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Critiques de Edith Azam (27)
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Pour tenir debout on invente

Ce livre m'a fait penser aux ateliers d'écriture auxquels j'ai participé sauf qu'en général, il y a un nombre de participants, participantes plus important.

Deux personnes, en l’occurrence deux femmes, échangent sur un thème donné et laisse parler leur créativité.

Je regrette parfois certains mots vulgaires qui fait contraste avec une certaine poésie.

Le passage que j'ai eu plus de facilité et de plaisir à lire est le dernier thème.

Je dois avouer que j'ai eu du mal à accrocher à ce livre et à l'apprécier.
Lien : http://scoobydu41.over-blog...
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Pour tenir debout on invente

J’ai lu ce livre de poésie dans le cadre de la masse critique Babelio « Les bonnes feuilles se ramassent à la pelle » de Septembre 2019. C’est très bien écrit et très poétique, et la lecture est agréable. Trouver un sens à toutes ces jolies phrases, et suivre le dialogue entre les deux auteures a été difficile. Le manque de référence poétique est certainement une raison à ce manque d’enthousiasme. Toutefois, une porte s’est ouverte.



Je garde le livre de côté afin de m’y replonger à un moment ou je réussirais peut être plus à apprécier.
Lien : http://insomnielivresque.fr/..
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Qui journal fait voyage

Reçu et lu dans le cadre de l'opération Masse Critique Mai 2012

L'ensemble des parutions et des travaux d'Edith Azam cherche à travailler la langue française, à l'écorcher pour en faire ressortir une musicalité, un rythme haché, saccadé qui raconte la vie. Une vie parfois pas facile, parsemée d'embûches, de chutes, de douleurs, de déceptions...

La langue d'Edith Azam, il faut la parler, la lire à voix haute, aller jusqu'à la crier pour comprendre la douleur et les émotions qui la traversent.

Alors, c'est certain, ce n'est pas de la poésie qui chante, qui fait rêver. C'est tout simplement de la poésie qui raconte la vie, la vraie.

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Qui journal fait voyage

Textes de poésie contemporaine.

Ecriture saccadée, agaçante, énervante, martellement insupportable des mots tronqués, déchiquetés.

Pour moi, la poésie, c'est le bonheur, l'évasion pour le lecteur. Ce n'est pas la déjection incontrôlée d'un auteur qui se défoule sur son public.

Le langage poétique c'est le rêve, pas le cauchemar. Là pas de voyage magique; E. Azam nous panique et nous étouffe par un langage « tarabiscoté » d'apostrophes. Nous ne voguons pas dans un imaginaire poétique serein et salvateur.

J. L. Trintignant, ivre de douleur à la mort de sa fille, n'ayant plus le goût de vivre nous a dit : « c'est la poésie qui m'a sauvé » ; il s'est attaché à mettre en voix les plus beaux textes poétiques et les plus touchants.

Oui, je pense que la poésie peut sauver l'humanité. Mais attention, ne mettez pas entre les mains des désespérés ce « qui journal fait voyage », véritable plongée dans un univers infernal et cauchemardesque!
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Qui journal fait voyage

Un très beau livre de poésie contemporaine, à l'écriture chaotique et jubilatoire.

Un texte difficile aussi, mais il suffit de se laisser porter par les mots, sans chercher à comprendre au départ, puis lire, relire, écouter, et faire voyage avec Edith Azam.

Je suis lectrice de poésie contemporaine, j'aime le déracinement, la déroute qu'elle provoque.

On la retrouve ici, à chaque page !
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Rupture

L'écriture d'Edith Azam est forte, particulièrement sur la scène quand elle la performe et lui donne sa dimension corporelle si saisissante. Dans le livre ce texte apparaît à l'écoute d'une douleur vive. Le sujet étouffe, se dit par obsessions, régressions, souffrant de dire sa brulure ou de brûler à dire. Une forme expérimentale inclassable qui rappelle la voix d'Antonin Artaud dans son expressivité déchirée et son malaise de l'être.
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Vous l'appellerez : rivière

Ce livre présente une originalité dans sa construction, il se scinde sur presque chaque page en deux parts : la première en prose, la deuxième en vers. La prose nous offre le récit poétique d'une rencontre entre une femme et un homme. Comme il est difficile de se rencontrer, de se parler. Une barrière infranchissable semble se dresser. Le corps, les gestes, la parole, les mots, la voix, la pensée : tout mettre en concordance pour arriver à communiquer ! Le découragement est parfois au rendez-vous, mais parfois c'est la compréhension qui l'emporte. Les passages en vers évoquent Rivière, avec sa majuscule, car c'est plus qu'une rivière c'est une habitante !, le village, les anciens, les enfants, le tumulte ou la paix, les mésaventures de tout ce petit monde. A nous de faire le lien entre les deux univers, et c'est ça qui est beau, qui fait travailler notre imagination et nous permet de rencontrer Edith Azam, de tenter de la rejoindre.
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