste de l'histoire du Docteur.



• L'approche graphique est au top ! Les personnages sont bluffants tant ils sont ressemblants aux acteurs les ayant interprétés. L'immersion est pour le coup totale. Les décors ne sont pas en reste, pas toujours des plus remarquables, mais largement suffisant à ce que l'on en attend. Les aliens sont crédibles, même si peu probables dans la série pour des raisons budgétaires évidentes.



[𝐋𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧]



• Un réel plaisir d'avoir pu retrouver mon trio adoré, dans des conditions respectant totalement leur personnalité et leur alchimie. J'espère que les suites sont tout aussi sympathiques.



ᒪE ᗪOᑕTEᑌᖇ ᗩᑌ᙭ GᖇᗩᑎᗪEᔕ OᖇEIᒪᒪEᔕ EᔕT TOᑌᒍOᑌᖇᔕ Eᑎ ᑭᒪᗩᑕE.

J'ai été un peu dubitative lorsque j'ai remarqué que le livre était écrit comme une pièce de théâtre (retranscription d'une lecture orale). Mais l'histoire apportée était vraiment intéressante pour en apprendre plus sur Dooku. Ce livre apporte les informations nécessaires pour mieux connaître son passé et comprendre ses décisions jusqu'à être le bras droit de Sidious.



Du fait du format, le livre se lit facilement, et possède tout de même quelques lignes de descriptions pour mieux s'imaginer les scènes.

Sur la planète Targian, la vie est rude.

Les humains, entassés dans de gigantesques cités-ruches, doivent quotidiennement se battre pour survivre.

Aux abords de l'une de ces cités regroupant plusieurs milliards d'humains, Zelia aide sa mère à déterrer des artefacts dans l'espoir de découvrir des technologies oubliées. Ce travail passionnant pourrait bien s'avérer plus dangereux qu'il n'y parait, surtout quand résonne la sirène de la cité-ruche annonçant une invasion xenos...



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Plutôt bonne surprise que ce premier roman jeunesse de la série 40K de Warhammer Adventures.

Même si l'on regrettera que la plume soit plutôt fade et l'écriture assez pauvre, le scénario, les personnages et le rythme compensent tout à fait. Vous ne lirez pas de la grande littérature mais une bonne petite aventure rondement menée.

Le Lore de 40k est très fidèle et assez bien dilué dans le récit (grâce notamment à un personnage qui n'est jamais sorti de sa ruche et a donc tout à apprendre, comme nous), le côté technologique est parfois peu crédible (construire une arme en 2 minutes ou "renforcer les radiateurs" d'une capsule d'évacuation...) mais rien qui ne soit choquant.

Les divers changement de point de vue sont très agréables à suivre (même quand on nous met dans la tête d'un méchant), et le suspense apporté par la fin de l'histoire nous pousse à aller découvrir la suite, bien volontiers (entre deux parties de Mechanicus ;) ).

Excellente surprise pour cette plongée dans l'espace morbide du 41ème millénaire. L'Attaque des Nécrons plaira tout autant aux lecteurs qui ne connaissent pas l'univers de Warhammer 40.000 qu'à ceux qui sont déjà aficionados. En effet, tout y est très bien expliqué et les codes sont respectés. L'histoire se tient et ne prend pas les jeunes lecteurs pour des imbéciles, et apporte un lot suffisant d'événements dramatiques pour qu'on se rappelle qu'il ne s'agit pas d'un jeu léger (Warhammer 40.000 est un jeu de figurines qui se place dans un univers de science-fiction obscur et terrifiant, où tout est dicté par des guerres sanglantes et sans fin). Les illustrations, bien qu'un peu trop rares à mon goût, complètent joliment le texte. En revanche, le bémol va directement à la qualité de l'édition : pagination à revoir, quelques erreurs et un texte qui n'est pas justifié.

Bloqués sur une planète glacée inconnue, nos héros ont réussi à éloigner la menace Necron. Mais leur abri de fortune est sur le point de perdre ses défenses soniques, faute d'énergie. La nature hostile ne sera malheureusement pas le seul problème qu'il vont devoir affronter...



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La suite des aventures de nos trois jeunes héros est riche en rebondissements et situations improbables. Mais le suspense est là, et on passe très rapidement d'une situation catastrophique à une autre pire encore.

La dernière partie, en mode "Alien", aurait pu être très bonne si elle n'était pas sous-exploitée (mais très bon pitch pour un scénario 40k).



Exit cette fois les informations sur le Lore de 40k, seul le compendium en fin d'ouvrage nous apporte des informations (parfois contredites par les illustrations...).



Une édition encore bourrée de coquilles vient baisser le plaisir de lecture.



Une lecture jeunesse sans prise de tête, on se laisse porter malgré les grosses ficelles.

La jeune autrice française au talent fou Elsa Charretier s’est intégrée avec beaucoup de facilité dans l’univers Star Wars et on en est très heureux et fiers pour elle.
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Encore une fois, une intrigue bien rythmée mettant en scène des héros au grand cœur comme de l'action donc à même de contenter comme il se doit un jeune lectorat.
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J'ai apprécié ce récit Star Wars qui a vraiment sa place dans cet univers et qui pourtant n'est rattaché à aucun personnage important précédemment cité.

Nous nous sommes tous posé la question : est ce que tous les padawans deviennent des jedis accomplis? Si ça n'est pas le cas, que deviennent-ils? Nous suivons donc les péripéties de Ty Yorrick, son combat contre les montres pour gagner de l'argent, mais aussi celui contre ses traumas, ces cicatrices qui font ce qu'elle est actuellement. J'attends vivement une suite avec une évolution du personnage !

Le tome 1 du comics Star Wars La Haute République est plutôt sympathique. Il s’adresse avant tout à ceux et celles qui ont lu le roman et veulent prolonger leur expérience. Les autres risquant de débarquer en plein milieu d’un univers déjà en place.
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Ario Anindito est un bon dessinateur. Son travail est efficace, classique mais sans surprise. C'est rythmé, nous trouvons de bonnes idées dans la mise en page. Les personnages parviennent à bien faire ressentir leurs émotions et parviennent à bien faire comprendre leurs expressions.
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Le récit se déroule à une époque de Star Wars encore non abordé par les films, et à ma connaissance peu dans les divers autres médiums (sauf les romans mais je dis ca de vagues souvenirs). Mais c'est une relecture contemporaine (les petites punchlines ridicules pendant les combats sont navrantes, les dialogues tout droit sortis de la bouche de hipsters etc.) de cette époque et finalement cela n'a aucun charme.

Le titre Star Wars : La Haute République tient bien ses promesses, les amateurs pouvant y retrouver les bonnes sensations qui ont pu les accompagner lors du visionnage des deux premières trilogies Star Wars. Cette nouvelle saga est une bonne surprise que je vous invite à suivre.
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La Haute République est un récit se déroulant plusieurs siècles avant la Menace Fantôme. La galaxie est sous le règne de la République et sous la protection des Jedi. Le flambeau stellaire est sur le point d'être inauguré aux confins de la bordure extérieure afin de projeter un signal à travers toute la galaxie dans le but de coordonner l'aide humanitaire pour des millions de personnes touchées par la grande catastrophe. Un signal qui va perturber les épreuves que la Padawan Keeva va devoir affronter pour être nommée chevalier Jedi. 



Ce premier tome de la haute République propose de suivre un duo inédit, le maître Jedi Skeer et sa Padawan. Au fil des pages, les deux personnages sont bien développés. On découvre de nombreux autres acteurs qui sauront, à coup sûr, étoffer l'univers de Star Wars. L'intrigue est intéressante et permet une alliance particulière qui fonctionne à merveille. Cette première partie scénarisée par Cavan Scott (Doctor Who, Assassin's Creed) est une réussite tout comme les dessins d'Ario Anindito.



… À suivre dans le tome 2.

Je viens de faire mes premiers pas dans une nouvelle ère Star Wars, bienvenue avec moi en "Haute république".



Ce volume reprend les 2 premiers épisodes de la série comics de cette nouvelle époque qui se situe en gros 2 siècles avant la bataille de Yavin et qui se décline déjà en roman, graphic novel, manga... C'est dire si c'est ambitieux.



Pour ma part, après la lecture ces dernières années de très nombreux volumes de la collection hachette Star Wars légende, je n'ai pas trouvé cette nouvelle époque aussi révolutionnaire que nous le disent les plans médias. Il y a bien du nouveau mais pour le moment la façon de faire m'est familière.



Du coup ça fonctionne plutôt bien alors je vais continuer en caressant l'espoir d'être surpris. Et peut-être même aller creuser du côté des romans.

L’univers de « Star Wars » accueille dans son canon une nouvelle chronologie, celle de la Haute République. Que vaut la première sortie dans ce lointain passé ?
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L'alliance improbable entre les Hutts et les Jedi a permis d'arrêter l'attaque des Drengir sur le Flambeau Stellaire. Malgré cela, les créatures végétales progressent de planète en planète. De son côté, Keeve Trennis est resté en compagnie de son ancien maître. Ce dernier est mal en point car il a été infecté volontairement pour lutter contre la menace. La jeune Jedi a une idée pour le sauver et dénicher où se cache la Grande Progénitrice ! 



Ce second volume est toujours scénarisé par Cavan Scott et dessiné par Ario Anindito ainsi que par Georges Jeanty. Malheureusement, le troisième ne laissera pas un souvenir impérissable en dessinant des personnages brouillons qui les rajeunissent un peu trop. Anindito, lui est toujours aussi bon. En effet, il rend les personnages plus matures. Quant au récit, il est vivement conseillé de lire les romans avant afin de bien tout comprendre. Cela n'était pas gênant dans le premier numéro mais dans cette suite, certains événements évoqués (l'absence de Kriss) sont difficilement compréhensibles sans les avoir lu au préalable. Le scénario avance vite dans cette seconde partie et ne permet aucune pause dans cette vaste bataille. Les liens entre maître et (ex) élève sont développés au cours d'un chapitre très intéressant. Par contre, la mission infiltration est plutôt pauvre, à croire qu'il n'y a presque personne sur le chemin des Jedi. Malgré cela, la fin de cette mission clôt l'album avec une envie de lire la suite car les héros sont dans une fâcheuse posture. 



En conclusion, ce second volume est mi-figue mi-raisin. L'alternance entre les deux dessinateurs n'aide pas. Quant au scénario, il est plutôt bon à condition d'avoir lu les romans de la Haute République. 

Le dessin d'Ario Anindito est bon. Certes, c'est du classique, sans grande originalité, mais cela reste fort efficace et parfait pour ce genre de saga. C'est en plus rythmé et dynamique. Les amateurs d'action seront forcément comblés.
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