Diniz Galhos

J'ai lu ce livre, Hakim, écris par Diniz Galhos.

Pendant les vacances et c'est un livre qui m'a plutôt plus car je trouve qu'il est assez simple a lire, et pu il y a un peu de suspense aussi. Un petit résumé de l'histoire.



Hakim accompagne son épouse et leurs deux enfants à l'aéroport prendre un vol qui doit les conduire à l'étranger pour visiter la famille. La séparation de quelques jours est difficile, mais il ne peut les accompagner, en effet il doit avancer sur sa BD. Hakim se retrouve donc dans le RER de retour le coeur lourd, une rame presque vide mais un sac abandonné. L'emballement commence, il est persuadé que c'est une bombe, au prochain arrêt il ira prévenir le conducteur. Seulement voilà, avec sa tronche et sa dégaine il a tout du terroriste en puissance et décide de fuir après avoir prévenu le chauffeur. S'en suit un vagabondage ahurissant dans les rues parisiennes, esquivant la police qui à coup sûr est en possession d'un avis de recherche le concernant.

BOMB’Fiction



Dans ce livre, Diniz Galhos nous raconte l’histoire d’Hakim, un dessinateur de BD marié et père de deux enfants, qui doit accompagner sa petite famille jusqu’à l’aéroport pour rendre visite à des proches. Hakim n’est pas du voyage car il lui faut avancer sur sa BD. Il reste donc à Paris. Sur le trajet du retour, dans la rame vide du RER B, il aperçoit un sac abandonné.

Hakim pense tout de suite à une bombe.

Sur le moment, il songe à prévenir le conducteur. Mais…être un jeune homme d’origine magrébine portant un jogging, des baskets, une barbe juste à côté d’une possible bombe… !! Quand Hakim réalise sa situation, il prend peur et détale à toute vitesse de la rame puis se transforme en un vagabond parisien.



Cet auteur nous propose un livre facile à lire, avec un langage très contemporain.

L’histoire, très prenante, porte également à réflexion sur les stéréotypes et les peurs de notre société.

Le point négatif que je relève est que, dans certains passages, surtout des dialogues, l’auteur utilise un langage de rue qu’il est difficile à comprendre.



(1/2)

Hakim, un livre qui a toute ses chances !



Avant toute chose, je n'ai pas lu ce livre en entier car je n'ai réussi à accrocher à l'histoire mais je développerai ça plus ta. Je vais faire un cours résumé pour présenté l'histoire :



Hakim envoie sa femme te ses enfants chez sa famille une semaine sans lui pour qu'il puissent se concentré pleinement sur sa BD, il les accompagne donc à l'aéroport, et une fois qu'ils sont partis ils prends le RER pour rentré chez lui quand soudain il aperçois un bagage suspect qu'il supposent être une bombe.



Maintenant les points positifs et négatifs :

Points positifs : il n'est pas très long ( environ 200 pages )

Points négatifs : l'écriture ( qui peut plaire à certains ce n'est que mon avis )



Pour moi il n'y a pas forcement de moment décevant ou de moment marquants mais il y'a un passage qui m'a fait ressentir les deux à la fois, c'est le moment où il fait dit aurevoir à ses enfants et à sa femme, elle à la fois touchante émotionnellement et décevante par les pensés d'Hakim qui répètent en boucle "Cassez-vous, cassez-vous"



Les lieux choisis sont réalistes car cela se passe à Paris de nos jours.

Il y'a plusieurs personnages qui apparaissent mais le plus important est Hakim, mais il y'a aussi Rita ( sa femme ), Bilal ( son fils ) et Ines ( sa fille ).

L'intrigue comme dit dans le résumé et que Hakim en voulant rentré chez lui découvre un mystérieux bagage qui supposent être une bombe, il va donc devoir faire des choix face à ce bagage.

Le style d'écriture et ce qui m'a fait arrêté de le lire, il y'a beaucoup de mots écrit en abrégé comme : le tien = ltien ou soupçon de terrorisme = soupçon dterrorisme, et beaucoup de fautes (faites exprès).



Pour conclure: ce livre je n'y est pas accroché surtout à cause de l'écriture mais je suis sur qu'il a plus à beaucoup de personne mais moi pas tant que ça.

les choix d’Hakim



Après avoir dit au revoir a sa femme et ses enfant qui partent en vacances

Hakim créateur de bande dessiné reste travailler sur un projet qu’il doit terminer. Pour rentré chez lui il doit prendre le RER ou il remarqueras un bagages. Ce sac sera l’élément déclencheur de l’histoire qu’y a t’il dedans ? Un bombe!! Le personnage principale se rendis assez vite compte que c’était se suspect parfait : un homme de couleur, en jogging, avec un barbe il est très proches de certain cliché que doit t’il faire? Fuir?Rester? Suite a cette découverte notre héros va se lancer dans une aventure paranoïaque.



« Forcément, quand t'es un peu bronzé, barbu, en survêt et que tu te retrouves placé à côté d'un sac abandonné en plein RER B, n’hésites avant de le signaler. Car de témoin vigilant à suspect potentiel, il n'y a qu'un pas, que d'aucuns ont vite fait de franchir. Bon réflexe. Mais mauvais raisonnement. »

pour moi cet extrait met en évidence tout l’histoire c’est la que tout est résumer un grand moment de doute face a un choix qui parait impossible a faire mais surtout sans aucune issue sure pour le personnage.





J’ai bien aimé cette histoire en grande partie pour son thème c’est vrai je me suis demander tout au long de ma lecture qu’est ce que j’aurais fait moi a sa place au début l’écriture étonnante pour un livre par ce que les livre car habituellement les livre qu’on doit lire pour les cours son écris moins modernement et je trouve qu’écris comme sa en rajoute un peu de tension et de suspense au récit.Mais surtout

tout au long de l’histoire m’a beaucoup pousser a réfléchir sur ce qu’il faisait les choix qu’il prenais.. en bref ce livre est vraiment bien

les choix d’Hakim



Après avoir dit au revoir a sa femme et ses enfant qui partent en vacances

Hakim créateur de bande dessiné reste travailler sur un projet qu’il doit terminer. Pour rentré chez lui il doit prendre le RER ou il remarqueras un bagages. Ce sac sera l’élément déclencheur de l’histoire qu’y a t’il dedans ? Un bombe!! Le personnage principale se rendis assez vite compte que c’était se suspect parfait : un homme de couleur, en jogging, avec un barbe il est très proches de certain cliché que doit t’il faire? Fuir?Rester? Suite a cette découverte notre héros va se lancer dans une aventure paranoïaque.



« Forcément, quand t'es un peu bronzé, barbu, en survêt et que tu te retrouves placé à côté d'un sac abandonné en plein RER B, n’hésites avant de le signaler. Car de témoin vigilant à suspect potentiel, il n'y a qu'un pas, que d'aucuns ont vite fait de franchir. Bon réflexe. Mais mauvais raisonnement. »

pour moi cet extrait met en évidence tout l’histoire c’est la que tout est résumer un grand moment de doute face a un choix qui parait impossible a faire mais surtout sans aucune issue sure pour le personnage.





J’ai bien aimé cette histoire en grande partie pour son thème c’est vrai je me suis demander tout au long de ma lecture qu’est ce que j’aurais fait moi a sa place au début l’écriture étonnante pour un livre par ce que les livre car habituellement les livre qu’on doit lire pour les cours son écris moins modernement et je trouve qu’écris comme sa en rajoute un peu de tension et de suspense au récit.Mais surtout

tout au long de l’histoire m’a beaucoup pousser a réfléchir sur ce qu’il faisait les choix qu’il prenais.. en bref ce livre est vraiment bien

Hakim se trouve à l’aéroport de Roissy avec sa femme et ses deux enfants. C’est l’heure pour eux de partir à l’étranger mais Hakim ne les accompagnes pas car il a une BD à finir. Il prend un RER, personne à part un homme discret au fond et un sac abandonné. Celui-ci se pause beaucoup de questions, il est persuadé que c’est une bombe. A l’arrêt, il préviendra le chauffeur. Hakim si dit qu’il a le profil idéal pour être un terroriste, habillé en survet, barbu et Français d’origine maghrébine. Une fois dans les rues de Paris, il esquive la police pour peur de se faire prendre.

Diniz Galhos écrit beaucoup, il fait des descriptions très approfondies.

Hakim ne se trouve pas dans une bonne situation, il n’a pas eu de chance quand il s’est trouver à côté d’un sac abandonné. Ce qui va lui compliqué, c’est d’avoir perdu son portefeuille à l’arrêt du RER.

Le lieu et l’époque est bien choisi. Toutes ces actions peuvent bien arriver à n’importe qui.

Hakim est le personnage idéal pour représenter cette situation.

L’auteur à prit un style d’écriture assez originale. En le lisant, on est prit dans les pensées d’Hakim qui s’enchaînent rapidement.

Il n’y a pas forcément des émotions ressenties, mais plutôt un sentiment de curiosité, en effet on se demande ce qui pourrait se passer pour Hakim.

Ce n’est pas le type de livre que j’ai l’habitude de lire, mais c'est intéressant. Tout le long de la lecture, on est dans la tête d’Hakim.

Ce livre pourrait bien plaire à tous lecteurs.

Retrouver Rent, Spud, Sick Boy et Begbie est à chaque fois un immense plaisir. Irvine Welsh pourra écrire 50 romans sur ces personnages que je les aimerai à chaque fois. Il difficile d'écrire une critique, impossible pour moi d'être objectif, je suis juste fan de cet auteur. Les personnages mémorables, les histoires folles, la noirceur, l'optimisme, l'humour... Skagboys n'échappe pas à tout cela, c'est encore un très grand roman.

Je n'ai pas beaucoup aimé ce roman il est trop "brouillon " j'ai eu l'impression qu'il n'était pas finis

"C’est fou et tarabiscoté, c’est un bazar monstre qui prend monstrueusement sens peu à peu, c’est « survolté et jubilatoire » pour reprendre la citation des Inrocks en exergue sur la couverture. Tarantino a fait des émules, et avec « Gokan » Diniz Galhos s’est largement hissé au niveau de son modèle, mêlant légèreté de façade et richesse du fond."
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..

J'ai choisi ce livre un peu au hasard en me baladant en librairie. Ce qui a accroché mon regard en premier lieu, c'est l'illustration de la 1ère de couverture : ma version représente une jeune femme de profile en position de combat, un katana à la main. La composition est très épurée et dynamique en partant tout à fait de la gauche et semble porter le titre. Couleurs en aplats sans détails et dessins sans contours. Avec des contrastes en noir/rouge/blanc sur un fond gris. Très accrocheur et efficace. Puis ensuite, j'ai lu le résumé en 4ème. Très bref, très dynamique aussi. Ça semblait vouloir en découdre et ça parlait de Tarantino et de Yakuza. J'ai sauté dessus.

Mais au final, j'ai un peu déchanté car ça se voulait déjanté mais ça n' a pas plus décollé. ;)



On découvre plusieurs personnages assez différents mais qui ne se croisent que vers la fin. Mis à part le professeur Ponty qui en fait ne sert à rien, alors que j'aurais cru le voir emporté dans une histoire incroyable à la Tarantino justement ; les autres personnages évoluent tous plus ou moins dans le milieu de la mafia tokyoïte. J'avoue avoir eu du mal à faire la différence entre certains :

Jikokuten, Le Noir, etc. Pas dans le sens où je ne les reconnaissais pas mais plutôt où ils sont assez similaires et pas très creusés. Les personnages qui avaient un potentiel incroyables sont Nina et son père.

Bon sang ! Mais je veux en savoir plus !!! Il y a tellement à dire et à raconter ! Alors oui, on risque de faire classique mais ça peut être fait de façon tellement géniale ! Nina n'a rien de la femme idéale japonaise même pour la mafia. J'ai en tête le personnage d'O-Ren Ishii, chef de clan dans le film Kill Bill. Elle a la classe élégante à la japonaise traditionnelle. Ben pour Nina, effacez ça ! Rien à voir ! Gros contraste et c'est super. Haute en couleurs.

Le personnage le plus horrible et qui détonne vraiment, (je ne sais pas si lui a besoin d'être plus creusé) : Ron Reno. Psychopathe nazi raciste anti-japonnais. Un taré, un monstre, on se demande comment il fait pour que les flics ne soient pas un minimum sur ses talons car une chose est sûre il ne fait pas dans la dentelle. Là où il passe tout le monde trépasse.

On a qu'une envie, qu'il crève mais surtout qu'il se taise !! (oui oui dans cet ordre là XD) Ce type adoooore s'écouter parler. Il me rappelle Negan du comics The Walking Dead mais avec un langage bien plus beau (quand il veut) que celui de Negan.

J'en reviens à Jean-Luc Ponty, lui c'est un peu le perso 'What the Fuck". Il est là pourquoi ? Non mais vraiment, faut être un peu fou/idiot/paumé/les trois à la fois/ou choisissez la bonne réponse, pour accepter le deal d'aller retrouver cette maudite bouteille signée Tarantino. Et puis, je le redis, il ne sert à rien. On le voit à peine alors que je pensais qu'il ferait partie des protagonistes principaux.



En ce qui concerne le récit, à la fois, on est tenu en haleine parce qu'on attend de voir les personnages se croiser et d'en apprendre bien plus sur eux mais en réalité même le pourquoi des tensions entres clans est à peine effleuré. S'en suit une grosse frustration.

En effet le livre est court, l'écriture fluide et dynamique, agréable et il est sûr qu'on ne peut certes pas développer plus au vue de la taille du roman. C'est un parti pris. Mais j'ai cette impression d'être sur ma faim, un peu comme quand je fais un rêve déjanté digne d'une série tv ou d'un film hollywoodien où il n'y a pas vraiment de début ni de fin, où je débarque et que cela a déjà commencé.

Enorme, j'ai adoré. Et beaucoup ri.

Décidément, j'ai trois livres en cours et aucun ne me plaît. Je ne lirai pas celui-ci jusqu'au bout : je suis déçue, je m'attendais à autre chose...



La quatrième de couverture était excitante. Elle semblait promettre un gros délire de la part de l'écrivain mais je suis complètement à côté. Me voilà devant un thriller violent dont les chapitres n'ont à première vue aucun lien. Le puzzle se reforme habilement petit à petit mais quelques scènes me laissent perplexe et je ne peux trouver de lien avec la trame principale. Gokan est un thriller riche contextuellement ; fan du Japon, j'ai apprécié toutes les anecdotes du pays du soleil levant, de la géographie à la nourriture. J'ai aussi aimé les références à quelques films (l'univers n'est pas sans rappeler les films de Tarentino) et à la musique. Mais je suis loin de m'éclater autant que la quatrième de couverture me l'avait fait croire.



Je refermerai ce livre avant d'atteindre la dernière page. Dommage, j'y étais presque, mais je m'ennuie et la plupart des personnages ne s'impriment pas dans ma mémoire (qui est X déjà ? et Y, il a fait quoi ?), mis à part cet Américain facho et détestable qui prend plaisir à tuer "du Japonais" avec une violence choquante et qui, elle, s'imprime bien dans mon crâne. Ca sera sans doute la seule chose que je retiendrai de ce roman.