- Pour mari et femme vivre bien ensemble, eux devoir être Yin et Yang. Accepter et comprendre les différences. Eux devoir vivre et laisser vivre, dit-il en se levant et s'inclinant devant elle. Temps pour vous partir. Vous pas oublier : pour faire place dans esprit pour une autre âme, toujours commencer par soi-même.
- Je dis simplement que c'est un homme difficile à connaître. C'est un solitaire. Il ne s'ouvre à personne, dit-il avant de laisser échapper un rire amer. Cela dit, nous, les hommes, ne sommes en général jamais disposés à révéler ce que nous pensons ou ressentons. S'il y a bien une chose que l'éducation scolaire publique procure, c'est une capacité inégalée à supprimer ses émotions.
Je devais travailler plus dur, être plus intelligent que mes collègues, cependant, quels que soient les efforts que je fournissais, ce n’était jamais suffisant. Je suis devenu le bras droit indispensable d’une succession d’officiers très moyens, à peine compétents, qui me récompensaient tous d’une tape sur la tête comme un bon chien, avant de promouvoir le premier idiot venu. Il y a quelque chose d’inné chez les garçons des écoles publiques, et notamment chez les Etoniens, c’est ce sens profond que tout leur est dû. Moi, de l’autre côté, j’ai dû suer sang et eau et me battre pour grappiller les restes.
Mais il est difficile de s’adapter si votre cœur demeure dans un autre pays.
Seulement quand aimer soi-même être possible trouver place pour aimer Dieu et aimer autres. Quand aimer soi-même, possible faire place dans l'âme pour faire preuve miséricorde et bonté envers les autres, sans juger. [...]
Compassion avant tout. Aimer soi-même. Puis, clémence avec autres. Pardonner. Mais d'abord pardonner à soi-même avant de pouvoir pardonner aux autres. C'est la nature. C'est ainsi que nous vivre dans nature, en paix avec Dieux et monde entier.
Il y a beaucoup de sagesse chez les Chinois, dit Mary. Si seulement nous y prêtions l'oreille. Nous, les Britanniques, sommes trop prompts à penser que nous avons toutes les réponses et que les autres races et cultures sont de second ordre et n'ont rien à nous offrir.
Ma grand-mère m'a dit un jour que le secret d'un mariage heureux était de considérer l'amour comme un verbe et non pas comme un nom. C'est quelque chose que l'on fait et que l'on montre; pas un état dans lequel on se trouve.
Pour vous dire la vérité, Evie, je trouve qu'être dans un endroit comme la colline de Penang ou que de marcher le long de la plage me permet tout aussi bien de parler à Dieu. Il ne discrimine pas où il va.