Danielle L. Jensen

Lara, peu importe où tu es dans le monde, si tu as besoin
de moi, je viendrai te chercher.

« Le feu et la glace ravagent parfois le monde , mais le cafard survit toujours » , avait - il dit . « Comme toi . »

"Un royaume à sauver. Un royaume à détruire"

"Depuis que je vous ai aperçue, je n'ai plus vu personne d'autre que vous. Il n'y aura jamais personne d'autre que vous, et tant pis si ça fait de moi un imbécile"

Ha! Je n'ai pas toujours eu l'allure d'un pruneau oublié au fond d'un bocal, ma fille!
Nana

"Un royaume à sauver. Un royaume à détruire."
"— Vous avez les mêmes yeux que votre scélérat de père. C’est ce que j’ai cru la première fois que je vous ai vue. On appelle cette couleur le bleu bâtard de Maridrina.
Il dut la sentir tressaillir, parce qu’il l’attira plus près. Elle ne chercha pas à résister.
— Je me trompais. Vos yeux sont très différents, plus profonds… de la même couleur que la mer autour d’Eranahl."
"Et même si je sui complètement fou de penser ça, il n’y aura jamais personne d’autre que toi."

-What sort of demon are you?

-The sort who’s had his fill of backstabbing pricks, Aren replied before sliding his blade across the man’s throat. Now if you’ll excuse me, I’m going to get my wife back.

les paroles d’Aren… ce n’étaient pas celles d’un roi qui se prenait pour un dieu. Au contraire. C’étaient celles d’un homme qui se battait pour assurer la survie de son royaume.

Les promesses et les menaces n'étaient que de piètres motivations comparées au fanatisme qui avaient été imprimé au fer rouge dans l'âme des douze soeurs.

Sauf que ce fanatisme ne brûlait plus en Lara.

Même si je sais que ça fait de moi quelqu'un de complètement taré, il n'y aura jamais personne d'autre que toi

- Elle a dit quelque chose d'important ?
- Non. Même ton chat a plus de conversation qu'elle. Vos dîners en tête à tête s'annoncent passionnants.
- Pas étonnant. "Très précieuse fille", mon cul. Je parie que ses bottes préférées ont plus de valeur à ses yeux
Pari tenu, espèce de connard arrogant, pensa Lara.

Le royaume d'Ithicana allait payer pour les crimes qu'il avait commis contre le sien, et quand elle en aurait fini avec son roi, il ne serait pas seulement à genoux.
Il serait brisé.

"Go!" He shouted the word at her, leveling the arrow at her forehead even as tears poured down his cheeks. "I never want to see your face. I never want to hear your name. If there were a way to scour you from my life, I'd do it. But until I find the strength to put you in a goddamned grave, this is all I have. Now run!" His fingers quivered on the bowstring. He would do it. And it would kill him."

Un simple frôlement de lèvres, qui suffit cependant à lui donner le frisson. C'était donc à ça que ça ressemblait. C'était comme si elle se trouvait au sommet d'une falaise surplombant une mer turquoise, à la fois terrifiée à l'idée de sauter et impatiente d'éprouver la sensation de la chute.

Parce que j’étais incapable de t’entendre crier plus longtemps, dit-il d’une voix étranglée, le regard plein d’angoisse. Je ne te connaissais même pas, et pourtant je ne supportais pas de te voir souffrir. Mais au lieu de te sauver, je t’ai condamnée.

Nous ne sommes pas libres, Teriana. Personne ne nous a jamais demandé si c'était l'existence dont nous voulions. Le seul choix qu'on nous a donné, c'est obéir ou mourir et, bien souvent, obéir signifie mourir.

Ce n’est pas parce que tu es incapable de faire quelque chose que c’est impossible.

C’est ta conscience qui doit supporter le fardeau de tes choix.

Je fermai les yeux et maudis intérieurement les dieux, qui me donnaient ce que je désirais après me l'avoir rendu inaccessible.

Rien n'est affreux chez toi, Freya, et certainement pas les cicatrices dont tu as hérité en défendant ton honneur et celui de ta famille.