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Citations de Elizabeth Laird (25)


Courir ne dépend pas que de vos jambes et de vos bras. Certes, ce sont eux qui font le travail (vos jambes surtout) mais ce qui compte réellement, c'est ce qui se passe dans votre tête.
Il faut entraîner son esprit à ne pas s' inquiéter de la fatigue ressentie et à oublier les pieds meurtris, les jambes douloureuses ainsi que la sensation de manque d'air dans les poumons (p 115)
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Bien sûr, j'avais entendu parlé de l'Empereur. Haïlé Sélassié. Tout le monde l'appelait "Sa Majesté". Il avait dirigé l'Éthiopie pendant des années, jusqu'à ce que la révolution provoque sa chute. Les révolutionnaires avaient assassiné Haïlé Sélassié, puis raflé des milliers de personnes qu'ils avaient massacrées. L'Éthiopie avait connu une période terrible à cette époque. Personne n'aimait en parler, sauf pour se réjouir de la fin de ce règne de terreur.
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« Je sais aujourd'hui des choses que je ne savais pas à l'époque. Ce jour-là, j'appris la plus importante de toutes : courir ne dépend pas que de vos jambes et de vos bras. Certes, ce sont eux qui font le travail (vos jambes surtout), mais ce qui compte réellement, c'est ce qui se passe dans votre tête. Il faut entraîner son esprit à ne pas s'inquiéter de la fatigue ressentie et à oublier les pieds meurtris, les jambes douloureuses ainsi que la sensation de manque d'air dans les poumons. »
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Plus on connaît la nature, plus elle nous révèle de merveilles.
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« Et soudain, ils apparurent ! Portés par les vagues de sons. Je les voyais ! Nos héros et héroïnes ! Nos champions éthiopiens ! Répartis dans trois voitures noires, ils se tenaient debout sur les banquettes arrière et seuls leur tête et leur torse émergeaient des toits ouvrants. Chacun d'eux portait le drapeau de l'Éthiopie sur le mangnifique survêtement vert et jaune de l'équipe nationale. Des guirlandes de fleurs dorées pendaient à leur cou. Tout le monde les ovationnait, sautait sur la place, agitait les bras. C'est alors qu'un étrange événement se produisit. Le bruit sembla s'estompe. Mes yeux s'étaient fixés sur le ruban bleu au cou de la femme qui se tenait dans la première voiture. Sa médaille d'or brillait au soleil. »
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« Je connaissais chaque millimètre du trajet jusqu'à Kidame. Pour moins ressentir le nombre de kilomètres que je devais couvrir chaque jour, j'avais inventé des jeux de calcul. Je pariais sur le nombre de foulées que je ferais pour atteindre l'arbre au coin du chemin ; je comptais les petits oiseaux bruns perchés sous l'avant-toi de l'église (il y en avait en général quatre ou cinq) ; je n'oubliais jamais de toucher la grosse pierre en bas de la colline pour empêcher le diable de s'approcher ; et j'effectuais tout à la vitesse de la lumière. À ce sujet, j'en profite pour vous révéler à quel point c'était important pour moi. Devenir coureur, je veux dire, pas courir entre mon école et chez moi. Je rêvais de participer à de grandes courses dans d'autres pays, de couronner l'Éthiopie de gloire et de prouver à chaque habitant de Kidame que j'étais un héros. Je voulais devenir le coureur le plus rapide au monde. »
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Courir ne dépend pas que de vos jambes et de vos bras. Ce qui compte réellement, c'est ce qui se passe dans votre tête.
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Un jour, c'est moi qui remporterai la médaille d'or aux Jeux olympiques.
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Un nom pour chaque fleur

"J'aimerais savoir le nom de toutes les fleurs !" s'exclame Rosie.
"Tu apprendras bientôt leur nom. Tu sais, certains sont très anciens. Et des poètes les ont chantés, il y a très longtemps."

J'aime la belle violette,
L'oeillet et la pensée aussi ;
J'aime la rose vermeillette,
Mais surtout j'aime le souci.
A une Fleur de Souci - Gilles Durant

"Il n'y pas tous les noms de fleurs dans ce poème !"
"Non, effectivement, mais il y a bien d'autres poèmes sur les fleurs à apprendre".
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Je trouve plutôt sadique de fixer la période des examens au mois de juin, alors que c'est le seul mois de l'année où il fait un temps acceptable. Je me demande pourquoi on ne les met pas en novembre, quand on n'a rien de mieux à faire. (p.31)
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Le garçon court comme un lièvre sur ses pieds nus et disparaît derrière une aire de chargement. Le garde n'a aucune chance de le rattraper.
À mon avis, ce garçon deviendra athlète. C'est un coureur-né. J'étais comme lui. Il est comme moi.
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Quand ils eurent aidé James à grimper dans la jeep, et que le bruit du moteur disparut au loin, Joseph fut soudain assailli par la fatigue. Il vacilla sur ses pieds, et aurait pu s'étaler de tout son long si Beatrice n'était arrivée derrière lui, avec un verre de porridge de maïs liquide. Elle le lui mit dans la main et il commença à boire, prenant soudain conscience de la faim qui le tenaillait.
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Au moment où je pensais ne plus pouvoir me retenir, le jeune contrôleur lança depuis la porte: "Piazza!".
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- Écoute, John, commença Kit, ses yeux sombres fixés sur John avec une gravité presque douloureuse. Si quelque chose devait m'arriver, si... prends mon coffre et tout ce qu'il y a dedans. Et ne sois pas surpris de ce que tu y trouves. Peut-être que tu ne... Tu penseras que...
Il s'efforçait désespérément de trouver les mots justes mais, avant même qu'il ait pu continuer sa phrase, Nat surgit à leurs côtés.
- Tu es malade, Nat ? demanda John, remarquant sa pâleur livide.
- J'ai peur, répondit-il franchement. Une peur bleue.
Son petit corps frêle était secoué de frissons.
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Je me demande si les araignées feraient des animaux de compagnie sympas. On ne pourrait pas les apprivoiser, enfin je ne crois pas, et elles ne sont pas franchement câlines, hein ? (p.9)
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Avant, elle l'engueulait, quand ça le prenait, quand ça commençait à vraiment chauffer. Plus maintenant. Elle n'examine même plus les traces de coups. Si par hasard elle les voit, elle se tait. Et regarde ailleurs.
Comme on détourne le nez pour éviter une mauvaise odeur. (p.6)
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"Cours, garde un rythme lent et régulier, lent et régulier.
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Je n'aurais pas su expliquer à qui que ce soit que tout avait changé pour moi et que rien ne serait plus comme avant. Je me sentais différente des autres, comme si je m'étais mise à parler une langue jusque-là inconnue, comme si je portais de nouvelles lunettes ou comme si la vie avait pris pour moi une autre dimension. (p.154)
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Elle savait, comme nous le savions tous, que nous ne nous en remettrions jamais, parce qu'on ne se remet jamais de rien. On finit par vivre avec, c'est tout. (p.148)
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D'après maman, Katy avait la grippe et le docteur pensait qu'il s'agissait d'un virus. C'est ce qu'il disait chaque fois. On peut être tout bleu avec des plaques vertes, avoir la tête qui éclate, tousser comme le Vésuve en pleine éruption, c'est toujours un virus et la seule chose qu'il puisse faire c'est de vous conseiller de rester bien au chaud et de boire beaucoup. Je préfère les maladies qui ont des noms répertoriés comme la varicelle ou les oreillons. Vous savez au moins ce que vous avez. (p.136)
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