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Citations de Erik Juszezak (88)


"Tu vois, Anna, le paradoxe, c'est que plus tu réussis ta vie et mieux tu acceptes de partir. C'est quand on a des regrets qu'on s'accroche... "
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Le clan de la Pierre-levee avait établi son feu à flanc de colline, près d’une excavation qui lui servait de refuge. Les braises tenaient éloignés les griffes des prédateurs et le froid de la nuit.
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"..., le paradoxe, c’est que plus tu réussis ta vie et mieux tu acceptes de partir. C’est quand on a des regrets qu’on s’accroche… " (p. 328)
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- Vous savez Monsieur Gordon, sur l'arbre de l'évolution, l'homme ne constitue qu'une brindille à l'extrémité de la branche des mammifères. Un incident de parcours.
Malgré son intelligence et sa cruauté, l'espèce humaine aurait pu tout aussi bien finir à quatre pattes au bout d'une laisse tenue par un chien bipède!
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"Vous savez, sur l'arbre de l'évolution, l'homme ne constitue qu'une brindille à l'extrémité de la branche des mammifères.Un incident de parcours. "
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- La guerre des rats a déjà eu lieu en Europe, au XVIIIe siècle, quand le rat brun venu d’Asie a débarqué des navires pour se risquer sur le territoire du rat noir des villes. Il n’y a eu qu’un vainqueur : l’envahisseur. Aujourd’hui, deux espèces se disputent à nouveau la même niche écologique : l’ancien envahisseur et son ancêtre préhistorique. Les rats bruns ne tolèrent pas cette intrusion et réagissent, comme toutes les espèces animales face à leur version ancestrale, par un rejet systématique. (p. 239)
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Le garde-manger n'était pas complétement fermé. Des bruits de mastication s'en échappaient. Le commandant sentit la montée d'adrénaline. En quelques gestes, dans le plus grand silence, il positionna ses hommes près du battant haut de plus d'un mètre et se plaça devant. Il saisit la poignée, tira d'un coup sec. La seconde d'après, ses repères volaient en éclats. Rien ne l'avait préparé à une scène de ce genre. Quelque chose qui oscillait entre un film de zombies et un carnage en pleine savane.
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Or, pour qu'une épidémie démarre, il suffisait d'un seul microbe infectant un organisme unique. Au début du siècle, quelque part en Afrique de l'Ouest, le chasseur de viande de brousse infecté par le sang d'un chimpanzé ignorait qu'il serait à l'origine, quelque quatre-vingts ans plus tard, de vingt millions de morts du sida.
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"Entre eux régnait l'accord parfait, une entente physique et intellectuelle dont rêve n'importe quelle fille de la planète, de la plus cruche à la plus ambitieuse !" (p. 36)
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Vous me connaissez, je me bats pour que ces êtres soient traités dignement,néanmoins, je refuse de céder aux fantasmes.
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- Ce fléau ne ressemble à aucun modèle connu. Le virus se développe de manière spontanée et anarchique. A ce jour, nous dénombrons mille cent soixante-trois victimes. Partout, les symptômes sont les mêmes : douleurs musculaires, fièvre, saignements cutanés, puis coma de stade 2. C'est au cours de cette période qui oscille entre trente-six et soixante-douze heures que le corps se transforme. La suite, vous la connaissez : quand ils reprennent conscience, les malades ont acquis une physionomie "préhistorique". La vitesse est une des caractéristiques essentielles du Kruger.
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Les humains se comportaient comme les rats dans les égouts et les éléphants dans la savane : ils défendaient leur espèce .
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"Tu vois, Anna, le paradoxe, c'est que plus tu réussis ta vie et mieux tu acceptes de partir. C'est quand on a des regrets qu'on s'accroche... "
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Le chef se contenta d'acquiescer, puis baissa la tête, en signe d'accord. D'un simple hochement, l'équilibre du pouvoir venait de basculer au sein du clan.
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Par terre, une dizaine de créatures (il n'aurait su dire s'il s'agissait d'hommes ressemblant à des bêtes, ou l'inverse) étaient assis face à des placards en Inox et attrapaient des aliments avariés qu'elles portaient à leur bouche ; une bouche rentrée, sans lèvres. Leur corps dénudé présentait une peau mate et velue. Leur visage était marqué par une arcade sourcilière saillante qui formait une visière osseuse au-dessus des yeux. Si l'on ajoutait l'absence de menton, l'ensemble produisait une impression terrifiante.
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Les mots "moindre doute" tournoyaient dans son esprit comme un essaim d'abeilles. Moindre doute, moindre doute, moindre doute... Comment évaluer un "moindre doute" sur l'échelle des risques ?
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C'est une loi de la nature. L’homme est gouverné par ses craintes.
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Au Kenya, on a découvert des empreintes démontrant que ces préhumains marchaient en transférant leur poids du talon vers leur gros orteil.
Littéralement Homo erectus, c'est "l'homme dressé " le premier de nos ancêtres à nous ressembler.
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Il aimait contempler les montagnes. Cette démesure remettait les choses en perspective et l'apaisait.
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Considérer nos ancêtres comme des brutes carnivores est absurde; les Homo Erectus étaient redoutables. Ils ont domestiqué le feu, fabriqué les premières haches et probablement inventé les prémices du langage dont nous avons hérité.
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