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3.93/5 (sur 559 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Long Island NY
Biographie :

Jacquelyn Frank vit actuellement à Saugerties dans l’état de New York. Elle écrit de la littérature sentimentale depuis l’âge de treize ans.
Ancienne interprète en langue des signes et enseignante, elle milite pour la maîtrise de la lecture et de l’écriture. Elle est réputée pour offrir des livres à ses neveux et nièces ainsi qu’aux autres enfants présents dans sa vie afin de leur communiquer sa passion pour ces deux disciplines. Selon elle, rien n’est plus valorisant que l’imagination, et rien n’est plus tragique que l’illettrisme.

Source : Milady.fr
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Bibliographie de Jacquelyn Frank   (10)Voir plus

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Citations et extraits (83) Voir plus Ajouter une citation
- Tu me pardonnerais si je te disais que je suis un peu rouillé en ce qui concerne les relations amoureuses ?
- Un peu ? On doit entendre tes articulations grincer jusque Mars!
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- Hé ma jolie, c'était moi ou le béton. Il fallait bien que je m'y colle.
- Le béton aurait sans douté été moins douloureux ... et moins compliqué.
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La tendresse était un leurre.
Ce qui commençait avec raffinement ne pouvait se terminer de la même manière.
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— C’est tellement typique des humains d’émettre des jugements sur un peuple uniquement parce qu’il est différent. Vous êtes incapables de prendre le temps de nous comprendre, et considérez comme une menace quiconque est né un peu plus fort ou plus intelligent que vous. L’ignorance et la peur sont les signes millénaires des oppresseurs de ton espèce. Vous ne réussirez pas cette fois. Pas avec nous. Ni avec aucune autre race de la nuit, j’y veillerai personnellement.
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— Depuis mon enfance, je me sens différente. J’ai toujours vécu à l’écart de la société, Jacob, en ermite, avec pour seule compagnie ma sœur et ses quelques amis. Cette fameuse nuit, je contemplais la lune, comme je l’ai fait des milliers de fois auparavant et, déjà à ce moment-là, je savais que l’obscurité et son astre renfermaient des secrets importants me concernant. J’ai passé des années à dévorer des livres à la recherche d’informations. Et je crois les avoir enfin trouvées. C’est toi que j’attendais pendant tout ce temps, Jacob.
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Le destin a voulu que j’appartienne à la terre, Bella, lui susurra-t-il à l’oreille. Je peux manipuler la gravité, communiquer avec toutes les créatures vivantes, et bouger les plaques tectoniques à ma guise. Je peux provoquer la germination d’une graine par la simple pensée, ou au contraire la faire pourrir et mourir. Je suis capable de ressentir l’énergie vitale de tout être né de la terre. Armé des sens accrus des prédateurs les plus accomplis, je peux chasser tous ceux qui parcourent ce monde. Je suis la nature. Elle et moi ne faisons qu’un.
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Damien surgit soudain du brouillard qui s'étendait derrière les nécromanciennes. Il possédait la faculté de répandre la terreur autour de lui, tout comme Siena, bien qu'à un niveau différent, moins naturel. C'était un pouvoir constitué de ténèbres pures, de la malignité qui provoquait, sans qu'on puisse se l'expliquer, la peur du noir, des monstres tapis sous le lit ou du caractère inéluctable de la mort tandis que la Faucheuse venait réclamer son dû d'un coup de lame. Dans la mesure où cet effroi faisait partie de tout être vivant de la planète, aucun sort ne pouvait les en protéger. Les boucliers bloquaient le passage du pouvoir ou de armes : les ténèbres qui manipulait Damien existaient déjà derrière le bouclier et au sein des personnes elles-mêmes.
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Elijah projeta sa crinière de lion en arrière et se mit à rire à gorge déployée, la serrant si fort dans ses bras qu'elle n'eut pas le temps de reprendre son souffle quand il l'embrassa avec une telle énergie qu'elle en eut des vertiges de plaisir.
Ils sursautèrent tous les deux en entendant la porte s'ouvrir, et Elijah tira instinctivement les couvertures sur le corps dénudé de sa femme, pendant que celle-ci portait une main coupable à ses lèvres brillantes.
Il la pinça sous les couvertures, l'obligeant à saluer sa soeur et la générale avec un petit cri.
- Tu as l'air en pleine forme, Siena ! S'extasia joyeusement Syreena en accourant d'un côté pour prendre sa soeur dans ses bras, tandis qu'Anya se précipitait vers elle de l'autre.
Elijah fut contraint de se pencher en arrière pour éviter de se faire écraser.
- Eh ! Ça n'a pas toujours été ton fantasme?
Il éclata de rire et se tourna vers Bella en lui faisant signe de venir.
Ravie, elle lui sauta dans les bras et le serra contre elle aussi fort que lui.
- Merci, lui murmura-t-il doucement à l'oreille.
Merci pour ce que tu as fait. Mais, étant ton professeur, je me vois dans l'obligation de t'interdire de recommencer ! la réprimanda-t-il sévèrement.
- C'est promis ! s'exclama-t-elle en manquant de l'étrangler.
- Et dire que je croyais qu'il allait devenir ennuteux, une fois marié, fit sèchement remarquer Jacob à l'intention de Gideon et de Legna, qui franchirent la porte en sa compagnie.
- Certainement pas ! s'écria soudain Gideon en serrant son épouse dans ses bras pour l'empêcher de se ruer à l'autre bout de la pièce, alors qu'elle avait la ferme intention de se joindre à cette déclaration de l'amour.
- On croirait m'entendre ! gloussa Jacob en allant retrouver Bella avant qu'elle finisse par étouffer complètement Elijah.
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- Tu veux dire que tu as flotté dans ma maison depuis tout ce temps ? A nous espionner ?
- Pas vraiment. Je suis arrivé un instant à peine avant Legna, et quand elle est apparue j'ai eu l'amabilité de vous laisser quelques minutes pour bavarder avant de vous déranger.
- Punaise, mais tu es trop gentil, s'exclama Bella avec aigreur. Il ne t'est pas venu à l'esprit que notre conversation était personnelle et que c'était extrêmement impoli de l'écouter ?
- Non.
Legna et Bella poussèrent chacune de longs soupirs d'exaspération face au haussement d'épaules désinvolte du démon.
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— Non, ne tirez pas ! s’écria-t-elle. C’est elle ! Le fantôme. Demandez-lui comment elle s’appelle.
— Qui êtes-vous ? demanda-t-il consciencieusement.
— Bella, répondit la femme, derrière son mari, qui s’était placé devant elle pour la protéger de ce pistolet braqué sur eux. Je suis à la recherche de Kat.
— Elle se tient juste à côté de moi, répondit Leo en faisant un signe de tête dans sa direction.
— Elle ne peut pas me voir, et moi non plus, intervint Kat. Vous dites qu’elle est accompagnée d’un homme ?
— Ouais. Il me ressemble un peu. Même carrure, même teint… un peu plus grand, peut-être.
— Demandez-lui qui elle est. Dites-lui… dites-lui… (Elle bredouilla un moment, réfléchissant sérieusement.) Dites-lui que ce sont des créatures magiques qui vivent ici. Des Nocturnes.
— Certainement pas ! lâcha-t-il dans le vide, du point de vue de Bella et de Jacob.
— Dites-le-lui !
Il se mit à grommeler.
— Ce sont des créatures magiques qui vivent ici. Des Nocturnes.
Bella en demeura bouche bée, et, franchement, Jacob semblait tout aussi stupéfait. Il s’approcha et observa le latino en plissant les yeux.
— Quel genre de Nocturnes ?
— Nous en sommes aussi, intervint sa femme, derrière lui.
Jacob se retourna et la fusilla du regard. Elle haussa les épaules, leva les mains et poursuivit.
— Quoi ? Comme si la situation était normale. Comme si on avait affaire à un mortel quelconque. Il faut avoir confiance.
— C’est un mortel. Je te le garantis, lui assura Jacob, ses sens surnaturels ne lui autorisant aucun doute.
— De la tête aux pieds, finit par répondre Leo. Vous avez raison. Je suis mortel. (Les sourcils froncés, il se tourna vers Kat.) Mais vous aussi. Pourquoi ne les voyez-vous pas ?
Elle haussa les épaules.
— On ne la voit pas non plus, mais Bella et Kat sont capables de communiquer par écrit.
— Je suis au courant. J’en ai entendu parler, confirma Leo en baissant lentement son arme. Et alors, que fait-on, maintenant ?
— Quel genre de Nocturnes ? répéta Bella en s’apprêtant à contourner son mari.
Mais il la retint derrière lui.
— Et vous ? De quelle espèce êtes-vous ? riposta Leo.
— Lui, c’est un démon, et moi, une druidesse.
— Un démon ?
Il brandit de nouveau son arme.
— Bella…, la prévint Jacob.
— Mais un gentil démon ! se hâta-t-elle d’ajouter.
— Il y en existe des gentils ? insista Leo, sans croire un mot de ce qu’elle disait.
— Oui, répondit Jacob. À votre tour.
— Des changecorps. Pas moi, mais à l’intérieur.
— On n’a jamais entendu parler de changecorps, s’étonna Jacob en fronçant les sourcils.
— Et on n’a jamais entendu parler de démons ni de druides. Pas en tant que familles de Nocturnes, en tout cas.
— Vous avez dit « des Nocturnes »… Il y en a plus d’une espèce ?
— Ouais. Des djinns, des anges de la nuit… et d’autres, répondit prudemment Leo.
— Des vampires ? Des lycanthropes ? suggéra Jacob.
— Ouais, pouffa Leo. Comme si ça existait. (Puis il se tut un moment. Il sembla se rappeler que, encore quelques mois auparavant, rien de tout cela ne lui aurait semblé réel.) Combien d’espèces en connaissez-vous ? songea-t-il à demander.
— Six, répondit Jacob.
— On en connaît sept. Attendez… peut-être seulement six. C’est une longue histoire, ajouta-t-il en remarquant l’air interrogateur de Jacob.
— La prophétie ! s’écria soudain Bella.
— Pardon ? demandèrent simultanément Jacob et Leo.
— Quelle prophétie ? voulut savoir ce dernier.
— « … Ainsi dans un avenir lointain les nations des Nocturnes se verront-elles voler en éclats, se diviser, et cesser tout rapport entre elles. Séparées par mésaventure et à dessein, ces douze nations finiront par ne plus s’entendre et par s’éloigner les unes des autres. Dans un avenir lointain, ces nations devront lutter comme jamais, et ce ne sera qu’en se rassemblant de nouveau qu’elles pourront espérer faire face au mal qui s’abattra sur elles. Mais elles s’ignorent mutuellement et continueront à s’ignorer tant qu’elles ne seront pas venues à bout d’un ennemi puissant… et qu’un nouveau ne sera pas revenu à la vie… » C’est extrait du Parchemin perdu des frères de sang. Je l’ai découvert il y a peu de temps. Je crois… J’ai l’impression que quelque chose nous empêche de nous voir les uns les autres.
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