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Critiques de Germaine Acremant (36)
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Ces dames aux chapeaux verts

Je l'ai lu il y a fort longtemps, et je garde un bon souvenir de ce roman. Il a vieilli, certes, mais je retrouve avec plaisir les descriptions savoureuses de l'auteur, son humour, et les caractères des personnages. Une bonne lecture, un peu surannée, empreinte de nostalgie.

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Ces dames aux chapeaux verts

"Y avait une institutrice

A Sainte-Anne de Quimperlé

Qui n'y voyant pas malice

Epousa un divorcé



Vive les culs bénis, ma mère

Vive les culs bénis

Vive les culs bénis, ma mère

Vive les culs bénis



Elle fut mise à la porte

Sans aucune hésitation

Faut pas de gens de cette sorte

Dans une bonne institution"

.

Comment dit-on "faux-cul" au féminin ? Hypocrite ? Madame Lepic ? Tatie Danielle ?

Qu'est ce qu'elle est hypocrite, Telcide !

De quoi s'agit-il ?

Arlette, 18, est la fille d'un parisien riche mais ruiné qui se suicide. Orpheline, elle est placée chez ses cousines du Pas-de-Calais, quatre vieilles filles de 35 à 60 ans , des culs-bénis, ces dames aux chapeaux verts !

Telcide, l'aînée, est la "pire", acariâtre et perfide :

"Je vous ferai plier", dit-elle à Arlette qui, à l'inverse, est la joie de vivre.

Les trois autres soeurs sont sous la coupe de l'aînée.

Mais Arlette découvre, dans la maison, un cahier intime, où il question d'un amour contrarié. de laquelle des quatre soeurs provient-il ? Arlette se met en devoir de réparer cette perte de temps entre l'une des soeurs et Hyacinthe, le professeur. Ce qu'elle n'a pas calculé, c'est qu'elle même va rencontrer l'amour avec un grand "A" !

Mais c'est sans compter avec l'orgueil imbécile de Telcide !

.

Plein d'humour et de rebondissements, ce livre donnerait une belle pièce de théâtre !

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Ces dames aux chapeaux verts

Ces derniers temps, après quelques choix littéraires malheureux la critique de Dgwickert m'a interpellée .

Et, l'idée d'une petite récréation a germé : choisir moi aussi ce classique qui a un goût de " madeleine "...



Et, je me suis plongée dans cette comédie de moeurs comme on regarde une photo jaunie, une photo sépia aux bords dentelés !



C'est ainsi que m'est apparu ce roman , un témoignage de la vie provinciale dans les années 20 au travers de l'histoire de ces cousines.

Arlette, la parisienne débarque en province, autant dire une autre planète à l'époque !

D'une vie de plaisirs et de modernité elle se retrouve au coeur d'un monde austère et étriqué.

Et, bien sûr le contraste va fournir l'occasion d'égratigner au passage les traits de caractère dominants de chaque personnage , avec souvent une petite pointe d'excès pour le plus grand bonheur du lecteur !



L'auteur ,d'une plume très académique va livrer le fruit de son observation d'un monde de petits bourgeois ,régi à outrance par la morale religieuse et les conventions.

Et, pour pimenter le récit, l'humour et la caricature sont de mise !

Mais, que d'émotion aussi à l'évocation de ces destins brisés, malmenés par les saintes familles !

J'y ai retrouvé comme une atmosphère balzacienne.



Et, adulte, on porte bien sûr un regard différent sur les rapports sociétaux : les temps changent mais aujourd'hui, avons-nous réussi à défaire les carcans ?



Encore une fois, j'ai plaisir à constater que la lecture ( ou relecture ) de ces classiques est bien salutaire .

Ce livre publié en 1922 ,fut une agréable parenthèse .

Et, merci Denis pour cette critique fort opportune .



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Chapeaux gris... chapeaux verts

Ce roman est la suite de "Ces dames aux chapeaux verts". L'action commence peu de temps après la fin du précédent roman. Sympathique bien qu'un peu vieilli, on y retrouve l'humour et le ton de l'auteur. Plein de souvenirs pour moi, il évoque un délicieux parfum de nostalgie.
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Ces dames aux chapeaux verts

Alors moi, j'ai gardé de déménagement en déménagement ce volume de la bibliothèque verte qui a tellement diverti mes neuf ans! Puis mes dix, onze douze…etc ... jusqu'à présent.

J'y ai glané une certaine science du badinage amoureux (Arlette et Jacques de Fleurville); le mot local de "nochère" pour la gouttière, le prénom si original de Telcide (si vous avez une fille…), le choc des cultures entre la "province" comme on disait encore, et Paris, la jeunesse et l'âge de discrétion, le désir de vivre et le célibat subi plus que choisi (la guerre de quatorze a fait des veuves et des fiancées éternelles)

Je me souviens de la scène du jeu du cadavre exquis, auquel j'ai d'ailleurs beaucoup joué dans mon enfance.

Je me souviens de l'humour, de la critique sociale, et de la tendresse timide des deux vieux fiancés, M.Hyacinthe et Marie.

Un de mes meilleurs souvenirs de lecture, toutes années confondues.

N'est-ce pas ce qu'on appelle un bon livre?
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Ces dames aux chapeaux verts

Ecrit en 1922… il a tout juste 100 ans !

Il s’agit ici de l’édition de 1982, oubliée au fond de l’étagère et trouvée par hasard en rangeant d’autres livres. Si l’on en croit l’adage « le hasard fait bien les choses » … Etant curieuse de nature, il n’y avait qu’un pas avant la lecture, pas que j’ai franchi allègrement.



La couverture, hélas, n’est pas très engageante pour nos jeunes lecteurs actuels. Il y aurait presque de quoi leur demander d’en inventer une autre, plus à leur goût (ce qui supposerait évidemment de lire le roman lol).

Par contre le texte m’a séduite dès les premières lignes ainsi que la construction de l’intrigue ! Le vocabulaire est riche, la langue soutenue, l’humour très présent et habilement dosé, le récit rythmé. J’ai passé un agréable moment de lecture. C’est une excellente comédie de mœurs qui fait revivre toute une époque, avec des personnages attachants et charismatiques.



Après quelques recherches j’ai découvert qu’il s’agit du premier roman de Germaine Acremant aussitôt remarqué et apprécié. Je suis assez bluffée par la qualité de cet écrit et je comprends qu’il ait été remarqué dès sa sortie ! Par la suite Germaine Acremant a surtout composé pour le théâtre. La scène finale d’ailleurs est très théâtrale, ainsi que les dialogues qui parcourent le roman.



Je ne peux que recommander cette lecture aux amoureux des Lettres ! 100 ans après ce texte se savoure et sa magie opère encore. Il n’en est pas de même de tous les livres…

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Ces dames aux chapeaux verts

Ah ' Ces dames aux chapeaux verts ' , voilà que j'avais oublié que je l'avais lu (il y a très très longtemps ) et voilà qu'il me revient en mémoire grâce à Babélio . je ne saurai pas en faire une critique car j'en ai un trop vague souvenir , mais quel souvenir agréable , une véritable madeleine de Proust . Merci à toutes les lectrices de ce tendre roman pour cette façon bien agréable de retourner dans le passé .
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Ces dames aux chapeaux verts

Une jeune fille qui découvre que, parmi ses 4 "vieilles" filles de tantes chez qui elle vient vivre , l'une d'entre elle cache un mystère, une belle histoire d'amour avec un certain Hippolyte (si ma mémoire est bonne)

Rien que d'écrire ces quelques lignes l'eau me vient à la bouche et j'ai encore envie de relire ce bouquin lu dans mon enfance et relu plus tard avec ferveur !

Un peu comme" le grand Meaulnes " d'Alain Fournier

Un livre inoubliable et méconnu !
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Chapeaux gris... chapeaux verts

Voulant l'offrir à l'un de mes vieux oncles qui venait de se régaler avec Ces dames aux chapeaux verts, j'ai réussi à le dénicher en occasion sur une plateforme d'achat en ligne et j'ai voulu le relire. Quelle déception !



Germaine Acremant eut été bien inspirée de ne pas écrire de suite à son immense succès des années 20. Ecrit en 1970 - 50 ans plus tard, trop tard ! - Chapeaux gris, chapeaux verts n'a quasiment plus rien du charme délicieusement suranné du premier tome. L'époque a bien changé et l'on sent que l'écrivaine n'est pas parvenue à retrouver l'ironie tendre mais parfois acide de ces descriptions de vieilles filles un peu moisies, un peu confites, ni l'ambiance vieillotte de cette petite ville de province pas encore gagnée par la modernité de Paris. Bien sûr, les chanoines ne hantent plus les contreforts des cathédrales et l'on ne porte plus de gants de filoselle en 1970...



Cette suite directe conserve tout de même la tendresse mêlée de ridicule - ici largement exagéré - avec laquelle elle dépeignait les amours de Marie et Ulysse mais l'intrigue est réduite à portion congrue et la narration est essentiellement dialoguée, au point de se demander si Germaine Acremant ne prévoyait pas d'en faire plutôt une pièce de théâtre. Je me suis tristement ennuyée...



Dommage pour une écrivaine si souvent récompensée !



Challenge Multi-défis 2023

Challenge Plumes féminines 2023
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Ces dames aux chapeaux verts

C'est avec une émotion particulière que j'ai lu ce roman. L'histoire se déroule à Saint-Omer, la ville de mon adolescence ; et le libre-objet a appartenu à ma grand-mère, qui l'a lu lorsqu'elle avait vingt ans... Une belle plongée, en somme, dans un passé nostalgique plein de charme.



Arlette, vingt ans, est ruinée ; elle doit se réfugier loin de Paris, chez des cousines vieilles filles, les Davernis. Légère et joyeuse, doté d'un vif et bel esprit, Arlette craint de dépérir dans cet environnement bigot et suranné. Le charme de la province ne se laisse pas découvrir si aisément... Mais voilà qu'elle tombe sur un journal intime qui dévoile le premier amour d'une de ses cousines. Laquelle ? Et y a-t-il encore moyen d'éviter à celle-ci le statut si terrible de "vieille fille" ? Voilà Arlette lancée dans une quête qui, comme de bien entendu, lui fera aussi découvrir les joies et les affres de l'amour...



C'est une perle que cette romance-là. Quand amour et humour se marient, l'on s'ennuie rarement : et, ici, le ton enjoué et délicieusement sarcastique d'Arlette et de l'auteur elle-même donne au récit énormément de saveur. On s'attache certes à décrire le malheur à cette époque de la condition de "vieille demoiselle" et le personnage de la plus âgée des quatre cousines, Telcide, est à cet égard merveilleusement humain, mais rien ne plombe le récit.



Et puis, ainsi que le dit finalement Arlette, la Parisienne, "comme elle est jolie, notre petite gare !" Les charmes de la province valent bien ceux de la capitale...
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Ces dames aux chapeaux verts

(Relecture)



C'est un livre que j'ai adoré à mes 15 ans, et que j'avais relu à la fac. J'ai eu autant de plaisir à 50 ans !



Ce roman fête ses 101 ans, il a pris quelques rides, mais le style et l'écriture non.



Arlette, jeune orpheline parisienne de 18 ans se retrouve accueillie par ses 4 cousines "vieilles filles", probablement à Arras. Le choc est dur ! Elle, enjouée, vive, impertinente, bref, post-ado, va devoir supporter le rigorisme et la froideur de Telcide, heureusement adoucis par la douceur de Jeanne, Rosalie et Marie.



S'ennuyant pas mal, elle furète partout dans la maison, qui ressemble à un musée, et tombe sur des morceaux de journal intime relatant d'une histoire d'amour d'une des quatre soeurs avec un monsieur, 10 ans auparavant. Elle va essayer de comprendre de qu'il s'agit pour faire revenir dans ses bonnes grâces le-dit monsieur.



C'est drôle, c'est tendre, c'est un peu attendu pour certaines choses, mais ça n'en reste pas moins un très bon roman très agréable à lire et à relire !



D'autant que je l'ai trouvé dans une boîte à livres en livre de poche c'est-à-dire texte intégral, alors que je pense que ma "bibliothèque verte" de l'époque ne l'était peut-être pas ?
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Ces dames aux chapeaux verts

Improbable bluette dans ma bibliothèque, force est d'avouer que je traine cet exemplaire vieilli, aux pages fanées, depuis qu'adolescente je l'ai piquée dans la bibilothèque de ma grand-mère. C'est un attachement qui ne s'explique pas. Une histoire de vieille dame amoureuse, terriblement désuette et convenue, et pourtant au charme intemporel. Et d'après les chroniques ici je ne suis pas la seule à être sous le charme ! ;)
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Ces dames aux chapeaux verts

Souvenir d’une vieille lecture... Ce livre, qui a écrit il y a déjà un siècle, se réfère à un passé suranné; mais il n’est absolument pas rébarbatif. Arlette, une jeune Parisienne, vient habiter en province, chez des vieilles cousines un peu bigotes qui ne se sont jamais mariées. Avec son esprit pétillant, elle va apporter une joyeuse perturbation dans ce milieu étriqué. Entre autres aventures, elle découvrira un secret de famille et trouvera l’amour. Par son sujet et par sa forme, ce roman reste très agréable à lire.
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Ces dames aux chapeaux verts

Un petit roman qui est plutôt "rétro", écrit en 1921.



J'ai eu une bonne surprise à sa lecture, en effet la jeune Arlette, qui débarque chez ses cousines vieilles filles, est vraiment moderne pour son époque.  C'est une petite futée qui ne veut pas s'en laisser compter.

Une découverte va lui faire mener l'enquête et ourdir de petits complots pour arriver à ses fins.



Certains passages sont savoureux, le ton est léger et les personnages bien décrits.



C'est donc pour moi une découverte inattendue et réussie.
Lien : https://pagesdelecturedesand..
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Ces dames aux chapeaux verts

Délicieusement démodé et suranné! Plongée dans le passé, dans la mentalité de la petite bourgeoisie de province des années 1920 et de la société de cette époque. Enorme succès à l'époque et oubli quasi total aujourd'hui. Comme les mentalités ont évolué!

Arlette, pétillante jeune fille délurée (dans les limites du raisonnable, il s'agit d'une jeune fille de bonne famille et d'un roman destiné pour l'essentiel à des lectrices) est envoyée chez ses cousines quatre vieilles filles bigotes à Saint-Omer. Il faut lire ce que représentait de dégradant et d'humiliant la situation de vieille fille à l'époque où la destinée première de la femme était le mariage. Arlette découvre que la plus jeune des cousines a eu une "relation" autrefois avec un homme qui se trouve toujours dans la ville. Elle s'efforce de les faire renouer..Arlette elle-même rencontre un jeune homme de bonne famille.

Une suite avec "Ces dames au chapeau gris"
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Ces dames aux chapeaux verts

Lu dans ma jeunesse. Et je m'en rappelle encore, c'est dire.

Désuet, romantique, un peu kitsch que cette histoire de quatre vieilles filles provinciales châpeautées de vert qui recueillent chez elles leur jeune et jolie cousine Arlette dont le père s'est suicidé.

Il y a la revèche,mais il y a la tendre aussi jadis amoureuse d'un instituteur.

Arlette, la curieuse découvre un journal intime qui pourrait bien réunir les deux tourtereaux. Et bien sûr, Arlette, elle aussi va rencontrer le grand amour!

Nous sommes bien loin ici de la vie intime de Catherine M. chroniquée ce matin, mais pour un sommeil peuplé de rêves en rose et bleu layette c'est pas mal du tout!
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Ces dames aux chapeaux verts

Défi ABC 2021-2022



Jolie surprise que ces dames d'un autre temps. Le volume attendait sagement, couverture verte un rien décolorée, papier fragile, jauni, à l'odeur si délicieuse des bibliothèques.

La page de garde porte fièrement la mention: Prix Nelly Lieutier 1921, édité par la Librairie Plon, les petits-fis de Plon et Nourrit, 8 rue Garancière, 6ème. Poussée par la curiosité, je fouille rapidement les inépuisables ressources de Gallica: Mme Lieutier (aussi connue sous les psuedonymes de Gabriel Besson et Jeanne de Bargny) est une autrice féministe , membre de la société des gens de lettres et de l'association pour les droits des femmes.

Rien d'étonnant alors que ce prix (y en eut-il d'autres?) fût décerné à Germaine Acremant: de prime abord, les quatre sœurs célibataires ne remportent pas la palme de l'indépendance ou du militantisme féministe. C'est sans compter l'arrivée de leur nièce Arlette, jeune parisienne ruinée, espiègle et bien décidée à conquérir une certaine autonomie. Imaginez, Arlette lit des romans, conduit des automobiles, joue au tennis et porte des robes absolument indécentes (entendons-nous sur ce terme, bras nus et couleur claire).

Arlette n'aura de cesse de permettre à sa tante Marie de retrouver l'âme sœur dont une trahison l'a jadis éloignée: émancipation, certes, mais point trop n'en faut, hors le mariage, point de salut.

C'est drôle, enlevé, précis, si vous avez jamais rendu visite à une arrière-grand-tante confite en dévotion, vous retrouverez l'odeur d'un intérieur humide, les fauteuils et leurs housses et les petits gâteaux rances et mous, le gâteau de semoule dégoulinant de caramel. Sinon, faites l'expérience, l'illusion est parfaite.

Reste à farfouiller chez les bouquinistes pour trouver d'autres romans de Mme Acremant. Et ceux de Mme Lieutier

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Ces dames aux chapeaux verts

Ces dames aux chapeaux verts est certainement le premier des feel good !

Le roman fut un best seller en son temps et l'on comprend vite pourquoi. Malgré son écriture un peu désuète, il est plein de gaieté et de malice. A travers les yeux d'Arlette, la romancière épingle joyeusement les travers de la vie provinciale au début des années 20.
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Ces dames aux chapeaux verts

un magnifique souvenir d'enfance
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Ces dames aux chapeaux verts

Après la ruine et le suicide de son père, la jeune Arlette est recueillie par des vieilles cousines de province. Tout ce passe relativement bien jusqu'à ce qu'elle tombe sur un journal intime relatant une histoire d'amour contrariée vécue par une de ses cousines. Mais laquelle des trois? C'est ce qu'Arlette cherche à savoir afin de la remettre sur la route de la passion.

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