Erika Sauw

Mathieu se considère comme un mec plutôt bien foutu, à tous niveaux. Il se sert des femmes comme d’un kleenex, les prend, les utilise et les jette sans aucun remords. Le viol ne semble même pas lui faire peur pour assouvir ses désirs de mâles.

Ce soir-là en boîte il est heureux d'avoir réussi à entraîner dehors la petite nana qu'il branchait et escompte bien lui faire « voir le loup », avec ou sans son accord. C'est d'ailleurs en bonne voie lorsque survient un événement dont il n'aura aucun souvenir mais qui va changer sa vie.



A son réveil tout est différent. Il est nu, pleinement excité sans trop savoir pourquoi et entourée de femmes à moitié dévêtues. Rêve ou réalité ?



Il vient d'être enlevé par des créatures d'une autre planète : Gamma Pictoris, à des années lumière de la Terre. Ces êtres humanoïdes sont pour la plupart des femmes et Keanima, sa kidnappeuse lui explique clairement que dorénavant il est son esclave et devra assouvir tous ses désirs sous peine de punitions douloureuses.

Il va s’en rendre compte rapidement



Il a été choisi pour la taille imposante de sa verge et sur le moment l’idée d’avoir été enlevé pour baiser des femmes splendides le fait se rengorger de fierté et de joie.

Le Terrien qu’il est y voit un signe de supériorité là où Keanima n’y voit qu’une marchandise un peu mieux fournie que les autres.

De fait, les premiers jours le rendent plutôt content de son sort. Toutes les femmes sont belles, et surtout, elles vivent nues. Il peut se rincer l'œil à tout va et faire l'amour avec Kaenima et ses filles et même si elle souhaite le "prêter», avec ses amies.



Pourtant derrière toute cette vie facile pour lui semble planer un danger.

Car que lui adviendra-t-il lorsqu'il ne leur sera plus utile? Les pannes ça peut arriver à tout le monde sur Terre mais sur cette planète cela semble être rédhibitoire à la survie du concerné.



Petit à petit il va donc se rendre compte de son rôle d'esclave, de soumis, de jouet sexuel, de sextoy humain.

Ce qui aurait pu être excitant (à petite dose) pour l’homme qu’il était avant, est ici la norme pour les mâles enlevés sur Terre.

Car seul le plaisir de la femme compte.

Finies les fellations ou autres gâteries pour son plaisir à lui !



« Tu aimes sucer ? demanda Mathieu.

- Sucer quoi ?

- Ben … Les bites.

-[…]

- Je ne vois pas pourquoi j’aimerais. Ca ne m’apporterait rien.

- Ca fait plaisir à l’homme.

- Mais c’est mon plaisir qui compte, ce n’est pas le tien. »



Les jours passent et se ressemblent, il visite, fait les tâches qui lui incombent et ainsi de suite. Il en apprend un peu plus chaque jour sur cette planète grâce à Keanima ou aux informations télévisées.

Il semble être tombé sur une bonne « maîtresse » puisqu’elle le laisse manger à table même si ce sont les restes et ne le maltraite pas trop. Elle semble même le considérer comme faible et fragile et donc se retenir de lui infliger des délices trop brutaux. A la manière dont elle l’avait mis à genou à son arrivée sans aucune difficulté, Mathieu a pu se rendre compte que sur cette planète il ne fallait pas se fier aux apparences.



Et puis arrive le jour où Keanima décide de lui montrer les hommes de sa planète et le rôle unique qui est le leur: la fécondation.

Ce que Mathieu découvre ce jour-là va lui ouvrir les yeux et changer sa vision de ce monde.

Car même s’il s’agit d’un monde de femmes, gouverné par des femmes pour leur seul plaisir, il n'est ni exempt de violence ni de guerre et le modernisme y côtoie les inégalités les plus flagrantes.

Ici les hommes sont traités comme du bétail et les conséquences de leur désobéissance sont la mort de l'individu ou au minima de grandes douleurs.

Mathieu, l'homme imbu de lui-même et profiteur de base, va expérimenter le revers de la médaille et ainsi à son grand désarroi l'humiliation d'être considéré comme quantité négligeable.

Lui si fier de ses prouesses va ressentir le doute et enfin la peur face à ces femmes insensibles et brutales.



C'est un roman très court qu'Erika Sauw nous a mis là entre les mains et j'avoue ressentir un avis mitigé une fois la dernière page tournée. Peut être suis-je trop fleur bleue pour cette civilisation féministe et matriarcale?



Cependant la plume de l’auteure et les descriptions de cette planète si différente de la nôtre m’ont tout de même permise de m’y transporter et d’en apprécier les décors de science-fiction. L’imagination est pleinement dirigée et les images semblent se créer sous nos yeux à la lecture de ses mots.

Les scènes érotiques sont bien écrites et sans fioritures superficielles. On y découvre le plaisir brut de ces femmes pour qui les préliminaires sont inutiles et dont la jouissance semble être innée.

Le lecteur va ressentir l'excitation de Mathieu au début de cette aventure face à toutes ces femmes qui semblent le désirer et vouloir l'utiliser. Un fantasme qui peut plaire à nombre d’entre vous, messieurs.

Puis on suit aussi son évolution de pensée et la remise en question de ce qu'il était face à cette situation inversée.



La fin que je n’ais pas vu venir ainsi m'a prise par surprise et les explications qui ont défilé dans ma tête à la lecture du dernier chapitre me semblaient trop aberrantes pour être réelles. Une seule pensée alors : « non !?! Elle n’a pas osé ? »

Alors quand j'ai lu noir sur blanc que mes idées les plus glauques et sordides prenaient vie sous la plume d'Erika, j'ai eu un moment de flottement, de léger dégoût face à cette scène qui n'est pas sans me rappeler une autre scène aussi dérangeante pour moi appartenant au film Hannibal de Ridley Scott.

Car le final est osé, choquant et risque d’en gêner plus d’uns aux entournures mais en même temps presque logique au vu du reste de la lecture.



C’est donc une lecture pleine de surprise qui ne plaira peut être pas à tous mais qui a le mérite de ne pas laisser indifférent. Que l’on soit adepte ou non la plume d’Erika Sauw va nous emmener avec elle vers ce final percutant.

Une novella un peu tordue, entre sexe et SF, sans grand intérêt si ce n'est de distraire quelques heures le lecteur. C'est réussi, on passe un moment agréable à le lire, mais ce n'est pas de la grande littérature. Dans le genre, on peut trouver mieux.

J'ai adoré ce petit Erika Sauw de Noël ! (Décidément il faut croire que je kiffe les extraterrestres). Déjà la scène d'ouverture est super, on rentre immédiatement dans le roman à travers les personnages de Julie et Matthieu. Ensuite, j'aime l'idée selon laquelle le "héros" de l'histoire n'est pas sympathique et j'ai trouvé ce texte très féministe (un homme objet j'adore !) Sans dévoiler l'histoire, je trouve que le jeu de domination est bien amené/décrit, dans le sens où on retrouve bien le travers masculin qui cherche toujours à utiliser les femmes (sauf que ça ne ne se passe pas comme prévu pour Matthieu ^^) Les scènes sexuelles sont bien dosées sans trop en faire et la fin (que je ne dévoilerai pas ) est parfaite !



Ce que j'aime : l'humour ! le côté très féministe de l'histoire, le style soigné. Le fait que le monde présenté soit cohérent et travaillé



Ce que j'aime moins : c'était trop court



En bref : Un excellent mélange d'érotisme, de SF et d'humour avec une grosse pointe de féminisme. C'est bien écrit, il y a une vraie histoire et un vrai monde. Bref j'ai adoré



Ma note



8,5/10
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Après avoir eu un vrai coup de cœur pour L’amant de mes rêves d’Erika Sauw, je dois avouer avoir eu quelques réticences avant de commencer cette courte nouvelle principalement en raison de l’importante part de science-fiction qui ne fait pas partie de mon style habituel de lecture.



Et pourtant, j’ai passé un agréable moment de lecture grâce à ce petit récit qui se lit rapidement et de manière fluide.



Nous assistons donc à l’arrivée de Mathieu sur la planète Gamma Pictoris, un jeune homme de 19 ans qui a été enlevé par Kaenima, en raison de la taille importante de son sexe. Celle-ci deviendra ensuite sa maîtresse sur cette planète. Une situation qui ne sera pas pour déplaire à Mathieu, bien qu’il soit blessé dans son orgueil de devoir obéir à une femme.



J’ai évidemment apprécié cette planète où les femmes sont supérieures aux hommes, où les hommes sont utilisés avec le plaisir sexuel comme seul but et où certains tabous n’existent pas notamment lorsque Kaenima prête 927F, la nouvelle appellation de cet homme, à ses deux filles. De plus, ce récit est plein d’humour et de gentilles moqueries remettant à leur place les hommes qui se croient supérieurs mais qui, rappelons-le, ont quelques limites sexuelles.



« Elle remarqua cependant très vite que le sexe de Mathieu avait beaucoup ramolli, même s’il n’avait guère perdu de sa longueur.



« Les mâles de la Terre doivent attendre un certain temps avant de recommencer à s’accoupler, expliqua Kaenima. Ils ne sont pas comme les nôtres.



— Pourquoi ?



— C’est comme cela qu’ils sont faits. Ils ne sont pas très résistants, et celui-là moins que les autres, apparemment. »



Mathieu faillit faire une réplique orageuse à Keanima, mais son pénis donnait cruellement raison à sa maîtresse. Malgré la présence d’une femme et de ses deux filles nues et avides de sexe, il se sentait incapable de rebander. »



La part de science-fiction est distillée de façon maîtrisée, avec de nombreuses descriptions nous permettant d’imaginer cette autre planète se trouvant à des années lumières de la nôtre.



« Dans un ciel rougeoyant, trônait un soleil plus grand mais moins lumineux que celui de la Terre, que l’on pouvait regarder sans s’aveugler. Ses rayons chauffaient pourtant beaucoup la peau. Du sol, s’élevaient des végétaux délirants, aux feuilles totalement noires. Ils créaient une atmosphère d’autant plus angoissante que le ciel avait un aspect crépusculaire, même s’il devait être dans les alentours de midi. Les pieds de Mathieu et de ses compagnes foulaient un sol recouvert non pas d’herbe, mais d’une sorte de mousse envahissante, d’où émergeaient çà et là quelques plantes un peu plus claires évoquant des fleurs. »



Les scènes de sexe, quant à elles, sont plutôt bien racontées et ne font que renforcer le côté agréable de la lecture.



« Après encore quelques mouvements semblables à ceux d’un animal en train d’expirer, il s’effondra sur son amante, haletant, le corps en sueur. Les seins de Kaenima étaient écrasés contre son torse ; leurs joues se touchaient avec une sorte de tendresse qui contrastait avec la sauvagerie des précédents assauts. Ils restèrent longtemps emboîtés l’un dans l’autre, leurs respirations se calmant progressivement. »



En conclusion, il s’agit là d’une nouvelle originale, bien écrite, qui nous embarque rapidement sur une autre planète jusqu’à une fin pleine d’humour.



Je remercie les Editions Artalys pour cette lecture.


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C'est une nouvelle : le récit se déroule donc très rapidement, les scènes s’enchaînant les unes après les autres. Si au début, ma lecture m'enchantait par le caractère désaxé de Célia, par le mystère planant autour de Fabrice et par l'idée du trio ; la suite m'a laissée perplexe. La note de fantastique qui arrive.....
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Une petite histoire bien sympathique qui nous entraine dans les aventures de Célia, une comptable délurée... Arrivée dans une nouvelle ville, la jeune femme ne tarde pas à faire une rencontre : son voisin, le mystérieux Fabrice et Christophe le commercial de la boite qui, de prime abord fait penser à un Jean Claude Convenant... Elle éconduit sèchement ce dernier ( en ne mâchant pas ses mots, j'adore) tout en donnant sa chance au second. Tout pourrait être parfait si Fabrice ( qui prétend veiller sur son vieux père malade) ne disparaissait pas sitôt après avoir consommé une union plus que chaude avec Célia et si la jeune femme ne vivait des rêves brûlants plus vrais que nature... Je n'en dirais pas plus sur l'histoire pour ne pas spoiler mais j'ai particulièrement aimé son rêve mettant en scène Christophe qui était très chaud... La fin est aussi surprenante qu'amusante.



Ce que j'aime : le côté déluré de Célia, la mise en scène de nombreux fantasmes courants (mention spéciale pour le second rêve). La simplicité de l'histoire, efficace et bien menée. Le personnage de Djamila et ce qui se trouve dans le placard... (ceux qui liront comprendront )



Ce que j'aime moins : la fin est allée un peu vite pour moi.



En bref : Encore une histoire érotique teintée de fantastique d'Erika où nous retrouvons avec plaisir la plume délurée et alléchante de l'auteure. Si vous aimez l'érotisme, foncez !



Ma note



7,5/10
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Une forêt mystérieuse, un peuple d'indigène qui en veut à l'intégrité de Sophie et le décès ressent de son père, voilà les bases de l'intrigue de Dieu pervers. Sophie est la fille d'un comte, ce qui lui vaut d'être convoitée par beaucoup d'hommes mais surtout par le chef d'une tribu primitive qui vit au fin fond de la forêt. D'après les rumeurs qui les entourent, ce peuple serait violent, indécent et dangereux. Alors que Sophie est obligée de quitter la garnison de son père pour aller l’enterrer dans sa région, elle est kidnappée par deux hommes faisant partie de ce clan. Elle va vite apprendre qu'elle va être offerte comme épouse au dieu du peuple Juwaans. Son statut de vierge l'a protège en attendant des assauts des hommes de la tribu et lui vaut de survivre quelques jours. Mais pour combien de temps ? Quel sorte de sacrifice va-t-elle devoir subir pour leur Dieu ?

Un récit qui mêle fantastique, érotisme comme la plupart des récits que les éditions Artalys me proposent en lecture. La plume de l'auteure fluide, agréable à lire et particulièrement bien travaillé pour mettre en avant les us et coutumes de la peuplade, la vie dans la casernement. Les scènes érotiques sont peu nombreuses mais ne sont pas très romantiques – je préfère prévenir les âmes « sensibles » sur ce point-. C'est un récit abordable, étoffé et bien construit.
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Alors, j'avais lu la première version que j'avais déjà beaucoup apprécié mais j'admets que j'ai encore plus aimé cette nouvelle version où l'auteure a un peu approfondi la culture des pictoriennes ! L'humour y est toujours présent et les descriptions plus détaillées. J'ai vraiment apprécié le nouveau rebondissement où Matthieu rencontre la gouverneure et les combattantes ! L'orgueil masculin en prend un sacré coup et c'est particulièrement amusant. La fin m'a autant fait rire que lors de la première version et, vu qu'en dépit de son statut de héros, Mathieu est tout sauf sympathique, je me suis encore dit que c'était bien fait !





Ce que j'aime : les nouvelles scènes qui prolongent l'humiliation de Matthieu et notre plaisir





Ce que j'aime moins : On aurait pu allonger encore non ?





En bref : Une nouvelle version qui nous permet d'en apprendre plus sur la culture des extraterrestres et de rabattre le caquet de Matthieu !





Ma note





8,5/10
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Sans intérêt

Les histoires sont sans intérêt beaucoup sont inachevées pleins de fautes de français a par une ou deux qui sont pas mal pour lecteurs qui ne sont pas regardant

Le grand retour d'Erika avec cette nouvelle série sulfureuse où l'héroïne, Maud, magnifique brunette aux formes voluptueuses se voit chargée de décoincer Lauriane par le père de cette dernière. Comme toujours avec Erika, on ne perd pas de temps pour se mettre à nu et dès l'arrivée de Maud dans la villa, elle rencontre Silvano, un superbe étalon ! Les scènes libertines s'enchaînent, entrecoupées de références à la littérature érotique et la relation naissante entre Maud et Lauriane est pleine de promesses. J'apprécie aussi le fait que Roland, le père de Lauriane ait une raison de vouloir dévergonder sa fille et de fait, le personnage de Yannick ne me revient pas non plus ! J'ai également apprécié le côté incestueux suggéré par Maud à la fin. J'espère que nous en apprendrons plus sur lui dans les prochains épisodes





Ce que j'aime : le côté libertin, le fait que l'auteure va droit au but et assume ses transgressions, les motivations de Roland, les scènes érotiques, très réussies





Ce que j'aime moins : un épisode un peu court et j'aimerai en apprendre plus sur Silvano





En bref : Une bonne mise en bouche pour ce premier épisode, vivement la suite !





Ma note





7,5/10
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J’ai choisi cette nouvelle car je voulais une lecture sans prise de tête et légère. Quoi de mieux qu’une nouvelle érotique pour cela !

Avec un titre comme Orgie en mer, je savais à quoi m’attendre… du moins c’est ce que je pensais. Car l’auteur m’a réellement surprise, je ne m’attendais pas à un tel revirement de situation.



Franck, riche homme d'affaires, est venu passer quelques jours sur la Côte d’Azur, notamment dans le but d’assister à une « petite fête » sur le yacht de son ami, Jérôme Guyot.

Il fait la connaissance d’Amélie, une jeune femme mystérieuse et extrêmement séduisante, qui ne fait pas dans la dentelle. Amélie aime le sexe et l’assume pleinement. Franck tombe immédiatement sous le charme de cette beauté sensuelle et n’hésite pas à l’inviter à la petite fête coquine organisée par son ami. Ce que la jeune femme s’empresse d’accepter. Mais les choses vont prendre un tournant auquel Franck ne s’attendait pas du tout…



Franck est complètement séduit par Amélie. Mais cette dernière reste un vrai mystère. Alors que les sentiments de Franck sont profonds et sincères, Amélie reste froide. On la sent sans attache alors que Franck aimerait faire durer les choses… Il est assez touchant. D’autant que, lorsqu’il découvre la vérité sur Amélie, il fonce tête baissée tellement il est « sous son emprise ».



J’ai vraiment passé un bon moment avec cette nouvelle. C’est de l’érotisme, donc les scènes de sexe sont explicites mais bien écrites. En outre, ce n’est pas que ça… L’auteur nous entraîne dans un univers de science-fiction dans lequel le sexe est omniprésent et exclusivement dirigé par les femmes…



Ma curiosité a été attisée par ce monde et j’ai hâte d’en savoir plus avec La planète des femmes.



Ccl : Une nouvelle érotique sympathique et originale. Une plume agréable. A découvrir.
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Avis de Gwen:



Avant de lire ce livre, j'avais de nombreuses appréhensions n'étant pas adepte des nouvelles, j'avais peur de ne pas accroché mais j'ai été agréablement surprise et ce recueil fut une belle surprise.



Il regroupe les plumes de 17 auteurs autour de nouvelles très différentes les unes des autres. Il y en a vraiment pour tous les goûts.



C'est une lecture très agréable qui m'a permise de découvrir de belles histoires et des auteurs que je ne connaissais pas.



C'est la première fois que je lisais des nouvelles et je n'ai pas été déçue. Bien-sûr, il y a des histoires que j'ai aimé plus que d'autres mais elles sont toutes parfaitement écrites.



Le seul petit bémol c'est que j'aurais aimé que certaines histoires dures plus longtemps, et oui je suis gourmande :P.



En bref, c'est une lecture très agréable qui nous permet d'être plongé dans pleins d'univers différents et tout ça en un seul bouquin, que demander de plus :).



Je vous le recommande sans hésitation. De plus, vous pouvez le trouver gratuitement sur Amazon, Kobo ... donc n'hésitez plus et lancez vous.

Ce L'ivre Coeur eh bien c'est un coup de coeur.



Chaque auteur nous régale de son univers, et c'est un pur bonheur.



Pour certain, je connaissais déjà la plume, pour d'autres pas.



Certaines des nouvelles présentes dans ce recueil sont plus émouvantes que d'autres, mais chaque auteur nous offre une petite merveille.



Comment mieux fêter cette fête des amoureux qu'avec cette lecture ?



Bon ok il y a des tas de réponses ☺



Mais si vous n'avez rien de prévu, eh bien profitez-en pour vous plonger dans l'univers de 17 auteurs de talent.



Si votre soirée est déjà prise, eh bien vous le lirez demain, je ne vous en voudrai pas ☺



L'ivre-book nous offre gratuitement une merveille pour fêter l'amour.



Quand à moi je vous conseille fortement de ne pas louper cette sortie coup de ♥.

Ce livre est le prélude à "La planète des femmes", du même auteur, que j'avais lu il y a de cela quelques semaines, et dans lequel j'avais apprécié les sous-entendus féministes. On y retrouve l'idée d'une planète des femmes vouée au sexe, de laquelle de mystérieuses guerrières voyageraient pour venir enlever des terriens (hommes).

Je dois dire tout de suite que je n'ai pas du tout accroché avec celui-ci, dès le départ. Au premier abord déjà, la couverture et le titre ne m'ont guère inspirée : cela ressemblait à de l'érotisme de série B, et je pense que si je ne l'avais pas reçu en service presse, j'aurais tout bonnement passé mon chemin. Mes a-priori se sont confirmés à la lecture : je ne me suis pas laissée entraîner par l'histoire, pas plus que par les personnages. Ces milliardaires désabusés qui organisent des orgies en mer avec des prostituées n'ont su attirer ni mon envie, ni ma pitié, juste un froid désintérêt.

Pourtant, la plume d'Erika Sauw reste agréable à lire et, même si l'histoire ...
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J'ai beaucoup aimé le rythme de cette histoire érotique qui commence doucement par ce que qu'on appeler un coup de foudre, celui de Franck pour Amélie, jeune femme magnifique et très nymphomane. Leur histoire est immédiate (il faut dire qu’Amélie n'est pas une sentimentale et pour cause). On se laisse bercer par l'orgie de sexe à laquelle se livre Amélie et les pensées sentimentales de Franck jusqu'à ce que l'orgie en mer prenne un tour absolument inattendu (je n'en dirais pas plus). La suite renforce le côté SF de l'histoire et on sort de l'érotisme pour partir dans une romance fantastique et curieusement assez sentimentale





Ce que j'aime : Les sentiments de Franck, la manière dont l'histoire bascule dans la SF





Ce que j'aime moins : Trop court et des scènes sexuelles parfois un peu répétitives





En bref : Sans doute le roman le plus sentimental d'Erika Sauw. A lire pour la romance et le fantastique





Ma note





7,5/10
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Nouvelle très sympa.

J'ai bien ri à certains moments et eu très chauds à d'autres.

Je me suis demandée où l'auteure voulait en venir en ajoutant un peu de fantastique mais en lisant la fin j'ai compris et j'ai trouvé ça super.

Ce livre est idéal pour les lectures hivernales ... Il a de quoi réchauffer ses lecteurs !



Dès les premiers chapitres, j'ai été plongée dans une atmosphère très torrides. Célia, m'a fait entrer dans ses rêves et sa réalité, d'une façon très sensuelle et chaude. Elle nous partage ses moments intimes sans pudeur et avec un humour bien à elle. Célia, est une jeune femme, qui sait ce qu'elle veut et n'hésite pas à le prendre. L'héroïne s'exprime d'une façon plutôt cru, parfois, ce qui fait monter un peu plus la température.



Une petite intrigue autour de Fabrice bien sympathique et une fin quelque peu amusante.



Un bon récit érotique avec juste une touche de magie, qu'une fois ouvert je n'ai pu le refermer. Un dénouement surprenant qui a laissé un sourire sur mes lèvres.
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Par Sandra et Yannick sur http://www.prose-cafe.fr



Quand j’eus fini ce livre, je me suis rappelé d’une chronique d’une blogueuse à la couleur rose bonbon s’indignant quant au traitement que subit Sophie von Halle dans le tome 1. Que penserait elle de ce Royaume De La Forêt tome 2 La Déesse Du Sexe toujours Aux Editions Artalys?



Pour ma part ? Je suis un homme donc je suis déçu ! Comment ?!!! Ben oui ! Cela a un gout de reviens-y !



J’aime beaucoup Erika Sauw, Nous discutons bien sur Facebook, mais elle est clairement une auteure érotique pour « nana ».



Certainement par ce que je suis un homme, j’ai eu beaucoup de mal avec la castration de la société Juwaan mais si ils gardent leur virilité.



Pour en revenir à la blogueuse rose bonbon, je me pose la question suivante : aurait-elle influencé Erika pour l’écriture de ce tome 2 ? Une victoire de ces femmes qui s’indigne pour si peut ? Oui si peut, ce n’est qu’une fiction !!!



Yannick



Je rejoins Yannick sur le dernier point, à savoir que ce n’est qu’une fiction. Si on lit cette histoire en s’y plongeant, c’est délicieusement érotique (voire plus) et très excitant. Âmes sensibles s’abstenir !



Pour ma part, ce texte est, encore une fois, bien écrit, c’est très fluide. J’ai beaucoup aimé l’idée qu’une femme puisse donner et prendre du plaisir et en même temps allaiter sans avoir de grossesse. Tout simplement génial !! Sophie est devenue prêtresse et elle est, de ce fait, un élément important qui permet la liaison entre les 2 peuples.



Sandra

Un dernier tome riche en rebondissements et en hémoglobine. On tremble pour nos héros et on espère qu'ils ne seront pas victimes. J'ai beaucoup aimé le principe des duos décidés par la production et la manière dont Elena et Nemeth tentent d'influencer le jeu. Les personnages sont toujours aussi attachants et on tremble pour Maylis, victime désignée par Nemeth. Les scènes sont sanglantes à souhait (non, non, je ne vous révélerai pas qui s'en sort) et j'ai un gros coup de coeur pour Loubna (parfaite dans cet épisode). Les scène de sexe sont toujours aussi bien décrites et j'ai beaucoup aimé la fin ainsi que le destin de Juliette





Ce que j'aime : Loubna, les scènes de sexe et les exécutions





Ce que j'aime moins : j'aurais aimé lire la fin de deux des personnages féminins





En bref : Un très bon tome qui cloture parfaitement la trilogie





Ma note





8/10
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Le premier roman, qui s'avère être plus une nouvelle, que j'ai lu grâce aux services de Youboox. Je les remercie d'ailleurs et notamment Loriane pour ce partenariat. Et franchement, je suis un peu déçue par cette lecture...



L'histoire est celle d'une jeune fille, Célia, qui vient de déménager pour se rapprocher de son premier emploi. Très rapidement, elle va faire la rencontre de deux hommes, qui vont chacun lui proposer leurs services de manière fort intéressant. Elle va repousser Christophe, un commercial de la boite où elle travaille, pour plutôt tomber dans les bras de Fabrice, un de ses voisins. Ce dernier va la hanter, même dans ces rêves...



Alors tout d'abord, ce n'est pas une lecture pour tout le monde. Il appartient au genre érotique et il y a donc des scènes explicites. Je vais d'ailleurs commencer par ce point. D'habitude, je ne suis pas trop sensible à ce genre de scènes, j'en lis régulièrement dans différents genres entre érotisme et bit-lit en passant par la dark romance. Mais ici, cela était vraiment cru et j'ai été mal à l'aise... En plus, je trouvais qu'il y avait que cela... Donc c'était un peu gênant. Cela me mène au deuxième point, c'est que j'ai trouvé qu'en dehors du sexe, il n'y a pas vraiment d'histoire. Cela est peut-être du aussi au faite que ce soit une nouvelle. Mais franchement, je ne pense pas que j'en aurais lu plus...



La fin est surprenante, mais aussi un peu déroutante. Je ne m'attendais pas à cela. Mais cela reste un récit trop rapide pour moi, qui ne laisse pas de place à l'histoire...



Célia est une jeune femme qui vient d'arriver en ville pour son nouveau travail loin de ses amis et de sa famille. Elle va faire la rencontre de deux hommes qui la font fantasmer. On la suit donc dans sa nouvelle vie, mais surtout dans ses nouvelles relations. En écrivant cette chronique, je me rends compte que l'on en connait très peu finalement... J'aurais quand même voulu en savoir plus sur elle. Et je pense que le fait de ne pas trop la connaitre fait que l'on ne la comprend pas trop et que l'on ne s'attache pas à elle. Tu l'auras compris, je n'ai pas accroché avec elle.



Fabrice est un voisin de Célia, qui va l'aider avec la construction de ses meubles, mais qui va aussi en profiter pour se rapprocher d'elle... En faite, c'est la fin le concernant qui m'a un peu perturbé... Je trouve que tout cela n'est pas vraiment une explication top le concernant. Et comme pour Célia, je ne me suis pas attachée à lui, car j'ai l'impression de ne pas le connaitre.



Christophe est surement le personnage qui m'a le plus touché au départ, mais après, ce fut comme pour Célia et Fabrice : j'avais l'impression de ne pas le connaitre. Sinon Christophe est le commercial de la boite où Célia travaille et il semble intéressé par cette nouvelle femme. Bref, un personnage que je connais beaucoup trop peu à la sortie de ce roman.



Le style d'écriture n'est pas ce que j'aime. En effet, j'adore les descriptions quand elles sont romancée. Ici, tout est beaucoup trop cru, trop classique pour moi. Du coup, je n'ai pas pris de réel plaisir dans cette lecture.



En général, une grosse déception pour ce roman qui reste beaucoup trop rapide et beaucoup trop cru par rapport à ce que j'apprécie habituellement...
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