Claudia Gray

Si le troisième tome m'avais laissé perplexe quant à la suite, ce n'est pas le cas de ce dernier tome sur les aventures de Bianca et Lucas (le cinquième tome est en fait un spin-off centré sur notre cher Balthazar )

Même s'il est quand même moins bien que le premier tome, on retrouve dans cette suite l'élément qui a fait de cette série (pour moi) son succès... le retournement de situation. Et quel retournement ! pour le coup je ne l'avais vraiment pas vu venir ! Bon je ne vous le cache pas, c'est encore un Happy Ending à la fin, mais pas forcément celui auquel on pensait. quant à Bianca, si dans le troisième, sa condition de spectre m'avais quelque peu refroidi, je trouve que dans celui là c'est un atout considérable

Enfin bref, malgré une baisse de régime au troisième tome, cette saga reste assez agréable à lire

Moi qui avais peur d'être déçue, ce fut tout le contraire ! Que d'action, de révélations et de surprises ! Dans ce tome, Bianca paraît beaucoup plus mature. J'ai beaucoup plus apprécié sa personnalité. On rencontre encore cette confrontation entre les cans. D'un côté, Bianca spectre et de l'autre Lucas vampire. Le fait qu'elle soit un fantôme, a rendu les choses moins classiques, moins banales. J'ai eu cette impression de comprendre les personnages. Surtout Mrs Bethany. Au début, cette femme avait l'air moins cruelle. Surtout qu'elle s'avère être la femme de Christopher. Christopher, qui est le spectre puissant, que Bianca en fin du tome 3 essaie d'éviter. Grande surprise ! Je ne m'y attendais pas du tout ! Et encore moins, lorsqu'il est révélé qu'ils faisaient tous deux partie de la croix noire ! À la fin du livre, Lucas redevient humain à mon grand soulagement. Tout rentre à peu près dans l'ordre. Bref, j'ai pris énormément de plaisir à lire ce quatrième volume. Les actions se succèdent, ça n'en finit plus, et c'est prenant.

Ceci est le 5e et dernier tome de la saga. On y perd de vue Bianca et Lucas pour se pencher sur Balthazar et Skye.

Ce changement de personnages qui sur le coup ne m'a pas ravie a en fait était très plaisant à lire, l'histoire est gentillette mais prenante. J'hésite entre celui-ci et le second comme tome préféré, mais en bref, ce fût un régal ! Si vous êtes en train de lire la saga, tenez bon, la fin vaut le coup !

Dans ce cinquième tome, nous suivons les aventures de Balthazar et de Skye.

La jeune fille a désormais des pouvoirs depuis qu'elle a sauvé Bianca, ce qui lui fait courir de grands dangers. Heureusement, Balthazar est là pour veiller sur elle, d'autant plus que l'apparition d'anciens ennemis le replonge dans son passé, au moment où il est devenu un vampire. Un lien très fort se créé entre eux...

Ce nouvel opus est une sorte de spin-off : Bianca et Lucas n'y font qu'une brève apparition et j'ai beaucoup apprécié découvrir le passé de Balthazar, comment il a été transformé et pour quelles raisons.

Le personnage de Skye m'a aussi beaucoup plu : cette jeune fille, confrontée à des événements surnaturels et souvent violents, fait face avec beaucoup de courage et de détermination.

L'histoire d'amour entre ces 2 personnages rajoute une touche de romantisme et fait écho à celle de Bianca et Lucas.

Vivement le tome 6 !

Un spin-off GENIAL !!! J'ai juste carrément adoré !!!

Le duo Skye/Balthazar est juste super, leur relation est totalement différente de Lucas/Bianca mais toute aussi intéressante.

Quand à l'intrigue, elle est juste super. L'auteur a su trouver l’équilibre entre les spectres, les vampires et les humains qui manquait dans les autres tomes.

Bref, un régale pour les yeux et un très beau point finale a cette saga qui malgré une petite baisse de régime reste très sympa à lire

Que dire … Je suis tellement contente d’avoir terminé cette saga, Marguerite est absolument insupportable. L’écriture de l’auteur est très bien cela dit et les chapitres sont assez courts pour sauter de monde en monde. Passer votre chemin si vous n’aimez pas les romans jeunesses avec des héroïnes (physchiquement) jeunes.
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C’est parti pour une chronique qui a vraiment pris son temps pour arriver sur le blog !



Le troisième tome de Firebird nous replonge dans cette intrigue complexe de sauvetage des dimensions, de complots aux multiples facettes, et de surprises sans fin. Marguerite doit poursuivre son double (le plus maléfique qu’elle connaisse) et empêcher qu’elle ne tue d’autres versions d’elle-même. Paul sera à ses côtés, mais il a tellement changé… est-il encore possible que leur amour survive, alors que lui se sent si fragmenté, et que la menace pesant sur les différents univers parallèles s’alourdit encore ?



Mon résumé est comme d’habitude un peu pourri, mais vous conviendrez que résumer une intrigue qui se déploie sur trois tomes et prend en compte plusieurs dimensions, en plus d’autres choses, ça commence à devenir compliqué.



Lorsque le roman est sorti, je n’avais qu’une hâte : qu’il finisse dans ma PAL ! Pauvre de lui, il a malheureusement ensuite attendu beaucoup trop longtemps, vu que j’ai dû faire passer des SP, et d’autres romans plus anciens avant lui. Au final, quand je me suis plongée dans le bouquin, le feu était un peu éteint. Pour autant, j’ai vraiment apprécié ma lecture !



Marguerite est cette fois confronté à un problème de taille : son double maléfique, venant de la dimension où le complot se déploie le plus, a décidé d’éradiquer les autres versions d’elle, histoire qu’elle ne puisse plus intervenir dans le plan foireux qui se met en place. Et comme si cela ne suffisait pas, et que cela n’était pas assez traumatisant (imaginez débarquer dans un corps coincé dans une bagnole qu’on vient de flanquer à l’eau), il faut rajouter la couche « Paul ne sait plus où il en est, ne sait plus qui il est », qui va provoquer de gros remous dans leur relation amoureuse.

Oui, c’est clair, là, c’est pas du pipi de minet, loin de là. C’était déjà chaud dans les deux premiers tomes, mais Claudia Gray a su relancer l’intrigue pour nous offrir un final vraiment sympathique.



Restons sur les personnages, que j’ai beaucoup apprécié. Marguerite est vraiment un personnage fort, avec ses faiblesses, mais qui ne recule pas face à l’adversité. Elle tente de comprendre pour avancer, ne se laisse pas abattre, et avance malgré toutes ses frayeurs et ses blessures. J’ai beaucoup aimé sa détermination, sa foi en l’amour et tout son chemin. Elle est très humaine.

D’autres personnages gravitent autour d’elle et provoquent notre sympathie ou notre rejet. Il y a par exemple Paul, qui nous fait osciller entre plusieurs sentiments, entre l’énervement et la compassion. Il est quand même d’une belle intégrité, et au fond, on ne peut que comprendre ses doutes. Qui n’en aurait pas à sa place ?

La famille de Marguerite, ainsi que Théo, mais aussi les autres Marguerite ont aussi beaucoup de choses à apporter au récit. Il faut d’ailleurs mentionner que Claudia Gray a parfaitement réussi à nuancer chaque personnalité autour de « l’originale » en fonction de sa dimension d’appartenance. Il faut comprendre ici que par exemple, chaque Marguerite issue d’une nouvelle dimension est semblable à celle que l’on suit, mais avec des variations uniques pour chacune. C’est top !



Au niveau du rythme, j’avoue que la première partie de course-poursuite m’a un peu laissée de marbre. Aucun problème n’est résolu, Marguerite rame et c’est éprouvant. Pourtant, on comprend bien vite que cette étape est nécessaire dans la résolution du problème ensuite, et qu’il faut en passer par ces échelons pour gravir la montagne (fichtre, je deviendrais poète !). C’est l’arrivée dans une dimension qui défie les codes qui relance tout à fait le rythme de fou que j’avais apprécié dans les tomes précédents. Cette fois-ci, l’héroïne retrouve de son mordant, de sa capacité, et bam, c’est reparti !



L’imaginaire déployé par l’autrice est franchement intéressant. Moi qui ne suis pas trop SF et qui pourtant ai déjà lu des romans sur les univers parallèles, ou multivers, je suis franchement admirative de ce qu’elle a créé. C’est fascinant, envoûtant et il y a cette dose de danger, de risque qui rend la chose si intéressante. En plus de ça, avec ses personnages très humains, Claudia Gray nous fait évoluer dans une intrigue riche, parfois complexe, mais toujours à portée. Le fait que Marguerite ne soit pas portée sur le délire physique de ses parents aide, pour ça !



La plume est bien évidemment toujours aussi belle, mais aussi proche du caractère de Marguerite. Il n’y a pas de décalage entre la narration et son caractère : c’est le même niveau. Je n’ai pas eu l’impression que le propos était trop élevé ou que c’était une femme plus âgée qui parlait. J’étais dedans, avec elle, au milieu de ses pensées et de ses problèmes, avec son regard artistique si particulier, dans ses émotions belles et douloureuses.



Concernant les valeurs, l’amour triomphe toujours. L’autrice nous montre aussi à quel point les dérives de l’amour peuvent provoquer les dégâts, surtout lorsqu’on n’accepte pas le départ d’un être aimé. Nous avons toute la palette qui se déploie, ou presque. Nous avons le pardon aussi, qui fleurit, l’altruisme, l’espoir et la conviction que demain sera meilleur. La foi de Marguerite en Paul est aussi merveilleuse, et on voit ici que parfois, le soutien inconditionnel de quelqu’un d’autre est la chose qui nous manque pour atteindre la personne que nous voudrions être réellement. Que nous sommes réellement.



Enfin bref, ce troisième tome conclut très bien la saga de Firebird, nous embarquant dans une intrigue qui a un rythme moins envoûtant en premier lieu, puis qui reprend une cadence vraiment sympa. Marguerite est confrontée à de sérieux soucis, tant personnels que dans la mission qui lui échoue. L’imaginaire est fascinant, prenant, et au milieu de la richesse des caractères qui se déploie, on ne peut que se plaire. Avis à ceux qui veulent de l’originalité et du bon, c’est par ici ! Ce sera un 17/20 pour moi, et je vous conseille la saga !
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Encore un roman de science-fiction qui n’a pas su conquérir mon cœur de lectrice. Ils sont plutôt rares je trouve. Celui-ci, je l’ai lu quasiment à sa sortie puis relu à la sortie du tome 2 pour me remémorer l’histoire. J’avais plus ou moins apprécié ma première lecture mais un peu moins lors de la relecture.

J’ai aimé l’univers basé sur un espace partiellement conquis, plutôt complet, complexe et surtout intéressant. C’est un univers de science-fiction futuriste.

J’ai dû attendre bon nombres de chapitres pour m’imprégner totalement de l’univers et des personnages malgré le fait que l’action commence assez rapidement et que les chapitres soient rythmés. Je n’étais sans doute pas assez prise par l’intrigue et la plume.

La fin du roman m’a davantage plu parce qu’elle se termine sur un cliffhanger bien sympathique qui rattrape quelque peu le reste et qui m’a quand même donné envie de lire la suite.

J’avoue m’être quand même un peu ennuyée sur une bonne partie du roman suite à des longueurs trop présentes qui ralentissent l’intrigue.

Heureusement, la plume et les personnages ont fluidifié la lecture. La plume est un petit peu addictive et avec les quelques passages d’action, j’ai eu envie de découvrir ce qu’il allait arriver de bien ou de mauvais aux personnages.

Les héros sont attachants. Ce qui leur arrivent est touchant et on s’accroche à eux pour les émotions qu’ils nous font ressentir. La question de l’humanité chez les intelligences artificielles est abordée avec intérêt et m’a bien intéressée.



Conclusion : Un roman assez bien mais qui ne m’a pas passionné plus que ça.

Genesis est un roman que j'ai eu la chance de découvrir grâce à la masse critique. Je les remercie.

Je dois avouer que lorsque Genesis est sorti en librairie, j'ai hésité à me le procurer. Donc lorsque j'ai eu la chance de pouvoir le lire, j'ai sauté sur l'occasion. J'ai tout de suite été attiré par le lien humain et robot (débat important dans notre société aujourd'hui).



Nous rencontrons tout d'abord Noemi, une adolescente au fort caractère qui montre au fil des pages que la vie des autres lui importe bien plus que la sienne. Pour elle, aucune entente n'est possible avec les ennemis de Genesis. Elle décide donc courageusement de les combattre.

Tout changera quand elle rencontrera Abel.

Abel est un méca qui n'est pas comme les autres. Il ira à l'encontre de ce pourquoi il a été conçu pour protéger Noémi.



J'ai vraiment apprécié les personnages que j'ai trouvé attachant et le caractère de Noémi m'a captivé. Nos deux personnages parcourent les différentes planètes et Claudia Gray nous décrit chacune avec une habilité déconcertante. Sa plume est captivante sans rentrer dans des termes trop compliqués.



Genesis - le défi de l'étoile est un roman mélant SF et romance sans que la romance ne prenne trop d'importance ni que l'histoire ne donne dans le "nian-nian". Cela donne un réel intérêt à ce livre que je ne regrette absolument pas d'avoir découvert. J'ai hâte de décourvrir le tome 2.

Une merveilleuse lecture. D'ores et déjà transportée dans l'espace rien qu'en visualisant la superbe couverture, j'ai fait un super voyage. Sous des airs de road trip à bord d'un vaisseau spatial, j'ai embarqué à bord avec Noémi et Abel. Deux personnages que tout oppose, déjà Noémi est humaine, elle vit sur Génésis, soldat en guerre contre la Terre, prête à l'ultime sacrifice pour sauver son monde.. Abel est un méca, une machine crée sur Terre, son ennemi juré, il est resté enfermé dans un espace de son vaisseau pendant 30ans, temps pendant lequel il a pu évoluer. J'ai adoré ces deux personnages, Abel qui apprend les sentiments m'aura fait passer par toutes les émotions les plus pures, les plus sincères tout au long du récit. Sa condition de méca, ses capacités, sa façon de voir, d'analyser et finalement de ressentir, tout en lui est beau dans son sens le plus vrai. On visite l'espace, on fait de belles rencontres, ces rencontres qui changent une vie. Ces moments restent mes préférés, ce choc de cultures un peu mais surtout cette entraide, cette capacité à apprendre de l'autre, à le respecter, à l'aimer malgré les différences. Bien que l'aspect politique m'a intéressée c'est bien le côté humain qui m'aura le plus touchée. Il y a une authenticité palpable, qui fait ressortir le meilleur de nous en lisant ce livre. J'ai vraiment hâte de lire la suite.

Un très bon premier tome passé les premières lignes car je me suis sentie perdue au début le l’histoire. Au fur et a mesure l’univers s’installe et il est juste génial.



Noémi et Abel, nos protagonistes vont s’allier afin de sauver le monde de Noémi. Abel est le personnage qui m’a le plus intrigué
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Je ne m'attendais vraiment pas à ce que j'ai lu. En survolant le résumé et à cause de la couverture, je pensais lire une romance un peu bateau avec de la sf en arrière-plan.

J'ai été très agréablement surprise !

Je crois que j'ai adoré l’héroïne dès les premières pages. On la cerne assez vite : elle a un bon franc parlé et un caractère fort, et lors de l'intrigue, elle dévoile petit à petit pas mal de facettes de sa personnalité. C'est une héroïne forte et humaine comme je les aime ! Le second personnage est tout aussi attachant. Moi qui croyais lire un cliché ou comme par magie, le robot pense et agis comme un humain normal ! Mais c'est bien plus complexe que ça. En fait, ce roman nous expose toute une réflexion sur le sujet : par quoi se caractérise l'humanité, quelle est la limite entre la conscience et la programmation. Un sujet très bien traité dans ce roman, vraiment.

L'univers est aussi tout à fait bien construit. Tout est très bien expliqué, clair et bien développé. Pour une fois, c'est les terriens les méchants, et ça m'a surpris, c'est une bonne chose (même si bon, c'est moins manichéen que ça !). On découvre donc cinq planètes qui ont toutes leurs spécificités, et j'ai adoré en savoir plus sur chacune d'elle.

L'intrigue est très bien ficelée (décidément, tout va !), enchaînant de l'action bien rythmée et prenante avec des moments d'émotion, de réflexion et de description vraiment bien écrites, pas du tout barbantes. De nouveaux personnages se rajoutent au fur et à mesure, et prennent de l'importance. Même si je m'y suis moins attaché qu'à nos deux protagonistes, ils restent bien amenés et sympathiques. De même, les révélations et les infos capitales sont distillées au fur et à mesure, jusqu’à la fin, et même si on n’a pas la conclusion tant attendue (il faudra attendre le tome 2 pour ça!) j'ai vraiment beaucoup apprécié l'intrigue. Je quitte ces personnages avec une pointe de regret et j'ai vraiment hâte de lire la suite de leurs aventures !

N'hésitez pas à me donner votre avis sous ce post si le livre vous a plu aussi ! Je ne le vois nulle part sur Booksta, c'est bête !
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(Ça doit faire 1 mois que j’ai abandonné le roman. Je ne me rappelle plus à 100% mon ressenti quand à ce livre, mais je vais essayer de faire de mon mieux.)

J’ai essayée de lire ce livre. J’ai bien essayée, mais je n’ai pas réussie.

Ce roman m’avait séduit par le prologue, la couverture et le titre, ça m’avait fait rêver ... Donc j’ai lût, mais seulement 60 pages. Pourquoi ? Car c’est difficile à suivre . Il y a trop de mots compliqués, j’ai eu du mal à comprendre à 100% ce dont parlait les personnages. Et les explications, mon dieu les explications !! C’était trop long, Abel parlait trop, et Noémi aussi d’ailleurs. Autant au début il y avait de l’action, mais après ...

Ça m’énerve de ne pas avoir pût continuer ce livre, car il avait l’air d’être bien. J’adore le spacs opera d’habitude, mais ce roman était si fastidieux à lire que ça ne m’a plus donné envie de le continuer. Après, je ne sais pas si c’est moi qui suis trop jeune, ou trop bête.

Bref, c’est la première fois que ça me fais ça avec un roman. De l’abandonner parce que je m’endors tant il y a d’explications difficiles à suivre et des mots compliqués. Et des livres, j’en ai lû beaucoup !

Après, ce n’est que mon avis. Si vous avez apprécié de lire ce livre, tant mieux. Je dis juste que je n’ai pas eu une lecture très agréable à cause de ça. Sinon, le commencement du roman était bien.

Abel était mon personnage préféré.

Noemi rencontre Abel, un meca super sophistiquée, quant il la voit, il veut et il doit la tuer, pourtant, sa programmation va prendre le dessus et il doit obéir et aider Noemi jusqu'à ce qu'une personne de rang supérieur lui donne un ordre. Pourtant, il va commencer à s'attacher à Noemi.

Ce livre de SF va vous étonner et vous surprendre en bien. On se laisse prendre par l'histoire et les personnages.

j’ai eu la chance de lire grâce à NetGalley et Castelmore que je remercie ! Il faisait partie des sorties du mois que j’attendais le plus, alors que je l’ai vu disponible sur la plate-forme j’ai sauté dessus (comme un loup affamé, oui rien que ça !)



J’étais tellement sûre que ça serais génial et que j’allais aimé que j’ai commencé par être un peu déçue. On rentre dans le vif du sujet direct puisque l’histoire démarre par une bataille entre Genesis et la Terre dans le système solaire de Genesis. Au coup de cette bataille Noémi découvre un vaisseau dans lequel ce trouve Abel, un méca, le plus perfectionné de tout les mécas existant.



Bref, je ne saurais dire pourquoi mais j’ai mis du temps à entrer dans l’histoire. Par contre, une fois dans l’histoire j’ai été de plus en plus captivée et passionnée par l’histoire. Noémi cherche un moyen de sauver Genesis et ordonne à Abel de l’aidé. Sa programmation l’oblige à le faire. Ils parcourent donc les différentes planètes colonisées par la Terre pour trouver tout ce dont il ont besoin pour réussir leur mission. Ce que j’ai adoré c’est découvrir chaque planète, chacune très différente les une des autres. L’auteure à vraiment bien pensé son univers. Chaque planète à une fonction, une structure qui lui est propre, un système écologique etc. Et pourtant ils sont tous lier.



L’histoire est assez simple, deux mondes qui sont en guerre. Les personnages font chacun parti d’un camps et sont amener à travailler ensemble malgré leur différences. Mais je trouve que l’auteure à vraiment su faire en sorte de démarquer son histoire et d’en faire un récit unique et original. En plus de ça, l’action est présente tout au long du roman, bien disséminé au fils des pages. J’ai vraiment été prise dans l’histoire, dans les découvertes des personnages et leur rencontres.



Les personnages ne m’ont pas particulièrement plu au début, mais au fur et à mesure de leur évolution, de l’avancement de l’histoire, de leur rapport qui change tout au long du roman j’ai de plus en plus été attaché à eux. Abel est vraiment touchant pour un robot ^^’



La plume de l’auteure m’a séduite. Son histoire est très dynamique et très rythmé. Je dois avouer que même si j’ai mis un peu de temps à entrer dans l’histoire, les derniers chapitres m’ont plus que plu ! J’ai adoré la fin, au point que je vais même classé cette lecture en coup de coeur, grâce à la fin !!



Bref, vous l’aurez compris, un livre que j’ai mis du temps à apprécier mais dont la fin m’a tellement plu qu’il est quand même un coup de coeur, j’ai carrément hâte de lire la suite ! Je vous conseil ce premier tome les yeux fermé !
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Génésis combine le roman space opera à toute une réflexion autour de l'humanisation des robots. L'histoire nous entraîne aux côtés de l'étonnant et attachant duo formé par Noémi et Abel pour sauver le sort de la planète Génésis dans sa guerre contre la Terre. le roman nous fait naviguer de planète en planète, tandis que les deux héros s'apprivoisent et qu'Abel se découvre des sentiments et pensées inattendues. L'action est bien dosée dans ce roman signé Claudia Gray, aussi intriguant que prenant et original dans le traitement de ses thématiques pourtant vues et revues en littérature jeunesse et générale. Je suis curieuse pour la suite !
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Un peu de mal à entrer dans l'histoire au départ, mais les derniers chapitres m'ont vraiment séduites. Un bel univers dans lequel on voyage à travers les descriptions des différentes planètes. J'ai hâte de lire la suite.
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Noémi se retrouve sur un vaisseau spatial abandonné. Elle y découvre Abel un androïde expérimental qui ressemble parfaitement à un être humain tout en possédant des capacités surhumaines.

La jeune fille décide de l'utiliser afin de trouver un moyen d'enrayer l'invasion de sa planète Génésis par les Terriens.

S'ensuit une course à travers l'espace pour rassembler sur les quatre planètes occupées par les humains les éléments nécessaires à son plan.



Je l'ai lu en une seule traite, rapidement.

Au final, je dirais que c'est un honnête petit roman de science-fiction mêlant plutôt habilement aventure et romance (car évidemment, Abel se révèle être plus qu'un androïde).

Rien de palpitant mais on passe un bon moment. Les péripéties se succèdent (les personnages se baladent de planète en planète raidement et sans trop de problème) et les personnages sont sympathiques.



A partir de 13-14 ans

Claudia Gray nous propose un univers très riche dans lequel j’y ai retrouvé un étonnant mélange de Stargate, Gundam Wing ou encore Passenger (le film). On découvre la belle planète Genesis sur laquelle une partie de l’humanité a « migré » il y a quelques années. Mais, afin de préserver cette nouvelle planète, ses habitants ont bannis la plupart des avancées technologiques. Pas d’usines, peu de médicaments, pas de transplantation : si l’on se meurt, c’est qu’il y a une raison, et les habitants de Genesis acceptent leur sort avec une (trop) grande noblesse d’âme.



Une liberté que la Terre a vu d’un très mauvais œil. Et, au fur et à mesure que Genesis se détachait de l’influence et de la ligne directrice de la planète-mère, les terriens ont cherché à reprendre le contrôle de sa colonie. Aujourd’hui, l’armée génésienne est loin de faire le poids face à l’armée de mécanoides de la terre. Des androïdes sans âme ni conscience, qui ne sont là que pour une chose : accomplir les ordres et annihiler la résistance génésienne. Mais, surtout, éviter que cette même résistance ne se propage aux autres colonies terriennes…



J’ai vraiment adoré le monde qu’a mis en place Claudia Gray, mais aussi, et surtout, ses personnages, même si j’ai trouvé le début un peu long, le temps que toutes les particularités de cet univers nous soient transmises. Mais j’ai énormément apprécié découvrir la fougue de Noemi Vidal, et la singularité d’Abel. Tous les deux forment un duo des plus mal assorti, et on saisit très vite la dualité qui s’opère dans chacun d’eux. Et pourtant, malgré leurs préjugés, malgré leurs directives, leurs prises de positions, ils ne vont pas hésiter à remettre en question tout ce en quoi ils croyaient et à voyager à travers les mondes et les galaxies afin de se battre pour ce qui leur parait juste.



Avec ce premier tome, Claudia Gray pose donc les bases d’un monde qui va avoir de quoi nous surprendre. Genesis est mystérieuse, j’ai adhéré à ses principes et pourtant je ne pouvais m’empêcher de la voir bien extrémiste tout de même. J’ai eu un gros coup de cœur pour Abel, j’avais l’impression de voir un enfant découvrir la vie. Il est si naïf niveau émotions que cela en devient touchant, et j’ai vraiment aimé cet aspect là de sa personnalité. Il forme un duo de choc avec Noemi et je suis bien curieuse de voir jusqu’où toute cette histoire va pouvoir les entrainer ! Genesis a encore bien des secrets à révéler…
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Noémi se retrouve en tête à tête avec Abel, robot qui semble ressentir des émotions. A moins que ce ne soit programmé ?

Le sujet est déjà-vu et le traitement l’est également. On aborde ici tous les clichés possibles. Et, sans péripétie, l’ennui survient vite. Difficile en même temps d’innover lorsqu’il manque une réelle intrigue de fond. C’est dommage car l’auteur sait manier la plume et créer l’addiction dans ses lignes de texte. Mais il faut aller chercher dans l’originalité pour maintenir l’intérêt du lecteur. Seule la couverture aura donc réussi à charmer.
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