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Citations de Cédric Sire (620)


Elle s'en voulait de mentir ainsi. Mais elle savait que parfois les mensonges étaient un moindre mal, pour arriver à faire u tout petit peu de bien, fût-il illusoire.
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Livre trop gore.. Pour moi... Trop violent.. Le rythme est bien fait... Le suspence génial.. Mais il faut avoir le coeur accroché dans la description des scènes de tortures
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- On devrait avoir peur de toi juste parce que t’es flic ? C’est ça ?
- Ce n’est pas ce que j’ai dit. Je...
- Encore heureux !
Elle s’approche de quelques pas, le pistolet dansant au bout de sa main.
- T’en sais beaucoup sur nos affaires ?
- Peut-être, dit Salva sans la quitter des yeux. Peut-être plus que tu crois.
- Dommage que tu puisses le dire à personne, alors...
Salva frémit. Cette crétine est l’incarnation de la nouvelle délinquance. Aucun cerveau. Aucune limite. Pas le moindre recul vis-à-vis de ses actes, encore moins de faculté d’envisager leurs conséquences.
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- Qu'est-ce qu'il y a de drôle ?
- Rien du tout, Naamah. Au contraire. Tu veux juste te servir de moi contre Manfrédo. Parce que c'est ce rôle que tu me proposes. Je ne suis pas naïf.
Hechter le fixe droit dans les yeux.
- L'homme que je connais ne s'est jamais arrêté à ce genre d'états d'âme. C'est le boulot pour lequel tu es né, Olivier. Je te parle de finir ce que tu as commencé. Tu enquêtes déjà de ton côté depuis lundi, je ne suis pas naïve moi non plus. Est-ce que je me trompe ?
Salva soutient son regard, avant de découvrir un rictus carnassier.
- L'homme que tu connais n'a pas changé, Naamah.
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L'ombre s'écarte de son méfait, se contorsionne avec une souplesse étonnante pour se couler dans la minuscule ouverture de la fenêtre.
Elle se fond déjà dans les haies du parc en contrebas quand retentit le hurlement horrifié de l'infirmière.
Ce n'est que le début des cris.
Que le tout début de son sillage de sang.
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Seules comptent les apparences. Elles sont tout ce à quoi on s’attache. Quand elles sont accablantes, elles deviennent des preuves.
Rassurantes et définitives.
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Une tuerie ce livre (sans mauvais jeu de mots).Ue fois qu’on commence,on ne peut plus s´arreter.
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Ce n'est que le début des cris.
Que le tout début de son sillage de sang.
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Au fil des années, Marie Drevoski s’est préparée à beaucoup de choses. Aux démons couverts de sang finissant par remonter des abysses du passé, peut-être. Aux conséquences de ses actes, lui revenant en pleine face, le jour du jugement.
Mais pas à l’appel affolé de Jessie Reveirol qu’elle reçoit à cet instant, alors qu’elle est en train de finir son thé, installée devant son ordinateur, sur sa terrasse ensoleillée.
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Pourtant…
Audrey peine à se l’avouer, elle joue les dures, mais sous la surface, au plus profond de ses tripes, elle a conscience du danger. Ce qu’ils s’apprêtent à faire est fou.
Braquer un bijoutier…
Elle ne dort pas. Ses pensées refusent de se calmer.
L’appréhension. L’excitation. Le doute, malgré tous ses efforts pour ne pas le nommer ainsi.
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Croire à une chose et la vivre, ce n’est pas pareil, souligne la jeune femme. On vit des choses auxquelles on ne croît pas.
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Le monde est déprimant.
Dévoré par la bêtise.
Tous ces gens attroupés, appâtés par la tragédie et la mort. Tous ces téléphones retransmettant les images d’horreur en direct sur Twitter. Une maladie des temps, sans retour.
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La trahison, dit-on, est la plus violente quand elle vient de ceux en qui on a toute confiance.
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Rien n’est jamais évident tant que ce n’est pas dit clairement, mon garçon.
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Nous avons tous nos faiblesses. Chacun d’entre nous trouve son apaisement à sa manière.
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Il avait de bonnes raisons de faire ce qu’il a fait. Mais tout le monde en a toujours. Les prisons sont pleines de types qui ont eu une bonne raison de faire ce qu’ils ont fait. Il n’est pas dupe, les excuses sont bonnes pour les hypocrites. Il avait besoin d’argent et il était trop bête pour trouver un moyen légal d’en obtenir. C’est tout. Sa situation est d’une banalité et d’une médiocrité affligeantes.
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- Si cette vie m’a appris quelque chose, c’est bien que les gens sont capables de l’impossible, quand ils sont suffisamment aux abois. Vous avez l’air aux abois, Olivier Salva. À vous de décider à quel point.
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« Ne te laisse pas emporter. »
Si facile à dire, ce genre de conseils abscons. Si difficile de rester debout quand le gouffre s’ouvre sous vos pieds.
Elle se sent vide. Elle « est » vide, emplie de cet abysse sans fond, oui, comme jamais dans sa vie. Plus qu’une simple coquille. « Morte à l’intérieur. »
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Après l'orage, après les cris et après les morts, il n'y aura jamais que le vide et les pleurs de ceux qui restent.
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Si cette vie m'a appris une chose, c'est bien que les gens sont capables de l'impossible, quand ils sont suffisamment aux abois. Vous avez l'air aux abois, Olivier Salva. A vous de décider à quel point.
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