Etienne Lécroart

[ devant un écran ]
- J'ai tout vérifié 100 fois : tous ceux à qui Louis Pasteur a inoculé son soi-disant vaccin sont morts...

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© Lécroart
- Le premier vacciné du monde a reçu sa piqure le 6 juillet 1885.
135 ans après, il n'est plus en vie. Comme par hasard...
On ne vous cache rien dans le HS de Fluide Glacial "spécial complot" 😂
>> https://www.facebook.com/leFluideGlacial

... mon sentiment vis-à-vis du réchauffement climatique. On sacrifie les générations futures et, individuellement, on s'agite en vain.

- Les réponses du marché au réchauffement climatique, c'est de nous vendre des climatiseurs, des voyages dans des zones préservées et des armes et des murs pour nous protéger des réfugiés climatiques...
- On ne peut pas laisser l'économie nous guider !

Allons, si les riches comme moi, n'étaient pas de plus en plus riche, comment pourraient-il aider les pauvres de plus en plus pauvres comme vous ?

Si nos premières fois sont souvent mémorables, il est en revanche plus rare d’être conscient de vivre nos dernières fois.

Il faut impérativement changer. Nous ne pouvons pas continuer cette croissance exponentielle infinie dans ce monde fini.
Nous nous croyons immortels, invincibles tels des dieux… Mais, comme Icare, nous nous brûlons déjà les ailes.

Les semences arrivent associées aux insecticides.
Le sol est traité comme un support inerte où l’on répand les insecticides.
Toute vie végétale et animale y a disparu sauf la semence brevetée capable d’y résister. Ce sol stérilisé étant inapte à nourrir la plante, il faudra apporter à celle-ci les éléments nutritifs qui lui manquent.
La plante absorbe 5% de l’insecticide. Le reste se retrouve dans l’air ou le sol.

Produire un kilo de viande de veau émet autant de GES que 220 km en voiture. Pas mal, hein !

La publicité « doit rendre les masses insatisfaites de leur mode de vie, mécontentes de la laideur des choses qui les entourent ». « Des consommateurs satisfaits ne sont pas rentables ».

Nous sommes les virus de notre biosphère. Nous, humains, ne représentons qu'une infime part de la biomasse, nous ne savons et ne pouvons pas vivre sans elle, alors qu'elle le peut, et les dégâts que nous faisons sont considérables et irréversibles

De nombreuses études, comme celle du Rodale Institute aux USA, montrent que le bio est plus performant que l’agriculture conventionnelle, les rendements sont meilleurs, surtout pendant les sécheresses, et il est 3 à 6 fois plus profitable pour l’agriculteur.