Elvis marque une pause, l'univers entier arrête quelques secondes de s'étendre et retient sa respiration.
Jusqu’à présent l’ange l’est, aux anges. C’est comme dans une comédie hollywoodienne, sauf qu’aucun des deux n’a lu le scénario jusqu’à la fin, il s’écrit au fur et à mesure et les futurs sont encore multiples.
L'amour rend humain, comble les vides, illumine nos jours et donne du sens à toute chose, et lorsqu'on s'essaye à l'expliquer, dans des mots dérisoires bredouillés avec peine, on ne peut que mesurer combien il nous dépasse et nous meut, alors on prie pour que ça ne s'arrête jamais, parce que c'est beau et qu'il n'y a rien de plus fort, ni de plus fragile.
Sur son mobile de nouveaux messages de Denis l'attendent.