Charlotte Roederer

La collection "Je rentre en CP" à laquelle appartient" Jules au musée" n'est pas à confondre avec la collection "Je suis en CP". La scénariste pour les deux titres est Magdalena mais le volume de texte est d'environ dix fois plus important dans "Je suis en CP" que dans "Je rentre au CP".



Avec "Jules au musée", on a une moyenne d'une douzaine de mots sur quatorze pages. En face des quatorze pages du récit du texte se trouve toujours une page pleine d'illustration. Notons que le musée a trouvé sa place dans une ancienne usine, ceci afin de mieux illustrer le son [y] (en phonétique internationale).



En effet cet ouvrage est particulièrement fourni en mots contenant ce son, en commençant par le prénom du héros. Les lettres finales sont mises en gris, alors que les lettres produisant un son se trouvent en noir. Dans les rabats de la couverture et au début de l'ouvrage, on a mis avec leur image quelques mots un peu difficiles à lire (comme "sculpture") ou représenté avec leur nom les héros. Cinq pages d'exercice quelque peu ludiques sont proposées pour vérifier tant la compréhension que pour consolider l'acquisition du son étudié. Une comptine est également offerte afin de faire relire certains mots du récit.

Dans la classe, c’est bien connu, les doudous doivent rester bien sages sur l’étagère où ils sont déposés le matin en attendant que leur enfant vienne les retrouver pour rentrer à la maison. Mais aujourd’hui, ils ont un peu de mal à tenir leur langue. En effet, Loupette, la petite poule rousse de Soledad, n’est pas là. C’est un lapin rose aux oreilles vertes que la fillette à laissé avec les doudous, et il a beau dire qu’il s’appelle Pimpin, ce que les autres veulent savoir c’est ce qu’il est advenu de Loupette… et ils ne sont pas à court de questions… ni d’ailleurs de commentaires…

Mon avis : Je connaissais déjà ce tandem auteur - illustratrice pour l’avoir savouré pour son album à quatre mains : « Le gros chagrin » qui explique comment le doudou éléphant Kiki va réussir à chasser la méchante créature, le chagrin, qui fait croire à Camille que sa maman l’a oubliée et ne l’aime plus parce qu’elle est à la maternité et qu’elle a eu un autre bébé. Je dois bien reconnaître que c’est à lui que va ma préférence même si « Le nouveau doudou » ne me laisse pas indifférente. Seuls les enfants n’ayant jamais eu de doudou ou, tout au plus, de peluche favorite, ne pourraient se sentir concernés par cette histoire. D’ailleurs, quel secours que ce récit pour les parents qui sont confrontés au problème du doudou absent le temps d’une lessive ou à toute l’horreur de la situation critique du doudou égaré ! Le texte est simple à comprendre par le public visé et rendu très vivant par les conversations et les échanges de points de vue entre les innombrables doudous. Il suggère l’idée que deux peluches chouchoutes, ce n’est pas forcément une de trop… Les illustrations, parfois sur page blanche, sont enfantines à souhait, très colorées et contrastées. Un album qui peut s’avérer très utile d’autant qu’il est probable que les petits lecteurs vont adorer l’idée que, quand ils ont le dos tourné et sont eux-mêmes occupés, leurs doudous ne s’ennuient pas forcément, que ce soit sur l’étagère de la classe, ou ailleurs…

Public : à partir de deux ans et demi – trois ans.

Si vous voulez vous rendre sur le blog de l’illustratrice, Charlotte Roederer, vous pouvez suivre cette adresse :

http://charlotteroederer.blogspot.fr/

Pour le moment, son site est en construction, mais vous pourrez prochainement le visiter à cette adresse :

http://www.charlotteroederer.com/

L’ouvrage est édité par Gallimard en 2020 ; cet éditeur offre là une fois de plus un livre sonore avec ici six animations musicales. L’une porte sur Sonate pour piano et violon "Printemps"

, une seconde autour de La Pastorale, une troisième a trait à La lettre à Élise, une quatrième évoque La Symphonie n°7 pour piano n°3, une cinquième revoie au Concerto pour piano n°3, et la dernière est en rapport avec La Symphonie n°5.



Une question d’observation est proposée pour chaque double-page. Le graphisme, comme les couleurs, sont d’un style bien en phase avec le goût des jeunes enfants.



Spécialement adapte aux tout-petits, cet ouvrage incitera ces derniers à viser les puces et donc par là à affiner tant leur discrimination visuelle que leur habileté motrice.

La collection "Je rentre en CP" à laquelle appartient aussi "Jules au musée" n'est pas à confondre avec la collection "Je suis en CP". La scénariste pour les deux titres est Magdalena mais le volume de texte est d'environ dix fois plus important dans "Je suis en CP" que dans "Je rentre au CP".

Avec " le ballon de Manon ", on a une moyenne d'une douzaine de mots sur quatorze pages. En face des quatorze pages du récit du texte se trouve toujours une page pleine d'illustration. Notons que l'héroïne trouve son ballon dans un carton, ceci afin de mieux illustrer le son [ɔ̃].



En effet cet ouvrage est particulièrement fourni en mots contenant ce son, en commençant par le prénom du héros. Les lettres finales sont mises en gris, alors que les lettres produisant un son se trouvent en noir. Dans les rabats de la couverture et au début de l'ouvrage, on a mis avec leur image quelques mots un peu difficiles à lire (comme "monstre") ou représenté avec leur nom les héros. Cinq pages d'exercice quelque peu ludiques sont proposées pour vérifier tant la compréhension que pour consolider l'acquisition du son étudié. Une comptine est également offerte afin de faire relire certains mots du récit.

Cet album jeunesse cartonné est composé de flip flap qui invitent l'enfant à fermer les yeux des animaux marins pour qu'ils aillent se coucher.



Le texte est simple et correspond bien au public visé. Il est accompagné d'illustrations colorées et attrayantes. Une lecture sympathique pour l'heure du coucher.

Soledad a oublié Loupette, son doudou chez sa grand-mère. Elle arrive donc à l'école avec un nouveau doudou. Mais les doudous parlent entre eux et s'interrogent...



Voici un album coloré, dynamique et intéressant avec la belle plume d'Hubert Ben Kemoun.



Un album qui traite évidemment des fidèles compagnons des enfants et qui montre à l'enfant qu'il peut en avoir plusieurs et les aimés tous autant.

Une belle histoire.

Un album au format intermédiaire préconisé à partir de 3 ans mais que l’on peut offrir bien avant, à mon avis, tant qu’on ne le laisse pas trop manipuler par les petites mains (c’est du papier). Il raconte la naissance, passant de l’univers à l’atome, du très grand au minuscule, et dépose sur chaque page des petites perles de poésie, très courtes, très entraînantes. C’est doux, c’est tendre, à la fois amusant et solennel, magnifiquement illustré par un dessin moderne et tout en contrastes, bref, c’est vraiment joli.

" Sango et la rivière" est un conte de prudence, presque voisin du "Chaperon rouge" mais le loup sera représenté autrement, par tous les dangers pouvant intervenir sur le chemin d'un enfant seul et dilligenté sur une mission de confiance (pain, courses etc...).

Pas de chaperon mais un petit singe, Sango, qui devra porter un panier de fruits à sa Tante Ticha.

Pour cela, le petit singe devra compter sur sa jugeote, son courage (parce que ce n'est pas facile lorsque cela ne se passe pas comme prévu sans les parents autour) et la bienveillance de gens (qui voudront bien le conseiller sinon bien sûr, pour les petits humains, on ne parle pas aux inconnus).

Comment traverser la rivière quand on est un petit Sango?

Comment font les autres animaux?



Ce conte est aussi un récit intéressant sur les points de vue: suivant la perspective de plusieurs personnages qui conseilleront Sango, la solution sera différente.

Chaque point de vue sera bon mais à juger suivant les spécificités de chaque animal qui parlera de traverser la rivière.

Sango devra choisir ou trouver la solution qui lui convient.



C'est un album utile pour expliquer la nuance entre l'égalité et l'équité par exemple avec les plus jeunes. Chaque animal sera égal à l'autre ( nous mettrons de côté les règles expéditives de la chaine alimentaire) mais il ne profitera pas des mêmes atouts, la nature est ainsi faite.

La traversée de la rivière sera facile pour la girafe et impossible pour le lézard. Chacun pourrait se débrouiller et ça serait la loi de la Jungle.

Pas dans une société.

Pour que chacun puisse profiter des mêmes avantages, si chacun est égal à l'autre, il faudra adapter le service aux spécificités, handicaps de chacun et que chacun y mette du sien.

Sango tentera de traverser la rivière sur les conseils de sa maman et trouvera sa façon de ne pas noyer son panier parce qu'il n'est pas assez grand.

Un conte qui fera grandir.

Avec ce livre animé, bébé va endormir les animaux de la ferme en fermant leurs yeux grâce à l'encoche à faire glisser avec son doigt. Un petit texte qui rime accompagne ce geste pour leur dire bonne nuit de différentes façons. Sur la dernière double-page, on retrouve tous les animaux endormis les uns contre les autres pour inviter bébé à en faire de même.

Je trouve que c'est une jolie manière d'accompagner l'arrivée du sommeil en lecture du soir et, de manière générale, de le rendre visuel pour bébé.

Les pages sont bien épaisses, bien robustes pour la manipulation des petites mains !

👶 Loulou a tout juste 6 mois, il n'arrive pas encore à placer son doigt pour animer les pages lui-même mais il regarde le mouvement des yeux quand je les actionne et semble surpris. Selon les pages, le simple fait de tenir le livre droit fait glisser le mécanisme tout seul.
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Le titre annonce la couleur... Louise va manger à la cantine mais elle ne veut pas. Elle se fait un film horrible de cette expérience. On y boit du jus de chaussettes et on mange de la peau de grenouilles...



Bien sûr, au final, l'expérience sera bien moins déplaisante. Louise trouvera même un plus petit qu'il faudra aider.



C'est bien vu, comme tous les ouvrages de la sérié. Cela évoque des situations vécues, traitées avec logique et bon sens. Le petit livret à destination des parents offre de multiples pistes, pour une sociabilisation des enfants. Mes loulous mangent sans problème aux "repas complets" de leur école, mais ils aiment cette histoire, car "eux" n'ont pas eu cette crainte et ils se sentent grandis en conséquence.

Une histoire tendre et rassurante, sur la perte d'un doudou, animée des mots doux de Hubert Ben Kemoun, et joliment illustrée par les pinceaux de Charlotte Roederer.
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Voici un album pour les tout-petits avec un graphisme rond, un personnage simple et des couleurs vives. De page en page, par de solides découpes, on entrevoit la prochaine étape du parcours de Tom entre les différentes découvertes de son jardin. La petite originalité de l'album vient de la représentation de l'histoire par pictogramme qui s'agrémente au fil des pages et permet à l'enfant de retracer le parcours du héros.

Le livre se finit par la comptine pomme de reinette et pomme d'api, donnant au lecteur l'envie de relire l'histoire sous ce nouveau prisme.
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Un album très doux qui dit avec peu de mots les instants avant la naissance de l'enfant quand il n'était encore qu'un petit cœur battant au chaud du ventre de sa mère. La fluidité du texte accompagne la narration d'image avec une belle complémentarité et surtout une certaine poésie devant ce petit cœur rouge au milieu du noir et du blanc.

A découvrir.
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Cet album est une sorte de poème illustré, mieux ! De chanson illustrée. Il est très facile de la fredonner en tournant les pages. C’est un hymne à la vie, un hymne à son enfant à naître face à l’immensité de notre galaxie. Un petit cœur qui bat, si petit, mais déjà tant attendu.
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Une histoire très amusante et agréable à lire : politesse, magie, un petit texte court.

Pendant toute la période où Émile est sous le coup de la magie de son père, de petites étoiles multicolores volettent autour de sa tête, ce qui à la fois égaie le livre et clarifie la situation pour les petits lecteurs.



Une collection pour lire à deux : l'adulte ou l'aîné lit le texte, et pour le débutant il y a les dialogues, en bleu et en gras. Une façon intéressante de débuter la lecture autonome.

Je comprends le but d'une telle collection, mais l'étiquette (quasi fluo !) CP niveau 1 me gêne.

D'abord, pas certaine qu'en fin de premier trimestre de CP, (c'est ce qui est prévu), tous les enfants soient prêts à lire des phrases pas toutes simples. Il me semblait que chaque enfant doit apprendre à son rythme, et je pense que ce genre d'indication met l'élève en situation d'échec, surtout si le parent insiste un peu.

Ensuite, ce roman pourrait être proposé à des enfants plus grands mais encore en difficulté de lecture, et là aussi, c'est un peu stigmatisant cette étiquette CP.

A l'inverse, un bon lecteur peut lire cette histoire à tout moment, car le texte lui-même est intéressant, mais la mention CP ne lui donnera pas très envie.

Bref, ce système de "cases" me gêne (à part pour satisfaire les tontons, marraines etc qui cherchent un cadeau !).



Je regrette aussi un peu, pour un livre destiné aux tout débutants, que les mots expliqués ne le soient pas sur la page concernée, même si le système de rabat est pratique.
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Décidément, j'aime beaucoup les histoires de doudous ! C'est l'un des objets le plus proche des enfants et certains albums abordent avec précision ce lien unique. Celui-ci en fait parti même s'il est plus original que ceux que j'ai pu découvrir jusqu'à aujourd'hui.





Un matin, Soledad arrive à l'école avec un nouveau doudou. Lorsqu'elle le met sur l'étagère spéciale doudous avec les autres, ces derniers se questionnent : Où est Loupette ? Soledad a dû la perdre et elle doit être triste ?

Le nouveau doudou, Pimpin, leur explique donc que Soledad n'a pas perdu Loupette mais seulement oublié ! Et qu'elle a ainsi plusieurs doudous... Ce qui fait peur à tous les doudous car ils n'aiment pas être partagés et aimerait tous être le préféré de chaque enfant.





Dans cet album, il est donc question de doudou égaré. Un sujet bien difficile à aborder avec son enfant quand cela le concerne, surtout pour lui faire comprendre que ce n'est pas très très grave... L'auteur aborde donc le thème du partage puisque Soledad a plusieurs doudous ! Elle en a un pour la nuit, un pour le bain, un pour les voyages... Mais il arrive qu'ils soient tous avec elle car elle les aime tous de la même façon ! Un très bon moyen de montrer à l'enfant que l'on peut avoir plusieurs doudous sans problème.

L'originalité est que la parole est donnée aux doudous. On a leur point de vue, leur opinion, tout ce qu'ils ressentent sur cette situation étrange pour eux... Cela peut également être intéressant pour l'enfant qui considère son doudou comme un ami particulier !





Ces derniers jours, j'ai pu constater à quel point cet album a de l'impact sur un enfant... Ma fille à dû changer de doudou il y a peu (question de sécurité...) alors qu'il était tout pour elle. Elle en a choisi un autre parce qu'on lui a expliqué pourquoi elle n'avait pas le choix mais la séparation restait tout de même difficile... Alors je lui lisais cet album chaque soir, pour lui montrer qu'elle peut en avoir plusieurs, qu'elle n'a pas à s'inquiéter pour l'autre... Petit à petit, elle considérait vraiment son nouveau doudou comme son doudou "actuel" et réclamait de moins en moins l'ancien, jusqu'à simplement s'y habituer !





Donc cet album est une belle petite perle pour ma part que je conseille vivement car un doudou égaré arrive de temps en temps et malgré les explications, les enfants ne veulent pas forcément se faire à l'idée qu'ils ne le reverront jamais... et cet album est un bon moyen d'appuyer les explications, avec douceur et naturel. Sans oublier les illustrations qui transmettent cette douceur et qui sont donc très agréables !
Lien : http://uneenviedelivres.blog..

Cet album aborde de manière fort originale les sentiments d’un enfant face au départ de sa mère pour la maternité, et donc à la future arrivée d’un bébé à la maison. Il ne leur est pas toujours facile de comprendre que le cœur des parents augmentent en fonction du nombre d’enfants, qu’ils n’ont pas à le partager. Le fait de parler de cette inquiétude du point de vue du doudou protecteur est une jolie façon de dédramatiser le propos.



Le texte est tout en délicatesse pour parler des sentiments, et en même temps tout en action avec Kiki ce super-doudou qui fait tout pour éloigner le méchant chagrin. Les illustrations de Charlotte Roederer sont tantôt rassurantes, tantôt angoissantes (quand le chagrin est présent) et traduisent à merveille l’image que l’on se fait des sentiments de la petite fille.



Ce duo publie un nouvel album pour avril Le nouveau doudou. J’attends avec impatience de le découvrir.
Lien : http://boumabib.fr/2013/03/2..

Comme l’indique le titre, cet album cartonné regroupe 17 des plus beaux morceaux de musique classique. De Mozart à Ravel, en passant par Saint-Saëns ou Tchaïkovski.







L’idée est originale et par forcément évidente. En effet, comment parler de musique, et plus encore de musique classique, à de jeunes enfants ? Car là est la cible de ce livre tout cartonné, grand format (d’ailleurs peut-être un peu lourd à manipuler) avec des illustrations doubles pages et très peu de texte. Tout est fait pour l’écoute et la contemplation.



Chaque double page est donc consacrée à un morceau indiqué dans un coin avec le nom et le portrait du compositeur. Pour en parler, les éditions Gallimard jeunesse ont décidé de s’adresser directement au lecteur avec des injonctions et des questions. Et plutôt que de partir dans des informations savantes, elles font appel aux sensations et à l’imagination des enfants.



Ainsi pour évoquer Casse-noisette de Tchaïkovski, l’enfant est invité à imaginer des fées voletant dans les airs. Pour la Symphonie pastorale de Beethoven, on a l’impression d’assister à l’éclosion du printemps et pour Carmen Acte I de Bizet, c’est une armée de petits soldats en marche.



Les illustrations ont été réalisées par 4 illustratrices différentes, et cela m’a un peu désarçonné au départ. Finalement, cela se marie bien avec la diversité des interprétations, chacune ayant une sensibilité qui lui est propre et qui ressort plus facilement en fonction de la thématique de la musique. Mon coup de cœur est allé vers le travail de Cécile Gambini que je suis depuis longtemps mais j’ai découvert avec plaisir Anouk Ricard, Elisa Géhin et Charlotte Roederer.
Lien : http://boumabib.fr/2013/03/1..

je suis bien déçue de ce livre.

il fonctionne par glissement dû doigts qui fait fermer les yeux aux animaux. le glissement est hyper facile et toujours dans le sens du bas ce qui fait que les yeux sont toujours fermés et dès que la petite bouge le livre ça change de position tout seul.

L'avis de Louisa (9 ans) et de Claudia



Étonnant album !



Un petit livre qui attire l’œil... Sa couverture noire et son titre "tout mignon" accompagné d'un petit cœur donne envie de l'ouvrir et de le savourer...



Comme un trésor, cet album très poétique et tendre nous emmène dans un monde merveilleux : la conception d'un petit être et son évolution dans le ventre de sa maman.



Des parents qui l'attendent déjà avec beaucoup d'amour.

Voir ce petit bébé heureux et sa maman épanouie est un vrai plaisir à regarder et nous remplit de bonheur en les voyant au fil des pages.



Un sujet universel qui touchera les petits lecteurs comme les parents.

Une bonne idée pour préparer la venue d'un petit frère ou d'une petite sœur ou tout simplement pour revivre avec son enfant, sa venue au monde.



Les illustrations sont délicates et douces et à la fois moderne.

Seulement trois couleurs sont présentes et cela permet de donner un coté épuré et chic.



Nous avons beaucoup aimé.



Très beau...




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