Gabriel Garcia Marquez

A travers huit générations, Gabriel Garcia Marquez nous amène dans une Colombie mystérieuse où l'on est confronté aux guerres civies, aux grandes compagnies banaières et à une tonne d'autres évènements qui voguent entre le réel et l'irréel.



Livre pas toujours facile à livre à cause du foisonnement de noms qui reviennent d'une génération à l'autre, mais une fois les 100 premières pages passées, on ne le lache plus.

Pour moi l'un des plus beaux romans jamais écrits.

Je suis passée à côté.



Je ne sais pas si c'est parce que je l'ai lu malade ou fatiguée ou trop lentement (1 mois et demi sur un livre ça ne m'était jamais arrivée) mais les 460 pages de la version poche m'ont semblé d'une longueur insupportable. Je me suis emmêlée les pinceaux avec leurs José, Arcadio, Aureliano, José Arcadio, Auréliano José et autres Auréliano le second ...



Certes c'est une magnifique fresque épique, un monument de la littérature, mais sans la poésie d'un coeur cousu ou la douce folie de la maison aux esprit. J'ai d'ailleurs une folle envie de les relire tous les deux pour me remettre de belles choses devant les yeux.

Un de mes livres cultes, à emporter sur une île déserte. La vie et les aventures de la famille Buendia sur des générations successives, sont un raccourci de l'histoire colombienne, avec ses luttes récurrentes entre pouvoir autoritaire et guérilleros, mais surtout une fresque enchanteresse, dans laquelle on se laisse embarquer, émerveillés, séduits, ravis. Un livre inoubliable, qu'il faudrait relire plusieurs fois, tant les incroyables péripéties que connaît cette famille sur plus d'un siècle sont surprenantes, inattendues et mélancoliques. Chef-d'œuvre absolu.

Je voulais lire des classiques, en voila un, et quel classique ! Ce livre est captivant. O y suit une famille au fil des générations de la création du village à la fin. Le livre est long à lire car il est très dense et fait 400 pages et ca me fait bizarre d'imaginer que je vais lire autre chose. Les personnages sont peint en profondeur et on a l'impression de connaitre cette famille. Les Buendia me manquent déjà..

Un roman dense et passionnant.

Parfois on ne peut rien dire. C'est si fort. Si... Si... Si... Que les 5 étoiles qui note le roman, suffisent à elles seules. Je ne crois qu'une critique doive en passer par le résumé du récit, par les anecdotes du roman... Mais si on aime la couleur, les odeurs, l'aventure, le bruit du temps, la littérature magique, on aimera à tout les coups de vivre Cent ans de solitude...

Parfois on ne peut rien dire. C'est si fort. Si... Si... Si... Que les 5 étoiles qui note le roman, suffisent à elles seules. Je ne crois qu'une critique doive en passer par le résumé du récit, par les anecdotes du roman... Mais si on aime la couleur, les odeurs, l'aventure, le bruit du temps, la littérature magique, on aimera à tout les coups de vivre Cent ans de solitude...

Parfois on ne peut rien dire. C'est si fort. Si... Si... Si... Que les 5 étoiles qui note le roman, suffisent à elles seules. Je ne crois qu'une critique doive en passer par le résumé du récit, par les anecdotes du roman... Mais si on aime la couleur, les odeurs, l'aventure, le bruit du temps, la littérature magique, on aimera à tout les coups de vivre Cent ans de solitude...

Un livre foisonnant, mais il est difficile de s'y retrouver dans la multiplicité des personnages et des histoires.

Un roman époustouflant, une grande fresque épique, surnaturelle et réaliste à la fois, étrange, incroyable. La folie de José Arcadio Buendia fondateur du village de Macondo, la guerre, la chute, l'humour, la déchéance, la pluie incessante pendant plus de quatre ans, la reconstruction, les descendants sur sept générations, l'éternel retour des prénoms, tout donne le vertige dans cette lecture. Le seul pilier solide de cette famille reste Ursula, "qui vécut entre 115 et 122 ans....".

Mais ma lecture a été marquée par des phases différentes : application, amusement, ténacité, et découragement à la fois. La magie n'a pas totalement opéré...

Un livre remarquable, vraiment saisissant et criant de vérité sur l'Amérique latine. Aux abords un peu biblique certes, mais un magistral coup de maître. On a vraiment l'impression, en lisant cet ouvrage, d'être plongé littéralement dans cette pauvre Colombie qui va de guérilla en guérilla, au sein de ce village imaginaire, Macondo, où le combat de coq est légal.

Un livre dont la réputation non démenti est pour une fois un gage de qualité.

La naissance et la gloire puis la décrépitude de Macondo, un petit village qui, à travers ce roman-épopée, est devenu pour des millions de lecteurs latino-américains le symbole quasi-mythique de tout un continent. Neruda estimait que "cent ans de solitude" était l'oeuvre la plus importante jamais publiée en espagnol depuis "don quichotte". C'est une exagération. Mais elle est tout à fait digne de la luxuriance inventive avec laquelle Garcià Marquez raconte cette chronique fabuleuse et dérisoire, violente et poétique.....

A lire absolument ...

Extraordinaire !

Je trouve ce chef-d'oeuvre sans plus. Il ne m'a pas séduite du tout. Je trouve qu'il y a beaucoup trop de personnages et à force, on finit par perdre le fil de l'histoire.
Lien : http://leschroniquesdemilie...

Impossible à classer. Cette histoire est juste incroyable. L'équivalent des contes de notre enfance, Pour adulte, exclusivement. Il faut avoir un peu vécu pour apprécier, à mon humble avis. Lumineux et glauque tour à tour...comme la vie.

irréprochable

j'ai déjà commencer à lire ce roman mais je ne l'ai pas encore terminé

Bilan en quelques mots



Les mots pour : style, apports fantastiques, apports historiques, épopée



Au final



Cent ans d'une famille, d'un village, d'une maison, cent ans d'une destinée et la solitude de chacun au milieu des autres. De la magie des mots, des hommes, des amours, de l'amour des uns, à la haine des autres, de la folie d'aimer à celle d'exister... et ce talent fou d'auteur qui nous emporte, nous fait sentir, adorer les uns, détester les autres, puis, tout bouleverser pour recommencer. J'aime.



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