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Critiques de Daniel Pennac (2767)
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Au bonheur des ogres

Dans la famille Malaussène, il y a une voyante, un photographe, une infirmière enceinte, un savant fou (qui met le feu dans son école pour expérimenter...), un collectionneur d'ogres de Noël, un chien épileptique et ...un Bouc-émissaire ! Benjamin Malaussène est un héros pas comme les autres, bouc-émissaire de son état et chef d'une improbable famille. Sa mère revient tous les 3-4 ans enceinte et laisse l'enfant pour repartir à l'aventure avec un autre homme. Benjamin travaille dans un grand magasin et lorsqu'un client vient se plaindre pour un produit c'est à lui de prendre toute la responsabilité, une sorte de saint des temps modernes... Et pourtant...présent sur les lieux aux moments des explosions, le voilà accusé de meurtre, pourquoi lui ???? Simplement parce qu'il a l'extraordinaire faculté d'être toujours où il ne faut pas et au mauvais moment !



Le terme clé est dans le titre : un bonheur ! Daniel Pennac nous fait entrer dans un monde à part : un monde coloré, original et surréaliste où le bonheur et l'humour côtoient vite l'horreur. En effet, les ogres de Noël dessinés par le petit frère de Benjamin cachent une intrigue terrible au cœur de laquelle Malaussène va se retrouver. Pennac nous livre une galerie de personnages terriblement attachants où le bonheur règne dans cette famille hétéroclite. L'auteur a un indéniable sens de la formule qui fait mouche. Il transforme un fait d 'apparence banal en un roman original, où l'humour est omniprésent. Il met de la poésie partout, même dans le trivial, le quotidien, l'inintéressant. Sous sa plume, les personnages prennent vie et nous emmènent, pour notre plus grand bonheur, dans leurs tribulations burlesques. Un vrai conte moderne et décalé, plein d'humour et de tendresse. Un livre qu'on dévore...
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Au bonheur des ogres

Benjamin Malaussène est le héros d'une saga en 7 volumes dont celui-ci est le premier. Il est le narrateur de l'histoire.

Il faut s'accrocher pour comprendre les liens qui unissent les différents personnages de l'histoire. Ben (Benjamin Malaussène) est le grand frère d'une fratrie qui a été laissé à l'abandon par leur mère. Fratrie pour le moins loufoque, avec son lot de bizarreries. Tout d'abord Louna, enceinte, mais dont le mari ne veut pas du bébé, malgré tout l'amour qu'il éprouve pour elle. Ensuite, Thérèse, la voyante et Clara, la photographe obsessionnelle, mais encore Jérémy, qui met le feu à son école pour vérifier une de ses théories ou encore "le Petit" qui rêve d'Ogres de Noël. Reste à parler de "Tante Julia", reporter au magazine "Actuel, de Julius, le chien épileptique. Et bien évidemment, le chef de Ben, Sainclair, et le commissaire Coudrier, chargé de l'enquête. Car enquête il y a! Et heureusement, car c'est un des rares intérêt que j'ai trouvé à ce livre.

Le style est complètement décousu, le phrasé limite argotique. Tout part dans tous les sens, et il faut vraiment lire le bouquin jusqu'au bout pour comprendre le fil de l'histoire (évidemment, c'est là l'intérêt).

A propos de l'enquête, elle est rondement menée. Ben est mêlé à une série d'explosions qui se déroulent sur son lieu de travail, le Magasin. Elle nous mène à une secte née pendant la guerre... Et à des personnages abominables, je dirais même abjects. Mais je n'en dirai pas plus, pour ne pas donner trop d'indices.



En conclusion, ce style de lecture ne m'a guère plu. Ceci dit, l'auteur a beaucoup d'imagination, de culture générale et de l'humour, même si je n'y ai pas adhéré. Je ne regrette pas d'être allée jusqu'à la fin, mais je ne sais pas si je poursuivrai cette saga... en tous cas, pas tout de suite!
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Au bonheur des ogres

Benjamin Malaussène, bouc-émissaire professionnel, travaille dans un grand magasin parisien où sa mission consiste à se faire vilipender par son patron dès qu’un client mécontent veut porter plainte, dans le but de dissuader ce dernier... Apitoyer le chaland est certes un travail ingrat et peu valorisant, mais présente l’avantage d’être bien rémunéré. Et quand on est délaissé par une mère volatile et responsable de cinq frères et sœurs et d’un chien épileptique, c’est un argument de taille ! Malheureusement, une série d’explosions va venir perturber le quotidien tranquille du magasin, avec pour point commun à chaque fois une cible déterminée et un témoin récurent, à savoir : Benjamin Malaussène. Difficile dans ces conditions de ne pas éveiller les soupçons de collègues apeurés et de policiers suspicieux… Une seule solution pour sortir de ce pétrin : trouver qui se cache derrière le poseur de bombes et ainsi prouver son innocence. Une tâche périlleuse, qui conduira le jeune homme à faire de sombres découvertes…



« Au bonheur des ogres » est le premier tome d’une saga qui en comporte six et nous permet de faire la connaissance d’une famille nombreuse pas comme les autres… Les Malaussène se distinguent par leur excentricité, leur cohésion et leur sens de la débrouille. Il n’est pas évident, au début, de s’y retrouver parmi tous ces personnages qui gravitent autour de notre héros et j’ai parfois perdu le fil de ce polar fantaisiste qui brouille les pistes et mélange les genres. Mais le sentiment de confusion qui semble régner n’est qu’une apparence et c’est pour mieux nous surprendre à la fin que l’on nous embrouille au début…



Finalement, une fois passées la découverte du corps dans le photomaton et l’hypothèse d’un possible motif de vengeance, je me suis complètement laissée happer par l’histoire, avide de découvrir ce qu’il se cachait derrière ces meurtres en série visant des « ordures » (et le mot est faible…). Derrière l’apparente légèreté et la désinvolture du texte, engendrée par un humour omniprésent, on est donc surpris de découvrir que se dissimulent de sombres desseins et une réalité plus complexe, voire inquiétante. Malgré un début quelque peu laborieux, Daniel Pennac, grâce à son humour, sa fraîcheur et sa fantaisie, m’a donc donné l’envie de poursuivre l’aventure de la tribu Malaussène avec « La fée carabine » !
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Au bonheur des ogres

J'ai beaucoup apprécié l'univers de ce roman. J'ai trouvé l'écriture touchante et amusante. On s'attache vite aux différents personnages, on rentre dans leur monde pour s'évader le temps de quelques heures. Une lecture très agréable.
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Au bonheur des ogres

Dans un style peu classique mais un vrai style très riche, Pennac nous raconte avec beaucoup d'humour, deux histoires terrifiantes, une d'hier, celle des ogres, et l'autre d'aujourd'hui, celle de son héro, anti-héro

Ce roman est très drôle mais il sait aussi vous horrifier. L'intrigue est captivante, les personnages attachants...un vrai bon bouquin
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Au bonheur des ogres

AAAAHH la Saga Malaussène!!



Merci, merci Monsieur Pennac d'avoir offert à mes trente ans ces cinq joyaux !



"La fée Carabine", "Au bonheur des ogres", "la petite marchande de prose", "Aux fruits de la passion", "Monsieur Malaussène" : je les ai tous dévorés, savourés, et dans le désordre! ajoutant ma part de désordre au bazar foutraque et débordant de vie de la tribu Malaussène.



Savez-vous que vous avez donné vie à la plus vivifiante, la plus viscéralement attachante, la plus universelle famille qu'il m'ait été donné de connaître, et qu'en la découvrant il m'est arrivé d'avoir envie de me dire que je ferais n'importe quoi pour en faire partie?



N'importe quoi!

la nounou de la gueularde bébé Verdun!

l'accoucheur de mots de bébé C'est un ange, qui ne parle pas!

une bonne amie parmi d'autres de Benjamin, vivant dans l'ombre de sa belle Julie!

J'aurais même accepté d'être une puce sur le dos de Julius le chien!



N'importe quoi pour me nourrir à la sève de ce merveilleux concentré d'humanité hors normes.



Savez-vous que c'est suite à la lecture de la scène dans laquelle la flamboyante Julie, auréolée de sa chevelure rousse, déboule devant Benjamin dans sa petite voiture en plein Paris, que j'ai choisi d'appeler ma fille Julie?



Quinze ans ont passé et la nostalgie positive de ce bonheur de lecture est toujours là.



Merci Monsieur Pennac pour ces moments de pure joie et d'évasion.









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Au bonheur des ogres

Dans ce merveilleux livre, on découvre Benjamin Mallaussène, le héros au grand coeur de la saga Mallaussène, frère et figure paternel d’une tribu composée dans ce livre de 3 soeurs, une extralucide, une deuxième accrochée à son appareil photo comme à la vie, une dernière enceinte de jumeaux, et de deux frères, l’un collégien turbulent et l’autre encore bercé par l’innocence de l’enfance. Et il doit gérer tout ce petit monde, plus ou moins abandonné par leur Maman trop occupée avec ses amours éphémères et cumulatifs.



Mais comment fait-il pour remplir la soupière tous les soirs? En exerçant un métier peu commun : celui de bouc émissaire dans un grand magasin parisien. En deux mots, il encaisse les réclamations des clients et se doit de les apitoyer pour qu’ils retirent leur plainte. Entre une dame hurlant contre un frigo qui a enflammé tout le repas prévu pour Noël et un ours prêt à lui casser la figure, il essaie de mener une petite vie plus ou moins tranquille.



Sauf que quand les bombes se mettent à exploser dans le magasin, emportant à chaque fois une vie, en pleine période de fêtes qui plus est, il va se trouver dans un sacré pétrin. Il faut croire qu’il se trouve à chaque fois sur les lieux du crime, de quoi jeter le doute. Face à une enquête policière et des collègues en rogne, Benjamin va essayer de résoudre l’affaire. Une puis deux, trois, quatre bombes?! Qui lui en veut et pourquoi? Pourquoi tout ces vieux explosent-ils à côté de lui? Et voilà qu’en même temps débarque Tante Julie, journaliste très curieuse dont il s’entiche. A croire qu’on lui a jeté un sort…



Complètement déjanté, Daniel Pennac nous embarque dans une famille où rien ne se passe comme ailleurs, et où le rire côtoie de grands moments d’émotion tout au long de l’histoire. L’auteur fait la part belle au burlesque et à l’insolite. Il nous maintient en haleine avec une intrigue bien ficelée où l’on est déstabilisé quand on s’y attend le moins, pour notre plus grand plaisir de lecteur (rice).



On s’attache à Benjamin comme à l’écriture de Pennac, simple et tellement originale en même temps. Avec l’envie de vite continuer la saga.
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Au bonheur des ogres

La famille Malaussène c’est : une serial-mother qui prend la poudre d’escampette tous les quatre matins ; Ben, bouc-émissaire et grand frère en chef de son état ; Louna, qui vit le fol amour avec un médecin jusqu’au jour où elle tombe enceinte et que tout se complique (encore plus) ; Thérèse, en phase avec les étoiles, qui retranscrit ce qu’elle entend quand elle ne prédit pas l’avenir ; Clara, la douceur incarnée qui fige l’horreur sur de l’argentique ; Jérémy, qui cumule les heures de colle et les catastrophes expérimentales ; et le Petit, qui rêve d’ogres Noël. Mais c’est aussi Julius, un chien épileptique qui sent dans tout Belleville, Tante Julia, journaliste léonine qui chaparde dans les grands magasins à ses heures perdues et Théo, qui possède sa propre armée de petits vieux et nourrit les travestis du Bois de Boulogne.



Lorsque plusieurs bombes explosent au Magasin où Ben travaille, il finit par être inquiété. Et c’est la porte ouverte à des dialogues singuliers et des pensées ahurissantes. Avec sa plume fine et acérée, Daniel Pennac nous offre un ouvrage de toute beauté à l’humour décalé et réjouissant. On aime l’originalité du scénario, le burlesque des situations et la tendresse des personnages. Au fil des pages, le sourire s’impose toujours plus grand sur les lèvres et nous invite, quelque part entre le conscient et l’inconscient, à réfléchir sur la société dans laquelle on vit.
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Au bonheur des ogres

Je débute la Saga Malaussene avec ce premier tome et j'avoue être sous le charme. Histoire déjantée et personnages très atypiques. Je vais continuer l'aventure avec plaisir.

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Au bonheur des ogres

Le style est parfois trop alambiqué et l'histoire d'un intérêt inégal, mais il y a quand même quelques moments savoureux.
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Au bonheur des ogres

La théorie du bouc-émissaire dans nos sociétés modernes, mais vue et narrée par un Pennac fou-furieux dont la plume, plus tordante et plus tonitruante que jamais, est un délice de gourmet à qui sait la comprendre et se l'approprier doucereusement !
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Au bonheur des ogres

Le premier livre que j'ai lu par plaisir
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Au bonheur des ogres

Avec "Au bonheur des ogres", Daniel Pennac débute le récit des aventures extraordinaires de la tribu Malaussène. Des personnages aux caractères les plus divergents se trouvent amis, frères ou amants. Malgré l'incongruité ou la gravité des situations dans lesquelles se retrouve Benjamin, le chef de famille, chacun des volets de la saga Malaussène est synonyme de détente... et de fous rires !
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Au bonheur des ogres

J'ai apprécié ce livre car il a un scénario impressionnant, bien écrit avec un moment de suspense intense à la fin du récit pour deviner qui est la dernière victime de tous les attentats (en effet la trame principale raconte l'histoire de Benjamin Malaussène, employé malchanceux d'une surface de grande distribution où de nombreux attentats à la bombe se produisent), avec de multiples rebondissements et une grande part de mystère. Un côté sombre, obscur est apporté par la petite Thérèse, qui est adepte de l'astrologie, les coïncidences, l'intervention du destin et par la secte des 111 composée de 6 membres, une secte vénérant le démon en s'en prenant à des enfants (secte diabolique, on apprend que le nom de la secte, 111, multiplié par le nombre de membres, 6, est égal à 666, nombre du diable).



Cependant dans ce livre, la façon de raconter l'histoire est quelques fois dérangeante, j'ai dû relire quelques pages plusieurs fois pour comprendre que ce que je croyais être une partie de dialogue est en fait un monologue interne du personnage.

Certains débuts de chapitres laissent le lecteur se perdre et on ne comprend parfois pas ce qui est raconté (on a besoin d'un petit moment avant de réaliser de quoi il s'agit réellement).

Pour terminer, ce livre m'a agréablement surpris car je m'attendais à une histoire lassante, classique, ennuyeuse et peu originale car c'est un roman réaliste et je ne suis pas vraiment adepte de ce genre de livres, cependant le fait de combiner une enquête policière à cette histoire assez mystérieuse m'a au final assez plu.



Pour résumer, ce livre a énormément de passages plaisants, le scénario est convaincant et les personnages sont attachants malgré le fait que quelques-uns sont un peu mis de côté et mériteraient qu'on évoque un peu plus leur histoire. Un seul point négatif peut être reproché à ce livre, il s'agit de, comme je le disais ci-dessus, la façon de raconter l'histoire qui parfois peut embrouiller le lecteur, qui pour bien la suivre, doit souvent relire un paragraphe voire une page entière. Je noterais donc ce livre 18/20.
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Au bonheur des ogres

Benjamin Malaussène est un chef de tribu. Aîné d’une bande d’enfants dont la mère disparaît à chaque fois qu’elle tombe amoureuse, il est chargé de famille et occupe un emploi de bouc émissaire dans un grand magasin parisien. Son job consiste à désamorcer la colère des clients mécontents de leur achat en jouant les pleureuses. Sachant mieux que personne éveiller la compassion desdits clients qui finissent toujours par abandonner leur plainte, il représente une manne précieuse pour son employeur. Mais il possède un autre don, celui de s’attirer les ennuis et de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. C’est ainsi que la première bombe a explosé au rayon des jouets cinq minutes après son passage. La seconde, quinze jours plus tard, sous ses yeux. Il était là aussi pour l’explosion de la troisième. Des attentats ciblés, perpétrés au cœur du magasin et pour lesquels il fait figure de suspect idéal…



J’avoue que j’ai eu un peu de mal à adhérer à la narration. Ce mouvement permanent où tout est permis, sans organisation apparente, m’a beaucoup déstabilisé. Trop d’ellipses, trop de digressions, d’histoires dans l’histoire, d’effets trompe-l’œil mis en place pour piéger le lecteur et ne laisser aucune chance au raisonnement le plus rationnel. Un roman qui est comme une boîte à surprises dont chaque élément apparaît plus incongru que le précédent. La foultitude de personnages m’a aussi perturbé au départ. Difficile de savoir qui est qui tellement on saute de l’un à l’autre sans crier gare.



Mais bon, peu à peu, j’ai commencé à y voir clair. Le rythme effréné ne m’a plus posé de problème. Et puis si les pistes et les intrigues semblent dans un premier temps se multiplier, les fils se resserrent peu à peu pour tisser un canevas dont l’évidence apparaît dans les dernières pages. J’ai aimé le regard distancié et souvent ironique que le narrateur porte sur les événements. Pennac fait preuve d’une réelle verve comique et n’hésite pas à mêler les registres de langue ce qui n’est pas pour me déplaire. Finalement, entre l’action trépidante, les situations cocasses et l’humour noir, j’ai fini par prendre un réel plaisir à naviguer à vue dans cet univers où le burlesque et le policier sont pour ainsi dire sur un pied d’égalité.



Résultat, alors que les prémices de cette lecture m’ont laissé entre agacement et perplexité, le récit des aventures de Benjamin et des siens a au bout du compte emporté mon adhésion et je ne serais pas contre l’idée de retrouver la tribu des Malaussène dans le second roman de la série.
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Au bonheur des ogres

Un livre que j'ai lu et relu avec plaisir, un roman qui amuse (ce qui est de moins en moins courant) des personnages sympathiques, une intrigue et une histoire bien menées, bien écrit, bref tous les ingrédients pour passer un bon moment.
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Au bonheur des ogres

Le premier livre qui m'a ouvert aux livres...
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Au bonheur des ogres

Malaussène, tante Julia, Julius, Théo, Louna, M.Cazeneuve, Thérèse, Lehman, Jéremy et Clara … une foule de noms s’accumulent et peu d’indices sont révélés pour les relier entre eux. Les premières pages vont sans doute vous paraitre obscures si vous n’êtes pas habitués à la plume de Pennac. Pourtant, si vous poursuivez votre lecture, vous serez vite séduit par ces personnages attachants et surprenants. Mais que se passe-t-il dans le magasin où travaille Malaussène ? Les bombes éclatent autour de lui et le mystère demeure…
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Au bonheur des ogres

J'ai dévoré ce roman, j'ai adoré ces personnages attachants et drôles, j'ai apprécié les jeux de mots et l'humour.



Et pourtant... pourtant, je garde un étonnant goût d'insatisfaction que je n'arrive pas à préciser...
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Au bonheur des ogres

Un vrai régal!!!
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