Citations de Christopher Paolini (439)
"Tout le monde veut manger, mais personne ne veut être mangé."
" Orik eut un soupir exaspéré :
-Ah ! La vie est un étrange et cruel voyage ! [..] "
" " Quand n'es-tu pas un dragon ?" demanda Eragon.
Il courut la rejoindre et, léger comme une plume, sauta sur sa patte avant gauche, puis sur son épaule avant de s'installer dans le creux familer à la base de son coup. Ses mains goûtaient le chaud contact des fines écailles, la va-et-vient des muscles sous la peau au rythme de son souffle. De nouveau, il souriait, comblé. "Me voilà à ma place, ici, avec toi." Ses jambes vibrèrent quand Saphira se mit à ronronner de satisfaction après avoir émis une étrange mélodie si subtile qu'il n'en compris pas le sens. "
_ Tiens, tiens... le chasseur légendaire daigne redescendre parmi les simples mortels!
#Sloan à Eragon#
-Soyons sur nos gardes, souffla Wyrden.
Angela émit un gloussement :
-Et comment pensais-tu procéder ? En soufflant dans une trompette pour annoncer notre arrivée ?
L'elfe parut vexé, mais il ne répliqua rien.
Aucun chat-garou ne parut remarquer les gens qui les regardaient, alignés de part et d'autre de la salle, jusqu'à l'instant où Grimrr parvint à la hauteur d'Angela, l'herboriste. Debout près de Roran, elle tricotait une chaussette rayée à l'aide de six aiguilles.
Les yeux de Grimrr s'étrécirent, ses cheveux se hérissèrent - de même que les poils de ses gardes -, ses lèvres se retroussèrent sur deux crocs blancs recourbés, et il émit un sifflement sonore.
Levant le nez de sa chaussette, Angela lâcha avec une tranquille insolence :
-Cui cui.
-Oh, je pense que Roran aurait trouvé moyen de te sortir de Helgrind sans moi. Il parle d'or quand il se déchaîne pour une cause. Il aurait convaincu un autre magicien de l'aider - peut-être Angela, l'herboriste -, et il aurait réussi.
-Angela l'herboriste ? se gaussa Roran. Cette petite bavarde n'aurait pas été de taille à lutter contre les Ra'zacs.
-Elle te surprendrait... Même si elle ne paie pas de mine et jacasse comme une pie.
-Parfait, Nar Garzhvog, déclara-t-il en ajustant la lanière de sa hotte autour de sa taille. Courons ensemble, toi et moi. Jamais rien de tel ne s'est produit de toute notre histoire.
Garzhvog émit un rire sonore :
-Courons, Épée de Feu.
Ensemble, ils se tournèrent vers l'est, et, ensemble, ils s'élancèrent en direction des montagnes des Beors ; vif et léger, Eragon filait au côté de Garzhvog dont la course pesante faisait trembler la terre. Dans le ciel, de gros nuages d'orage s'amoncelaient sur l'horizon, prélude à des pluies torrentielles, et les faucons tournoyaient à la recherche de proies en lançant leurs appels mélancoliques.
-Je suppose que je ne te reverrai pas avant un moment. Alors, adieu ! Bonne chance ! Ne mange pas de choux pourris, ne mets pas les doigts dans ton nez, et prends la vie du bon côté !
Après un clin d'oeil malicieux, elle s'éloigna d'un pas léger, laissant Eragon totalement décontenancé.
Solembum prit tranquillement son casse-croûte entre ses dents, et suivit sa maîtresse avec la plus grande dignité.
Notre indécision nous tuera plus surement qu'une épée ou qu'une flèche.
Au faîte de la tour, un homme vide,
Coquille de ténèbres, carcasse de néant,
Asservi par les mots, bras armé d'un tyran,
Nom entaché de honte, peur de la fatalité.
Brisées les entraves, altéré le chemin,
La coquille demeure, ombre vagabonde.
Trop de problèmes en ce monde sont causés par des hommes au cœur noble et à l'intelligence bornée.
L'histoire nous fournit de nombreux exemples d'individus persuadés d'agir pour le bien, qui commettent pourtant de terribles crimes.
La pratique de la magie est le plus grand art qui soit.
"La vie n'est pas simple" (...).
"Pourquoi le serait-elle ? La vie est un combat, du début jusqu'à la fin."
Ton Dragonnier besoin de toi, dragon. Pense à lui. Fais pour lui, pas pour toi. Pour autres, on est plus fort.
"A croire que tu voudrais qu'elle me mette le grappin dessus."
"Tu devrais peut-être te laisser faire. Ca apaiserait le feu qui te brûle le bas-ventre."
"Tu connais les conséquences. Ca donne des enfants."
Une fois la chanson ou la légende devenue populaire, rien ne pouvait plus l'arrêter. Bien souvent, la vérité se pliait à ce qu'on croyait vrai.
Ils n’étaient pas les seuls esprit brillants déterminés à percer les secrets de l’univers.
Saphira, les membres d'une famille se pardonnent mutuellement, même s'is ne comprennent pas toujours très bien les actes et les motivations des uns ou des autres. Tu es ma famille, autant que Roran, voire davantage... Rien de ce que tu peux faire ne changera ça. Rien.