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Critiques de Graham McNeill (113)
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Warhammer - Les elfes, tome 2 : Les défenseur..

Voilà le dernier né de Graham Mc Neil, auteur prolifique de fantasy. Ce roman traite des hauts-elfes de l'île d'Ulthuan et sera en deux parties, donc c'est un diptyque (deux parties)... On avait les humains, les druchii (elfes noirs), les elfes des bois et maintenant les hauts-elfes, à quand les nains et les halfelings... Mais je m'égare et je critique facilement. Ce roman est un recueil sur la vie des hauts elfes, idéal si vous voulez jouer un elfe ou créer des aventures sur Ulthuan. Vous y trouverez une bonne analyse de la façon de vivre, de penser, de comploter des elfes qui grâce à leur magie retiennent les forces du chaos d'envahir le monde... Mais à part les complots, vous aurez de l'épique et de l'héroïsme comme on l'aime. Dans cette première partie, on découvre un elfe échoué qui ne se souvient de rien... Il est recueilli par un magicien puissant et sa fille, et son trou de mémoire est une énigme pour ce mage qui l'emmènera à Teclis, le mage elfe le plus puissant. Dans le même temps , le chef d'une garnison basée dans un fort qui protège l'île se fait assassiner par un druchi. Enfin, une invasion de l'île par les druchii prend place et des combats sanglants se déroulent sans grand espoir pour les hauts-elfes...

L'histoire est assez intéressante pour cette première partie et je suppose que beaucoup d'éléments sont mis en place pour un final qui je l'espère sera fantastique dans la deuxième partie. Les personnages sont bien décrits et la société elfe nous paraît plus réaliste après la lecture de ce roman. Les hauts-elfes considérés comme des gardiens de la paix et du savoir, des êtres doués de talents inimaginables, descendent de leur pied d'estale dans les complots et la haine que fait ressortir ce roman... j'attends la suite avec impatience...
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..
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Warhammer - Les elfes, tome 2 : Les défenseur..

Les habitants du continent elfique d'Ulthuan ne le savent pas encore, mais la paix précaire dans laquelle ils vivent est menacée. Leurs cousins noirs, les druchii, alliés aux hordes chaotiques des steppes du Nord, sont en marche. Et, comme de coutume dans le monde de Warhammer, l'ennemi pourrait bien venir... de l'intérieur !



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Une aventure qui se rattrape aux branches d'une belle manière après un premier tiers tout en longueur et circonvolutions inutiles. Heureusement, le récit devient vite intéressant, endiablé et prenant.

Nous suivons le destin de deux frères elfes, l'un ayant perdu la mémoire, l'autre croyant le premier mort (et pour cause...). Les deux hommes, fort entourés, vont avoir un rôle à jouer dans le futur de leur patrie et de leur race.

Si les dialogues sont parfois artificiels (surtout au début) et les coquilles ultra présentes (franchement, c'est une honte. Même le dos de mon exemplaire papier, ne comprenant pourtant que les quatre mots du titre, réussit à contenir une erreur ! Les défenseurs d'Ulthuan sont devenus les Edfenseurs d'Ulthuan... quel je m'en foutisme !), la patte de l'auteur de la trilogie de Sigmar se retrouve vers la fin.

Adepte des Twist et des trahisons, des combats épiques et des situations désespérées (bah oui, ici on s'en prend sur la tronche des quatre points cardinaux... d'ailleurs, merci à la carte qui accompagne le texte), des récits noirs et sans pitié, Graham McNeill nous offre là un premier tome qui finit sans qu'on s'en aperçoive, et avec une seule envie, celle de nous plonger dans la suite !



En guise de détails et de bons et moins bons côtés, je rajouterai que les personnages féminins sont quelque peu superficiels (hormis bien sur la reine éternelle et Morathi, la vénus perverse et mère de Malékith, le grand méchant que l'on n'a pas encore beaucoup vu).

A l'inverse, les hommes secondaires ont le beau rôle, que ce soit Tyrion et Teclis, les divers mages ou guerriers dont j'ai oublié les noms (les patronymes elfes sont imbitables... on a même droit à une Rhianna...).

Pour rester dans les bons côtés, j'ai rarement lu une mort de personnage secondaire aussi impactante que celle de [insert name here], la fille du mage [insert name here]. Le fait de nous placer du point de vue de son "meurtrier" involontaire a vraiment fait mouche pour moi.

Mais côté mauvais points, le personnage de Caelir (?) joue le rôle du gros niais, et la maxime "trompe-moi une fois, honte à toi, trompe-moi deux fois, honte à moi" lui est inconnue... et c'est franchement grossier.

Les fans de warhammer trouveront nombre de références à l'univers, des lieux ou personnages connus, des événements marquants ou des détails du Lore. Un léger soucis de temporalité me laisse un peu dubitatif, car on nous parle de l'échec d'Archaon (humain à la base) ce qui place les événements sur une trame contemporaine ou ultérieure aux événements de la V2 du JdR (poste 2521, donc). Mais les elfes étant éternels (mais pas immortels) et surtout autarciques, le problème n'en est pas un pour la compréhension du récit.



Bilan, un tome qui monte en puissance, élimine peu à peu ses scories à grands coups de haches, et parvient à un final tout en suspense et un tableau fort sombre qui ne demande qu'à s'éclairer par la lecture du second tome.
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Warhammer - Les elfes, tome 2 : Les défenseur..

Premier volume d’une paire consacrée aux Hauts-Elfes et particulièrement à la tentative d’invasion de leur terre Ulthuan par leurs doubles maléfiques les Elfes noirs (plus le Chaos pour faire bonne mesure ) . Cette « grande » histoire est soutenue par l’histoire personnelle de deux frères Caelir et Eldain . C’est la partie faible même si elle emprunte aux grands mythes (Caïn /Abel, Etéocle /Polynice…) car les personnages sont assez inconsistant et les dialogues souvent pitoyable. Par contre comme souvent chez Mc Neil l’action et la description de combat sont très bons.
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

La Reine Éternelle d'Avelorn est tombée ; la lame noire l'a frappée, marquant le début de l'invasion d'Ulthuan par les elfes noirs...



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On pourrait développer à foison les erreurs et les défauts de ce roman. Mais je serai plutôt bref : c'est long et sans intérêt. Même pour les fans.

Les rares passages à valoir le coup sont entachés par une emphase nauséabonde et des répétitions inimaginables.

Plus de 300 pages pour un texte qui serait très bien s'il était réécrit en 100. Car l'histoire n'est pas mauvaise, mais impossible de rentrer dedans, de s'attacher aux personnages ni aux événements.

La traduction joue peut-être un rôle dans ce état de faits.

Bref, content d'avoir fini cette duologie et de n'y jamais revenir.
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

J'ai bien aimé, quoi que j'ai trouvé la partie "Batailles" beaucoup trop longue, étant d'un seul tenant.

Je sais que cela fait partie d'une réalité pas forcément agréable, que les batailles s'enchaînent jusqu'à ce qu'un vainqueur émerge, mais dans les livres, j'apprécie d'avoir des moments de répit, entre.



Ici, il n'y a aucun moment de répit.

Alors forcément, même si les batailles se passent d'un bout à l'autre d'Ulthuan et avec des protagonistes différents, bah elles se ressemblent beaucoup, donc je suis sortie de là complètement lassée du fracas des armes, des lances brisées dans le corps des ennemis, des interventions des hydres, et des morts à la pelle. De fait, il y a beaucoup de répétitions, avec celui qui pense à l'épée maudite sans jamais se décider, l'autre qui galère avec les dragons, les batailles qui se répètent... J'en suis arrivée à lire tout ça en diagonale, ce qui explique que je l'ai déjà fini, lol...



C'est plutôt bien écrit, même si la pléthore de personnages empêche qu'on s'attache à l'un ou l'autre. Je n'ai pas compris le problème de celui qui arrive (en retard) sur le griffon et qui se bat contre Malékith et son dragon noir. J'ai du oublier des choses du tome 1, dans l'histoire, car je n'ai aucun souvenir de lui, ni de ce qui lui est arrivé pour qu'il devienne "sans émotion". C'est tout le problème d'avoir beaucoup trop de personnages pour 400 pages, on s'y perd.



Bref, tout ça aurait pu être "top of epicness" si seulement il y avait eu moyen et d'une, de reprendre sa respiration de temps en temps, et de deux, de s'attacher à quelques personnages. Ici, comme ils sont peu creusés, on a du mal à les comprendre. L'histoire entre Caelir et Eldain, les deux que finalement on connait le mieux (Exit Rhianna, on ne la reverra qu'à la toute fin) se résout comme par miracle, c'est assez bizarre, ou alors les elfes de Warhammer sont vraiment pas rancuniers, lol...

Eût égard au comportement des elfes noirs, les Druchii, il semblerait quand même que ce soit plutôt l'inverse. Bref, tout ça reste assez superficiel et le lecteur reste spectateur sans vraiment s'investir dans sa lecture.



J'ai apprécié la fin de cette duologie, par contre, malgré quelques facilités. Bref, ça se laisse lire, mais sans plus. J'ai préféré le premier, pour ma part.
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

Suite du premier tome "Les défenseurs d'Ulthuan", "Les fils d'Ellyrion" prend place alors que la guerre est désormais portée sur les terres des hauts-elfes.





Le premier tome avait été une demi-déception. Si l'écriture était relativement agréable, l'originalité n'avait pas été vraiment de mise et l'on s'était clairement retrouvé en présence d'un catalogue Games Workshop plutôt qu'à une réelle histoire. Ce tome ci suivra-t-il les traces de son dispensable prédécesseur?





Pas complètement. Si l'on retrouve effectivement certaines erreurs du premier opus (catalogue des unités présentes dans le jeu warhammer et amenées de manière peu subtiles, pas d'originalité dans les lieux visités) on ne pourra que se réjouir du souffle épique qui souffle sur ce roman. En effet alors que son grand frère n'avait pas nécessairement vu de conflits très important, c'est tout le contraire qui se réalise ici: les batailles s'enchainent les unes après les autres, plus sanglantes et plus meurtrières que jamais. Le sang coule à flot et les armées se percutent avec fracas. Très appréciable si vous en avez assez des intrigues ou des petites embuscades avec seulement quelques morts. C'est d'ailleurs ce qui caractérisera ce roman. Graham McNeill ne laisse pas une seconde de répit au lecteur et mène son récit tambours battants. Ce n'est que dans les dernières pages que l'on pourra se reposer un instant, le fracas des armes et le bruits des armées se percutant résonnant encore à nos oreilles.





Notons toutefois un autre défaut qui n'était pas aussi marqué dans le premier tome: la prédominance des grands "héros". Pour les amateurs du jeu, ces figures vous seront familières: Tyrion, Teclis, Imrik, Korhil, la Reine Eternelle. Ces personnages (présent dans la gamme de figurines pour un prix aussi modique que l'est une Aston Martin) sont quasi omniprésent dans ce tome. Et hélas, ces derniers ont tendance à éclipser complètement les autres personnages créés pour l'occasion (et qui serviront à atteindre le quota normal de morts) C'est bien dommage car ceux-ci sont déjà bien connu du grand public contrairement aux autres. Il aurait été appréciable de mettre un peu de côté ces superstars pour se concentrer sur les motivations et la psychologie des personnages apparaissant pour la première fois dans un roman Warhammer.





Hormis ces critiques, "Les fils d'Ellyrion" reste une lecture plutôt agréable et largement au-dessus du tome précédent "Les défenseurs d'Ulthuan". Graham McNeill sait maintenir le lecteur sous tension jusqu'à la fin (même si on regrettera le fait qu'il ne fait pas prendre de risques trop importants aux superstars de la franchise) avec une plume simple mais efficace.
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

Deuxième volet de la fresque épique de G.McNeil consacrée aux Hauts-Elfes et à leur affrontement avec leurs frères ennemis Elfes noirs. La bataille pour la défense D’Ulthuan atteint son apex et la stabilité du monde est en jeu. Au-delà des aventures des deux frères Caelir et Edain , ce sont de nombreux personnages majeurs de l’univers de Warhammer qui sont les protagonistes de ces combats magiques ou militaires, navals, aériens ,terrestres. Les amateurs du jeu retrouvent avec plaisir les Tyrion , Téclis , Imrik, ainsi que le roi-sorcier et Morathi .
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

Après avoir attaqué Teclis et les mages de la tour de Hoeth, Caelir, toujours sous le contrôle de la Sorcière Morathi, prend le chemin d'Avelorn pour aller tuer la Reine Éternelle. Suivi par son frère Eldain et la femme de ce dernier qui vont tenter de faire échouer cette tentative.



Pendant quelques chapitres l'on suit les personnages découverts dans le premier tome de cette duologie. Il ne se passe pas grand chose et l'on a un peu de mal à rentrer dans l'histoire, ce qui est certainement du au style de l'auteur ! Puis après le méfait de Caelir qui parvient à prendre la fuite après avoir retrouvé ses esprits, le récit prends une tournure plus épique. En effet l'on suit les asur confrontés aux druchii et à leurs cruels humains des terres du chaos et ceci presque jusqu'à la fin du roman. Une histoire uniquement centré sur ce thème et bien qu'il y ait beaucoup de rythme le récit se veut linéaire. Certes l'auteur mène son récit tambour battant mais à aucun moment il ne laisse le temps au lecteur de reprendre son souffle, les scènes se font répétitives et les héros légendaires occupent tout le devant de la scène au détriment des personnages créés dans la premier tome. Certains personnages qui n'apparaissent qu'à la fin nous sont présentés à plusieurs reprises sans véritablement avoir d'impact sur le récit et là encore le lecteur subit des répétitions sans intérêt.



Dans ce deuxième tome l'univers n'est pas développé, complètement laissé de côté et de ce fait ce tome n'a pas véritablement d’intérêt pour le lecteur.



Les personnages sont nombreux, peut être un peu trop, ils défilent sous nos yeux sans que l'on puisse s'attacher à aucun d'eux.



Au final un tome trop centré sur les combats, qui n'apporte rien à l'univers de Warhammer. Certes il faut donner du rythme à l'histoire mais trop c'est trop : le tome manque de profondeur et l'épilogue lui aussi présente peu d'intérêt. Une duologie dans son ensemble assez décevante.
Lien : http://imaginaire-chronique...
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Warhammer 40.000 - Intégrale BD, tome 5 : A l..

Ce tome ne fait pas exception et suit les précédents dans la lignée du graphisme. Ce dernier est en effet toujours exceptionnel et aussi bien travaillé, ce qui fait que je porte ma note à 3.5 / 5 pour ce dernier une fois encore.



Toujours au quarante et unième siècle, sur la planète Baktar III cette fois, planète sur laquelle des troupes d'élite de l'Empereur, le 71e Cadien (rappelez-vous bien dès que je parle de troupes au services de l'Empereur ou encore de l'Imperium, vous devez donc savoir que je parle des forces du Bien...les gentils pour faire très simple) viennent de débarquer. Sous les ordres du capitaine Hawkins, ce chapitre (régiment) appartenant à la Garde Impériale, ils devront collaborer avec un autre régiment, celui du colonel Renko, le 33e régiment des Premiers-nés Vostroyens. Bien que ce dernier fasse également parti de la Garde Impériale (et pas des moindres puisqu'il s'agit de l'élite de cette dernière), cela ne veut pourtant pas dire que l'entente entre ces deux régiments va être des plus cordiales...du moins pas tant que Hawkins n'aura pas fait ses preuves aux yeux de Renko et prouver qu'il était digne de confiance. Un douloureux événement l'a en effet discrédité aux yeux de ce dernier mais Hawkins a toujours su se montrer fidèle à l'Empereur et c'est la seule chose qu'il vous faut réellement savoir dans cette histoire.

Ces deux régiments vont dons s'allier pour livrer une cruelle bataille (quelle bataille ne l'est pas d'ailleurs ?) contre les Taus, une race d'Aliens qui est, je dirais, la plus proche de ce que l'esprit humain se fait de la représentation typique des extra-terrestres (eh oui, il faut bien un peu de clichés de temps en temps). Après s'être fait prendre en traître, l'une des escouades du capitaine Hawkins a clairement pu identifier que l'un des leurs était un traître et vendait ses informations aux Taus.



Qui ? Cette taupe est-elle infiltrée dans leur propres troupes en place ou s'agit-il d'une personne plus haut placée encore ? Je ne vais certainement pas vous dévoiler toute l'intrigue sinon cela ne vous donnerait jamais l'envie de vous immerger dans l'univers de Warhammer 40.000 (et ce n'est évidemment pas ce que je souhaite) car sachez que même si vous ne jouez pas en ligne ou que vous n'êtes en rien attiré par le jeu de plateau, vous pouvez très bien lire ces bandes-dessinées (je ne dis pas que vous n'aurez pas de mal de vous imprégner de l'ambiance au départ et que vous ne raterez certainement pas quelques éléments qui se rapporte à l'historique du jeu...mais qu'est-ce qui vous empêche d'essayer ?). Rien...alors, allez-y !
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Warhammer 40.000, tome 2 : Déluge d'acier

Une défense héroïque et une attaque implacable.



Ecrit en 2003 (publié en 2006 en VF), ce roman est le second de l'auteur après Nightbringer, mais il n'appartient pas à la série Uriel Ventris Ultramarines, bien que McNeill en reprendra des éléments pour son troisième tome de la série : Ciel mort, soleil noir.



L'histoire est extrêmement simple. Le siège d'une forteresse très bien défendue (20.000 hommes, 900 blindés et 11 titans) par les forces du chaos qui ne sont pas venues pour faire de la figuration et dont la composante principale est les Iron Warriors.

D'entrée de jeu, l'auteur annonce la couleur : Les méchants seront les principaux protagonistes de l'histoire et ils ne sont pas là pour faire un truc stupide au dernier moment pour permettre aux gentils de gagner. Se donner du mal pour finir irrémédiablement vaincus. Les Iron Warriors sont des Space marines du Chaos et ils sont égaux en force et puissance aux Space marines loyalistes. Les forces du chaos n'ont pas réussi à combattre pendant 10.000 ans sans un minimum de compétence.



L'auteur a parfaitement réussi son pari, le roman est une réussite du genre. On ne s'ennuie pas une seconde, passant régulièrement des défenseurs aux attaquants, le récit est bien équilibré et vivant. Les moments épiques sont légions et digne des plus grand sièges des maîtres du genre (Gemmell David) dont l'auteur dit s'être inspiré.
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Warhammer 40.000, tome 2 : Déluge d'acier

Ce roman affiche un côté « bien ficelé » très agréable .



L’environnement est très lisible , avec une forteresse immense parfaitement dessinée .

Un siège spectaculaire et méticuleusement mis en scène en contrepoint de la géographie des défenses .



Plusieurs point de vue très mobiles et détaillés alimentent la trame narrative qui est dynamique .

avec quand même une dose de suspense jusque la dernière page et de superbes descriptions qui brosse un tableau très animé .



La narration garde une certaine indépendance avec les contraintes exigeantes découlant de la licence Warhammer .

C’est donc un roman de guerre assez libre que ce texte qui est un pur joyaux de SF militaire .



Quelques petites allusions sur le sens de la vie et de l’univers élèvent le roman à un niveau de lecture pas désagréable .



Une lecture très confortable pour les amateurs de SF militaire et de roman de guerre .

Bref décollage assuré et ballade spectaculaire au poil pour le lecteur , en compagnie de personnages souvent avenants et bien brossés .

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Warhammer 40.000, tome 6 : Les terres brûlées

Je ne pensais pas dire cela lorsque je me suis aventurée dans la lecture de cette série mais je suis dégoûtée d'être déjà arrivée au sixième (et à mon grand regret) dernier tome.

Dans le prolongement du précédent, la Garde Impériale continue sa bataille contre les Taus (les extra-terrestres pour simplifier) ou si vous préférez celle qui oppose les pro-Empereur et les autres. Ici, la compagnie Blazer, appartenant au régiment du 71e Cadien et placée sous les ordres du capitaine Hawkins doit continuer cette bataille seule car ses alliés, bien qu'ayant servi l'Empereur jusqu'au bout, se sont tous fait massacrés. L'histoire se déroule toujours au quarante et unième millénaire (d'où le titre de cette série) sur la planète Baxtar III (ne vous étonnez pas si vous n'en avez jamais entendu parler car pour ceux qui ne sont pas initiés à l'univers de Warhammer 40.000, c'est normal) à Paradise City. Un véritable paradoxe d'avoir choisi un nom de ville qui ferait rêver s'il était sorti du contexte car dans cette dernière se sont déroulées les pires atrocités imaginables !

Hawkins va se battre jusqu'au bout pour ses idées (à savoir celles de l'Empereur)et espère, grâce à l'aide précieuse du lieutenant Rae pouvoir gagner cette horrible bataille dans laquelle il y a un traître, ne l'oublions pas. Qui est cet homme qui, non seulement, trahit les siens mais, en plus, se met au service de l'ennemi juré que sont ces abominables créatures, les Taus ?



Un graphisme splendide avec des blindés (chars, tanks, Leman Russ...) extrêmement bien travaillés tout comme les personnages ainsi que le décor environnant ! Je crois donc, au vu de ces dernières réflexions que je vais même pousser ma note pour l'ensemble de la série à 4 / 5 et vous encourage vivement (je sais que certains babeliens vont être très surpris de ce que je vais écrire là mais cela est sincère) à découvrir l'univers de Warhammer 40.000 car je vous assure que l'on devient rapidement accro !
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Warhammer 40.000, tome 6 : Les terres brûlées

Lecture agréable mais évidemment très orientée : combat, tactique militaire ...
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