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Critiques de Christophe Langlois (12)
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Dieu en automne : Paris, septembre 1792

L'histoire d'un jeune prêtre réfractaire (refus de prêter le serment de fidélité à la Constitution) en 1792.

Très très déçue !

Par le style, les aller-retours qui perdent le lecteur ; les arguments superficiels ne m'ont pas convaincus.

Epilogue : le plagia d'un extrait des livres de Monsieur LENOTRE "Vieux papiers vieilles-maisons" !
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Dieu en automne : Paris, septembre 1792

Babelio propose de lire tous les livres qui paraîtront lors de la rentrée littéraire, qu'ils vaillent ou non la peine d'être lus. On peut s'engager à en choisir certains, dans une liste, bonne idée pour sortir de ses habitudes et pour tester de nouveaux auteurs.



"Dieu en automne" est un roman historique agréable à lire, écrit avec enthousiasme et force par un jeune auteur qui n'avait jusqu'ici publié que des nouvelles ou des essais. Il raconte l'histoire tragique du jeune abbé Fougère (qui a vraiment existé), prêtre qui ne prêta pas serment au pouvoir politique en place et fut victime des Massacres de Septembre (1792), sorte de grand pogrom organisé par Marat et Danton dans les prisons de Paris. Malgré cet arrière-plan tragique, le roman ne verse jamais dans le dolorisme ni dans l'invective anti-révolutionnaire (ou, à l'inverse, dans la casuistique de l'omelette et des oeufs cassés). Au contraire, le narrateur, tout comme le jeune abbé à l'esprit franciscain, ami de la nature, des bêtes et surtout ami des hommes, tente de tout comprendre, de tout embrasser - même ses ennemis - et le roman évite d'entrer dans les polémiques et les haines mal éteintes de la Révolution. Cet esprit franciscain illumine les pages du livre, les descriptions de la nature et de la ville, pénètre tout de sa bonté.



Cependant, ce roman historique heureux et chrétien paraît un an après le martyre du père Hamel, et pose sans y toucher les graves questions de la politique et de la foi chrétienne (le chapitre où l'évêque "jureur" tente de convaincre les prêtres de servir le pouvoir en place, à grand renfort de sucreries évangéliques, semble fait pour le pape François Bergoglio). Il nous place devant la violence et la haine partisanes, en 1792 mais aussi aujourd'hui, en nous rappelant qu'un refus souriant est toujours possible pour rester humain, sans haine pour les fauves, ni soumission à leur loi. Ce livre chrétien, qui n'est pas sans gros défauts de style et de manière, tombe cependant très bien pour nous donner à penser.

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Dieu en automne : Paris, septembre 1792

D'une écriture agréable et très soignée, Christophe Langlois nous transporte à Paris, au XVIIIème siècle. Le jeune Gabriel Fougère, abbé de son état, et très sûr de sa foi en Dieu, va se retrouver, avec beaucoup d'autres prisonniers, dans l'Eglise des Carmes et y trouver la mort, assassiné à l'âge de vingt deux ans parce qu'il n'a pas voulu renier cette foi. Sans voyeurisme, sans jugement, l'auteur nous emmène dans ce voyage dans le temps, nous prenant parfois à témoin, comparant le Paris d'autrefois et celui d'aujourd'hui. Un très beau livre, qui pose encore un regard sur la tolérance et les excès en politique.
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Finir en beauté

Recueil de nouvelles assez surprenant.

Tout d'abord l'écriture, les tournures de phrases ainsi que les mots utilisés sont parfois étonnants voire destabilisants, puis ensuite émerge le caractère fantastique des nouvelles et l'on se délecte du style.



Car oui quelques unes d'entre elles relèvent clairement de l'imaginaire fantastique voir de la science-fiction pour d'autre.



Une belle découverte bien que j'ai moins aimé 1 ou 2 nouvelles. Le reste est très agréable à lire, j'ai particulièrement aimé l'arbre d'Horace, Aiguilleurs du Ciel est caustique, Genius une caricature de notre société.



Bref si vous avez l'occasion de découvrir ce recueil, on passe un bon moment de lecture.
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Boire la tasse

•BOIRE LA TASSE ET EN REDEMANDER•



Les Éditions de l’Arbre Vengeur produisent toujours ce qu’il est coutume d’appeler des indémodables. Boire la tasse a obtenu le Grand Prix de l’imaginaire en 2012 et pourrait très bien obtenir le Prix de la réalité en 2021. Christophe Langlois avant toute chose, écrit merveilleusement bien, son écriture coulée aurait pu accéder en finale olympique du 100 mètres 4 nages. Quand j’ouvre un recueil de nouvelles, j’attends une vision, un angle assumé, du rêve, de l’originalité et je le concède un peu (beaucoup) de loufoque voire du sarcasme (tiens donc), de l’ironie et de l’autodérision (rien que çà). Bingo. L’arbuste véhément, collection de la maison est peut-être celle que j’aurais eu envie d’éditer. J’y retrouve un humour parfois corrosif et pessimiste, une provocation perpétuelle capable de nous faire surgir, une réflexion profonde sur le devenir de nos sociétés et de leur absurdité quotidienne : voilà ce que je cherche quand j’ouvre un livre•••



Comment résister à cet auteur qui pense voir Hitler au volant de sa Laguna chaque année au même moment en Seine et Marne ?



Comment résister à ce tissu de luxe qui vient épouser notre corps jusqu’au plus profond des sensations humaines.



Comment résister à cet imaginaire mêlé d’actualité sociale qui nous guette ? Au fameux pouvoir des Boutons qui nous happent à toute heure de la journée. Sommes-nous réellement libres dans ce monde ultra connecté (je n’irai pas demander la réponse à l’auteur qui ne doit être doté que d’un téléphone filaire).



Comment résister à ces personnages souvent ordinaires évoluant et basculant dans une situation totalement inédite comme le Père Elmo parlant à son fly-book se désespérant du peu de fidèles entrant dans son Eglise ? Et si le nouveau Pape Pie XIV, ingénieur chinois changeait la donne…



Comment résister à la chute de chaque nouvelle qui vient nous émouvoir, nous aplatir, nous ensevelir sous la justesse du propos ? Je ne vous ferai pas l’affront de vous dévoiler chaque nouvelle mais je vous prie de bien vouloir vous y pencher. J’ai bu la tasse à n’en plus finir. Je ne suis pas mort (pas encore), venez trinquer avec Christophe Langlois (et moi accessoirement).
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Boire la tasse

Attirée par sa couverture, sobre mais intrigante, et par l’évocation de Dino Buzzati sur la quatrième de couverture, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. ça faisait un moment que je n’avais pas lu de recueil de nouvelles et celui-ci a piqué ma curiosité.



L’auteur, Christophe Langlois, est un passionné de littérature – tant comme lecteur que comme écrivain – qui a été tour à tour professeur de Lettres et conservateur de Bibliothèque ( à la BNF notamment ). Autant vous dire que ça se ressent dans sa façon d’écrire. Il possède une plume moderne, épurée sans pour autant être froide, riche, et qui appelle au questionnement et à la réflexion. Ses nouvelles, sous des airs de conte fantastique inoffensif , tiennent souvent de la fable philosophique et laissent une empreinte indélébile dans les pensées.

Les thèmes abordés sont variés et d’actualité: les dérives de la chirurgie esthétique, l’intolérance du quotidien, l’influence grandissante de la mode, le vieillissement galopant de la société, l’égalité des chances… Chacun traités selon un angle particulier et avec un style incisif.



Comme souvent avec les recueils de nouvelles, j’ai toutefois trouvé celui-ci inégal. Autant certains récits m’ont emportée et marquée au fer rouge ( mention spéciale à « Hitler en Laguna » ), autant quelques autres m’ont laissée de marbre ( peu heureusement – « Intégralité » entre autres ).

Mais cela n’enlève rien au talent de Christophe Langlois qui manie la langue française avec brio , telle une arme habile à remuer nos certitudes et à réveiller notre conscience et notre esprit critique.




Lien : https://mllejuin.wordpress.c..
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Boire la tasse

Tous les ans (depuis que je fréquente le Salon du Livre) je vais faire un tour au stand de la maison de L’Arbre Vengeur et je m’offre, sur les conseils du libraire, un livre.





Cette année, j’ai choisi ce livre-là. C’est un recueil impressionnant. Impossible de dire s’il m’a plu. Je me suis sentie mal à l’aise durant toute ma lecture, j’avais envie qu’elle finisse.

Pourtant, maintenant que j’y pense, je ne peux dénier le fait que certaines nouvelles sont magnifiques et saisissantes.





Toutes les nouvelles ne se valent pas (disons que je n’en ai pas aimé certaines, alors que pour d’autres, j’étais incapable de lever le nez de mon livre). Elles sont toutes assez sombres, souvent amères et ironiques.





Cela part souvent d’une situation complètement banale et quotidienne (un diner d’amis, une fille qui va faire les magasins…) et lentement on se rend compte que l’auteur glisse vers du fantastique /sciences fiction.



En effet, chaque nouvelle se passe dans un futur qui pourrait être possible, un avenir qui risque d’arriver…et c’est assez effarant.

Se dire que cela pourrait se passer un jour, cela amène à réfléchir. Cela nous oblige à nous poser des questions sur notre société et notre vision de la vie.







Le style est très bon. On entre immédiatement dans l’histoire, c’était impressionnant.





[Attention, je dévoile certaines nouvelles]



Il y en a plusieurs qui sont, je trouve, assez traumatisantes :

Celle des opérations sur les enfants par exemple. Tous les enfants qui sont plus intelligents ou plus forts que les autres, on leur prélève un morceau de muscles ou de cortex pour les redistribuer aux autres enfants au nom de la légalité….

C’était la nouvelle la plus désagréable à lire, la plus dérangeante à mon avis.





Il y a aussi la nouvelle avec l’appareil photo: La femme d’un photographe de guerre qui se rend compte des atrocités que son mari a prises en photo et qui ne comprends pas comment est-ce qu’il fait pour dormir, sourire et aimer encore…





Et puis, il y a la nouvelle, où un fils de 92 ans annonce à ses parents (je vous laisse imaginer l’âge des parents, ils l’ont eu à 95 eux !) qu’il a rencontré une femme de son âge et qu’ils veulent avoir un enfant : Une société où presque la plus grande partie de la population est senior et où la trentaine est considérée comme la crise de l’adolescence.





Ou encore la nouvelle où tout citoyen est obligé de communiquer selon ses “moyens” pour enrichir le genre humain. Les personnes qui décident de se vouer au silence sont condamnées à perpétuité à la prison; où on leur fait subir des tortures pour les forcer à recommuniquer.





Et enfin la dernière nouvelle, la plus impressionnante je trouve, où la Bibliothèque Nationale de France est toujours une bibliothèque, mais où ses lecteurs sont tellement immergés (au sens propre du terme, ils vont dans un bain et le bibliothécaire verse un flacon contenant “l’essence” de l’œuvre d’un auteur) dans les livres, qu’ils en oublient tout ce qui est autour et qu’ils en meurent.









Maintenant que j’ai fais la critique de ce livre, je me rends compte qu’elle est plutôt positive et que ce recueil m’a tout de même beaucoup touché.

Même si durant ma lecture, j’avais du mal à apprécier, quand j’y repense, c’était une lecture enrichissante. Je suis contente d’avoir fait la découverte de cet auteur.
Lien : http://writeifyouplease.word..
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Finir en beauté

Christophe Langlois est français, il est donc écrivain, mais aussi poéte. On lui doit, à aujourd’hui, 2 livres de poésies, des essais, un roman et 2 recueils de nouvelles, dont faire parti ce « Finir en beauté »…



Et ce sont pas moins de 15 nouvelles qui sont rassemblées dans ce recueil à la couverture attrayante. Langlois y développe essentiellement des écrits fantastiques, flirtant parfois avec l’horreur, ou la science fiction. Selon les textes, il plonge parfois totalement dans le genre (La crampe de Kornfeld, Aiguilleurs du ciel, Genius), ou ne s’en sert qu’en fond. Mais jamais il ne se risque à faire du Stephen King, du Lovecraft. Ces idées semblent s’en rapprocher par moment, mais le traitement n’a rien à voir. Il préfére se servir des mots, de la langue, pour y insérer une sorte de poésie constante. La lecture en est déstabilisante au départ, puis franchement plaisante. Pour exemple, La crampe de Kornfeld raconte l’histoire d’une sorte d’épidémie. Tout les êtres vivants se mettent à avoir faim, continuellement. Et ils mangent absolument tout. Fatalement, cela induit du cannibalisme. Pourtant, le choix des mots permet à la nouvelle de ne pas se limiter à un exposé gore. On trouve même des nouvelles au fond franchement drôle, bien qu’elles soulévent quelques questions. Les aiguilleurs du ciel voit les démons et les anges, des enfers et du paradis, se mettre en gréve devant le refus de mourir des humains. Le Mal Joli raconte l’accouchement… d’un homme. Le grand sommeil est un concours de sommeil !



Les idées sont franchement bonnes. Et dénote d’une imagination sans limite, qui ne se contente pas d’un genre, pas d’une case. Il les dépasse et les transcende. Alors évidemment, comme tout recueil de nouvelles, il y a quelques faiblesses, quelques histoires un peu en déçu. L’arbre d’Horace par exemple, ou Manége. Mais plus faible ne veut pas dire mauvaise, et ces histoires parviennent aussi à se montrer touchante à leur manière.



Quoi qu’il en soit, que l’on aime ou pas le style de l’auteur, on ne pourra que reconnaître qu’il est original, et une voix, ainsi qu’une plume, trop rare dans la littérature française pour que l’on puisse l’ignorer. Et pour ma part, je vous conseiller même sacrément de le découvrir !
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Boire la tasse

« Boire la tasse » est un recueil de nouvelles. L’ensemble aurait pu décrocher la note maximale s’il était moins inégal. Si certaines nouvelles sont indiscutablement réussies et même brillantes d’autres, peu nombreuses, peinent à convaincre. Dommage. Mais pour un premier recueil c’est impressionnant de maîtrise et riche en pépites littéraires. Un auteur à découvrir et à suivre.



« Boire la tasse » a remporté le prix de l’imaginaire 2012, catégorie « Nouvelles ».

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Finir en beauté

Acaht d'impulsion pour ce livre car j'aime les nouvelles. Ce reccuiel est écrit avec style. Les histoires n'ont pas de lien entre elles si ce n'est l'extravagance. J'ai trouvé la qualité inégale mais quelques perles pour autant savoureuse!
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Boire la tasse

Je crois que je vais devoir m'y reprendre à plusieurs reprises pour fouler les profondeurs de cet ouvrage qui m'a tenu complètement coite quelques jours. C'est que ce recueil de nouvelles met en scène des situations farfelues, des personnages paraissant normaux mais dérapant subitement dans l'étrange, l'air de rien. Il est dit en quatrième de couverture que l'auteur est un "héritier de Buzzati" et en effet, il tient le bon filon en nous entrainant dans des atmosphères lourdes de sens, basculant tantôt dans le loufoque, tantôt dans le fantastique. Ce que je tiens à souligner, c'est surtout que c'est écrit délicieusement. On se laisse couler (car c'est bien le cas lorsqu'on boit de cette tasse-là) dans un mélange d'émerveillement et de stupéfaction.



Chaque nouvelle est fabuleusement originale, (dé)taillée avec précision et donne à réfléchir sur la société et sur ses mœurs. La première nouvelle s'inscrit lors d'un dîner d'amis où tous exposent à tour de rôle les prodiges résultant de la dermosection (on enlève la peau, enveloppe opaque pour enfin dévoiler l'intérieur). Et chacun d'exhiber des parties de corps, plus que nues, exposées à un voyeurisme des plus dérangeants. La chute de cette nouvelle est juste sublime !

Autre nouvelle, trame tout aussi intrigante avec un jeune homme qui croise, tous les 30 avril sur la même nationale de Seine-et-Marne, Hitler roulant en Laguna. Est-ce une illusion? Pourquoi cette répétition digne d'un esprit frappeur?



La nouvelle qui m'a le plus fait rire c'est sans nul doute celle du bon pasteur, se voyant suppléer par un fly-book dernière génération, un renfort utile à la célébration des offices car ponctuel et extrêmement prévoyant. Quand la modernité se met au service de la religion traditionnelle, c'est tordant et presque proche de l'anachronisme.



Je pourrais vous livrer encore de nombreux éléments d'autres nouvelles mais je crois que le plaisir réside aussi dans la découverte. Et là vous en aurez pour votre argent avec pas moins de quinze nouvelles, toutes plus réussies les unes que les autres. Nul besoin de préciser que j'ai adoré ce recueil de nouvelles ! Christophe Langlois se place d'ores et déjà parmi les plus talentueux nouvellistes de notre génération. A vous prendre une tasse et de vous servir de cet étrange breuvage qui ne vous laissera ni chaud ni froid !



Je vous recommande de lire l'excellente chronique de Pierre Assouline sur ce recueil. C'est lui qui m'a donné envie de le découvrir ! Grand bien m'en a pris !
Lien : http://shereads.canalblog.co..
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Boire la tasse

« Boire la tasse » de Christophe Langlois donne d'emblée le ton.

Quinze nouvelles raffinées et percutantes. Un tour de manège au rythme d'une écriture olympienne. Frénétiques, elles sont satires et malices, acides parfois cruelles et superbement intuitives.

Boire la tasse, ne pas craindre l'amertume. Ici, la maturité est renom. le monde en caricature et quel trait affirmé !

Qu'importe si les chaises volent parfois, si la tasse éclate au sol. C'est volontaire.

Ce kaléidoscope, classique-né est enivrant, parfois poétique.

Le cosmopolite du langage qui captive et octroie la chance suprême de lire entre les lignes ce qui se devine et s'accorde à nos émois.

Écoutez :

« Si nous nous plaignons, c'est de n'être pas abandonnés au Grand Silence, et de ne pouvoir nous y consacrer totalement. »

Écoutez encore :

« Nos existences se consolent d'être si misérablement unis dans le Grand Silence. »

« Rien ne peut séparer ceux qui savent se taire ensemble. »

Les signaux sont vifs, habiles, certifiés.

Prenez soin de la préface.

« J'attends d'une librairie qu'elle me propose ce que la condition humaine prétend résolument s'épargner. »

« Le Grand Silence » est une aurore boréale. Un livre blanc à bâtir pour un lendemain de grand silence et de plénitude.

« Tout homme marche au bord du ravissement. »

« Boire la tasse » est à l'instar du linge frais claquant au vent. Culte, surdoué, imprévisible, ce sablier de nouvelles est une prouesse à relire par temps de grand froid, tant sa chaleur est vivifiante et communicative.

Grand Prix de l'Imaginaire.

Publié par les majeures Éditions L'Arbre Vengeur.



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