AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Gerri Hill (56)


Les canards et les oiseaux de rivage s’habituent à la présence humaine et aux
voitures. Quant aux chevreuils, une fois passée la peur d’être chassés, ils s’y
feront aussi.
Commenter  J’apprécie          50
Hunter, voici la détective Kennedy. Elle travaillera avec vous. Alors tâchez d’être sympa », dit-il avec un soupçon de menace.
Tori examina la jeune femme blonde par le menu, avec son pantalon soigneusement repassé et sa veste élégante. Pas de bijoux, à part une montre et des boucles d’oreille. Des yeux verts hésitants la dévisagèrent, et la nouvelle venue tendit la main.
« Enchantée, détective Hunter, fit-elle aimablement.
— Ouais. Un vrai plaisir », répondit Tori d’un ton sec.
Elle avait une dégaine d’avocate, pas de flic.
Commenter  J’apprécie          40
Puisque vous avez fait l’effort d’acheter un guide,apprenez au moins à vous en servir correctement.
Commenter  J’apprécie          30
Elle avait de la patience à revendre quand il s’agissait d’attendre la photo
parfaite. En revanche, avec les gens, et les femmes en particulier, elle n’en
avait pas un gramme.
Commenter  J’apprécie          30
« Y a-t-il quelqu’un ici qui vous apprécie ? demanda-t-elle.
— Non.
— Pourquoi ?
— Je raconte pas de conneries et je vais droit au but.
— Ça n’empêche pas de sympathiser avec ses collègues.
— Sympathiser ? Avec ces mecs-là ? s’étonna Tori en se penchant en avant pour prendre le ton de la confidence. Adams peut pas m’encadrer parce que je suis une femme. Il se fout de mes qualités professionnelles. Je suis juste une femme. Donaldson, son partenaire, suit son exemple, bien qu’Adams arrive à peine à le supporter parce qu’il est noir. Ramirez est le seul à me montrer un peu d’estime et ça lui vaut les railleries des autres, surtout de Sikes, son coéquipier.
— Tout ça ne vient pas seulement du fait que vous êtes une femme.
— Non, pas uniquement, en effet. C’est parce que je suis une femme et parce que je bosse mieux qu’eux.
Commenter  J’apprécie          20
Il y a un hiatus entre la description sinistre de ces lieux et les jolies images que tu m’as commandées pour l’illustrer.
Commenter  J’apprécie          20
Ça ne pouvait quand même pas être sa partenaire ! Elle se carra dans sa chaise pour l’étudier : blonde, un brin trop grande pour être qualifiée de petite, l’air menu dans ce blazer qui tombait aux épaules. Elle l’observa jusqu’à ce qu’elle disparaisse chez le lieutenant, et son regard glissa vers Sikes.
« Marche arrière, Hunter. Elle joue pas dans ta cour, lança Sikes depuis l’autre bout de la salle en rigolant.
— On dirait qu’elle a un ou deux neurones. À mon avis, c’est dans ta cour à toi qu’elle joue pas, Sikes », répliqua-t-elle avec un sourire froid.
Les autres détectives éclatèrent de rire et John Sikes s’assit.
« Bien envoyé, Hunter. »
Commenter  J’apprécie          10
Tori raccrocha le téléphone et releva les yeux au moment où Sikes interceptait la jeune femme qui traversait la pièce. Elle secoua la tête en le voyant lancer son sourire de séducteur. Pour lui, tout membre du sexe opposé était une proie potentielle. Elle allait se détourner lorsque la nouvelle venue marcha droit vers le bureau du lieutenant.
Ça ne pouvait quand même pas être sa partenaire ! Elle se carra dans sa chaise pour l’étudier : blonde, un brin trop grande pour être qualifiée de petite, l’air menu dans ce blazer qui tombait aux épaules. Elle l’observa jusqu’à ce qu’elle disparaisse chez le lieutenant, et son regard glissa vers Sikes.
« Marche arrière, Hunter. Elle joue pas dans ta cour, lança Sikes depuis l’autre bout de la salle en rigolant.
Commenter  J’apprécie          10
— Je suis sérieux, Hunter. Débrouillez-vous pour que ça marche. Je ne veux pas vous perdre, mais je ne réussirai pas à vous protéger éternellement. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, personne ne veut travailler avec vous. »
Tori enfonça les mains dans ses poches et le fixa de ses yeux sombres. Une femme. Au fond, ça peut être marrant.
« Prenez-la sous votre aile, Tori. Montrez-lui les ficelles du métier. Ça vous fera du bien d’avoir une femme comme partenaire… Comme ça au moins, vous serez la seule à balancer des décharges de testostérone !
— Très drôle. »
Commenter  J’apprécie          10
Vous êtes un électron libre, Hunter. Vous n’obéissez pas aux règles. Je m’étonne que ça ne vous ait pas encore rattrapée.
Commenter  J’apprécie          10
— Et ?
— Et elle a été mutée chez nous. »
— Elle ? s’écria Tori en se redressant sur sa chaise. Une femme ? Vous me mettez en équipe avec une femme ? Merde, Stan ! Une femme ?
— Où est le problème ? Vous en êtes une, vous, de femme. »
Elle se leva d’un bond et arpenta la pièce. Une femme ? Une bimbo des Agressions ? Je rêve ! Elle menaça : « Elle ne tiendra pas une journée, et vous le savez.
Commenter  J’apprécie          10
« C’est moi, annonça-t-elle quand sa meilleure amie décrocha.
— Tiens, bonjour détective ! Alors, comment ça s’est passé ? »
Samantha sourit et but une gorgée de vin. « J’ai survécu... enfin, à peine. Ça s’apparente dangereusement à un hôpital psychiatrique, mais j’ai survécu.
Commenter  J’apprécie          10
« Ça fait combien de temps que vous êtes détective ?
— Cinq ans, pourquoi ?
— Vous faites à peine la trentaine.
— J’ai 34 ans. Mais ça n’a pas grande importance.
— Oh, si ! Personne ne prend une femme au sérieux, surtout lorsqu’elle a l’air de sortir de la fac.
— Eh bien, merci. J’étais sûre qu’il y avait un compliment caché quelque part », ironisa Samantha.
Commenter  J’apprécie          10
« Ça fait sept ans que vous êtes avec moi, Tori.
— Oui, monsieur. »
Il retira ses lunettes et les posa sur le dossier, puis il s’adossa à son fauteuil.
« Vous avez eu six coéquipiers. »
Elle soupira et fixa le plafond. Il va pas remettre ça !
« Je croyais qu’on avait réglé la question il y a quelques mois ?
— Oui. Et à l’époque, vous n’aviez eu que cinq coéquipiers.
— Vous n’allez quand même pas me coller les deux jambes cassées de Tête de Nœud sur le dos ! s’exclama-t-elle.
— Le détective Kaplan passera probablement la fin de sa carrière derrière un bureau… Tête de Nœud ? ajouta-t-il.
— C’est pas vous qui deviez travailler avec lui tous les jours, protesta-t-elle d’un ton sec. C’était un crétin.
— Si des témoins n’avaient pas confirmé que vous aviez sauté d’abord, je serais le premier à penser que vous l’avez poussé par cette foutue fenêtre.
— Oh, je vous en prie ! Si j’avais vraiment voulu me débarrasser de lui, je l’aurais descendu, tout simplement. »
Commenter  J’apprécie          10
Elle s'approcha en tendant l'oreille.
- Vous ne me trouverez jamais, salope de flic.
Tori sentit les poils de sa nuque s hérisser.
- Qui est à l'appareil?
- Vous savez qui je suis entendit-elle répondre d'une voix étouffée.
Commenter  J’apprécie          10
Certains jours, je me demande quel âge il a, il paraît très jeune, insouciant. D'autres fois, il y a une dureté dans ses yeux qui le vieillit.
Commenter  J’apprécie          10
Il faut être imbécile pour tomber amoureuse d’une femme qui te repousse ! Une femme qui ne peut pas vouloir de toi parce qu’elle est déjà en couple. Qui serait assez bête pour commettre une telle bourde ?
Commenter  J’apprécie          10
Je pense au contraire que nous contrôlons notre destin. Les choix et les décisions que nous prenons au fur et à mesure contribuent à le façonner. Ça n’a rien à voir avec les niaiseries mythologiques qui voudraient que les Parques aient la mainmise sur notre vie.
Commenter  J’apprécie          10
Les vieilles dames ont bien le droit de se distraire un peu.
Commenter  J’apprécie          10
Un baiser en entraînerait un autre et rapidement, elle ne pourrait plus se la sortir de la tête. Elle n’était absolument pas prête à ce type d’intimité avec Pat. Son corps, oui... mais son esprit, lui, demeurait prisonnier du passé.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gerri Hill (67)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les enquêteurs parlent...

— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

Arsène Lupin
Hercule Poirot
Rouletabille
Sherlock Holmes

13 questions
167 lecteurs ont répondu
Thèmes : romans policiers et polars , humour , enquêteursCréer un quiz sur cet auteur

{* *}