Citations de Danièle Gerkens (21)
Fin septembre 2013, l'article parut sous la forme d'un sujet d'une page dans le magazine Elle. Son titre : "Le sucre, pire que la coke ?". Un titre choc pour un contenu qui ne l'était pas moins. En effet, parmi d'autres informations, Reginald Allouche décrivait dans son ouvrage comment des expériences en laboratoire ont montré que les rats cocaïnomanes préféraient une dose de sucre à une dose de cocaïne.
Manger moins de glucides et plus de protéines le matin augmente l’énergie, diminue la sensation de faim au cours de la journée, sans pour autant accroître la quantité de calories absorbées au quotidien...
Certaines petites filles ont accès à la boîte de maquillage de leur mère et se familiarisent dès l’enfance avec les fards. Ce ne fut pas mon cas. Non pas que ma mère m’interdisait ses poudres et ses rouges ! Elle n’en avait tout simplement pas. En y repensant, je réalise à présent que je n’ai vu ma mère maquillée que trois fois : pour le mariage de ses trois enfants. En dehors de cela, rien. Ni fond de teint, ni poudre, ni anticernes, ni fard, ni mascara, ni rouge à lèvres, ni blush… Rien.
Vin, bière, champagne, cocktails… Dans notre culture, l’alcool, en quantités raisonnables, rime avec fête, plaisir, partage, sociabilité. Or, on a tellement entendu qu’il y avait du sucre dans ces boissons que, spontanément, on imagine qu’il faut « éradiquer » tout alcool d’un régime sans sucre.
Dans le monde anglo-saxon, de plus en plus de personnalités et de médecins prônent une baisse drastique, voire un arrêt complet de la consommation de sucre. Et ce, tant pour des raisons médicales que pour lutter contre le vieillissement, maintenir le capital énergie et bien-être. Documentaires, livres, essais, recueils de recettes « no sugar » s’y succèdent.
Les problèmes de santé sont multifactoriels et, s'il est absurde de condamner un seul nutriment, il est indispensable de faire attention à la nourriture industrielle et de limiter notre consommation de produits gras et sucrés.
Ne pas chérir son physique ne signifie pas ne pas en prendre soin.
Le meilleur déchet est le déchet qui n’a pas été créé.
La seule boisson dont l’organisme ait besoin pour vivre, c’est l’eau.
Le carburant de notre corps, c’est le glucose, une molécule utilisée par les mitochondries, sortes de centrales énergétiques présentes dans chacune de nos cellules. Sans glucose, nous ne pourrions pas vivre.
Faut-il renoncer au sucre pour toujours et à jamais ? Au vu de ce que j'ai découvert ou confirmé, non, un renoncement total ne me paraît pas utile. Mais une consommation éclairée me paraît indispensable. Pour mieux mesurer le plaisir qu'elle nous apporte, sans hypothéquer notre avenir.
Ma seule dérogation des vacances ? Quelques Spritz le soir au crépuscule, en admirant les voiliers passer entre Groix et Lorient. Oui, je sais, l'Aperol contient du sucre. C'est vrai. C'est peut-être la preuve que je suis humaine. Une fois encore, je transige en n'en prenant pas tous les soirs, loin de là, en remplaçant le prosecco par de l'eau pétillante et en forçant sur les glaçons.
« D’un côté, on s’inquiète de notre mauvais état de santé et du trou abyssal de la Sécurité sociale française. De l’autre, on ne fait rien ou pas grand-chose. La santé des consommateurs français serait-elle devenue une sorte de « variable d’ajustement » des politiques publiques ? »
En effet, parmi d'autres informations, Réginald Allouche décrivait dans son ouvrage comment des expériences en laboratoire ont montré que les rats cocaïnomanes préféraient une dose de sucre à une dose de cocaïne.
à chaque kilo pris, le cerveau rétrécit un petit peu.
C'est vrai que Betty tient une forme éblouissante. Mais vu qu'elle n'a pas approché un Reblochon depuis 2008, ça n'a rien d'étonnant.Par contre, elle a arrêté de sourire en 2012, ceci expliquant peut-être cela...
C'est vrai que Betty tient une forme éblouissante. Mais vu qu'elle n'a pas approché un Reblochon depuis 2008, ça n'a rien d'étonnant.Par contre, elle a arrêté de sourire en 2012, ceci expliquant peut-être cela...
Le sucré remporte un vif succès et il fait vendre.
Réactiver nos souvenirs « sucrés » sans avoir recours au sucre lui-même permet d’éprouver du plaisir.
Bien à l’abri dans son écrin, une œuvre d’art se laissait admirer sous toutes les coutures.