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Critiques de Françoise-Sylvie Pauly (50)
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Dracula : Le mythe raconté par Bram Stocker

J'ai eu du mal à me plonger dans cette BD. Il faut connaitre le roman pour l'apprécier. Pourtant le graphisme était parfait pour le thème et pour s’immerger dans l‘époque.



J'ai trouvé que le gros problème de cette BD était les césures dans l'histoire de Bram Stocker, on passe d’une scène à l’autre sans transition et il faut avoir lu le roman pour s’y retrouver. De plus, on change plusieurs fois de narrateurs et ce n’est pas toujours clairement notifié. On ne voit jamais Dracula et j'ai eu du mal avec ça : j'ai parfois eu l’impression que le personnage de Jonathan parlait tout seul comme on ne voyait pas Dracula !









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Janet Burroughs

Une femme au 19e part en Afrique. Une histoire féministe ou coloniale ? Qu’importe ! Un choc de cultures, des rencontres, des paysages, des personnes.



Un carnet de bord tout en images et en voix off.



Un dessin très inspiré avec un narration subtile… trop, peut-être, et je m’y suis finalement un peu perdu.



Faute à un propos peu inspiré, une vision colonialiste trop datée ou un manque d’action ?



Restent les images, superbes !
Lien : https://www.noid.ch/janet-bu..
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Elizabeth Bàthory

J'ai toujours trouvé l'histoire de cette comtesse absolument fascinante. Un peu intriguée en voyant cette Bande dessinée, j'ai voulu testé.



Mais je reste un peu mitigée.



Les illustrations de façon très concrète sont plutôt convaincantes. Mais le côté trash, plein de débauche, et glauque à l'excès me semblait totalement gratuit et ne collait même pas forcément avec le texte. Juste un but de provocation qui, à mon sens, n'apporte strictement rien au récit.



Mais même tout simplement sur comment le thème a été abordée, je ne suis pas totalement convaincue. Il y a cette ambiance un peu glauque (mais pas trop, si on ne lit que le texte et pas les illustrations) et une narration plutôt efficace.



Mais finalement, ce récit n'apporte rien aux éléments qu'on avait déjà sur cette comtesse pourvu qu'on s'y soit un peu intéressés par le passé. C'est surtout une description factuelle des horreurs qui ont été commises. Un scénario totalement plat et insipide, qui reste dans la surface et n'explique pas vraiment l'aboutissement de telles horreurs. Et finalement, un sentiment d'inachevé. Comme s'il manquait tout un pan de l'histoire, de la nuance, et des mystères qui restent entier (même si effectivement, depuis le 16e siècle, le mystère sur la comtesse Bathory reste de toute façon présent).



Je n'ai pas bien compris l'intérêt d'intégrer les personnages de Dracula. Parce que Dracula est un personnage fictif et pas la comtesse. Parce que celui qui a inspiré Dracula, n'a pas du tout vécu à la même époque que la comtesse. On leur trouvera en commun un certain goût pour le sang et la violence, mais rien qui ne justifie de les rassembler dans un même récit (surtout que ça n'apporte strictement rien au reste de la Bande dessinée).



Une lecture pas forcément déplaisante, mais qui aurait franchement pu être mieux.
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Janet Burroughs

Janet Burroughs

BD

Pascal Croci, dessins et couleur

Françoise-Sylvie Pauly, scénario

Sandrine Py, illustrations

éditions Emmanuel Proust, collections Atmosphères, avril 2011, 104 planches, 79p





L'Anglaise Janet Burroughs n'a rien d'une aventurière -rien à voir avec Karen Blixen- même si elle a l'audace ou la fatuité d'aller en Afrique à la place de son oncle malade, Edgar Rice Burroughs, le créateur de l'enfant-singe, Tarzan. Janet n'a pas réellement existé. On est au XIX°.

Très vite, à son arrivée à Grand Bassam, la première capitale de la Côte d'Ivoire, colonie française, Janet regrette sa petite vie douillette, et le manque d'une présence féminine, même si elle n'ose se plaindre et se trouve en compagnie d'un géographe, Sir Henry, et son théodolite, qui doit être son promis, et n'apprécie pas ses dessins, et d'un photographe Sir Caldwind qui l'aime en secret, et même si elle est fascinée par le ballet des animaux sauvages et le festival des couleurs. Dans ses bagages, elle a une boîte à musique, sa poupée, et son nécessaire de dessins. Dans une des malles, elle trouvera sa chatte.

Le lecteur lit le journal de Janet, sans grand intérêt et parfois même désagréable à lire quand elle raconte leur confection d'un gri-gri contenant des messages peu amènes à l'égard des indigènes qui ne peuvent les comprendre. Comportement de colons sûrs de leur supériorité. Ce sont des notes succinctes, presque impersonnelles, sur leur expédition à tous trois, tout de suite marquée par de mauvais augures, et reliée à l'expédition vingt ans plus tôt d'un couple d'Anglais dont on n'a plus eu du tout de nouvelles, les Galworsthy. Là d'où l'intérêt doit venir, c'est quand Janet arrive dans une tribu matriarcale, et qu'elle fascine leur cheffe notamment par ses dessins. Le lecteur pense qu'elle va ainsi être initiée à l'Afrique et à certains de ses mystères, mais non. La cheffe lui montre le cimetière des têtes, toutes féminines, et l'effigie entière d'un jeune garçon dont elle dit en souriant qu'il ne fait pas partie de la tribu. Les trois Britanniques continuent leur exploration qui se déroule mal. Ils sont mal préparés, se trompent d'orientation malgré le théodolite, n'arrivent pas à se concilier les indigènes. Janet a bu une eau boueuse, elle est malade, elle est ramenée dans la tribu matriarcale, où une paria, la cheville entravée, doit la soigner. Comment ? Avec quelles consignes ? Janet reconnaît dans la paria, une égale, noire ou blanche, elles sont femmes et appartiennent au même monde. Lequel ? Celui des dominés ?  Celui des violées ?

La mention du dernier dessin réalisé par Janet laisse entendre qu'elle est morte. D'ailleurs, c'est une lettre posthume de Sir Caldwind à Janet qui est ensuite donnée à lire. Après avoir réglé le sort de Sir Henry, lâche, drogué, docile, il découvre dans la case de Janet une lettre de John Galsworthy

que sa femme est morte en couches, après avoir donné naissance à un garçon qui s'est enfui dans la forêt et vit avec les singes. Il se demande si la cheffe qu'elle fascine ne veut pas obtenir d'elle, après l'avoir mise dans les bras de Sir Caldwind, tous deux drogués, un garçon blanc comme celui qui s'est enfui. Il lit dans les yeux de celle-ci tout le mépris qu'elle a pour Janet qui ne peut lui donner ce qu'elle désire.

Les dessins qui accompagnent le journal de Janet sont beaux. Ce sont ceux de Sandrine Py, quelle a croqués sur le vif pendant son voyage en Afrique, qui n'illustrent en rien le journal, mais qui peuvent être ceux de Janet dessinant les animaux qu'elle contemple. Ceux de Pascal Croci sont très beaux, mais ne sont pas spécialement au service du texte. Ce qui étonne, c'est qu'ils représentent les femmes avec des doigts comme des griffes, et des yeux qui manquent de bienveillance. On a du mal à ressentir de l'affection pour Janet.

La BD déçoit. Janet n'a rien d'extraordinaire. Il n'y a pas de volonté de connaître l'Autre. Qu'apprend-on de l'Afrique ? Le Caldwind amoureux secret n'est pas convaincant. Tarzan établit un lien entre la Burroughs inventée et le romancier connu, mais quelle importance a Tarzan dans l'histoire de Janet ? Dessins et texte ne font pas corps.

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Marie-Antoinette, Sweet Lolita

BD historique basée sur une "variante" de la fuite à Varennes de Louis XVI et Marie Antoinette ...

Les dessins aquarellés sont très beaux, l'histoire est par contre un peu difficile à suivre, en tout cas pour moi.

A lire pour les amateurs d'histoire revisitée ...
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Janet Burroughs

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Dracula : Le mythe raconté par Bram Stocker

L'amour c'est du vampire. Un de mes livres préféré de tout les temps d'ailleurs j'en ai même fait un exposé au lycée français de Bruxelles lors d'un travaille en classe.



Dracula Je t'aime.

mmmmmmmmmmmmm

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mmmmmmmmmmmmmmmm

mmmmmmmmmmmmmmmm

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mmmmmmmmmmmmmmmmmm

mmmmmmmmmmmmmmmmmm

mmmmmmmmmmmmmmmmmm

mmmmmmmmmmmmmmmmmm



mmmmmmmmmmmmmmmmmm

mmmmmmmmmmmmmmmmmmm



Mina.





















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Dracula : Le prince valaque Vlad Tepes

C'était plutôt intéressant de revenir à l'origine de Dracula ou plus précisément au Prince valaque Vlad Tepes qui faisait empaler ses ennemis pour faire fuir les troupes turques qui menaçaient son royaume. Sa cruauté fut si légendaire qu'elle donna lieu à l'inspiration nécessaire à Bram Stoker. Encore fallait-il que cette énième adaptation soit à la hauteur de nos espérances ...



J'ai bien aimé le début de cette histoire mais la suite n'est guère très satisfaisante. Plutôt que d'axer son récit sur les aspects géopolitiques, on entre dans une espèce d'intimité touchant le frère et l'épouse du Prince. Cette direction prise n'a pas franchement eu l'effet escompté car je n'ai pas accroché. Reste que le dessin quasi-hypnotique souligne parfaitement le caractère gothique de l'oeuvre.
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Marie-Antoinette, Sweet Lolita

Et si la Reine Marie-Antoinette avait échappé à la guillotine ? Pascal Croci et Françoise-Sylvie Pauly redessinent sa vie de passion et d’infortune.
Lien : https://www.lesoir.be/311158..
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À la recherche de Dracula : Carnet de voyag..

En cherchant de quoi lire pour m’occuper, mes yeux sont tombés sur cet ouvrage, publié au format dit « à l’italienne » et j’ai eu envie de me replonger dans ce livre graphique qui m’avait fait de l’oeil en bouquinerie, il y a longtemps.



Cela faisait 8 ans que je l’avais lu et mes souvenirs étant réduit à néant, le moment était idéal pour se replonger dans du vampire comme je l’aime.



La première fois que l’on prend cette bédé graphique dans les mains, on ne peut s’empêcher de la feuilleter, de l’admirer, de piocher des images de-ci de-là. C’est un très bel ouvrage et des années après, la magie opère toujours.



L’auteure s’affranchi ici de l’histoire conventionnelle telle que nous la connaissons dans le roman de Bram Stoker, même si elle reprend tous les personnages connus (hormis Arthur). Elle développe une toute autre aventure, nous la présentant sous la forme du récit de Jonathan Harker qui nous conte son voyage jusqu’au château de Dracula.



Oubliez le roman de Stoker et voyez celui-ci comme un récit de voyage fait par Jonathan et donné ensuite à Bram Stoker.



Il y a là, dans son carnet, la matière pour faire un livre sur les vampires, même si jamais le mot n’est prononcé. L’atmosphère fantastique est présente, le mystère aussi et si nous ne connaissions pas l’existence des suceurs de sang, nous serions perplexes, comme ce pauvre Jonathan.



Agrémentant son carnet de croquis, de recettes de cuisine, de cartes géographique qui nous montre le voyage, la topographie des lieux, le tout dans des tons sépias ou gris, donnent, à ce livre, des airs de carnet de voyage où le possesseur aurait ajouté des tas d’annotations.



Vu la manière dont on nous présente ce carnet (une trouvaille du jeune Miles Alastair James effectue un remplacement à la bibliothèque d’Exeter, section archives), on a vraiment l’impression d’être face à ce qui a servi de base pour le roman de Stoker, comme une mise en abyme qui nous prouverait, noir sur blanc, que tout n’est pas sorti de l’imagination de Stoker mais d’une histoire vraie.



Sans jamais parler de vampirisme, l’auteure arrive à nous les faire sentir, à nous les présenter sans que l’on sache jamais si nous sommes bien en présence des vampires (parce que nous les connaissons, nous) ou si nous sommes face à des phénomènes bizarres, étranges, oniriques et que c’est nous qui nous faisons un film.



Sans notre connaissance de l’existence des vampires, nous penserions comme Jonathan être face à des êtres étranges, bizarres, excentriques ou que nous avons bu un coup de trop…



Un beau roman/bédé graphique, qui est du plus bel effet dans une biblio et qui est à réserver aux amateurs de suceurs de sang.



Ma relecture fut un plaisir pour les yeux.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Elizabeth Bàthory

Une vision d'Elizabeth Bathory, comtesse hongroise, s'ennuyant ferme et se distrayant en torturant des jeunes filles et en se livrant à quelque bacchanale de stupre et de fornication.



Dessins explicites et dérangeants. Atmosphère glauque et sordide. Extraits du procés en guise de légendes. Dessins pleines pages (doubles pages, même) d'une grande beauté. La beauté du diable, la fascinante beauté d'Erszebeth Bathory, première vampire.



Pascal Croci le fait à sa manière. Il faut rentrer dans son univers. Il étale les faits. Puis fait preuve de compassion. Il semble nous dire qu'il faut regarder par-delà les apparences. Il ne nous dit pas que la comtesse est innocente, non, évidemment. Il cherche à comprendre, au-delà du procès qui a mené à sa réclusion dans son château gorgé de lamentations extatiques et baigné de douleurs macabres.



J'ai été dérangé, mal à l'aise parfois. Je fais écho à la postface de Françoise-Sylvie Pauly, la compagne de Pascal Croci, qui dit aussi son malaise. Finalement, d'où vient ce malaise? Du dessin ou des faits? Nous sommes tous fascinés par l'insoutenable et insondable cruauté humaine. Pascal Croci a mis cette cruauté en dessin.
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Marie-Antoinette, Sweet Lolita

Un album tout en délicatesse qui rend un hommage tout en finesse à Marie-Antoinette.



Les textes sobres et emprunts de mélancolie s'immiscent au beau milieu de "figures de mode", de coiffures mondaines, de délicates dentelles, de froufrous...

Marie-Antoinette aurait elle pu être l'égérie du style Sweet Lolita ? Sans doute...En tout cas, cet album tout habillé de tons pastels nous invite fortement à le croire.



marie-antoinette sweet lolita est un très bel ouvrage. On ne l'ouvrira pas pour compléter ses connaissances historiques mais plutôt pour y retrouver l' atmosphère frivole, légèrement corrompue, à la fois douce et rigoureuse des premières années de l'Autrichienne à Versailles qui peu à peu, se teintera d'incertitude, de peine et de chimères...
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Les Von Keffeller, tome 1

critique de Serge Mandaret , auteur

J'ai apprécié en premier lieu le style : une écriture à la fois concise et poétique , Une performance que l'auteure réalise avec brio.

L'histoire de la famille Von Keffeler nous est racontée sous la forme d'un conte fantastique qui se joue du temps et de l'espace.Le lieu , la région de Heidelberg , haut lieu du romantisme est propice à toutes les rêveries éveillées.Je suis convaincu que cette oeuvre originale devrait être appréciée d'un large public et pas seulement en France.

J'attends avec impatience le tome 2 .
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L'Invitée de Dracula

L'auteur de cet ouvrage est Françoise-Sylvie Pauly et non Pascal Croci !!!!!!!

Merci çà vous de corriger !

L'auteur
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Dracula : Le mythe raconté par Bram Stocker

Après avoir lu le premier tome hier, je fini la lecture ce diptyque dans le Week end. Ici, c'est la version illustré du roman de Bram Stocker, car tous les textes sont issus du roman lui même. Et je trouve l'exercice très réussi.

Evidemment, il n'y a pas tous les détails contenus dans le texte original, mais ces dessins sont très beaux et recrée une ambiance bien particulière.

C'est tout à fait le genre de BD que j'apprécie : je connais déjà l'histoire, donc je n'ai pas besoin de m'attarder sur le texte et je peux profiter pleinement du graphisme, et j'en ai pris plein les yeux.

Et en plus la fin du volume est constitué d'un dossier dans lequel, Pascal Croci explique l'origine de ce projet et comment il a construit sa narration. Tout ce qu'il faut pour satisfaire ma curiosité.

J'adore !!
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Dracula : Le prince valaque Vlad Tepes

La couverture de cette BD ne me faisait pas très envie, et j'ai un peu hésité à me lancer. Mais dès les premières pages j'ai été sous le charme des dessins, et je me suis laissé bercé par le graphisme plus que par l'histoire elle même.

Je dois avouer en effet, avoir eu un peu de mal à suivre les discourts de chacun, entre le XVème siècle et le XIXème, il n'est pas toujours facile de savoir qui parle.

Malgré cette complexité dans les dialogues, les premières pages sont glaçantes de monstruosités et toute la bestialité du personnage à l'origine du mythe de Dracula y est clairement montrée.

C'est toujours bon de réviser les classiques, et j'ai beaucoup aimé cet exercice.
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Elizabeth Bàthory

La bande dessinée se devait de rendre hommage à notre chère tante, et c’est fait par Pascal Croci avec Elisabeth Bathory (Atmosphères, Emmanuel Proust éditions, 2009), ouvrage réalisé avec sa compagne Françoise-Sylvie Pauly. L’accroche est originale, puisque le scénario met en scène Jonathan Harker qui, de retour de Transylvanie, se rétablit doucement dans un hôpital à Budapest. L’une de ses soignantes, une brave sœur, lui remet un vieux manuscrit qui n’est autre que le journal de la comtesse. La vie de cette dernière est traitée de façon onirico-déjantée, avec un petit relent de pornographie macabre qui suscite le malaise. Mais n’est-ce pas le but recherché par l’auteur ? Le dossier dit des annexes est pour le moins maigrelet, avec une étrange scène de ménage entre l’auteur et sa compagne qui trouve qu’il y est allé un peu fort.

Au total, une curiosité, mais certainement pas l’ouvrage qui vous dira tout sur notre bonne Betty.

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Elizabeth Bàthory

La comtesse hongroise Elizabeth Bathory est réputée être l'une des premières serial killeuses. Pascal Croci décide de revisiter son mythe à travers cette bande-dessinée peu convaincante.



Peu convaincante ? Je m'explique. Si on fait abstraction du côté très cru et dérangeant de certaines illustrations, les graphismes, surtout ceux de paysages, sont réussis, ils sont harmonieux. Mais le scénario est très insuffisant. J'ai eu l'impression d'avoir une bande-dessinée très voyeuriste, pas une histoire construite, réfléchie, renvoyant à une certaine réalité. Il n'y a aucune profondeur et je n'ai pas compris l'intérêt du personnage d'Harker. Une réelle déception.

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Janet Burroughs

Un magnifique ouvrage, au graphisme impressionnant.

A découvrir absolument !
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Dracula : Le prince valaque Vlad Tepes

c'est en ouvrant le livre et en regardant ses dessins tres gothiques et superbes que je me suis lancè dans la lecture de ce livre fort bien realisè ...
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