Citations de Cecelia Ahern (525)
"Mais là où il y avait de la souffrance, se profilait la guérison. de la solitude on pouvait faire de nouvelles rencontres, et trouver un nouvel amour après avoir été rejeté. C'était un moment de la vie, et ces moments changeaient. Il faudrait qu'elle le traverse, pour passer au suivant."
"je l'aimais, vous savez, mais j'ai une théorie sur l'amour. Je crois que quellebque soit leur intensité, certaines amour ne sont pas fait pour durer toujours."
Être suicidaire ce n'est pas un sentiment. C'est un état. La tristesse et un sentiment, la solitude et un sentiment, la colère est un sentiment. La frustration est un sentiment. La jalousie est un sentiment. Être suicidaire, ce n'est pas un sentiment."
"je l'aimais, vous savez, mais j'ai une théorie sur l'amour. Je crois que quelle que soit leur intensité, certaines amours ne sont pas faites pour durer toujours."
"L'homme qui quelques instants plus tôt voulait se suicider se battait désormais pour vivre"
Il faut parfois une vie entière pour établir une amitié- il suffit parfois d une seconde pour se faire un ennemi.
Cette année, j'ai perdu les rênes de ma vie, et je me suis tournée vers le jardinage pour recouvrer un sentiment de maîtrise : je pensais que le jardin se plierait à ma volonté. Il m'a montré que non. On ne peut rien maîtriser. J'ai négligé mon jardin et j'ai permis aux limace de prendre le pouvoir. Et j'ai fait la même chose avec moi.
- Docteur J, cette femme a plus de hauts et de bas qu'une danseuse de pole danse.
C'est presque un cliché d'entendre les gens dirent qu'il faut " ralentir" mais c'est la vérité. J'ai ralenti et depuis que j'avance au pas, je vois beaucoup plus de choses.
C'est affreux de se sentir seul quand on est avec quelqu'un qu'on aime. C'est dur à dire et c'est insupportable à entendre.
Quand on met ensemble deux personnes qui ne parlent pas, la situation peut rapidement devenir explosive. Ou plutôt implosive, parce que la guerre fait rage à l'intérieur.
Je m'ennuie ferme. Je suis une femme d'action et je n'ai pas fait grand- chose depuis deux mois.
J'ai réalisé tout ce que je rêvais d'accomplir quand je bossais comme une dingue En un mois , c'était plié. (…) . J'ai pris un café avec mes amies, qui sont toutes mères en congé maternité ou en congé parental ou en congé je-ne-sais-pas-si-je-voudrai-reprendre-le-boulot-un-jour, à un horaire auquel je n'avais jamais bu de café en public auparavant. J'avais l'impression de faire l'école buissonnière, ce qui était merveilleux - les premières fois. Puis c'est devenu moins merveilleux et j'ai commencé à observer les employés, qui servaient les cafés, nettoyaient les tables et entassaient les paninis. Des travailleurs. Qui bossaient.
"... Aussitôt que vous arrêtez de mentir aux autres, ce qui sera plus difficile que vous ne le pensez d'ailleurs, vous commencerez à apprendre la vérité sur vous, ce qui sera également plus difficile que vous ne le pensez."
- Le grand avantage de mon métier, ce sont les gens avec qui je travaille. C'est le genre de personnes qui poussent et me motivent à aller toujours plus loin, non seulement dans mon domaine professionnel mais également dans la vie.
- OK.
Il a passé une main sur son front qui pelait.
- Ces gens avec qui vous travaillez sont les mêmes personnes que vous surnommez en privé : Graham "le Gland", Quentin "le Clignotant", Louise "la Fouineuse", Mary "la Souris", Steve "la Saucisse" et Edna "Face-de-thon".
J'ai gardé un visage serein. J'étais plutôt impressionnée par l'inventivité des surnoms.
- Oui.
Le monde est un livre et ceux qui ne voyagent pas n'en lisent qu'une seule page.
Blake est plein de vitalité, il est comme une drogue, tout le monde l'apprécie.
Je suis en colère non seulement parce que vous n'êtes pas heureuse mais également parce que vous ne savez pas ce que vous voulez. Je trouve ça.... triste. Pas étonnant que vous n'avanciez pas.
Quand on est enfant, on est persuadé de pouvoir faire tout ce dont on a envie, aller où l'on veut. Il n'y a aucune limite. On s'attend à ce que l'impossible se réalise, on croit à la magie. En grandissant on perd cette belle innocence. La réalité de l'existence se met en travers du chemin, et on réalise qu'on ne peut pas tout faire ni tout avoir, qu'il faut se contenter de moins. Pourquoi cessons-nous de croire en nous-même? Pourquoi laissons-nous le concret, les chiffres, tout ce qui n'est pas notre rêve, diriger nos vies? (…) Merci pour la foi que tu as en moi, Alex. J'aimerais t'embrasser, là, tout de suite. Mais peut-être que certaines choses restent à jamais inaccessibles.
Je t'ai aidé à m'aider, tu m'as aidé à t'aider et c'est comme ça que les choses doivent être sinon l'idée même de l'aide est caduque. J'ai toujours cru qu'être aidé revenait à perdre les commandes mais il faut laisser quelqu'un nous secourir, il faut le "vouloir" et alors seulement la transformation peut s'enclencher.
J'ignore si je serais la même femme sans toi, et tu crois peut-être que tu n'y es pour rien. La plupart des gens n'ont pas besoin de faire "quoi que ce soit" pour nous transformer, ils n'ont qu'être "là". J'ai réagi à ta présence. Tu m'as affectée. Tu m'as aidée. Tu as été un ami étrange, et une oreille compatissante et attentive.