Tout d'abord, j'aimerais remercier Babelio et les éditions de la Martinière Jeunesse pour cette découverte grâce à Masse Critique.
Concernant ce que j'en ai pensé....
Soit je serai celle qui va faire un peu descendre l'enthousiasme. Ma fois tant pis je me lance :
Tout d'abord les points forts bien sûr :
J'ai vraiment beaucoup aimé les illustrations de ce livre. En effet, elles fourmillent de détails qui ne pourront que ravirent les plus petits surtout avec toutes ces belles couleurs. Les fées sont admirablement dessinées et j'ai eu un gros coup de coeur pour la dame du Lac.
Ensuite, le format du livre (format BD) est vraiment bien choisi. Cela permet de prendre un enfant sur ces genoux et de découvrir avec lui les illustrations et les histoires.
Venons-en d'ailleurs aux histoires... et c'est là que je suis redescendue dans mon enthousiasme en fait... certaines histoires sont assez bien écrites comme "Dame Holle" ou justement "La dame du Lac" et d'autres malheureusement tiennent plutôt du résumé de la légende et manque singulièrement de ce que fait la magie des contes de fées... il suffit de peu pour transformer un récit, un petit "Il était une fois" au début du récit... aurait pu mettre directement dans l'ambiance. J'ai été très déçue donc d'une bonne partie des histoires de ces fées que je ne connaissait pas forcément et personnellement je ne lirait pas à un tout petit enfant certaines des histoires qui peuvent paraître un peu violentes pour un public-cible aussi jeune.
A noter que le choix d'écrire l'histoire sur deux pages pour laisser plus de place aux illustrations doit sûrement peser dans la balance Mais je pense qu'une petite page (voir deux) de plus pour chaque histoire aurait été un bénéfice.
Je reste donc sur ma faim mais je ne manquerai pas tout de même de donner ce livre à une des petites filles de ma famille comme je l'avais prévu.
Merci encore à Babelio pour cette opération Masse Critique :) J'espère avoir un coup de coeur la prochaine fois.
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Voilà un livre parfait pour avoir plusieurs histoires du soir pour son enfant. Les contes sont courts, à peine deux pages chacun, mais assez dense pour faire briller les yeux des plus jeunes j'en suis certaine.
Si certaines histoire son bien connu du public, comme la fée Mélusine, ou la Fée Viviane, ce livre nous offre aussi la chance de découvrir des Fée plus exotiques, avec des contes slaves, russes, hongrois ou vietnamien bien moins connu dans nos contrées.
Les dessins sont très bien implantés dans la trame des pages, avec un style très plein mais aux couleurs tendres et reposantes.
En fait, c'est un livre très sympathique d'une qualité correcte qui mérite qu'on s'y attarde un peu.
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Ayant déjà beaucoup de livres de contes, pour enfant et plus grands, je me demandais avec curiosité ce que celui-ci pourrait apporter de neuf dans le genre. En fait, je n'ai pas été déçue, car même si cet ouvrage s'adresse au petits, par des formules simples, les textes sont de bonne qualité, peu connus et extrêmement bien illustrés. C'est un vrai moment de plaisir à partager avec de jeunes enfants.
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"La dictature des mots était née et c'était devenu invivable, insupportable, intolérable" au royaume du roi Pompeux 1°.
Que faire lorsque les mots se révoltent et s'envolent, laissant les habitants sans mots? Seule, la jolie princesse muette au sourire d'ange saura de pêche en bouteille, de musique en voyage, récupérer les fugitifs et jardiner l'amour avec le jardinier de son coeur.
La révolte des mots est un livre pour enfants original, très poétique. Le conte de Christine Pompei est agréable à lire. Imaginative, elle invente "le couvre-mot", "la dictature des mots" et parle de mots,de phrases,de langage et de vocabulaire pour des petits qui en sont au stade apprentissage de la lecture et de l'écriture. Ce qui est fort bien. De plus sous le couvert de l'humour elle parle de dictature et de révolte, des notions importantes à un âge où l'on commence à vivre en société.
Les illustrations, aux couleurs douces d'Izou (quel dommage que son nom ne figure pas sur ce site) en parfaite adéquation avec les mots de Christine Pompei, sont merveilleuses.Quel talent! Son monde onirique est très riche, un peu surréaliste, ses personnages un peu ronds, les visages expressifs. J'ai adoré "le fleuve de mots" qui coule, la fillette qui récite juchée sur des livres, le bateau sur la vague barque, les maisons champignons... bref j'ai adoré!
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J'adore les contes mais j'en lis rarement, alors j'ai profité de la dernière masse critique pour sélectionner celui-là... et je ne suis pas déçue !
Le livre est un grand format, ce qui est souvent le cas pour des contes. Les couleurs sont chaleureuses et attirent tout de suite l’œil. Il ne reste qu'une chose à faire : ouvrir le livre et le lire !
Les dessins sont très beaux, il y a une belle alternance de couleurs pour les changements de saisons même si la couleur "soleil" et prédominante. Le conte est rempli de poésie qui ne sont pas lourdes. C'est d'ailleurs en lisant ce conte à haute voix que j'en ai fait la remarque, grâce aux sonorités plus qu'à l'écriture.
A lire sans hésitation ! Ce conte vous transportera loin des tracas et de la morosité de l'hiver ambiant du moment...
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Un album lu car je vais rencontrer l'auteure dans le cadre de mon travail.
Je ne connaissais pas ce titre.
De courtes histoires sur les fées. Le développement très court sur 1-2 pages de multiples fées est un peu léger pour moi, mais pourrait très bien convenir à de courtes lectures du soir pour des enfants.
De belles grandes illustrations accompagnent le texte.
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: Que peuvent avoir en commun les métiers de Footballeurs, Pompiers et Policiers? Et bien nous voyons ici et là, le sens du devoir, parfois même au péril de sa vie en sauvant des vies. Nous ne parlerons donc pas de la fonction de footballeurs, bien plus artistique mais qui cependant fera autant rêver les enfants avides d'action.
Tout le monde n'aura pas le don pour devenir un bon footballeur, c'est un peu comme espérer être un bon peintre ou un incroyable chanteur.
Les fonctions de pompier et de policier offriront un peu plus de sélection ouverte, avec beaucoup de don de soi, c'est une fonction liée à la sécurité, dangereuse, elles s'accompagneront souvent, lorsque la vraie flamme du métier est encore vivace, de fières valeurs. Toutefois, il pourra aussi y avoir de mauvais policiers et de piètres pompiers.
Que nous dit l'album" Le monde des Footballeurs, Pompiers et Policiers"?
Ce sont en définitive trois histoires de gamins qui mettront en évidence l'admiration du jeune public pour chacune de ces professions.
Dans la première histoire, le célèbre footballeur Sandro Ginestra, pressenti pour intégrer une nouvelle équipe, affrontera une équipe de gamins d'un club sportif.
Le personnage de Victor, enthousiaste mais très maladroit, tentera d'impressionner sa star préféré mais il ne semblera pas détenir le don. Sandro lui communiquera un bon conseil.
Ça sera après au tour d'Edgar, hélas un peu froussard, de s'afficher la honte en classe en déclarant vouloir devenir Pompier plus tard. Il aura lui aussi l'occasion de croiser une belle incarnation de son rêve avec un pompier qui vendra des calendriers.
Les questions vont fuser.
La troisième histoire concernera un chien. Et oui, un chien de policier, forcé à la retraite après avoir reçu une balle dans la jambe durant l'exercice de ses fonctions, comme l'on dit.
Codi est un héros, pas vrai, jeunes lecteurs?
Son maître et co-équipier Gaspard tentera de le consoler, sachant bien hélas qu'on lui assignera bientôt un nouveau chien pour son métier.
Les trois histoires s'accompagneront d'une fiche aux informations synthétiques pour en savoir plus sur ces trois rêves de gosses, qui pourront peut-être plus tard devenir réalité.
Ce recueil d'action amené par l'auteure Christine Pompier... non, pardon, Pompéï et l'illustrateur Jérôme Policier...flûte!...Pélissier, est finalement une bonne idée, nourrissant à la fois l'envie de lire et galvanisant également l'imagination. Gage que cela va jouer juste après.
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C'est en écoutant la radio pendant le premier confinement (mars 2020) que j'ai découvert ces histoires. Elles abordent des thèmes de société en relation avec l'enfance. Le sommaire répertorie les diverses problématiques abordées comme ça il est facile de s'y retrouver.
Cet ouvrage est issu d'une collaboration entre femmes :
Christine Pompéï pour les textes.
Camilla Garofano, Giulia Lombardo et Giulia Quagli pour les illustrations.
Anouck Merz qui a prêté sa voix à la fée Millie D.
Véronique Marti et Laurence Difélix qui ont porté le projet "Brouhaha" à bout de bras durant la période où les enfants n'allaient pas à l'école.
Cette émission fut certainement un rayon de lumière pour les familles et a contribué à ce que les enfants gardent un pied (ou même les deux) dans la lecture.
Et enfin, grâce à des QR-codes, les lecteurs peuvent retrouver les versions "radio" de ces 12 histoires.
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Un petit chat blessé par une automobiliste trop pressée servira de prétexte à toute une famille pour partir à la découverte de la ville de Berne. Ecrite à la manière d’une intrigue policière, l’histoire nous fera participer à la foire de l’oignon et découvrir les différents points touristiques de la ville. Les enfants ont apprécié. G
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C'est une super histoire qui ce passe près de chez nous. Ma fille a adoré!
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Conte amusant à la fois pour l'adulte et l'enfant puisque le sujet est "les mots". J'ai vraiment été séduite par le côté humoristique et parodique de cet album.
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Le 2ème texte de cette collection de Christine Pompéï après "L'énigme de la cathédrale de Lausanne".
Une série qui apprend des éléments sur les traditions suisses de certaines villes. Pour Lausanne sa cathédrale et son guet, pour Genève, sa fête de l'Escalade et les fameuses marmites...
Ecrit sous forme d'enquête, l'histoire n'est pas alourdie par le côté éducatif et historique. Les personnages sont haut en couleur et sympathique.
J'ai bien apprécié
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Un album grand format très beau avec de magnifiques illustrations, et une mise en page de qualité.
Pour ce qui est du conte en lui-même, ça reste assez traditionnel, et sans grande surprise, mais ça se laisse lire (et regarder) sans prise de tête, et on appréciera la qualité stylistique en plus de la beauté des dessins.
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