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Critiques de Gérard Bertuzzi (18)
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Disparitions en Picardie

L'intrigue de ce roman nous montre comment il est quasiment facile de commettre le crime parfait. En effet, les disparitions se sont succédées sans que l’on ne parvienne jamais à retrouver les corps, ce qui, forcément, ralentit l’enquête : ce n’est pas la même de chercher pourquoi deux hommes majeurs (et un chien) ont disparu que d’enquêter sur des meurtres. La découverte des corps accélère les choses et ne fait pas plaisir à tout le monde : en effet, l’on cherche forcément qui, dans l’entourage personnel, a pu avoir un mobile pour tuer, et l’on trouve assez bien. De même, quand on a, par chance, des indices bien voyants, bien visibles trouvés près d’un corps, l’on ne peut que les exploiter : les gendarmes ont beau être adeptes de jeux de mot lourds, ils mènent très bien leur enquête, même s’ils doivent se heurter à quelques oppositions, notamment de la magistrature : l’on ne peut pas mettre, voire conserver des honnêtes citoyens en garde à vue comme cela ! Il faut penser à leur passé sans tâche et à l’économie locale. En effet, l’enjeu est là, aussi : la société Cavallo a été reprise vaillamment par la femme et la fille du disparu, Jeanne et Nina, aidées en cela par leur gendre et mari, Francis, qui travaillait déjà dans la société et était déjà fiancé à Nina lors de la disparition de Cavallo. C’est triste à dire, et c’est hélas toujours valable, mais une femme a toujours, y compris en 2024, du mal à maintenir une entreprise à flot dans un milieu dans lequel les hommes dominent, et dans lesquels ceux-ci ne verraient pas d’un mauvais oeil la chute et/ou le rachat d’un concurrent en détresse.



L’enjeu est aussi de nous faire voyager à travers toute l’Oise ou presque, découvrant villes et bourgs moins importants, découvrant aussi toute la misère humaine qui peut se cacher au détour de rencontres. Il ne s’agit cependant jamais de sombrer dans le misérabilisme mais de montrer comment, vaille que vaille, l’on parvient à garder la tête haute.
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Prise de tête

Prise de tête. Ce bouquin ne m'a pris la tête longtemps. Lecture expédiée en 24 heures chrono ! Pourquoi ? Parce que quand Bertuzzi vous ferre (il sait y faire), il vous tient en haleine. Sa technique ; écrire des chapitres de 2 à 8 pages maximum. Dans chaque chapitre, on apprend quelque chose qui fait avancer l'enquête, on change de lieu, on suit un personnage ou le tandem de gendarmes enquêteurs, amateurs de jeux de mots. Ces deux-là ne sont pas toujours très fins. Brassens aurait dit d'eux : " Ce sont des amis de Montaigne et la Béotie."

L'enquête évolue dans les milieux de la taxidermie, la thanatopraxie et la médecine légale. Âmes sensibles s'abstenir.

Contrairement au bandeau de la couverture où il est écrit : Posez ce bouquin ! Fuyez ! ; je dis prenez-le et lisez à en perdre la tête !
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Le nouveau Dico Ducon

Le DICODUCON

Ce dictionnaire a quelque chose de plus que le Larousse ou le Robert : l’humour ! C’est le dico du jeu de mots, du non-sens, de l'à-peu-près.

L’auteur m’a raconté la genèse de cette « plaisanterie ».

C’est l’histoire d’un mec, aurait dit Coluche, qui a travaillé pendant une trentaine d’années dans la même société, où il a gravi les échelons pour devenir cadre et qui se retrouve au placard après le rachat de son entreprise par une multinationale.

Dans un bureau, sans travail, il a à sa disposition les quotidiens du jour, un annuaire, un téléphone et un vieux dictionnaire.

« Vous ne m’aurez pas, je ne craquerai pas » a-t-il promis à sa hiérarchie.

Alors, il fallut qu’il occupe ses journées. Il a commencé à feuilleter le dictionnaire. L’idée lui est venue de réécrire des définitions pour passer le temps, avec l’humour dont il a toujours fait preuve.

Ça donne Le DICODUCON, the dixionère.

Vous avez aimé Pierre Dac, Raymond Devos, Fredéric Dard, vous aimerez le DICODUCON Bertuzzi (auto-dérision). Eh oui, j’ose la comparaison.

L’auteur a oublié certaines définitions (1800 tout de même !).



On pourrait ajouter dans la partie noms communs :

bertuzzo, n. masc sing, bertuzzi pl. Nom propre devenu nom commun signifiant livre amusant rempli de jeux de mots et de gauloiseries.



Dans les noms propres, entre :



Bertha (la grosse) Engin de guerre.

Cette grosse Allemande – canon paraît-il ! -, fut la seule à prendre un peu de recul durant le premier conflit mondial.

Et

Bich Baron Inventeur de la pointe Bic. Grâce à lui, même les écrivains les plus nuls touchèrent leur bille !

On pourrait ajouter :

Bertuzianisme Religion et courant littéraire initiés par Gérard Bertuzzi depuis un inconfortable placard.



En dehors de ce dictionnaire humoristique, l’auteur a écrit des polars, des petites annonces, un pamphlet sur les religions, un précis de grammaire.



A quand un livre de recettes aphrodisiaques ?
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Annonces gratuites payantes

Annonces gratuites mais payantes est un recueil d'annonces écrites par l'auteur lui-même. Elles sont classées en dix-huit rubriques : cours et leçons, rencontres, offres d'emploi...

Gérard Bertuzzi semble capable d'écorcher les noms de ses père et mère pour faire un jeu de mots ou un calembour

Certaines annonces nécessitent plusieurs lectures afin d'en comprendre la finesse.

Son écriture me fait penser à celles de Pierre Dac, Pierre Desproges ou Stéphane De Groot.

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La clef des hauts

Belle enquête d'un duo de gendarmes de Compiègne, Belay et Avoran (fixe).

Meurtres, suicides et accidents ont pour décor la forêt de Compiègne et le château de Pierrefonds.

L'auteur, après avoir commis son Dicoducon et un traité sur les religions, se met au polar.

Il a eu l'idée de situer son intrigue à Pierrefonds et à Compiègne, dont il est natif. Etonnant qu'aucun auteur n'y ait pensé avant lui, tellement le décor s'y prête !

Dans ce livre, à travers les personnages, on reconnaît la fascination enfantine de l'auteur pour ce château emblématique de la région. Qui n'a pas rêvé, petit garçon, de jouer les chevaliers munis d'une épée en bois et d'un bouclier en carton au cœur d'une telle forteresse ?

Etant un régional de l'étape, à la lecture de cette intrigue, je me suis rappelé qu'à l'âge de douze- treize ans, je faisais vingt kilomètres à vélo avec les copains pour aller jouer dans le parc du château.

Le château est, dans ce roman, est un personnage à part entière. Bertuzzi sait nous le décrire, sans que ce soit rébarbatif. Il situe certaines scènes qui sont inaccessibles à la visite.

A quand un "La clé des hauts" tour, avec reconstitution des scènes du livre, où les visiteurs seraient habillés comme dans les années 50-60, époque de l'histoire ?

J'imagine que lire cette histoire sans connaître le château donne envie de le visiter. Moi, cela me donne envie d'y retourner.

La lecture de cette enquête (150 pages) est simple et rapide. On est déçu quand on a fini parce que c'est allé trop vite.
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Valsery, frères maudits

Dans ce polar, Gérard Bertuzzi fait enquêter son duo fétiche principalement dans le compiégnois et à l'abbaye de Valsery, située aux confins de la forêt de Retz.

Comme à leur habitude, le commandant Bourbon et l'adjudant-chef Keller de la brigade de Gendarmerie de Compiègne vont élucider les meurtres en amusant le lecteur.

Les investigations s'effectuent au saint de la paroisse de Jaux , cette dernière ayant perdu l'un des siens ; un prêtre d'origine africaine. Koffi Ouattana rien à se reprocher ? Rien n'est moins sûre.

Pas avare de ses efforts, le juteux-chef Keller va, également, essayer d'identifier un corps retrouvé à Valsery, par les bénévoles de l'association de restauration de ladite abbaye.

La lecture de ce nouvel opus est captivante et amusante. C'est un très bon moment de lecture.
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La clef des hauts

Ce roman relate une histoire sur des meurtres fictifs au sein du Château de Pierrefonds. Vous comprenez donc pourquoi j’avais envie de lire ce livre, que j’avais acheté à la boutique du Château de Pierrefonds pendant que j’y travaillais ! ;) J’avais surtout hâte de voir comment aller être décrit les différents lieux du Château, que ce soit dans le circuit de visite de base pour les visiteurs et aussi au niveau du « hors-circuit » que seuls les employés peuvent voir ! ^^ Et je dois dire que de ce côté-là, je suis comblée ! :) Tout est bien détaillé et on imagine bien les macabres découvertes du Château de Pierrefonds dans ce livre ! ^^





En plus du fait que le Château est bien représenté, il y a aussi que le Château joue un rôle important dans l’histoire qui m’a beaucoup plu ! Le Château est un personnage à part entière, le réel et seul témoin de tous les meurtres qui sont commis à l’intérieur des murailles infranchissable de la citadelle ! Et en dehors du Château, il y en a du monde niveau personnages ! En même temps, comme tout bon Polar qui se respect, il faut un minimum requis de personnages pour avoir plusieurs suspects, mais aussi pour avoir de potentiels futures victimes ! L’histoire avec son terrain de jeu gigantesque, nous fait penser à une énorme partie de « Cluedo« , dont on va avoir toutes les pièces du puzzle au fur et à mesure que les chapitres avancent ! :) Une vraie réussite de ce point de vue là !



Par contre, c’est justement au niveau des personnages que l’on peut regretter certains détails. Les gendarmes dans le roman sont la bonne surprise dans les personnages. Ils font bien leur boulot, prennent le temps de bien regrouper toutes les preuves, témoignages, interrogatoires et informations avant de suspecter quelqu’un, et ont les bonnes intuitions et théories sur l’affaire ! Mais les aléas de la vie policière retardent l’enquête : manque de preuves, des alibis en béton pour leurs suspects… Ce qui conduit l’enquête à durer des années ! C’est une autre chose que j’ai aimée dans ce livre : c’est sa logique et son réalisme ! Le fait qu’une enquête dure des années est souvent ce qui se passe dans la réalité, tout comme pleins d’autres détails du roman qui nous immerge plus facilement que certains autres Polars qui sont parfois trop romancés !



Autrement, nous avons les différents personnages qui vont servir de suspects, de futures victimes et les intermédiaires entre eux et la gendarmerie. Mais, là où j’ai eu du mal avec ces personnages, c’est qu’on arrive pas spécialement à s’attacher à eux ! Même dans les moments où on devrait se sentir concerné, où on les suit dans leurs vies, qu’on comprend pourquoi ils réagissent et agissent comme ils le font, je n’ai pourtant pas réussi à m’investir et à m’attacher à ces personnages. Ce qui fait, qu’on se soucis pas assez de ce qui pourrait leur arrivaient au fil des pages et c’est bien dommage !



Surtout que l’intrigue et le mystère sont si bien distillés dans l’histoire. Pas a un seul moment, on ne s’ennuie, tellement on veut savoir : Qui ? Pourquoi ? Comment ? (car oui, même si j’avais deviné certaines choses, pour une fois, je peux pas dire que j’avais deviné la révélation sur le mystère du Château de Pierrefonds ! ^^). La 2ème partie du roman, qui nous ramène dans le passé, répond à ces questions avec brio ! La fin est, par contre, un petit peu de trop, car elle se veut moralisatrice, alors que la 2ème partie du roman, nous avait convaincu d’une certaine forme de justice au vu de mobiles plus que valable de la part du/des assassins de Pierrefonds. Par contre, ne vous attendez pas à de la grande littérature non plus en ouvrant cet ouvrage ! C’est un livre bien écrit, un bon Polar qui tient en haleine, mais ça s’arrête là ! Vous n’aurez pas de frissons comme dans un bon Thriller ou des révélations dantesques comme dans des classiques du Polar. C’est une lecture sympa et assez bien travaillée, mais rien de vraiment exceptionnel ne ressort à la fin de cette lecture.



Bilan : Un bon petit Polar qui devrait plaire à ceux qui aiment le genre ou qui voudrait ce lancer dans un Polar sans prise de tête. Le roman a un côté réaliste très appréciable, qui compense le manque de profondeur des personnages. Le Château de Pierrefonds est bien représenté et fait un parfait décor pour ce Cluedo revisité. Une histoire qui vaut le coup d’être découverte, même s’il n’ajoute rien d’exceptionnel dans le genre du Polar. Et pour ceux qui aiment le Château de Pierrefonds, comme moi, vous serez comblée par cette enquête au sein de cette citadelle ! :)
Lien : https://monuniversenserieset..
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Dieu est tombé sur l'athée !

Avec ce livre, Bertuzzi peut devenir le guide des athées et des agnostiques. Quel jeu de mot pourrait-il faire avec agnostique ?

Sa religion à lui, ce sont les jeux de mots. Le Bertuzzianisme. Ce n'est qu'une secte pour l'instant. Mais cela pourrait devenir une religion. Il explique la différence entre les deux et il donne des exemples. Toujours avec beaucoup d'humour. Moi, je suis adepte. Je suis prêt à prêcher ce nouveau coran alternatif religieux.

Il est aussi friand de calembours, de Normandie ou pas, au mot cru. C'est bien fait, crémeux, goûtu, quelque peu acide pour qui croit (Bertuzzi aurait mis un "x" à "croit").

L'auteur n'écrit pas que des conneries. Il en dessine aussi. Ils sont très "efficaces" et drôles.

Derrière la rigolade et les jeux de mots à toutes les lignes ou presque, se cache un homme très cultivé.

Si Bertuzzi n'existait pas, il faudrait l'inventer.
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Le sang des cors

Très bon roman policier dont l'action se déroule à Compiègne et sa forêt.

Le comte de La Villaudière, personnage principal, est chef d'équipage de chasse à courre, vieille tradition de la région. Bourbon et Keller, duo de gendarmes, amateurs de jeux de mots et de calembours mais professionnels, mènent l'enquête sur une disparition, puis une autre.

La Villaudière est-il impliqué dans ces disparitions? Est-il l'auteur de meurtre?
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Le sang des cors

J'ai déjà rencontré avec bonheur, Bourbon et Keller dans une aventure précédente, Disparitions en Picardie. Je les retrouve fidèles à eux-mêmes, amateurs de jeux de mots, de calembours et enquêteurs opiniâtres et travailleurs. Cette fois-ci ils ont fort à faire avec les disparitions autour du comte de la Villauderie qui ne s'arrêteront pas aux deux seules préalablement citées. Au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire, les blagues s'estompent et le professionnalisme des gendarmes prend le dessus, sans pour autant disparaître (non, tout ne disparaît pas dans ce polar), ce qui serait d'ailleurs fort dommage car elles nous permettent de sourire et elles allègent un peu la noirceur du bouquin. Car là, Gérard Bertuzzi fait dans le lourd, la description parfois à la limite de l'insoutenable, notamment une (une seule sur tout le bouquin) scène terrible que je ne citerai pas par égard aux petits yeux qui pourraient me lire mais aussi par égard aux futurs lecteurs que vous serez, je n'en doute pas, et qui n'aimeraient pas voir le suspense dévoilé.

L'histoire que construit G. Bertuzzi est assez alambiquée, pleine de tours et détours, de pistes diverses, de circonvolutions ; de nombreux personnages apparaissent, mais elle est diablement bien maîtrisée. Construite en tous petits chapitres alternant les points de vue qui permettent une lecture aisée tant dans la possibilité de poser le roman puis d'y revenir pour un court moment que dans la compréhension du rôle de chacun, des interactions entre tous les protagonistes. Bien vues également, ces deux premières parties qui, pour la première nous expose par petites touches des faits divers sans forcément de rapport entre eux et pour la deuxième, grâce à un ingénieux flash-back nous les explique par leur naissance dans l'esprit des acteurs. L'écriture de Gérard Bertuzzi est claire, fluide et limpide non dénuée d'humour et de réflexions parfois plus fortes: "Si elle attire les chiens, descendants directs du loup, l'odeur du sang n'en attire pas moins les humains par journalistes interposés. Désormais garants de la dose d'hémoglobine nécessaire au bon équilibre mental du peuple, les médias sont à l'affût du moindre fait divers sanglant. Si le spectacle est à la hauteur, l'audience est au rendez-vous, l'arène est bondée." (p. 80)

Très ancrée dans la Picardie entre Compiègne et Chantilly, dans la crème de la société, ce roman policier que d'aucun dédaigneront parce qu'il est régional a des qualités évidentes (sans doute aussi des faiblesses, comme par exemple un manque de contexte fort comme je les aime : historique, sociétal, culturel,...) et se hisse selon moi bien plus haut que le simple divertissement dont je parlais pour Disparitions en Picardie du même auteur : de belles intrigues bien menées et remarquablement maîtrisées qui tiennent du début à la fin.
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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Androgyne

Livre très intéressant. Que ce soit dans son écriture que dans l'histoire qu'il raconte.

J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteur ainsi que tous les défis qu'il s'est mit en écrivant le roman. Le meurtrier.e est un homme ? Une femme ? Tel est la question
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Les inconnus du vol 981

A première vue, par son titre, " les inconnus du vol 981" , ce livre ne semble pas amusant. Le vol 981, qui s'est écrasé en forêt d'Ermenonville (nord-est de Paris), en 1974, est la plus lourde catastrophe aérienne française.

Et pourtant, cette lecture m'a amusé. J'ai aimé l'humour de l'auteur.

L'histoire se passe dans l'Oise, tout près de chez moi. je connais les villes et les villages cités. Un membre de ma famille est adhérent à l'aéro-club de Margny-les-Compiègne, lieu important de l'histoire.

Je pense que sans "être un régional de l'étape", on peut, tout de même, apprécier l'histoire originale que nous raconte l'auteur.

Lire ce livre me donne envie de lire d'autres ouvrages de Gérard Bertuzzi.

Je vais le faire connaître à mon entourage.
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La clef des hauts

Une série de meurtres plus ou moins liés. Sont ils tous commis par la même personne ? Pour le savoir, il faudra lire ce polar où l'histoire se passe dans l'Oise, plus précisément dans un château où la clef des hauts est déposé dans un coffre où seuls 2 personnes disposent du code. A lire
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Les inconnus du vol 981

Terminé ce livre acheté dans un salon en janvier auprès de l'auteur...

L'histoire est intéressante flirtant toujours entre fiction et réalité et elle se passe en Picardie...

Sur la forme c'est correctement écrit mais sans plus...
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Disparitions en Picardie

Toujours aussi sympa cette collection Polars en Nord des éditions Ravet-Anceau. Nous voici là au coeur de la gendarmerie de Compiègne qui planche sur les disparitions. Le commandant Bourbon est excellemment secondé par le chef Keller. A eux deux, malgré l'intuition et le travail de fourmi, l'enquête piétine.Puis, un événement, la découverte du corps enterré viendra réveiller l'intuition de Bourbon et le travail de fourmi reprendra avec un peu plus de succès.

Pas mal du tout ce petit polar. Écriture simple, alerte pas dénuée d'humour et de légèreté. Si je fais la fine bouche, mon bégueule, je pourrais dire que je ne goûte que moyennement le flot de calembours et de blagues pas toujours très fins, un rien potaches et basiques, mais c'est un écueil largement franchissable. D'autant plus que Gérard Bertuzzi sait mener son intrigue. Au moment où on la croit finie, eh bien, il en rajoute une petite couche pour nous tenir jusqu'au bout de ses 220 pages. Ce n'est pas un thriller, loin de là, le rythme n'est pas effréné, mais un bon petit polar qui ne vous polluera pas l'esprit mais ne vous décevra pas.


Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Les inconnus du vol 981

Je ne suis pas du tout branchée polar, mais ayant rencontrer en personne l’auteur qui m’a convaincue de lire son histoire, je me suis donc laissée tenter. Agréablement surprise, je recommande cette histoire vraiment incroyable ! Vous ne serez pas déçu. Suspens du début jusqu’à la fin.
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Disparitions en Picardie

Beaucoup d'humour et surtout beaucoup d'imagination...
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Disparitions en Picardie

Bon petit polar bien écrit ! Plusieurs "affaires" se superposent et c'est à la fin que l'on comprend enfin le lien ! Je le recommande !
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