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Critiques de Christopher Ruocchio (58)
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Le dévoreur de soleil, tome 2 : Les ténèbres hu..

Un second tome selon moi moins bon que le précédent. Je ne dis pas mauvais, attention, mais je ne dirais pas non plus bon. Comprenez plutôt que j'en ai surtout assez des longueurs qui ralentissent inutilement la lecture et gâche la narration. Sans cesse, des digressions plus ou moins philosophie et pertinentes. Je vous le dis, moi, ça m'endort. À moins d'être payé au mot, l'auteur aurait bien gagné à amputer son ouvrage d'une bonne centaine de pages. Ainsi, ce livre aurait été bien plus palpitant (mais je ne dis pas non plus qu'il est soporifique). Je trouve également que l'intrigue pèche de temps à autre par sa vraisemblance et sa cohérence, mais ce n'est tout de même pas flagrant et de nombreux passages sont intéressants. En dernier point, je dirais que l'univers est assez appréciable et qu'on peut prendre plaisir à le découvrir.

En bref, ma critique pourrait se résumer à sa deuxième phrase. Globalement, je n'ai pas été passionné par ma lecture (même si par moment, elle pouvait être passionnante) mais je n'irai pas organiser un autodafé pour brûler ce livre et prévois de lire le tome suivant, car je souhaite tout de même connaître la suite.
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The lesser devil

J’ai lu un livre, enfin… une nouvelle ! Je vous raconte dans ma dernière vidéo ce que j’en ai pensé, sans spoilers. Le lien de ma chaîne est dans ma bio.

Pour ceux qui ne supportent pas ma voix, voici un résumé.

Cette nouvelle est le tome 1.5 de la saga du Dévoreur du Soleil et est à lire après le tome 1, L’empire du Silence. Malheureusement, elle n’est à ce jour disponible qu’en anglais, mais j’ai trouvé la lecture tout à fait accessible.

C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé cet univers si riche et complexe, même si on va pas se mentir, le niveau de la nouvelle est quelque peu inférieur au roman, mais peut-on vraiment comparer nouvelle et roman ? La narration est quelque peu différente, car réalisée à la 3ieme personne, ce qui enlève tout le charme « chronique de vie » qu’on peut trouvé dans L’empire du Silence.

Les enjeux de l’histoire sont toutefois rapidement posés et malgré quelques lenteurs, plusieurs moments d’action sont assez mémorables, quoiqu’ils ont de la concurrence avec les échanges entre les personnages toujours aussi intéressants. Tantôt on se pose des questions existentielles et on débat sur des sujets telle que la religion, tantôt on nous raconte des évènements passés qui permet de compléter le lore de cette saga.

Les personnages sont toujours aussi bien travaillés et on appréciera en particulier se retrouver dans les pensées de Crispin, le frère d’Hadrian, dont il regrette la disparition depuis plus de 30 ans.

Bref, même si l’histoire semble dispensable, je recommande cette lecture à toute personne ayant particulièrement aimé le tome1 pour bien pouvoir profité de tout l’univers pensé par l’auteur. Quant à ceux qui n’ont toujours pas lu L’empire du Silence, qu’attendez-vous ?
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

Un des livres de science fiction / space opéra les plus sous côtés. J’aurai mis plusieurs années à sortir de ma PAL L’empire du Silence de Chstiropher Ruocchio de Bragelonne. Mon seul regret est de ne pas l’avoir lu plus tôt.

Je l’avais mis de côté suite à des avis plutôt mitigés que j’avais pu voir, sur la lenteur du récit, la complexité de l’univers et l’histoire qui ne serait pas exceptionnelle. Grâce à l’encre de la magie, j’ai pu me lancer dans la lecture et je n’ai pas été déçue.

Je n’aime pas trop comparer les œuvres, mais je dois avouer qu’il y a un air de Nom du Vent et de Dune. Le récit est fait par Hadrian, à la première personne, à la manière de mémoires de vie, ce qui nous immerge dans notre lecture, sans qu’il y ait pourtant des batailles d’actions toutes les deux pages. On apprend à connaître le personnage, et le monde dans lequel il vit.

Le Wordbuilding est complètement dingue et me fait plus penser à de la Fantasy qu’à du Space-opéra. L’univers est vraiment riche dans sa conception, avec ses différentes planètes, une unité religieuse très puissante, les différentes factions politiques, des langues spécifiques etc sans que je trouve cela lourd ou difficile de compréhension. La lecture est fluide et il y a une sorte de fascination ou de mystère qui nous pousse à tourner les pages.

Je ne peux en dire trop sans spoiler, mais j’apprécie particulièrement quand les space opéra se déroulent dans un avenir lointain et qu’on parle quand même du passé Terrien. Encore plus quand il est question de ruines mystérieuses tellement anciennes qu’on ne sait pas qui les a construites. Encore plus quand on parle d’une entité extraterrestre dont on ne sait pas grand chose mais contre qui on mène une guerre sans merci en les considérant comme des bêtes.

Tout le récit est raconté du point de vue d’Hadrian, ses pensées sont très présentes tantôt pour se poser des questions existentielles interessante, tantôt pour raconter ses états d’âmes et ses craintes presque d’une manière poétique de telle sorte qu’on ne peut que s’attacher à ce personnage.
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

1er volume d'une grosse trilogie de SF, ce tome sera l'occasion de rencontrer notfe héros Hadrian Marlowe. Issu d'une caste noble. Le roman se présente comme les mémoires écrites par notre héros des milliers d'années après les faits, pour son inculpation, entre autre, de destructeur de soleil, de génocide, etc. On retrouve donc de ce côté la ce qu'on a pu lire dans Le Nom du Vent ou même l'assassin Royal. Le texte est a la 1ere personne et ce premier tome a tout du roman d'apprentissage, nous montrant le début du chemin du jeune Hadrian qui va fuir son monde ne voulant rejoindre la fondation auquel l'a promis son père (genre de super culte religieux contrôlant l'ensemble de l'empire sous une idée unique de la supériorité des hommes sur les autres espèces, le contrôle strict de la technologie, et autre). Il va se retrouver à jouer les myrmidons dans le Colosso d'un autre monde, et à force de péripéties va attirer l'œil du comte de cette planète, va essayer de faire valoir ses idées lors d'une rencontre avec les envahisseurs Cielcins ce qui va lancer enfin l'histoire dans le tome 2.

Ce tome a donc les inconvénients des 2 autres titres cités plus haut, le début est très long... beaucoup de longueurs.. En contrepartie l'univers est tellement bien écrit qu'on y croit. Et je vais vite entamer le tome 2 pour savoir ce qu'il se passe !
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..



J’ai commencé ce roman en étant complètement hypée par les avis dithyrambiques glanés çà et là sur différents blogs de SF : lauréat du prix Hellfest et acquis par de nombreux éditeurs, l’univers serait un habile mélange entre Dune et Warhammer 40K, etc. J’ajouterai pour ma part la caste des Métabarons de Jodorowsky, Hypérion (la civilisation mystérieuse qui bâtit des tunnels, les « extras » rebelles, etc) et même l’Assassin Royal, de Robin Hobb. On peut même y trouver certains éléments qui rappellent Star Wars (les épées en « matière haute », qui ressemblent à des sabre lasers), les armes biologiques des xénobites (le serpent blanc foreur qu’injectent les Cielcins)...Ces influences assumées en font un univers intéressant, plein de possibilités scénaristiques. Ce sont ces nombreux mystères (surtout ceux liés aux extraterrestres) qui donnent envie d’en savoir plus et de poursuivre la lecture, en dépit des lourdeurs qui la plombent… car ce roman a les défauts de ses références.



Hadrian Marlowe est un fils de seigneur déchu, renié par son père. Ce dernier représente le pouvoir dans tout ce qu’il a de plus sévère et patriarcal : gestionnaire d’une planète dont l’économie repose sur un système quasi esclavagiste (des serfs enchainés aux mines qui fournissent les matières radioactives au prix de leur vie), au sein d’un empire hégémonique et guerrier, il est dépositaire d’une longue lignée de « palatins » travaillés par la génétique, ce qui fait d’eux des demi-dieux au-dessus des autres. Non violent et fasciné par les civilisations extraterrestres, élevé par un sage féru de philo qui fait de lui un humaniste, Hadrian renie cet héritage. Il s’oppose à son père, qui le déshérite et l’envoie chez les fanatiques de la Fondation afin qu’il devienne inquisiteur. Pour fuir ce destin, Hadrian s’enfuit… et c’est là que les ennuis commencent. Abandonné par son équipage sur une planète loin de tout après avoir passé de nombreuses décades dans le coma, le fils de seigneur se retrouve tout en bas de l’échelle sociale. Pour survivre, il s’engage comme combattant aux jeux du Colosso…

Hadrian est le prototype de l’antihéros qui subit tout ce qui lui arrive. On sait dès le début, par exemple, qu’il sera responsable de l’extinction d’un soleil, de la disparition de l’empereur de l’humanité et de la mise en esclavage de toute une civilisation. Il n’a pas demandé à faire partie de l’élite de son monde, il tue son premier homme presque par accident, on le force à torturer une noble créature, etc. Le récit, narré à la première personne, s’ouvre sur un prologue expliquant que le narrateur est condamné à mort (comme dans Endymion de Dan Simmons) et confère un style intimiste au roman : on est dans la tête d’Hadrian et on suit tout ce qu’il lui arrive, par ses yeux. Cependant, ce mode de narration échoue selon moi à conférer au personnage une aura épique et lui donne plutôt un petit côté pleurnicheur qui n’est pas sans rappeler Fitzchevalerie dans l’Assassin Royal ou Elric de Melniboné (qui reste beaucoup plus cynique). J’avoue être sévère dans mes jugements quant à ce genre de personnages : j’ai trouvé Endymion chouineur, et Fitz plus encore, alors que pour certains lecteurs, le procédé a fonctionné. Mais ici, le récit à la première personne me semble assez mal maitrisé, et donne l’impression qu’Hadrian se regarde beaucoup le nombril. Littéralement, puisqu’il se décrit lui-même très souvent : « mes cheveux noirs me fouettent le visage », « je me fendis de ce demi-sourire si caractéristique des Marlowe, ressemblant ainsi à mon père »… etc), donnant l’impression au lecteur qu’il passe son temps à s’observer dans un miroir. A contrario, les autres personnages, eux, sont peu décrits. Certains semblent être juste là pour ajouter un peu de tragique au personnage d’Hadrian (Cat…) et d’autres sont parfaitement incompréhensibles dans leurs motivations (Crispin, que j’ai imaginé comme Mordred dans l’Excalibur de Boorman) D’autres font un peu office de faire-valoir (Switch) On a parfois l’impression d’être face à un Gary-Sue avec Hadrian, un héros qui incarne un peu tous les fantasmes de l’auteur : à la fois extrêmement intello et très guerrier, noble et beau, plaisant aux femmes, mais incapable de le voir, assassin/ennemi public n°1 malgré lui, souvent sous-estimé par ses ennemis qui s’en mordent les doigts par la suite. Ses nombreux et larmoyants états d’âme sont décrits sur des pages et des pages, alors qu’on brûle d’en savoir plus Calagah, la Fondation ou les Cielcins (qui, malheureusement, ont très vite perdu leur aura menaçante en se faisant mater très facilement par les humains, alors qu’ils sont supposés être inexpugnables). L’histoire progresse très lentement, lestée par mini-épisodes qui font peu ou pas avancer l’intrigue et semblent même pouvoir se lire indépendamment. Chaque partie possède son ambiance propre, et aurait presque pu faire un roman à part : la première partie à Delos où l’on découvre Hadrian en tant qu’héritier d’une famille froide et patricienne, la seconde dans les bas-fonds d’Emesh, la troisième en tant que combattant dans l’arène (qui a fait dire à certains que le roman était un mélange entre Dune et Gladiator, alors qu’au final, cette partie est relativement courte), la quatrième centrée sur son amitié-et-plus-si-affinités avec la savante étrangère Valka (qui ralentit fortement le roman) et enfin le coup d’accélérateur final, plutôt bienvenu. J’ai retrouvé les défauts de narration et de construction qui plombent souvent les sagas tirées de franchises, comme Drizzt ou Malus Darkblade : des séries qui, bénéficiant tout de suite de l’énorme force de frappe des mastodontes derrière eux, se passent volontiers de travail éditorial. Une imposante annexe à la fin du roman, comportant glossaire, « astrographie » et présentation des familles palatines, le tout présenté sous la plume d’un savant « scholiaste », confirme que l’auteur a sans doute privilégié le world-building à l’intrigue ou la narration.



J’ai dit au départ que ce roman avait les défauts de ses qualités, mais c’est aussi vrai dans l’autre sens. Le travail colossal sur l’univers, fignolé dans ses moindres détails, favorise l’immersion du lecteur et attise sa curiosité. En dépit de ses nombreuses longueurs et lourdeurs, on se retrouve embarqué à tourner les pages, désireux d’en savoir plus. Enfin, les personnages sont sympathiques. Hadrian, qui a toujours besoin d’une présence maternante dans sa vie pour lui dire quoi faire (Gibson, sa mère, Cat, Switch, Valka...), a ce petit côté héros de shônen japonais qui le rend attachant et fait oublier ses éclats de morgue palatin (le fait qu’il se fasse régulièrement molester y est aussi pour beaucoup) On s’inquiète un peu pour lui tout en sachant qu’il ne peut rien lui arriver de plus grave que la mort d’un side-kick (à qui on n’a pas le temps de s’attacher aux personnages secondaires, de toute façon) L’auteur évite le syndrome du rôliste et le « male-gaze » par ce biais, mais également par la présence surprenante de nombreux protagonistes « queer ». La mère d’Hadrian, pour commencer, qui préfère les femmes aux hommes et fait résidence à part de son époux (ce qui lui évite d’être une « Dame Jessica » de plus). Le meilleur ami d’Hadrian dans le Colosso, Switch, ancien prostitué au service de seigneurs pédophiles, le comte Balian, qui est marié à un homme… l’hétérosexualité d’Hadrian lui-même est régulièrement mise en question par les autres personnages, ce qui est plutôt rafraichissant pour un héros de space opera ! Je me suis d’ailleurs attendue à un coming-out d’Hadrian jusqu’à l’arrivée de Valka, la savante rebelle dont il va plus ou moins tomber amoureux (je dis plus ou moins, parce qu’au final on ne sait pas vraiment : pudeur masculine oblige !).

Malheureusement, cette relation m’a paru plutôt indigeste : Valka passe son temps à le frapper et à l’insulter en langue exotique entre deux verres de vin extraterrestre, tout en collectionnant les amants. On sent bien que ce personnage a été construit de manière à éviter tous les écueils dans lesquels un auteur pourrait tomber en dépeignant le love-interest de son protagoniste. Mais au final, cela en fait juste un personnage énervant et une histoire d’amour ennuyeuse, qui a en plus l’inélégance d’occuper au moins un tiers du bouquin (sur près de mille pages) J’avais hâte qu’Hadrian passe enfin enfin à autre chose et parte réaliser son destin, comme l’auteur nous l’annonce de manière plus ou moins subtile tout au long du roman, à coup d’annonces grandiloquentes (« si vous cherchez un moment – le moment – auquel suspendre le reste de ma vie, c’est celui-ci. Sur cette côte dentelée en marge du monde, par une nuit où le feu régnait et tombait du ciel, je trouvais un objectif », p. 747) Le ton général du roman est celui-là, théâtral et exagéré. Certains passages frisent le ridicule par leur maladresse (sans jamais tout à fait y succomber), mais d’autres sont d’authentiques moments de gloire rappelant la grandeur d’un Hypérion, ce qui laisse entrevoir un auteur très prometteur (si le succès ne lui monte pas à la tête), comme cet extrait que j’aime beaucoup : « Les poètes rendent les combats spatiaux romantiques ; les opéras holographiques en font des représentations son et lumière. Même vue de l’intérieur, une bataille n’a rien d’un spectacle. De loin, la guerre n’est que lumière et silence » p. 745)



Je ne sais pas encore si je vais continuer cette saga. Les quelques mystères soulevés en passant dans ce tome I (mais pas suffisamment mis en avant à mes yeux) me pousseraient à continuer. Les autres tomes coûtant très cher (25 euros l’un!), j’attendrai sans doute qu’ils sortent en poche. Je pense néanmoins que cette saga peut plaire à beaucoup de lecteurs (c’est déjà le cas d’ailleurs, au vu des ventes et des critiques), surtout ceux qui aiment la fantasy et les univers épiques. Fans de SF très mature ou de textes minimalistes, en revanche, passez votre chemin !

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Le dévoreur de soleil, tome 3 : Le démon blanc

Un livre peut parfois réussir à vous donner des frissons, à vous pousser à méditer et à vous éveiller. Un livre peut parfois vous amener à faire des choix et à réfléchir sur le sens de ce qui vous importe à l’instant t durant vos sessions de lectures. Ce troisième livre et la saga dans son ensemble font partie désormais de ces livres-étapes dans ma vie.
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

Premier livre de la saga Le Dévoreur de Soleil, L'Empire du Silence, nous conte les débuts de vie de Hadrian Marlowe.



De la SF très ressemblante à Dune au début, le texte est une biographie, donc intimiste, d'un homme condamné à mort, qui écrit ses mémoires avant son exécution. Un homme ayant vécu de nombreux siècles, ayant détruit un soleil et exterminé tout un peuple.

Nous suivons ses péripéties, dans la noblesse, dans sa déchéance, dans l'arène, ainsi que ses progressions futures.

De la politique, du combat, de l'archéologie, des contacts extraterrestre,...il y a de quoi faire dans ce gros bébé de 788pages.



La lecture est agréable, mais il faut s'accrocher, car c'est lent et avec un univers très riche.

J'ai bien accroché et vais continuer mon aventure, en suivant ce personnage d'un lointain futur, à travers ses nombreuses périodes de vie.



Le point fort, en dehors de la richesse de l'univers, c'est que l'on arrive à s'identifier à Hadrian, ayant des sentiments proche des siens, tout au long de l'œuvre.



Un index bien développé, se trouvant à la fin du livre, aide à comprendre certaines terminologies provenant principalement de la Rome Antique.



Une très belle découverte, pour ce début de saga Space-Opéra.
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Le dévoreur de soleil, tome 2 : Les ténèbres hu..

Christopher Ruocchio signe une véritable Odyssée dans l’espace, où son héros est admirable, touchant et n’aura de cesse de voler d’épreuves en épreuves. Après avoir lu la dernière page, on en redemande encore. La saga du Dévoreur de soleil mérite d’être lue pour toutes ses raisons !
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

L’Empire du Silence est un bon roman introductif à une saga qui semble prometteuse. Hadrian Marlowe est touchant et ses instants de gloire et de souffrance nous interpellent grâce à un style particulièrement intime. A la lecture, nous avons envie de comprendre son histoire et les raisons qui l’ont poussé à trahir son empire. Mais encore plus que le personnage, l’univers dans son ensemble nous fait rêver, entre science-fiction et fantasy. Je recommande chaudement ce livre et j’attends avec impatience l’arrivée du tome 2 !
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

Pour les amateurs de science-fantasy à l'ancienne, le roman de C. Ruocchio devrait faire merveille.



Avec son univers old-school et son héros à l'avenant, les vieux de la vieille devraient prendre leur pied à voyager aux quatre coins de la galaxie.



C'est vrai que ça manque parfois de nuances et que les personnages ne font pas vraiment dans le dépassement de fonction mais si on arrive à fermer les yeux, c'est une lecture fun et tout à fait recommandable.
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

Ce livre marque mon entrée officielle dans la lecture de science-fiction. Il a réussi à m'évoquer Patrick Rothfuss (un peu) de par son style et à me faire apprécier un genre qui m'effraye de par sa complexité et son aridité.

ATTENTION SPOILERS

J'avertis le futur lecteur que les thèmes abordés sont très adultes et que des scènes de tortures sont présentes et décrites de façon graphique dans ce livre. D'une façon générale, ce récit est d'une incroyable violence psychologique. Ce n'est pas un thriller mais presque. Pas de mystère mais je comprends pourquoi l'auteur nous vend son héros comme un Anakin Skywalker alternatif, un monstre qui détruira des soleils et annihilera la moitié de la galaxie. J'imagine très bien ce monde comme le futur de Star Wars où les humains ont pris le contrôle de la galaxie, banni la technologie et réduit les aliens en esclavage.

FIN DES SPOILERS

En tout cas j'aime à ce point ce livre et son univers que j'ai à un moment (dans un coup de folie sans doute, un tel livre se déguste lentement et religieusement) envisagé lire sa suite en anglais sans attendre sa sortie en version française !
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Le dévoreur de soleil, tome 4 : Les royaumes ..

Ce tome 4 du Dévoreur de Soleil est absolument haletant et d’une noirceur profonde, quelle descente aux enfers pour notre héros ! Je ne m’attendais pas du tout a un tel livre ni a une telle souffrance. Définitivement le livre qui m’aura le plus marqué en 2023.
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Le dévoreur de soleil, tome 4 : Les royaumes ..

Les Royaumes de la Mort est probablement le tome le plus sombre de la saga mais aussi le plus réjouissant car les révélations sont légion !
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

3.5*

Un roman de "science-fantasy" qu'il me tardait de lire. J'en suis sortie avec une impression mitigée. Le début parvient à accrocher le lecteur en utilisant des ingrédients certes plutôt classiques, à la Dune, mais efficaces. L'univers est développé et on a envie de connaître les autres planètes. Les nombreux rebondissements et changements dans la vie d'Hadrian, personnage principal et narrateur, nous tiennent en haleine et nous poussent à tourner les pages. Il est dommage cependant qu'Hadrian soit parfois aussi imbuvable et incohérent dans ses prises de décision. Ses longs monologues mentaux apportent des longueurs au récit qui aurait pu gagner de nombreuses pages en nous les épargnant. Néanmoins, je laisse à Ruocchio et sa saga le bénéfice du doute, ayant été séduite par les créatures antagonistes, les Cielcins mais aussi par la famille d'Hadrian, qu'il me tarde de voir davantage développée dans la suite.

En bref, un roman très dense, comportant quelques longueurs et dont le personnage principal ne m'a pas convaincue, mais qui surprend par les thèmes abordés et par son univers.

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Le dévoreur de soleil, tome 2 : Les ténèbres hu..

Encore une réussite même si j'ai eu du mal temps à rentrer dedans.

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Ma lecture du tome 1 datait de janvier dernier. On se retrouve plusieurs années (lumières) après la fin du précédent tome, avec une dynamique entre les personnages qui a changé. Et j'avoue avoir été un peu perdue au début, ne sachant pas si les événements passés et narrés par Hadrian, étaient des oublis de ma part ou des choses qui s'étaient déroulés "hors champ". Il m'a fallu du temps pour accepter que ce qui était mentionné, n'avait pas été "vécu"/"lu" par moi. Heureusement, ce sentiment est vite passé et encore une fois, Hadrian, ses amis et la richesse de l'univers font qu'on a envie de poursuivre la lecture.

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Surtout qu'à la moitié du roman, les événements et les actions s'enchaînent avec peu de temps de morts.

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Les passages avec Sagara et les Cielcins ont été mes arcs préférés et la relation Valka-Hadrian s'appronfondit encore plus pour mon plus grand plaisir. J'ai adoré suivre leurs échanges.

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Les interventions du vieux Hadrian apportent vraiment un plus au récit et tease l'avenir du personnage. Cette narration en 2 temps me plaît énormément.

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Je reprocherai juste quelques répétitions et le début qui a été un peu laborieux pour moi donc vraiment peu de choses au final.

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Ce tome est riche en émotion. Le dernier tiers est incroyable, la fin ouvre une nouvelle voie pour Hadrian et je serai au rendez-vous.

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The lesser devil

Après avoir découvert et adoré L’empire du silence, le tome 1 de la saga Le dévoreur de soleil de Christopher Ruocchio en mars dernier et avant de lire le tome 2, Les ténèbres hurlante, reçus tout deux en SP de la part des éditions Bragelonne, il me fallait découvrir la nouvelle qui se situe entre ces 2 tomes, The lesser devil. Cette nouvelle n’a malheureusement jamais été traduite en français, aussi ai-je lu sa version numérique en VO.



L’action se situe donc une trentaine d’années après le 1er tome et nous revenons sur la planète d’origine d’Hadrian pour y retrouver son frère Crispin dont nous avions déjà fait la connaissance. Il se retrouve aux prises d’ennemis inconnus et mystérieux en compagnie de Sabine, leur soeur conçue après le départ d’Hadrian.



J’ai particulièrement aimé cette courte nouvelle car elle m’a permis de découvrir Crispin sous un angle nouveau. En effet, dans le 1er tome de la saga, il m’était plutôt apparu comme le petit frère imbu de sa personne qui faisait tout pour attirer les bonnes grâces de leur père alors qu’Hadrian ne semblait jamais être à la hauteur des attentes paternelles.



Ici nous avons le point de vue de Crispin et surtout nous constatons qu’il souffre énormément de la disparition de son frère. Sa relation avec son père n’est pas si facile que ça. Hadrian, bien qu’absent de cette nouvelle, y est donc pourtant très présent grâce aux pensées de son petit frère. Sabine fut également un personnage très intéressant à découvrir.



En définitive, c’est une nouvelle dans la droite ligne du 1er tome qui me donne encore plus envie de découvrir la suite de cette incroyable saga ! Ce sera chose faite tout bientôt !
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Le dévoreur de soleil, tome 2 : Les ténèbres hu..

Digne successeur du premier tome, nous nous retrouvons dans une suite beaucoup plus Space-Opera, où notre imagination peut vraiment se faire plaisir. Tant de richesse et de travail dans l'univers de l'écrivain, donnent vraiment envie de continuer cette saga.

Nous commençons à entrer dans un genre SF/Fantastique et sombre avec Ténèbres Hurlantes, où Hadrian devra continuer son chemin d'épreuves et de désillusions.
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Le dévoreur de soleil, tome 1 : L'empire du s..

Sympa, mais les références du bandeau exagèrent...

La référence au nom du vent ne tient que sur le dispositif de narration. Sur ce point, je préfère nettement Calame. Quant à Dune, s’il suffit de quelques planètes...



Cela reste sympa, j’attends la suite.
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