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Critiques de Diana Wynne Jones (333)
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Le château de Hurle

Je remercie Ynnis éditions pour avoir réalisé mon souhait de publié le château de Hurle 😍 non sans blague cela faisait des années que je cherchais à me le procurer sans succès.



La couverture est magnifique très beau travail avec des illustrations inédites en début de chapitre.



Je connaissais l'oeuvre d'Hayao Miyazaki dont je suis une grande fan et j'ai été étonnamment surprise par le respect de l'histoire à l'écran tout en y mettant son style.



J'ai adoré ma lecture que j'ai pu imager à la perfection remplie d'aventure de magie et d'humour.
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Le château de Hurle

Que dire ? J'attendais beaucoup de cette lecture quand on m'a promis le roman qui a inspiré "Le château ambulant", certainement mon film préféré des studio Ghibli. Malheureusement, je pense que j'en attendais trop...



Le début de l'histoire est assez similaire mais elle diffère bien vite. Alors que j'espérais que le livre saurait m'éclairer sur les parties du film un peu opaques pour moi, il n'en est rien. Au contraire, j'ai trouvé le livre bien complexe, avec tous ces sorts, ces personnes mélangées, ces contrats...

De plus, je n'ai pas réussi à réellement m'attacher aux personnages. Ils sont volontairement "noircis", trop pour moi...



Par contre l'écriture est très belle et les chapitres s'enchaînent bien. J'aime toujours autant retrouver l'emploi du passé simple dans les romans, je trouve que cela leur confère un charme fou !



Je pense qu'il s'agit d'une belle lecture malheureusement ce n'est pas ce que je recherchais. J'ai manqué l'objectif...
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Le château de Hurle

Étant une grande fan du Château ambulant, d'Hayao Miyazaki, c'est avec un réel plaisir que je me suis lancée dans le roman dont le film est tiré. Il est vrai que j'ai pu remarquer d'énormes différences entre les deux, mais rien ne m'a enlevé le plaisir de lire ce livre. C'est fascinant de voir à quel point, dès que je lis une phrase, les images du film se forment dans ma tête, c'est tout simplement magique... et j'adore ça !

Une petite merveille !
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Le château de Hurle

Fan inconditionnelle des studios Ghibli, cette lecture ne pouvait m’échapper plus longtemps… En effet, le Château Ambulant fait partie de mon Top 3 des œuvres de Hayao Miyazaki. Découvrir le roman qui en est à la source est donc une question d’honneur et lorsque je suis tombée nez à nez avec ce titre sur mon fil d’actu Babelio, ni une ni deux, il me le fallait dans ma bibliothèque privée ! Fort heureusement, ce roman jusque lors quasi impossible à se procurer est actuellement en réédition par les éditions Ynnis, ouf !



Il fait partie de ces beaux livres, au design soigné que j'aime à contempler et qui donnent assurément du charme à une bibliothèque. L'illustration sur la première de couverture est très jolie et la mise en page des chapitres agrémentés de petits dessins, style gravure, est charmante.



On sent nettement que c’est un récit ayant pour cible un lectorat jeune avec un style simple, des phrases courtes (même si j’ai trouvé la traduction moyennement fluide à certains moments…). Le château de Hurle se lit comme un conte. On y retrouve les mêmes codes et les personnages emblématiques tels que la méchante sorcière, vraiment très méchante, la marâtre dont on ne sait que penser, le père hélas décédé, les (demi-)sœurs belles et intelligentes, le prince - ici pas si charmant sous les allures d’un sorcier lâche et coureur de jupon… J’ai beaucoup apprécié l’univers magique, les touches de sorcellerie, les différents personnages atypiques et nos anti-héros si particuliers. Dans l’ensemble tous ces personnages sont attachants et charismatiques et apportent leur touche au récit.

Bien évidemment, je n’ai pu me départir des personnages imaginés par Miyazaki et ce sont leurs visages qui m’apparaissaient, leurs voix qui résonnaient dans ma tête, malgré les descriptions de Diana Wynne Jones parfois divergentes. Malgré tout, je trouve que le film rend un bel hommage au livre et reste fidèle quant à la personnalité des personnages créés par l’autrice.



J’ai été ravie d’en apprendre plus, le roman m’a apporté un nouvel éclairage et m’a permis de comprendre certaines scènes du film qui étaient “survolées”, d’approfondir le pourquoi du comment, un peu trop subtil dans l’adaptation cinématographique, mais qui prend toute son évidence une fois le roman lu. Et bien que l’adaptation soit libre et se détache du roman en de nombreux points, je trouve qu’il y a un bel équilibre entre les deux œuvres. Ce qu’en a fait Hayao Miyazaki ne dénature pas le roman de Diana Wynne Jones ni l’ambiance particulière qu’elle lui a conféré, il en a sa propre interprétation.



En revanche, pour ce qui est du roman, le dénouement m’a semblé expéditif… Je suis arrivée au dernier chapitre sans m’en rendre compte et je me suis alors demandée comment l'autrice pouvait conclure son récit en si peu de pages… Je l’avoue, j’aurais préféré que la romance soit un peu plus accentuée et les sentiments approfondis. Malgré tout, l’émotion était au rendez-vous.



Me reste plus qu’à poursuivre ma découverte de l'œuvre de Diana Wynne Jones en me plongeant dans la lecture des tomes 2 et 3 de la Trilogie des Châteaux !



Challenge ABC 2020-2021

Challenge Multi-Défis 2021
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Le château de Hurle

Voilà une bien jolie histoire aux allures de conte qui en enchantera plus d'un.

On arpente ici un univers magique qui mêle sorcellerie, créatures étranges et péripéties ensorcelantes. Le tout accompagné de personnages non seulement attachants mais aussi plutôt bien construits.



C'est une histoire qu'on savoure avec plaisir et qui nous fait voyager au rythme du château et de son propriétaire au caractère on ne peut plus particulier ! Le tempérament de Sophie, son héroïne, est un plus pour le récit car sa façon d'appréhender les choses et de dialoguer avec les autres ajoute une touche dynamique à l'histoire. De même que de nombreux autres personnages qui non seulement d'avoir tous un rôle à jouer, nous divertissent encore plus d'avantage !

L'intrigue est quand à elle bien mystérieuse et on ne peut s'empêcher de tourner les pages pour en savoir plus sur cevpacte avec Calcifer et comment Sophie pourra bien briser sa malédiction, surtout aveic un mage comme Hurle qui semble loin d'être facile à vivre.



Ce fût vraiment une très bonne lecture et je suis curieuse de ce que peut nous offrir le second tome, surtout que celui-ci semble se terminer sur une fin fermée.

Très curieuse !
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Le château de Hurle

Quel bonheur de découvrir ce livre qui a inspiré le Château ambulant de Miyazaki.

Je suis assez partagée car j'ai beaucoup aimé la première partie mais la deuxième partie qui n'a pas été reprise dans les film m'a un peu désarçonnée. Elle est très...étonnante mais intéressante.

J'ai hâte de découvrir les autres livres de cet univers !
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Le château de Hurle

Après avoir vu plus d'une fois le magnifique film "Le château ambulant" du studio Ghibli, j'ai eu envie de découvrir le roman dont il est inspiré.



Ne le trouvant pas (ou trop cher) en français, je l'ai même lu en anglais.

Un beau roman, très original dans le récit, les idées, loufoque et plein d'humour également. Les personnages sont très attachants et on aime ce jeu entre l'imaginaire et la réalité, si fluide, si "réaliste", on se retrouve enfants.



Un bon roman pour un mois d'automne à la veille d'Halloween.
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Le château de Hurle

Alors moi, fan inconditionnelle des chef-d ’œuvres de Miyazaki, j’ai « hurlé » (notez l’humour !) de joie à l’idée de lire cet univers fantasmatique et poétique. Car il s’agit toujours de cela chez ce réalisateur génial : de poésie et de vie traditionnelle avec une pointe de fantastique.



On notera donc des différences importantes entre l’aide de camps du mage, Michael qui n’est autre qu’un adolescent de 15 ans, prêt à se fiancer dans le livre, au lieu d’un enfant dans le film. Il aura d’ailleurs sa propre aventure personnelle dans le livre.

Le personnage principal du mage Hurle, lui est bien plus tiraillé et sombre qu’il n’y parait dans le film. On retrouve là, une personne imbue d’elle-même, tenant sa propre personne pour plus importante que tout. Ses nombreuses crises d’égo lui valent des scènes comiques comme dans le chapitre « Dans lequel Hurle exprime ses sentiments à l’aide de mucus verdâtre ».



L’autrice dépeint un magicien frivole, attaché à son physique de dandy, habitué à passer des heures dans sa salle de bain, séducteur mais également susceptible et souvent acariâtre. Voilà le héros parfait ! Un homme aussi beau que difficile ! Ce qui nous oblige à l’aimer ! Il est terriblement orgueilleux et agaçant, à tel point qu’on a souvent envie de le gifler, ce que Sophie adorerait faire. Entre eux, c’est une guerre de façade qui les lie, « Vous êtes décidemment une vieille fouine ! » se plait-il à l’insulter en permanence. Mais un lien les rattache sans qu’ils ne s’en aperçoivent…



Est-ce dû à la présence de Calcifer, ce feu énervant par sa mauvaise humeur et ses inquiétudes permanentes ?



En tout cas, c'est un livre à lire pour en discuter encore plus le film
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Le château de Hurle

Résumé



Dans la ville imaginaire de Halle Neuve, une légende raconte qu’il existe un magicien cruel, le magicien Hurle, qui vole le cœur des jeunes femmes pour le manger, et qui rôde autour de la ville dans son château ambulant. Dans cette ville, il y a également une tradition veut que l’ainé d’une famille ne puisse jamais partir et connaitre l’aventure. Pourtant, la jeune Sophie, qui vit seule avec sa belle-mère, Fanny, et ses deux sœurs, Martha et Lettie, voit, à la mort de son père, son destin changer en héritant de sa boutique de chapeaux. Elle se retrouve alors à y travailler seule avec Fanny, pendant que ses sœurs partent en apprentissage, l’une auprès d’une sorcière et l’autre dans une boulangerie. Mais Sophie est douée et toutes ses créations semblent porter chance à celles qui les portent. Lors d’une fête dans Halle Neuve, elle fait la rencontre d’un jeune homme qui ne la laisse pas indifférence mais dont l’invitation l’effraie.

Bientôt, une mystérieuse femme, la sorcière du Désert, frappe à sa porte et lui jette une malédiction qui la condamne à être une vieille femme et à ne jamais pouvoir révéler à personne qu’elle est ensorcelée. Sophie prend alors la décision de partir loin de son magasin et d’aller à la rencontre du mystérieux magicien Hurle, persuadée que sa vieillesse le protègera de son amour pour les cœurs jeunes. Elle prend cette décision, un peu avec l’espoir que Hurle pourra faire quelque chose pour elle, mais surtout pour enfin quitter sa vie qui l’ennuie.

C’est le début pour Sophie de nombreuses aventures qui vont la mener vers un destin auquel elle ne s’attendait pas.



Avis personnel



Le Château de Hurle est un conte fantastique très intéressant. En effet, il exploite les ficelles traditionnelles du genre, à travers les personnages : il y a bien un prince, une jeune fille, des sortilèges, des sorcières, un sorcier, mais aussi dans les situations : une jeune fille ensorcelée, des combats, des courses poursuites, des sorts, un prince disparu… Cependant, l’auteur choisit de les détourner : ici le beau jeune homme est un sorcier lâche et la jeune fille ne souhaite pas rencontrer le prince charmant et elle est une vieille femme dans son cœur.

Ce qui le différencie aussi du conte traditionnel, c’est le fait que les personnages sont tous beaucoup plus profonds qu’il n’y parait au premier abord. Ils ne sont pas de simples archétypes. Sophie, par exemple n’est pas qu’une fille de commerçant ; au fil de l’histoire elle se révèle en fait très intuitive, volontaire, capable de prendre son destin en main. On voit qu’elle possède en fait elle aussi des dons magiques. Elle est aussi capable d’aller au-delà du destin que lui imposait la tradition. Hurle est aussi très différent de ce qu’il semble être au départ. On voit en effet son personnage se dévoiler petit à petit pendant le récit, d’abord sous le masque d’un terrible démon qui mange le cœur des femmes, puis sous les traits d’un beau jeune homme séducteur Celui-ci se révèle ensuite être un lâche qui se cache dans son château pour finalement se dévoiler comme héroïque et capable du meilleur au moment de sauver Sophie.

Même si le déroulement du récit est finalement assez classique, il n’en est pas moins très complexe. Une bonne partie de l’histoire est basée sur un jeu de masques qui tombent et sur des doubles identités révélées au fil du récit. Tout ceci rend parfois le récit un peu difficile
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Le château de Hurle

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Le château de Hurle

Une merveilleuse aventure



À la maison, on aime, on adore, on vénère les studios Ghibli.

Si le cœur d’Elora balance entre plusieurs, mon favori a toujours été Le château ambulant.

Alors, bien sûr, je DEVAIS lire la trilogie qui a inspiré le chef-d’œuvre de Hayao Miyazaki et ce premier tome ne m’a vraiment pas déçue.

C’est un roman jeunesse tout simplement parfait : du merveilleux, de l’humour, de l’aventure...



Sophie Chapelier travaille dans la boutique familiale. Elle s’ennuie ferme à confectionner des chapeaux pour les dames de Marché-aux-copeaux. Mais elle se résigne : elle est l’aînée de la famille et les aînés ne font jamais fortune.

Pourtant son destin va basculer quand la terrible sorcière des Steppes lui lance une malédiction et la transforme en une vieille femme.

Le seul moyen pour Sophie de redevenir elle-même serait-il de pactiser avec le démon Calcifer, niché au cœur du château du mage Hurle ?



Mais quel bonheur de retrouver mamie Sophie !!!

Les premiers chapitres m’ont vu sourire béatement. Je revoyais les scènes et pourtant le livre est différent de ce qu’en a fait Miyazaki.

On retrouve toute la magie et tout l’humour qui me plaisent tant dans le dessin-animé mais l’histoire originale est un poil plus ancrée dans le réel. La porte à la tâche noire m’a vraiment surprise mais j’ai adoré l’aventure contée par Diana Wynne Jones.

La fin de ce premier tome semble être une réelle fin, je suis donc très curieuse de lire la suite, de savoir où l’autrice va nous mener.



Ce roman jeunesse est vraiment une pépite, le genre de livre qui peut plaire autant à 12 ans qu’aux adultes.

C’est un conte fantastique bourré de références (Andersen, Lewis Carroll, Tolkien...), tellement drôle et plein d’actions. On ne s’ennuie pas une seconde - mamie Sophie y veille - on discute avec un feu, un épouvantail, un chien, on croise des sorcières et on patauge dans le mucus...



Bref, j’ai adoré ! Un vrai coup de cœur.

Je ne peux que le recommander chaudement, que l'on ait vu ou non Le château ambulant, car c'est vraiment une merveilleuse aventure que nous propose Diana Wynne Jones.



À lire !!
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Le château de Hurle

Si Le Château de Hurle est souvent cité, c’est avant tout en tant que source d’inspiration de Miyazaki pour son chef-d’œuvre « Le Château ambulant » qu’on ne présente plus !



Mais attention, la comparaison s’arrête là car ces deux œuvres ont leur propre univers et, par conséquent, leur propre richesse !



Dans Le Château de Hurle, l’héroïne se prénomme effectivement Sophie ; à la suite d’un sort maléfique lancé par la Sorcière des Steppes (et non des Landes !), la jeune femme se retrouve physiquement dans la peau d’une vieille femme…de plus de 60 ans de plus qu’elle ! Nous y croisons également un sorcier-mage, le ténébreux Hurle ; Calcifer, un démon du feu et maître du fameux Château ambulant ; Michael, l’apprenti de Hurle (aussi connu sous le nom de Marco dans le film d’animation), ainsi qu’un épouvantail ! Cependant, bien d’autres personnages occupent une place de choix dans le récit : Fanny, la belle-mère de Sophie ; Lettie et Martha, ses deux jeunes sœurs…mais aussi la « famille » de Hurle ainsi qu’une institutrice des Galles qui ne laisse pas ce dernier indifférent ! Ici, il y est peu question de guerre ; la sorcellerie, en revanche, y est omniprésente et ce, pour notre plus grand plaisir.



J’ai dévoré ce roman, me délectant de chaque chapitre contant le périple de Sophie afin de retrouver sa jeunesse, le pacte qu’elle noue avec Calcifer, sa rencontre avec le mystérieux mage Hurle (ou Pendragon ? Ou Jenkin ? Ou Earl ?), ses débuts difficiles en tant que femme de ménage, les liens qu’elle tisse petit à petit avec les membres si différents du Château, ses aventures, ses secrets aussi. L’atmosphère magique m’a envoûtée, de la confection d’un sort à la description d’un champ de fleurs de toutes les couleurs, en passant par la traque d’un prince disparu… Et, bien évidemment, j’ai succombé au charme si magnétique du sorcier Hurle, malgré son caractère bougon, son égoïsme, ses sautes d’humeur, son infidélité ; bref, tous ses défauts ! Lorsque vous l’aurez rencontré, vous comprendrez…



Le Château de Hurle est donc une délicieuse gourmandise que j’ai dégustée page après page, encore stupéfaite de l’imagination de Miyazaki pour avoir transformé un roman déjà excellent en un film d’animation tout simplement époustouflant !

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Le château de Hurle

Tout le monde connait l'animation de Hayao Miyazaki "Le château ambulant", l'histoire de Sophie et Hauru, ce film que je compte parmi mes préférés.

J'ai découvert le livre il y a déjà quelques années mais jusqu'à aujourd'hui, je n'ai pas eu l'envie de le lire et ce matin, je me suis donc lancée dans sa lecture. Le livre est assez rapide à lire mais je l'ai trouvé beaucoup plus intéressante.



On découvre l'histoire de Sophie, la plus âgée des trois filles du chapelier le plus réputé de Halle- Neuve. Sophie est naturellement douée dans la confection des chapeaux et dans la confection de vêtements. A la mort de son père, Fanny, la belle-mère de Sophie, la désigne pour reprendre l'affaire familiale. Alors que ses deux soeurs partent travailler ailleurs, Sophie passe son temps à faire des chapeaux pour continuer à les vendre dans la chapellerie, mais Sophie commence à s'ennuyer, elle croisera la route de la sorcière du désert, quittera la chapellerie et à partir de là, l'aventure commence.



Ayant vu le film, je pensais n'avoir aucune surprise durant ma lecture or ce ne fut pas le cas et j'avoue que c'était bien comme ça. L'histoire diffère en quelques points de ce que j'ai pu voir du film. J'ai trouvé l'histoire bien plus intéressante, dans le livre, il y a beaucoup plus d'action et Hauru bien qu'il soit un grand magicien diffère aussi de l'image a laquelle l'animé nous a habitué.



La magie est bien plus présente, les capes d'invisibilités, les bottes des sept lieux, les sortilèges et potions en tout genre, j'ai adoré les moments d'apprentissage de Michael, les crises de colère de Sophie, le côté "je suis le plus beau" d'Hauru, c'était divertissant quand on mélange le tout. Bien que ce ne fut pas un coup de coeur, j'ai adoré ma lecture et j'ai vraiment passé un agréable moment.
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Le château de Hurle

Le château de Hurle est une pépite. Mon avis pourrait se résumer à cette phrase.



Si je suis fan de l'adaptation réalisée par Hayao Miyazaki avec son Château Ambulant, je pense que quand on arrive à s'en détacher et à prendre le livre pour ce qu'il est, c'est à dire une œuvre originale à part entière, on ne peut qu'adorer cette lecture riche et complexe.



Sophie est une héroïne comme je rêverai d'en lire plus souvent. Son caractère est complexe, elle fait preuve d'une résilience étonnante, et c'est toute sa construction d'elle-même et son apprentissage pour s'aimer que l'on suit dans cette aventure, l'air de rien.



Hurle n'est pas Hauru. Pas vraiment. Là encore, il est plus riche, plus compliqué à cerner, moins facile à apprécier directement. Mais tellement "plus", tout simplement parce qu'un livre nous offre un univers plus dense qu'un film. Il se révèle au fil des chapitres, tout doucement, et quand on fini par le comprendre, on ne peut que l'aimer. Une deuxième lecture doit d'ailleurs être intéressante pour mieux voir tous les détails qui nous sont passés sous le nez et qui vont nous sauter aux yeux quand on connaît la fin.



Le scénario reprend la trame traditionnelle du conte, que l'auteure bouscule et chamboule pour donner vie à une histoire mystérieuse dans un univers nettement plus large qu'il n'y paraît tout d'abord. Beaucoup de rebondissements nous tiennent en haleine, et beaucoup de petits détails sont parsemés tout au long de la lecture, nous laissant présager que nous n'avons fait qu'entrouvrir la porte d'Ingarie !



Calcifer reste pour moi un gros coup de cœur ^^



Merci aux éditions Ynnis d'avoir réédité ce roman que j'avais lu dans son édition Pocket de 2005 et qui était introuvable depuis des années. Je l'ai vraiment savouré dans cette nouvelle édition (très belle en plus) que je peux enfin mettre dans ma bibliothèque après des années à guetter pour en trouver un exemplaire ! Et malgré l'attente, je n'ai pas été déçue par ma lecture alors que j'aurai clairement pu idéaliser des souvenirs. Preuve, je pense, que le livre est vraiment bon ^^



Reste plus qu'à enfin découvrir la suite, qui pour la première fois est traduite et éditée en France !
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Le château de Hurle

Un univers et des personnages beaucoup trop loufoques pour moi. Je n'ai pas toujours compris ce que je lisais et franchement, je n'ai pas eu envie de comprendre... Je l'ai donc abandonné a un peu plus de la moitié. Quand ça le fait pas, ça le fait pas ....




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Le château de Hurle

Une très belle découverte que j’ai adoré savouré en me plongeant dans un univers passionnant, une plume soignée et intemporelle, sans oublier les personnages captivants ou l’histoire riche en rebondissements. C’est à mon sens, un très beau classique de littérature jeunesse et une aventure inoubliable qui me donne très envie de revisionner le film d’animation de Miyazaki.



J’ai adoré l’ambiance de ce roman et les expériences qu’il nous fait vivre. On a là une aventure très dense, avec beaucoup de péripéties, de messages, d’actions et de magies, d’émotions. C’est une ambiance singulière au roman, j’ai aimé les moments de solitude, de calme et de routine comme j’ai aimé ces passages plus mouvementés, cassants le rythme plus contemplatif. Il y a une liste très longue d’ingrédients malicieusement mélangés de la part de l’autrice pour nous garder éveiller jusqu’aux dernières pages. Sans jamais trop en faire, tout est juste. C’est absurde et loufoque, censé et réfléchi, drôle et irrévérencieux, pétillant et énergique, contemplatif et apaisant. C’est ce genre de roman que j’apprécie pour le voyage qu’il nous fait vivre, ce mélange complexe entre l’amer et la douceur.



La plume de Diana Wynne Jones est merveilleuse. J’ai pas vu le temps passer en lisant son roman, les mots sont très justement employés, avec de très jolies descriptions, de belles scènes d’introspection et des dialogues savoureux, de l’action bien ciselée. Je n’ai jamais eu cette sensation de ne pas en avoir assez ou de trop en avoir. Toutes les informations concernant les personnages, leur relation, les lieux, l’univers sont savamment distillées pour tout comprendre rapidement et efficacement.



J’aime beaucoup cet univers de fantasy, il y a de très belles trouvailles. Le château qui peut se déplacer, la magie de la sorcière des Steppes ou de Hurle, Calcifer, c’est un univers riche en petites pépites qui me font penser aux contes. D’ailleurs la destinée de Sophie au début du livre est clairement un rappel aux contes. Je serais très curieuse de découvrir la suite avec le Château dans les nuages histoire d’en apprendre un peu plus sur Ingarie. En plus de l’univers, il y a de chouettes messages, une très belle philosophie, le roman nous parle d’identité, de la routine et de l’aventure, du confort et de l’audace, de l’envie et de la jalousie, de la paresse aussi, de la vieillesse, du dépassement de soi, des femmes. J’ai adoré cette manière de glisser des messages avec un beau mélange d’humour et de piquant.



Parce que Sophie, c’est un sacré personnage. Elle ne paye pas de mine quand on la découvre au départ, étant l’aînée son destin est d’être banale et vivre dans l’ombre de ses petites sœurs. Toutefois, Sophie rêve d’aventure, souhaiterait ne plus s’ennuyer. Arrive alors la terrifiante Sorcière des Steppes qui avec une malédiction, lui enlève soixante années de vie ! Sophie se lance alors dans l’aventure, celle qu’elle a toujours rêvé de vivre – enfin, pas totalement. Elle croise un château ambulant, un magicien vaniteux, un démon du feu, un épouvantail inquiétant, sans oublier les malédictions et les pactes douteux, les mystères du château… Je ne sais pas si c’est ce que Sophie souhaitait en parlant d’aventure, toutefois, elle a été gâtée ! Sophie est loin de se démoraliser, elle est très débrouillarde, optimiste, c’est un personnage très attachant, drôle, qui aime se moquer de Hurle, soucieux des autres, intelligente et un brin gaffeuse. J’adore ses bons et ses mauvais côtés, ça la rend très humaine et ça lui donne un côté inoubliable. C’est une très chouette héroïne.



Les autres personnages ne sont pas en reste. Michael est sympathique en tant qu’apprenti de Hurle, adorable et loyal envers son maître. Calcifer est génial, c’est un de mes coups de cœur en matière de protagoniste, aussi déroutant qu’amusant, grincheux et drôle, je suis fan de ses répliques. Je ne parlerais pas de tous les personnages rencontrés, parce qu’ils font partie du voyage et qu’il est plus drôle de conserver les surprises ou encore les révélations majeures. Toutefois, je ne peux pas oublier Hurle. Le magicien est incroyable, on aime le détester et pourtant, j’ai fini par m’y attacher, par souligner les changements. Au-delà de cette enveloppe vaniteuse et superficielle, il brille par son intelligence, par sa maîtrise de la magie. C’est un personnage montagne russe, après une scène émotionnelle, son esprit vaniteux et immature reprend le dessus, cassant tout le charme. Néanmoins, cela reste très drôle et c’est un personnage palpitant à comprendre.
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Le château de Hurle

Je pense que la principale raison pour laquelle je n'ai pas particulièrement aimé ce livre est que je suis trop attachée au film du château ambulant. En effet j'ai beaucoup de mal à imaginer la sorcière des Landes jeune et belle où même à l'appeler la sorcières des steppes ; idem pour navet et le chien qui n'ont pas du tout le même rôle dans le livre et le film...



De plus, je ne trouve pas le rythme très palpitant, il se passe pas grand chose jusqu'au dernier tiers du livre qui offre les réponses à nos questions... sans oublier que la moitié des chapitres sont résumés dans les titres.

Enfin je n'aime pas le personnage d'Hauru/Hurle dans le livre : il est arrogant, prétentieux, coureur de jupons, menteur et il prend plaisir à briser des cœurs en plus d'être lâche !

En revanche je dois dire que la plume en soit est assez bonne et que pour une personne qui ne serait pas aussi attaché au film que je le suis, c'est une lecture simple qui emporté son lecteur dans un autre monde.
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Le château de Hurle

'ai énormément adoré l'histoire, l'univers est merveilleusement construit et il est très facile de s'en imprégner.

Les personnages sont bien ficelés, Sophie est attachante et est un personnage féminin qui vaut le détour (entendez par là qu'elle déchire).



Je m'attendais à ce que le film de Miyazaki en soit une copie conforme, mais en réalité, le roman étoffe beaucoup les personnages secondaires et de nombreux éléments diffèrents, ce qui permettra aux adeptes du film d'avoir tout de même quelques surprises au fil des pages.
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Le château de Hurle

Le château de Hurle est typiquement un de ces romans britanniques de "jeunesse-fantasy" comme j'aimerais en trouver plus souvent.



Il a ses défauts, d'accord, il date un peu, d'accord. Mais quand même. J'en veux plus. Donnez-m'en plus ! Pourquoi ? Eh bien...



**SPOILERS**



...déjà parce que c'est drôle et intelligent. Et bourré de références à d'autres histoires, d'autres romans. Que dès le départ ça joue avec nos connaissances des contes de fées, et ça leur tord un peu le cou, ça en pointe les gimmick intelligemment. C'est léger, il y a du recul, et un humour constant (vous savez, un peu celui qu'on a dans les premiers tomes de Harry Potter, ou encore chez Susanna Clarke).



Ensuite l'univers est vraiment prenant, on s'y plonge sans se forcer. Pareil pour l'ambiance. Et puis les personnages sont originaux et totalement inhabituels par rapport aux clichés du genre.



Alors oui, c'est vrai que Sophie est malgré tout quelque peu pénible (bornée ? monomaniaque ?), et Howl n'en parlons pas (communiquer avec les autres ? Non, pour quoi faire, mieux vaut être mystérieux et laisser planer les quiproquos).



Et oui, bien sûr que ça fait un peu gentillet, le magicien de 20 ans qui fait la cour à toutes les filles (mais ne baise pas, il flirte juste, comme ça... moui moui moui, tout à fait, je vous crois), mais c'est pour enfants alors on comprend. Quant au merveilleux un peu trop merveilleux (les étoiles sont des démons du feu qui parlent et ont des pouvoirs magiques...) eh bien... oh, on est à la lisière du conte de fée, alors disons que ça passe.





Non, vraiment, rien de tout ça ne m'a véritablement dérangée. Ce qui m'a le plus embêtée je dirais, c'est la relation Sophie-Howl. Ils ont beau être souvent ensemble, ils échangent peu, quasiment jamais sur eux, s'engueulent plus souvent qu'ils ne cherchent à se comprendre, et du coup leur amour tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.



C'est mon regret, je trouvais les deux personnages intéressants aussi j'aurais aimé voir leurs sentiments se développer vraiment, leur relation se construire, plutôt que de voir des scènes où ça se chamaille tout le temps mais sans complicité, où les échanges sont banals, sans admiration, sans connivence, pour soudain tomber dans le "Mais en fait, on s'aime d'amour fou, marions-nous !"



D'ailleurs, le roman étant centré sur le point de vue de Sophie, il émule un côté mystérieux sur l'intrigue et Howl, donc j'ai le sentiment qu'on passe à côté de pas mal de choses...



Quand est-ce que Howl a su que Sophie était envoûtée (dès le départ ?), et pourquoi n'en a-t-il jamais parlé ?



Quand a-t-il su que la professeur Angorianne était en fait le démon du feu ? Et pourquoi n'en a-t-il rien dit pour mettre en garde Sophie ? (On comprend que Sophie n'a pas dit qu'elle était venue lui rendre visite, par jalousie, mais Howl, pourquoi ne dit-il rien à son sujet ?)





Pourquoi Calcifer est bon (il est prêt à se sacrifier pour Howl en demandant à Sophie de rompre leur contrat), si les démons ne sont ni bons ni mauvais, voire ont tendance à toujours tourner du mauvais côté et que c'est bien pour ça qu'il faut le séparer de Howl ? (le coeur de l'intrigue en fait)



Pourquoi est-ce que Howl n'arrive pas à lever l'envoûtement que la sorcière a lancé sur Sophie ?





Puisque Howl séduisait Mlle Angorianne et qu'elle voulait s'emparer du coeur de Howl, pourquoi n'est-elle pas venue plus tôt chez lui, ou ne l'a-t-elle pas emmené chez la sorcière plus tôt ?





Pourquoi Howl ne fait pas de magie dans son monde d'origine pour impressionner un peu sa famille ?



Tant de questions... qui n'empêchent absolument pas d'apprécier l'histoire, mais qui me turlupinent tout de même. Alors si vous avez les réponses... je vous écoute !





**COMPARAISON AVEC LE FILM**



Et je me rends compte que beaucoup de gens le lisent suite au film de Miyazaki du coup je vais comparer rapidement les deux, si cela peut vous aider.



Le film "le Château ambulant" commence comme une adaptation du roman mais s'en éloigne de plus en plus. Au final on a quelque chose d'assez étrange : 2 histoires vraiment différentes (une histoire de guerre dans l'une, de magicien qui se sacrifie pour les siens ostensiblement etc.), avec des messages différents, et pourtant avec beaucoup de ressemblances.



Il y a des gens qui ont préféré le livre au film, et l'inverse, je dirais que c'est vraiment très différent, et que ça dépend de ce qu'on cherche.



Dans l'ensemble, j'ai préféré le livre en terme d'histoire. Mais j'ai préféré le film en terme de relation Howl/Sophie.





Sans rentrer dans tous les détails, disons qu'en terme de narration et d'histoire, le livre est bien plus compréhensible que le film. le film est un peu brouillon (Miyazaki style) si on se pose trop de questions sur le "comment" et le "pourquoi" et sur le scénario etc., alors que le livre va plus loin. Notamment en ce qui concerne la relation entre Howl et Calcifer, leur contrat, et comment/pourquoi il faut le rompre.



On a une plus grande clarté sur le rôle de la sorcière du désert (très différent), et sur celui du sorcier Suliman/Sullivan (rien à voir avec la sorcière du film), et ainsi de suite. On a plus de personnages dans le livre mais ils y sont plus clairs. Bref, l'histoire y est mieux ficelée.





Les personnages de Howl et Sophie sont très différents également. Howl dans le film est bien plus directement montré comme protecteur, il reste fantasque et vaniteux, mais il est emprunt de douceur, de bonté. Dans le livre, on ne se rend compte de ça qu'à la fin, et encore, on le voit bien plus souvent râler et se plaindre.



Sophie est plus développée dans le livre, donc techniquement plus intéressante, mais dans le film elle semble bien moins pénible et plus tendre envers les autres.



Et enfin donc, la relation entre Howl et Sophie. Dans le livre, elle n'est pas vraiment développée en tant que relation amoureuse, on ne voit pas Howl avoir de gestes tendres envers elle et encore moins déclarer de sentiments, on ne voit pas non plus leur rapport se construire.

On a le point de vue de Sophie, qui passe son temps à dénigrer (dans sa tête) Howl, avant de découvrir qu'en fait elle est amoureuse de lui mais ah ! C'est pénible ! (et on ne sait pas comment elle est tombée amoureuse) et elle demeure bourrue et râleuse avec lui.





Dans le film, on a une relation très belle et très douce (d'où sans doute le nombre incalculables de fanarts du couple howl et sophie, dans les bras l'un de l'autre, en parfaite harmonie, et qui ne colleraient pas à l'esprit du livre). Tellement qu'on aimerait mieux la voir développée et construite, mais comme c'est un film et que ça raconte plein de choses, on n'a pas le temps.



Du coup, ça peut être un regret pour les lecteurs quand ils lisent le livre, d'y espérer voir développée plus en profondeur cette relation tendre et forte, pleine d'amour et d'admiration, qui ne l'est en fait que dans le film.



Voilà :)
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Le château de Hurle

Cela faisait longtemps que je souhaitais lire ce classique de la fantasy jeunesse. Comme beaucoup d'autres lecteurs, j'ai connu ce titre par l'adaptation qu'en a fait Miyazaki sous le nom "Le château ambulant", et j'ai été heureuse de constater que l'on retrouve dans le roman la même fantaisie légère présente dans la film. Le roman de Diana Wynne Jones s'adresse à des jeunes lecteurs (je dirais dès 10 ans), sa plume est légère, fluide et charmante à lire. Les péripéties de l'héroïne Sophie sont nombreuses dès qu'elle pénètre dans l'univers farfelu du château ambulant et qu'elle se frotte à la personnalité extravagante de Hurle, égocentrique sorcier, plus sentimental qu'il n'y paraît. Le récit nous propulse dans un univers merveilleux, lumineux, avec des personnages attachants comme Calcifer, le petit démon du feu que j'ai adoré ! Un one shot en fantasy facile à conseiller du coup pour les jeunes lecteurs et même pour adultes, qui comme moi, souhaitent découvrir l'oeuvre qui a inspiré Miyazaki.
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