AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Christophe Delbrouck (17)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Fleetwood Mac



Un essai passionnant sur le mythique groupe Fleetwood mac qui ma marqué l'histoire musicale des années notamment à l'album Rumours.Une biographie qui a le bon goût d'aborder toute l'histoire du groupe sous le parcours des forces vives qui l'a traversé.

A la lecture de la file des évènements qui sont tombé sur la tronche de Mick Fleetwood et ses comparses, on se dit que cela donnerait un biopic assez captivant à suivre sur grand écran .

Christophe Delbrouck, spécialiste du jazz et du rock réussit à insuffler la part de subjectivité dans un récit très documenté.
Lien : http://www.baz-art.org/2024/..
Commenter  J’apprécie          230
Frank Zappa et les mères de l'invention

La musique de Frank Zappa n'est pas des plus accessibles. Elle est toujours à la frontière de plusieurs courants et semble ne jamais vouloir se décider pour une style particulier. C'est ce qui fait justement qu'elle créée son propre univers. On navigue du classique, surtout contemporain, au rock, au jazz, à l'opéra, le tout mêlé de rythme chicanos ... C'est un feu d'artifice.

Humainement, son hyper exigence n'en faisait pas un personnage facile et un grand nombre de musiciens l'ont quitté en claquant la porte et en tenant des propos assez acerbes à son égard.

Il a dans le même temps su emmener avec lui d'autres musiciens qui n'étaient pas tous des surdoués et laissé une grande part à l'improvisation.

Frank Zappa est un cas unique dans le monde musical. Tout n'est pas réussi (je n'ai jamais pu dépasser le 1/4 d'heure du film 200 motels et pourtant je suis un inconditionnel). Mais l'ensemble est quand même énorme.

Mon album préféré : Grand Wazoo.

Rare sont ceux qui on tenté de l'imiter et le résultat n'est souvent pas génial. J'excepte Raoul Petite, un groupe de Apt Vaucluse (cocorico) malheureusement trop peu connu.

Je crois qu'on adore ou qu'on déteste Zappa.

Pour ceux qui, comme moi, adore, je recommande cet ouvrage extrêmement bien documenté.
Commenter  J’apprécie          203
Frank Zappa & l'Amérique parfaite

"Frank Zappa et l'Amérique parfaite" vient compléter et clore la biographie en trois tomes due à Christophe Delbrouck. Ce dernier opus retrace la grande résurrection des années 1980 avant le déclin face à une industrie musicale réfractaire aux incartades de cet artiste génial.



La monumentale biographie de Frank Zappa se referme sur la grande résurrection des années 1980. Avant l’inévitable déclin face aux pièges tendus par les forces conservatrices et une industrie musicale réfractaire aux incartades atypiques du célèbre moustachu.



Lassé de cette lutte incessante, Frank Zappa entame une action politique sans précédent aux États-Unis, celle d’un citoyen en colère. Cette bataille démesurée le mène devant le Sénat, puis au bord de l’élection présidentielle-livre o combien d'actualité donc-.

Tout le parcours de ce turbulent compositeur de génie qu'était Frank Zappa nous est ainsi expliqué minutieusement par l'auteur. Voila donc un excellent troisième volet d'une oeuvre de référence pointue et archi complète, à recommander aussi bien inconditionnels de Zappa qu'à ceux qui ne connaissent rien sur cette artiste emblématique de l'amérique des années 70/80.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          172
Soul Music, tome 2 : 1970-1984

L'enseignant en musicologie Christophe Delbrouck s'était lancé l'an dernier dans l’aventure d’une histoire de la soul en deux volumes publiée en format “beau livre” illustré.



Après un premier volume qui retracait les années 50 et 60, ce tour d'horizon de la musique afro-américaine se poursuit avec Soul Music Acte 2 qui s'ouvre en 1970 et se referme en 1990.Organisé chronologiquement, il met en lumière l'âge d'or du funk et de la disco, jusqu'à l'avènement du rap, à travers l'histoire et la carrière de ses représentants les plus célèbres (James Brown, Earth Wind & Fire, Marvin Gaye, Kool & The Gang, Diana Ross, les Jackson Five...)



A travers cette histoire de la musique noire, Christophe Delbrouck, enseignant donc, mais aussi écrivain, musicien journaliste spécialisé, propose aussi une histoire des combats que tous ont eu à mener pour l'expression de leur liberté. On a aimé :

la richesse iconographique de l'ouvrage (photos, pochettes de disque)

les nombres citations d'artistes

les liens tissés dans les textes entre la musique et l'évolution de la société

les explication données sur des chansons mythiques et l'accueil qu'elles ont reçu ( Saviez vous par exemple que What's Going on de Marvin Gaye était une "protest song" face à la guerre d'une portée pacifiste totale ? )

Un beau livre que vous donnera à coup sûr envie de réécouter tous les standards de la soul music !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          70
Steely Dan

Vous aimez le rock? Vous connaissez Steely Dan? On peut aimer le rock et ignorer ou détester Steely Dan. Parce que ce groupe, en pleine explosion punk, impose une qualité de composition, d'instrumentation et de production hors norme. A proprement parler anormale. Et puis, Steely Dan, ce n'est pas du rock, c'est du jazz. Ah bon? Et Zappa, qu'est-ce que c'est? On pourrait gloser ainsi à l'infini. Moi, en tout cas, j'adore Steely Dan.
Commenter  J’apprécie          30
Crosby, Stills, Nash & Young

Dans ce généreux "Crosby Stllls Nash & Young" publié en 2009 chez le Castor Astral, Christophe Delbrouck s'attelle à l'histoire de quatre bonshommes qui ensemble, individuellement ou avec d'autres groupes (Byrds, Hollies, Buffalo Springfield) ont marqué l'histoire de la musique depuis le milieu des années 60.



Le récit est entrecoupé par de nombreux témoignages des quatre bien sûr mais aussi de l'entourage du groupe, musiciens, managers, famille, etc, glanés dans des interviews et insérés dans le texte de Ch. Delbrouck.

Les drogues et l'alcool sont consommés dans des proportions ahurissantes, l'argent coule à flots et permet de très nombreux excès. Les egos sont au-delà des communes mesures et les rapports humains sont complexes, les plus durs à vivre semblent être Crosby, totalement immature, et l'irascible Stills, Nash paraît plus stable et Young passe pour le solitaire de la bande. Une certaine folie, pas toujours bien saine, est souvent de la partie, l'instabilité est permanente, et les décès jalonnent le texte.

Mais heureusement le livre ne tourne pas autour de ça. C'est surtout de la musique, beaucoup de musique, de la composition aux séances d'enregistrements et aux concerts.

Les albums de Crosby avec les Byrds, de Nash au sein des Hollies, de Buffalo Springfield avec Stills et Young, puis de leurs disques à trois (CSN), à quatre (CSNY) ou encore à deux (C/N ou S/Y), et bien sûr les différents projets en solo sont traités avec plus ou moins de détails sans que ce soit trop technique.

Neil Young est un peu le perdant de ce livre, sa discographie n'est pas traitée comme les trois autres le sont. Ça peut se comprendre, car à lui seul il a sorti plus de disques que les trois autres réunis. Le livre en aurait été déséquilibré.



Ce "Crosby Stills Nash &Young" est aussi une très bonne histoire des groupes rock, psychédéliques, folk de Californie, Byrds bien sûr, Jefferson Airplane, Grateful Dead, Joni Mitchell, Jackson Browne, d'autres encore, sont très présents.

Le livre s'arrête sur la dernière tournée en 2006, le "Freedom of speech tour" à l'occasion d'un des nombreux engagements politiques des quatre membres du groupe.
Commenter  J’apprécie          30
Frank Zappa et les mères de l'invention

Zappa reste une énigme, même après cette très bonne bio qui relate l'enfance du maître et sa période avec les Mothers of Invention, de 65 à 72, la plus débridée, la plus créative d'une carrière pourtant longue et prolifique. Tout ça fourmille d'anecdotes et de citations, nous renseigne beaucoup sur les faits et pas mal sur le bonhomme. L'auteur nous parle du contexte historique, des concerts foutraques comme des albums azimutés avec une plume qui s'élève au-dessus du trivial à plus d'un moment, mais demeure un mystère Zappa non soluble dans un pavé de 400 pages. Comme les disques ne m'éclairent pas non plus complètement sur l'énigme, ma quête se poursuit...
Commenter  J’apprécie          30
Weather Report

Weather Report fait partie de ces groupes mythiques qui ont donné à la fusion jazz ses lettres de noblesse. Si l’hybridation entre le jazz acoustique et le rock électrique n’a pas toujours été une réussite, le groupe de Wayne Shorter et de Josef Zawinul est toujours resté dans les limites du bon goût, et reste indémodable, à la différence de certains de ses contemporains. Dans cette réédition de son ouvrage de 2007, Christophe Delbrouck, auteur de nombreux livres sur la musique et spécialiste notamment de Franck Zappa, retrace le parcours de ces musiciens d’exception dont le titre « Birdland », classique intemporel du jazz, n’est que la partie émergée d’un iceberg essentiellement composé d’innovation.



Le premier quart de l’ouvrage est consacré aux parcours individuels de Zawinul et de Shorter, à leur participation au collectif de Miles Davies et à leurs contributions aux chefs-d’œuvre de jazz électrique du trompettiste que sont In A Silent Way et Bitches Brew. Puis vient le temps de l’émancipation et de la naissance de Weather Report. Le groupe va connaître sa propre gloire avec notamment l’arrivée sur Black Market du jeune prodige de la basse Jaco Pastorius, qui va contribuer en 1977 à l’apogée artistique et commerciale que constitue Heavy Weather. La troisième partie du livre retrace les années qui suivent cet immense succès, et un court épilogue sur l’après Weather Report clôt ce pavé de près de cinq cents pages.



Très documenté, donnant régulièrement la parole aux artistes eux-mêmes, le livre de Christophe Delbrouck, malgré sa densité, se rend accessible à tout amateur de jazz , musicien ou non, les considérations musicologiques ou les aspects techniques étant réduits à la portion congrue. L’admiration que l’auteur porte au groupe, et à Zawinul en particulier, transpire par moments, sans que cela nuise toutefois à l’objectivité du propos. Saluons encore une fois Le Mot et le Reste pour les nombreux ouvrages de référence de son catalogue, et en particulier pour cette réédition qui était plus que nécessaire !


Lien : https://www.chromatique.net/..
Commenter  J’apprécie          20
The Who

Les deux premières places pour les Beatles et les Stones, la médaille de bronze... De l'avis général, se disputent le podium, les Who, Led Zeppelin, les Kinks (pour moi, ce sont les meilleurs...) et rajoutez qui vous voulez.



Je ne connaissez pas bien l'histoire ni la discographie des Who, maintenant grâce à C.Delbrouk, j'ai comblé mes lacunes. Ce qu'il y a de formidable à notre époque c'est que les commentaires écrits sur tel concert peuvent s'apprécier sur you tube et que le détail des albums s'écoutent facilement en streaming.

Superbe carrière, pleine de fougue et d'intensité, retracée avec talent dans ce livre.
Commenter  J’apprécie          20
Crosby, Stills, Nash & Young

500 pages de pur bonheur.

Une plongée dans le monde de musiciens de talent sur quatre décennies.

Commenter  J’apprécie          20
Carlos Santana. La danse des solstices

Je relis souvent ce livre. Une biographie du groupe de Carlos Santana de la fin des années 60 jusqu'à la fin des années 90. Les illustrations sont magnifiques, il y a véritablement le désir d'avoir créé un bel objet sans que le contenu en pâtisse (ce qui est assez rare). Les plus grandes qualités de Carlos Santana ? Comme Miles Davis, il a rapidement compris ce que les autres musiciens et les invités de session pouvaient apporter à sa musique. Malheureusement , et ça ce voit au fur et à mesure des pochettes d'albums, on décidera de mettre sa personne (et son ego ?) de plus en plus en avant. Carlos Santana peut paraître également aussi bête que ses pieds à travers les citations oiseuses de son guru qu'il a un moment répété en boucle. Mais derrière cette naïveté religieuse, qui en a agacé plus d'un, se cache un grande sincérité et j'imagine une grande générosité. Je reviens souvent à cette superbe biographie pour relire des détails qui m'avaient échappé. Et vous n'allez pas me croire, même si l'auteur Christophe Delbrouck qualifie les albums de "Inner secret" (1978) et de "Marathon" (1979) comme des naufrages musicaux, il m'arrive, à l'occasion de les sortir du lot pour les écouter longuement. Allez comprendre...
Commenter  J’apprécie          116
Les extravagantes aventures de Frank Zappa ..

Zappa jouait-il du jazz ? Sujet polémique traité de nombreuses fois. Toutefois la parution récente de l'ouvrage de Christophe Delbrouck au Castor Astral Les extravagantes Aventures de Frank Zappa, Tome 2 incite à replonger dans l'œuvre du grand Frank. Il suffirait de lister ici tous les musiciens qui sont passés au sein des Mothers of Invention, puis des Mothers tout court pour s'en persuader. George Duke, les Becker Brothers, Tom et Bruce Fowler, Chester Thompson pour n'en citer que quelques-uns. À parcourir les quelques 400 pages du livre de Delbrouck qui retrace la période allant de l'incendie Smoke On The Water de Montreux (déjà un lieu jazz) en 1971 à la sortie de l'album Sleep Dirt, en février 1979, on ne peut que s'en persuader. L'attaque qu'il subit au Rainbow Theatre de Londres en décembre 1971 (un illuminé jaloux, le tabasse et le jette dans la fosse d'orchestre, une jambe et un poignet brisés), tout son matos a brûlé sur les bords du lac Léman quelques jours auparavant vont lui laisser du temps pour composer, écrire de nouveaux arrangements et à faire passer son groupe de rock progressif (?) à un big band de jazz (à part !).



Il aime écrire pour de grandes formations, la transition se fera par là, pour certains exégètes zappaiens. d'autres diront que dès Uncle Meat en 1969, les prémisses étaient là. Quant à Hot Rats, quelques mois plus tard, première collaboration avec le violoniste Jean Luc Ponty, il signe les bases d'un jazz fusion en devenir ; quelque temps avant le Bitches Brew de Miles Davis.



Mais revenons dans les 70', Zappa adopte le tout nouveau Moog dont il adore les possibilités et recrute George Duke pour en jouer parmi ses claviers. 1972, Waka/Jawaka sort en été avec le fameux Big Swifty qui ouvre l'album. Duke racontera bien plus tard à Keyboard Magazine : "On était en train de faire un album de jazz moderne ! Frank ne voulait pas l'admettre. Je lui disais : C'est du jazz ! Et il me répondait, mais non pas du tout". Si c'est lui qui l'affirme, on va le croire, mais pourtant, le solo de guitare, de 5'45 à 13'18", soutenu par la trompette de Sal Marquez (sideman de Buddy Rich et Woody Herman) en est une démonstration flagrante.



On ne va pas examiner chacun des albums, chacun des titres composés depuis. Christophe Delbrouck le fait de façon très documentée, mais on va s'attarder sur le Roxy & Elsewhere, dont on vient de découvrir en 2018, l'intégrale des concerts et répétitions dans le coffret 7 Cd The Roxy Performances. Somme monumentale qui nous permet de plonger au cœur du processus de création du maître et de répondre, une nouvelle fois, oui, Zappa faisait souvent du jazz, ou du moins pour reprendre les propos de Delbrouck, des innovations jazzistiques dans l'écriture et la direction d'orchestre.







On retrouve le Big Swifty déjà cité, mais aussi le bien nommé Be-Bop Tango (Of The Old Jazzmen’s Church) décliné en trois versions qui peuvent s'étendre jusqu'à 15 minutes et autoriser toutes les facéties zappaiennes (Give them the word "Jazz", dit-il au public) et les chorus sublimes, le trombone de Bruce Fowler, les performances vocales et au ténor de Napoleon Murphy Brock. L'inventivité est de chaque instant qui les fait enchaîner sur Green Onions et le solo de Gibson avec wahwah. dans Inca Roads, les claviers de George Duke sont impériaux dans la finesse et le Groove. Mais celle qui surplombe tout le monde, c'est Ruth Underwood, derrière son vibraphone. C'est la composante majeure des Mothers, pourtant de l'aveu même du leader, les partitions qu'il lui fait jouer sont d'une grande complexité.



On voit même dans le DVD sorti en 2015, Zappa se rendre derrière la percussionniste et esquisser un petit duo avec elle. Bien sûr, guitariste avant tout, Zappa n'oublie jamais, le rock, le blues. On l'entend fort bien dans One Size Fits All qui suit un an plus tard. Can't Afford No Shoes (boogie), Po-Jama People, San Ber'dino (blues à la slide) nous le font entendre avec bonheur, celui du plaisir de jouer qu'a le groupe. C'est aussi, ils ne le savaient pas encore, un chant du cygne, puisque c'est le dernier album des Mothers, si on excepte le très spécial Bongo Fury avec Captain Beefheart qui mériterait, un article à lui tout seul, mais pas dans ces colonnes. Mais, les très nombreuses et régulières publications de la Zappa Family Trust nous permettent d'avoir encore beaucoup d'albums, live, studio, bricolage, collage pour satisfaire notre soif de Zappa avec (ou sans) ses Mothers.

Conclusion provisoire :

Zappa jouait il du jazz ? Il semble donc que oui, pas tout le temps, mais souvent tout de même. Et, les récentes productions du pianiste Stefano Bollani, Sheik Yer Zappa (2014), du vibraphoniste Marco Pacassoni Frank & Ruth en 2018 ou le prochain double album de Thierry Maillard en big band, laissent à penser que Frank Zappa inspire encore les musiciens de jazz, et par là même, les amateurs de cette musique que nous sommes.
Lien : https://www.lejazzophone.com..
Commenter  J’apprécie          10
Live une histoire du rock en public

Très bonne surprise que ce livre, qui remplit ses promesses plus que correctement.

Il propose, dans l'ordre chronologique, les meilleurs albums de rock lives, en les chroniquant en quelques courts paragraphes. Le choix des albums est excellent, il n'en manque aucun de vraiment important, et les critiques sont toujours agréables à lire, se contentant de résumer le contexte de l'album et de justifier sa place dans l'ouvrage plutôt que d'en faire une analyse stérile et pédante.

Un livre à lire pour les fans de rock, pour les curieux, et pour ceux qui aiment cette collection, souvent synonyme de qualité !
Commenter  J’apprécie          10
Les extravagantes aventures de Frank Zappa ..

Une excellente bio de Frank Zappa mais nombreuses fautes d'orthographe et coquilles viennent gâcher le plaisir de lecture. Je sais que le Castor Astral est une maison indépendante mais un bon correcteur n'est pas un luxe. Mention spéciale pour la citation du roman "Le Château" attribué à Edgard Allan Poe...

Sinon ça se lit très bien et ça vous donne le contexte pour des oeuvres qui sans cela ne sont pas très évidentes. Pour la période je n'ai jamais eu de problème avec Freak Out ou Hot Rats, beaucoup plus avec le reste, n'étant pas fan de musique concrète. Avec l'explication de texte j'ai pu écouter plus attentivement des albums comme Uncle Meat, voir même Lumpy Gravy et enfin comprendre quelque chose.

La 2e période pose moins de problème à l'écoute car tout est extrêmement musical , mais je lirais le tome 2 et j'espère que le 3 me donnera quelques clefs pour comprendre la dernière phase de son travail dans les années 80.
Commenter  J’apprécie          00
Frank zappa et la dînette de chrome

Intéressant, passionnant même pour qui apprécie l'artiste. La ré-écoute (la 1ère écoute même parfois) des productions de FZ s'impose quand on lit cet ouvrage, et j'ai fait de nombreuses découvertes.

On sent l'admiration que l'auteur porte à ce compositeur tellement atypique.

C'est dense, il y a tant de matière... Trop dense même et l'ouvrage (comme le tome 1) gagnerait certainement à être plus structuré, plus concis. C'est normalement le travail de l'éditeur de le faire, non ?

En tout cas je vais lire tome 3 avec grand intérêt.
Commenter  J’apprécie          00
Les extravagantes aventures de Frank Zappa ..

Le Castor Astral publie sous le titre "Les extravagantes aventures de Frank Zappa" le premier tome d'une énorme trilogie consacrée à la vie du plus inclassable des musiciens du XXe siècle. Son auteur, Christophe Delbrouck, en est aujourd’hui le spécialiste le plus affûté. Il a joué pendant plusieurs années dans un groupe de reprise des œuvres de l'artiste qu'il a découvert à 12 ans.
Lien : https://culturebox.francetvi..
Commenter  J’apprécie          00
Frank Zappa et les mères de l'invention

Dans le cadre du Festival de coups de foudre de la librairie lyonnaise Musicalame, nous avons le plaisir de partager ici le coup de foudre de Johan :



"L'oeuvre de Zappa est complexe à aborder. De par sa densité, et ses étrangetés, il est nécessaire d'apprendre à l'écouter, à la comprendre. Ce livre, premier d'une trilogie Zappaesque, permet de commencer à interroger cette musique. Certes, le style de l'auteur est parfois difficile, mais la quantité de détails en fait, sans aucun doute possible, l'un des ouvrages majeurs sur ce rockeur qui se rêvait en nouveau Varèse."
Lien : http://musicalame.over-blog...
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Christophe Delbrouck (77)Voir plus

Quiz Voir plus

Jouons avec Lauren Bacall

Le premier film tourné par Lauren Bacall est Le Port de l'angoisse réalisé par Howard Hawks en 1944. Il s'agit d'une adaptation du roman En avoir ou pas, signé:

Ernest Hemingway
John Dos Passos
Henry Miller

8 questions
12 lecteurs ont répondu
Thèmes : Actrices , hollywood , cinema , cinéma americain , adapté au cinéma , adaptation , littérature , roman noir , romans policiers et polarsCréer un quiz sur cet auteur

{* *}