Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Pittsburgh, Pennsylvanie , le 16/11/1973
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Né(e) à : Pittsburgh, Pennsylvanie , le 16/11/1973
Biographie :
Gael Foley alias Gaelen Foley est auteure de romances historiques situées à l'époque rutilante de la Régence Anglaise.
Elle est diplômée de littérature anglaise avec option philosophie de l'Université d'État de New York à Fredonia.
En 1998, elle publie son premier roman, "The pirate prince".
Gaelen vit à Pittsburgh en Pennsylvanie avec son petit ami de l'école, qu'elle a épousé, Eric, un ancien professeur de collège.
Depuis 2012, elle co-écrit avec lui des livres fantastiques sous le nom de plume d'E. G. Foley.
son site : https://www.gaelenfoley.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/author.foley
Gael Foley alias Gaelen Foley est auteure de romances historiques situées à l'époque rutilante de la Régence Anglaise.
Elle est diplômée de littérature anglaise avec option philosophie de l'Université d'État de New York à Fredonia.
En 1998, elle publie son premier roman, "The pirate prince".
Gaelen vit à Pittsburgh en Pennsylvanie avec son petit ami de l'école, qu'elle a épousé, Eric, un ancien professeur de collège.
Depuis 2012, elle co-écrit avec lui des livres fantastiques sous le nom de plume d'E. G. Foley.
son site : https://www.gaelenfoley.com/
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Citations et extraits (14)
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A force de contempler le feu, cependant, elle finit par se laisser hypnotiser par les flammes dansantes. Plus rien ne semblait avoir d’importance. Dans son esprit qui divaguait irrépressiblement, l’impression de tangage provoquée par la drogue éveilla le souvenir de ces jours lointains, les plus heureux de sa vie, où elle vivait sur le bateau de son père. Elle sourit, nostalgique, en se rappelant que son père la laissait se tenir à la barre, à côté de lui. Il lui soufflait les ordres qu’elle criait ensuite à l’équipage d’une voix aiguë : — Holà, espèces de fripouilles paresseuses ! Bordez la grand-voile !
II savait seulement qu'il ne suffisait pas d'agiter sous leur nez une bourse bien garnie. Les courtisanes n’étaient pas des prostituées au sens habituel du terme. Elles avaient une réputation à maintenir, des caprices qu’il fallait honorer, des susceptibilités à ne pas froisse. Un homme était censé prendre plaisir à les courtiser, et faire leurs quatre volontés afin d'obtenir leurs faveurs.
Une courtisane était plus qu'une partenaire de lit ou une séductrice de talent. Elle devait être un brillant modèle de vivacité, d'humour, de gaieté, une experte en plaisir qui savait combler un homme sur tous les plans : physique, sentimental, intellectuel.
II fut ébloui par ses yeux, qui lui rappelaient orchidées sauvages. Non, ils étaient plus bleus encore avec la pointe de violet du bleuet des près. Sous les longs cils bruns, le regard était mystérieux, secret et innocent.
Aimer un homme, c'était être en son pouvoir, or le pouvoir était capital dans la vie d'une courtisane.
Dans la vie nous faisons nos choix, et nous en payons le prix. Je ne crains pas le destin.
– Lord Griffith, votre interprète ne vous a-t-il donc pas informé des significations du noir et du blanc dans ce pays ? lui chuchota-t-elle.
– Non, pourquoi ?
– En Inde, le blanc est synonyme de mort et de deuil. Et le noir est signe de mauvais présage.
Il se redressa d'un coup.
– Vous plaisantez ?
Elle secoua la tête.
– Personnellement, je vous trouve très élégant, mais si vous tenez à séduire nos hôtes, essayez plutôt le bleu, le rouge ou le vert. Le jaune constituerait également un bon choix. Même le rose serait acceptable.
– Aucun descendant de guerrier normand n'a jamais porté de rose !
– Non, pourquoi ?
– En Inde, le blanc est synonyme de mort et de deuil. Et le noir est signe de mauvais présage.
Il se redressa d'un coup.
– Vous plaisantez ?
Elle secoua la tête.
– Personnellement, je vous trouve très élégant, mais si vous tenez à séduire nos hôtes, essayez plutôt le bleu, le rouge ou le vert. Le jaune constituerait également un bon choix. Même le rose serait acceptable.
– Aucun descendant de guerrier normand n'a jamais porté de rose !
Les hommes trouvaient chez les femmes ce qu'ils avaient envie d'y trouver.
Ce sont d'inestimables œuvres d'art que j'ai sauvées des mains de commerçants sans scrupule. Peut-on vendre la beauté ? Vendre la vérité ? Ces livres appartiennent à l'humanité entière.
Tout homme avait ses faiblesses.
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