Second tome du cycle Uriel Ventris - Ultramarines, écrit en 2003 (2009 en VF) publié un an après Nightbringer.
Après avoir fait connaissance avec le chapitre des Ultramarines dans le tome précédent, Uriel Ventris, Capitaine de la quatrième compagnie va demander de l'aide aux Mortifactors. Un chapitre avec quelques divergences "théologiques" sur les enseignements de leur primarque commun, versant notamment dans des cérémonies plus communément associées aux puissance de la déchéance (ce qui ne les empêchera pas d'être efficace).
Les space marines vont devoir prêter main forte aux forces de défense planétaire de Tarsis Ultra menacées par une vrille de Flotte ruche tyranides : Léviathan.
Les Tyranides, une monstrueuse espèce nomade de prédateurs,vaguement insectoïdes, originaires des confins de notre galaxie, parcourant les profondeurs de l'espace, consommant les planètes à la manière des sauterelles, s'adaptant génétiquement à chaque nouvelle génération pour mieux attaquer la proie suivante. Armées d'un arsenal symbiotique redoutable, de jets d'acide, de bio-plasma et pics d'os en tout genre. Bref un adversaire à la hauteur pour nos héros.
La défense d'une planète contre un envahisseur extraterrestre. De savoureux combats spatiaux et terrestres. Une histoire plus primaire que le tome précédent. McNeill se disperse moins et du coup, c'est plus efficace. S'il prend le temps de poser son récit, ses personnages et d'expliquer aux néophytes son univers et les forces qui le compose,
une fois l'histoire lancée, elle roule toute seule. Avec un vocabulaire très imagé et très immersif pour la description des tyranides et des combats, on assiste à de beaux morceaux de bravoure bien écrit et bien tournés.
En conclusion, un très bon tome, meilleur que le premier et qui appelle à la lecture du suivant : Ciel mort, soleil noir.
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Troisième volume de la saga consacrée au chapitre des Ultramarines dans l’univers de Warhammer 40 000 à travers le personnage d’Uriel Ventris.Pour d’obscures raisons règlementaires (typiques des Ultramarine) Ventris et son sergent sont bannis de leur chapitre et se retrouvent lancés dans une quête à un train d’enfer ( au sens propre : une espèce de train démoniaque les dépose au cœur de l’œil de la Terreur) . Sur une planète maudite , ils se trouvent pris dans une guerre entre Seigneurs du Chaos , puis un duel de démons . McNeil mixe allègrement Dante, Bosch et les abattoirs vus par L214 pour nous offrir un festival de dépeçage, tronçonnage (les deux mamelles des affreux Morticiens) et autres joyeuseté sadiques . Un volume où malgré la surenchère gore permanente McNeil parvient à maintenir l’intérêt du récit.
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Courage et honneur, haine, torture et sang.
Troisième tome du cycle Uriel Ventris Ultramarines après Nightbringer et Les guerriers d'Ultramar.
Publié en 2004 en VO (2010 en VF), on pourra lire éventuellement Déluge d'acier avant, puisque ce dernier roman a été publié un an avant (en 2006 en VF). Ciel mort soleil noir reprend quelques figures du chaos, les Iron Warriors et une de leur précédente campagne.
Uriel Ventris et son fidèle sergent Pasasnius sont bannis du chapitre pour infractions au codex Astartes dans le tome précédent. Au lieu d'encourir la mort, ils sont désormais liés par un serment de mort. Ils se doivent de détruire les daemonculaba. Matrices servant de mère aux Iron Warriors, les space marines du Chaos. Mission suicide ?
Dans le même temps, l'omphalos daemonium, démon mécanique tout puissant charge nos héros de récupérer le coeur de sang dans la forteresse de Kholan-ghol, dirigé par Honsu sur la planète Medrengard.
Les missions sont-elles liées ? Ventris ira-t-il jusqu'à se compromettre avec les forces obscures ? En sortira-t-il indemne ?
La dimension religieuse est bien plus développée dans cette série que dans les récits des Fantômes de Gaunt.
Ce tome est énormément tourné vers les démons et les forces du chaos. Particulièrement glauque, voire "gerbique", il pourra réjouir certains lecteurs comme en rebuter d'autre. Je n'ai jamais rien eu contre les océans d'hémoglobine, mais là, l'horreur est poussée à son paroxysme et je ne l'ai pas trouvé particulièrement plaisant à lire. Trop de viscères, de tortures et de barils de boyaux à mon goût.
Néanmoins l'action reste omniprésente avec force de rebondissements et combats particulièrement féroces. Les dialogues ne m'ont pas paru inadapté, mais au contraire en adéquation avec le monde particulièrement torturé sur lequel ont échoués nos héros, parfois pris de doutes bien légitimes sur le succès de leur mission.
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Quatrième tome de la série Uriel Ventris des Ultramarines et suite directe de Ciel mort, soleil noir.
Le capitaine Uriel Ventris et son fidèle sergent Pasanius sont de retour de Medrengard, l’œil de la terreur, en compagnie d'une petite unité des Décharnés, fruit d'expériences ratées, rebus rebelles surpuissant, ayant pris fait et cause pour nos deux héros.
Ils atterrissent sur une planète que l'Achaman Falcatas a reçu en récompense de son action de pacification. Mais à quel prix ?
Les exactions qui y ont été commises ont crée une brèche dans le warp et nos héros vont devoir à nouveau affronter les forces du chaos.
Beaucoup moins d'action dans ce tome, mais du coup un background plus développé et l'on prend conscience de l'envers du décor de la guerre de l'Empereur. Exactions et injustices de certaines conquêtes. Les forces en présence sont puissantes et d'une rage que seule la mort peut apaiser. La mort est en chasse et elle emportera quiconque appellera son nom.
Un bon tome où l'on découvre que les space marines ne sont pas les guerriers ultimes des armées de l'Empereur et qu'ils ont des faiblesses.
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Cinquième volume de la saga consacrée au chapitre des Ultramarines dans l’univers de Warhammer 40 000 à travers le personnage d’Uriel Ventris. Retour en arrière pour Uriel , après avoir été réhabilité et blanchi de toute accusation de corruption par le Chaos,le voici de retour sur Pavonis qu’il avait jadis sauvée d’une invasion chaotique. Cette fois c’est le redoutable empire Tau qui a des visées sur la planète avec la bienveillance de certaines autorités de la planète. Pour être moins spectaculairement hideux que les tyrannides , les Orks ou les monstres du Warp , ces Xénos n’en sont pas moins redoutables par leur technologie sophistiquée et la pratique de la guerre psychologique (séduction par l’idéologie) . Dans l’affrontement il y a comme un arrière goût de guerre froide (terrestre) et certains aspects assez noirs de l’Empire sont mis en relief. Beaucoup de combats mais un petit sentiment de ressassement.
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Il s'agit du cinquième tome de la licence Uriel Ventris des Ultramarines.
Après une épopée en double et un retour difficile à la civilisation dans le tome précédent (Champ de mort), nous somme en présence d'un retour à la normale. Uriel a été lavé de tout soupçon par les chevaliers gris, même s'il reste mis à l'épreuve par ses propres compagnons d'arme.
La quatrième compagnie s'oppose cette fois, sur Pavonis, dans le cadre d'un retour aux sources (voir Nightbringer), aux Tau. Ils ne ressemblent pas aux peaux-vertes ou aux flottes-ruches. Ils ne ravagent pas des mondes ni ne cherchent la destruction pour le plaisir de détruire. Ils travaillent pour le bien de leur espèce et c'est même assez admirable.
Dans ce tome, on entre directement dans le vif du sujet avec une petite escarmouche. Le récit est habilement construit pour éviter les temps morts et la concentration en début d’œuvre des chapitres explicatifs et en fin, l'action (utilisation du flashback bien sûr).
Pour ceux qui ce sont un peu perdu dans l'histoire, il y aura des rappels historiques des tomes un à quatre.
Un ennemi organisé, intelligent et moins bestial que ce qu'ont du affronter jusqu'à présent les Ultramarines.
Une histoire classique, une trame classique, un dénouement habituel. Pas mémorable donc, mais divertissant.
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Une fin de cycle.
Dernier roman en date de la licence Uriel Ventris Ultramarines.
L'Imperium compte plus d'un million de mondes. Qui peut se soucier de la perte d'un seul d'entre eux ? Tout dépend de quel monde il s'agit.
Honsou est de retour. Vouant une haine éternelle à Ventris, il compte assouvir sa vengeance sur les mondes de l'Ultramar, aidé en cela de quelques puissances démoniaques pluri- millénaires et une armée en conséquence.
Les Ultramarines vont devoir se dresser contre l’agression de leurs mondes natals, mais leur attachement au Codex, les rendant prévisibles pour un ennemi intelligent signera-t-il leur perte ?
Ce roman se veut une synthèse. On avait découvert Honsou dans Déluge d'acier, un ennemi retors, intelligent et compétent pour le retrouver ensuite face à Ventris dans Ciel mort, soleil noir, le tome 3 de la série. Le combat final aura bien lieu.
On retrouve dans ce tome le même type d'ennemis. C'est tellement plus glorieux d'avoir à se battre et triompher face à un ennemi capable.
Les descriptions des différents protagonistes sont précises, directes, chirurgicales (ce qui explique peut-être ces océans d'hémoglobine...). L'action est omniprésente et on trouve ce qu'on est venu chercher dans cette série.
Par contre j'ai trouvé ce dernier tome un peu brouillon. On passe sans arrêt d'un fil à un autre de la narration, Ventris devenant presque un personnage secondaire de sa propre histoire. C'est un peu déroutant.
Au final et malgré tout, un bon roman d'action.
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Sixième volume de la saga consacrée au chapitre des Ultramarines dans l’univers de Warhammer 40 000 à travers le personnage d’Uriel Ventris. C’est la lutte finaaale ! Baston XXL pour solder de vieux comptes : Honsou et Vaane rencontrés dans « Ciel mort ,Soleil noir » avec Uriel et Pasanius , sans oublier le clone diabolique d’Uriel qui veut dessouder son papa. Mais aussi un super démon qui a une vendetta avec les Ultramarines . Donc gros affrontements entre deux équipes de haut vol sur les planètes d’Ultramar, d’un côté la « dream team » des hommes en bleu ,plus des Raven Guard et l’Inquisition , de l’autre une coalition de super vilains de tous poils (Xéno, démons, mechanicum noir , renégats ) . MacNeil démultiplie les combats avec sa virtuosité habituelle. C’est bien fait mais il faut aimer les récits de bataille sinon vous en aurez vite ultra-marre.
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Je tiens d’abord à remercier mon cher ami bibliophile et rôliste @Goupilpm sans qui je n’aurais jamais lu cette duologie signée Graham McNeill.
Ç’aurait été bien dommage car je garde un bon souvenir de cette lecture. Il est agréable de lire un bouquin de la licence Warhammer où une intrigue de moyenne envergure est mise en avant et où l’on n’a pas affaire à des batailles sanglantes jouant le sort de l’humanité (avec flèches dans l’œil ou bras coupés) à chaque page ;)
Ici, nous suivons le vétéran Kaspar von Velten envoyé en remplacement de l’ambassadeur Impérial à Kislev. Face à la menace du chaos aux portes du monde civilisé, l’Empereur Karl Franz a choisi un homme avec une poigne de fer pour ce poste crucial.
Pourtant, la menace des forces de la ruine évoquée et redoutée n’est que peu présente dans ce roman, et si l’attente se fait longue au début, l’intrigue de remplacement n’en est que plus agréable. Entre population hostile, tueur en série, soirées mondaines et trahisons diverses, en quelques jours passés à Kislev, le nouvel ambassadeur va vite devenir une figure politique avec qui compter. Ce qui ne sera pas du goût de tout le monde au pays des Reines des Glaces, mais qui, pour ma part, est plutôt bien tombé. Avec un peu de recul, on peut éventuellement dire que la trame liée au mystérieux « boucher » est capillotractée et bien trop simpliste, et si elle aurait pu être mieux utilisée, elle permet tout de même quelques moments épiques et promet des révélations ultérieures attendues avec impatience !
Car ce premier tome pose les bases de l’environnement et des personnages, clos une intrigue et en ouvre au moins trois autres, pour lesquelles la suite et fin sera indispensable.
Hâte de la lire :)
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Dans le Nord lointain, tout Kislev se prépare à la guerre. Le Haut Zâr et son armée incommensurable sont venus détruire la civilisation. L’espoir est mince et même les boyards les plus hardis sont inquiets. Mais la Reine des Glaces sait pouvoir compter sur ses hommes et sur la terre de Kislev pour refouler les hordes du Chaos. La bataille ultime aura lieu aux Dents d’Ursun ; mais pour l’heure, Kislev doit compter sur une menace bien plus sournoise... et venue de l’intérieur.
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Lecteur, abandonne ici tout espoir, car le Chaos est aux portes et - pour une fois ! - tout n’est pas bien qui finit bien.
Même si j’ai trouvé plusieurs idées sous-exploitées, même si parfois la facilité prend la place de la crédibilité, même si aucune surprise n’attend le lecteur quand à l’identité de cet ennemi intérieur, j’ai tout de même passé un très bon moment de lecture et j’en suis sorti avec ce sourire en coin que seuls de rares titres peuvent se targuer de me filer.
J’ai énormément apprécié cette fin qui (sans tout vous dévoiler), clôt parfaitement l’histoire et laisse suffisamment de place à l’imagination pour de futurs développements.
Encore une fois, les Skavens font les meilleurs méchants qui soient ! Oui-oui !
Bizarrement, l’ambiance glacée de Kislev, la neige à perte de vue, les égouts ou tripots sordides, la foule de réfugiés et miséreux, les complots à la cour, les petits jeux politiques, les combats de bras cassés, et surtout la compagnie de ces personnages, bons ou mauvais, chanceux ou non, vont me manquer.
C’est donc tout naturellement que je remercie - à nouveau - mon cher @Goupilpm pour cette duologie !
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Dans ce roman Graham McNeil réussit un fusion remarquable entre le conte médiéval et le monde spécifique de Warhammer. Du conte on a le chevalier et sa quête d’une dame perdue , la forêt et son petit peuple menaçant et fascinant , un dragon, la chasse Gallery … Et de Warhammer le peuple si particulier des elfes sylvains ( si esthétiquement agréable à peindre en figurines) avec ses fées, ses harpies, ses danseurs de guerre, ses guerriers sur faucon ou aigle. Enfin , c’est aussi une histoire d’amitié entre des êtres différents , découverte de l’autre , tolérance ( sauf avec le Chaos) . Une réussite.
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Lecture commune sur le forum des trolls avec notre groupe de jdr "Warhammer", j'ai bien aimé. C'est pas prise de tête, ça se lit facilement.
Si parfois les dialogues sont pas bons du tout (et hop un grincement de dents à chaque "gros bêta", mdr !), par contre les descriptions sont excellentes.
Qu'elles soient gores ou dans la beauté, même s'il y a quelques répétitions dont on aurait pu se passer, d'idées comme de mots.
Les batailles sont dantesques, les créatures du chaos horribles, fort bien décrites aussi, c'est très visuel. C'est encore un passage en revue de diverses "troupes", mais qu'importe, ça reste tout à fait honnête.
L'histoire ne s'arrête pas à la fin de ce tome, du coup c'est un peu "coïtus interruptus" et brutali ! Mdrrrrrrrrrrrr !
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Premier volume d’une paire consacrée aux Hauts-Elfes et particulièrement à la tentative d’invasion de leur terre Ulthuan par leurs doubles maléfiques les Elfes noirs (plus le Chaos pour faire bonne mesure ) . Cette « grande » histoire est soutenue par l’histoire personnelle de deux frères Caelir et Eldain . C’est la partie faible même si elle emprunte aux grands mythes (Caïn /Abel, Etéocle /Polynice…) car les personnages sont assez inconsistant et les dialogues souvent pitoyable. Par contre comme souvent chez Mc Neil l’action et la description de combat sont très bons.
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Les habitants du continent elfique d'Ulthuan ne le savent pas encore, mais la paix précaire dans laquelle ils vivent est menacée. Leurs cousins noirs, les druchii, alliés aux hordes chaotiques des steppes du Nord, sont en marche. Et, comme de coutume dans le monde de Warhammer, l'ennemi pourrait bien venir... de l'intérieur !
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Une aventure qui se rattrape aux branches d'une belle manière après un premier tiers tout en longueur et circonvolutions inutiles. Heureusement, le récit devient vite intéressant, endiablé et prenant.
Nous suivons le destin de deux frères elfes, l'un ayant perdu la mémoire, l'autre croyant le premier mort (et pour cause...). Les deux hommes, fort entourés, vont avoir un rôle à jouer dans le futur de leur patrie et de leur race.
Si les dialogues sont parfois artificiels (surtout au début) et les coquilles ultra présentes (franchement, c'est une honte. Même le dos de mon exemplaire papier, ne comprenant pourtant que les quatre mots du titre, réussit à contenir une erreur ! Les défenseurs d'Ulthuan sont devenus les Edfenseurs d'Ulthuan... quel je m'en foutisme !), la patte de l'auteur de la trilogie de Sigmar se retrouve vers la fin.
Adepte des Twist et des trahisons, des combats épiques et des situations désespérées (bah oui, ici on s'en prend sur la tronche des quatre points cardinaux... d'ailleurs, merci à la carte qui accompagne le texte), des récits noirs et sans pitié, Graham McNeill nous offre là un premier tome qui finit sans qu'on s'en aperçoive, et avec une seule envie, celle de nous plonger dans la suite !
En guise de détails et de bons et moins bons côtés, je rajouterai que les personnages féminins sont quelque peu superficiels (hormis bien sur la reine éternelle et Morathi, la vénus perverse et mère de Malékith, le grand méchant que l'on n'a pas encore beaucoup vu).
A l'inverse, les hommes secondaires ont le beau rôle, que ce soit Tyrion et Teclis, les divers mages ou guerriers dont j'ai oublié les noms (les patronymes elfes sont imbitables... on a même droit à une Rhianna...).
Pour rester dans les bons côtés, j'ai rarement lu une mort de personnage secondaire aussi impactante que celle de [insert name here], la fille du mage [insert name here]. Le fait de nous placer du point de vue de son "meurtrier" involontaire a vraiment fait mouche pour moi.
Mais côté mauvais points, le personnage de Caelir (?) joue le rôle du gros niais, et la maxime "trompe-moi une fois, honte à toi, trompe-moi deux fois, honte à moi" lui est inconnue... et c'est franchement grossier.
Les fans de warhammer trouveront nombre de références à l'univers, des lieux ou personnages connus, des événements marquants ou des détails du Lore. Un léger soucis de temporalité me laisse un peu dubitatif, car on nous parle de l'échec d'Archaon (humain à la base) ce qui place les événements sur une trame contemporaine ou ultérieure aux événements de la V2 du JdR (poste 2521, donc). Mais les elfes étant éternels (mais pas immortels) et surtout autarciques, le problème n'en est pas un pour la compréhension du récit.
Bilan, un tome qui monte en puissance, élimine peu à peu ses scories à grands coups de haches, et parvient à un final tout en suspense et un tableau fort sombre qui ne demande qu'à s'éclairer par la lecture du second tome.
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