Hikaru Nakamura

Les vacances de Jésus et Bouddha, sacré titre pour un manga, n'est-ce pas ? Pour ma part, j’étais très curieuse de savoir ce qu'il se cachait derrière tout ça. J'ai découvert un manga drôlissime et rempli d'humour. Les blagues sont plutôt fines ouff me voila rassurée, j'avais peur de tomber sur de l'humour un peu lourd.



Donc Jesus et Bouddha après 2000 ans de bons et loyaux services décident de prendre des vacances. Ils arrivent donc sur terre et doivent se familiariser avec ce qui les entourent. Jésus a une ressemble avec Johnny Depp, il découvre la barbe a papa et pense y retrouver la texture d'un nuage seulement il s’avère que c'est plus collant.... Bouddha lui collectionne les points trouvés sur les paquets de brioche pour avoir des cadeaux et gagne un statut a son effigie lors d'une tombola et est déçu que les hommes le représente toujours dans la période ou il était plutôt enrobé.



L'intrigue est vraiment superbe et les dessins ne sont pas en reste. Déjà les deux personnages sont très bien représenté mais tout le reste (paysage et choses qui les entourent) le sont aussi.

Bref, c'est drôle et sans prise de tête. Ce premier tome s’avère être très prometteur. Ma seule crainte et que la saga s’essouffle un peu, mais ça c'est pour une prochaine critique.
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J'avais remarqué sur Babelio ce titre, et l'enthousiasme de certains lecteurs.

Le sujet "Jésus et Bouddha en vacances" m'avait semblé intéressant et un peu nouveau, 2 figures emblématiques de 2 religions importantes à notre époque... Intéressant et pas mal rigolo à mon avis...

J'ai donc réservé ce livre à la bibliothèque de mon village, et j'ai été surprise d'avoir entre les mains un manga (je pensais qu'il s'agissait d'une BD traditionnellle).

N'étant déjà pas très BD, et étant, je l'avoue, un peu réfractaire au manga, je me suis dit : Pourquoi pas ? Je vais tenter cette nouvelle expérience.

Bon, et bien, non... Je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à me faire au style des dessins, à la lecture à l'envers. Et je n'ai pas du tout adhérer à ce livre. Bref, j'ai abandonné... Ce n'est pas pour moi.

Ma note est donc strictement personnelle et n'entame en rien les qualités que d'autres lecteurs pourront trouver à ce petit livre.

Toujours en vacances au Japon, Jésus et Bouddha continuent de se confronter aux mœurs nippones et à la vie sur terre. On les retrouve donc au karaoké, à la plage, chez le dentiste ou fêtant Halloween.



A force de tirer sur la corde, Hikaru Nakamura s'essouffle et ce manga qui bénéficiait d'une idée originale et d'un humour un rien transgressif est devenu au fil des tomes une successions de gags rebattus et pas toujours drôles. Ce sixième tome a un goût de tome de trop et la tendance générale est à la baisse pour une série qui aurait mérité de se renouveler. Décevant.

Recalé à l'examen d'entrée à l'université, Miharu travaille depuis deux ans dans une supérette ouverte 24 heures sur 24. S'il a cru un temps pouvoir trouver un CDI intéressant, la crise a eu raison de ses ambitions. Il collectionne donc les CDD et trime, souvent la nuit, entouré de collègues désinvoltes et d'un patron incompétent. Le soir de Noël, il est accusé injustement d'avoir volé un gâteau périmé. Dégoûté, il décide de s'enivrer et fait halte devant un tripier ambulant. Derrière le comptoir, le Père Fouettard lui propose un CDI dans son entreprise un peu particulière. Au matin, Miharu pense avoir rêvé mais il se réveille au Pôle Nord, dans l'atelier du Père-Noël ! Déboussolé, il fait la connaissance de ses nouveaux collègues et découvre ses nouvelles fonctions. A charge pour lui de décevoir les enfants qui n'ont pas été sages durant l'année. Miharu s'insurge contre ce procédé mais sa mère est si fière de lui qu'il se sent pris au piège.



Hikaru Nakamuru aime s'approprier les mythes et légendes occidentaux pour les mêler à ceux de sa culture. Dans Les vacances de Jésus et Bouddha, elle n'a pas hésité à faire de Jésus et Bouddha des colocataires en vacances sur terre et ici elle s'empare du Père fouettard, bien connu en Europe pour être l'acolyte de Saint-Nicolas. Il terrorise les vilains garnements, leur offrant du charbon, quand il ne les emmène pas dans son grand sac. C'est donc sur le thème de ce croquemitaine qui aurait pris les commandes de l'atelier du Père-Noël que la mangaka brode une histoire loufoque où un jeune homme gentil, serviable mais malchanceux doit se faire violence pour décevoir les enfants repérés grâce à une technologie des plus modernes. Et même s'il rechigne, Miharu est doué car il s'y connaît bien en déceptions, lui qui a raté sa vie professionnelle, qui est la risée des membres de sa famille, qui reçoit un sac de riz pour Noël...

Le démarrage est un peu long, mais il faut laisser la situation se mettre en place et le héros doit forcément s'habituer à sa nouvelle vie. Mais Miharu est une recrue douée et son sens de l'honneur ne saurait se contenter de suivre les directives sans s'insurger. Le Père Fouettard va peu-être se mordre les doigts d'avoir introduit un grain de sable dans sa belle mécanique malfaisante... Un manga original et décalé, parfait en ces fêtes de fin d'année.



Un grand merci à Babelio et aux éditions Kurokawa.

C'est une première pour moi, je n'avais jusqu'à aujourd'hui, jamais ouvert un manga. Je remercie donc Babelio et les éditions Kurokawa, qui m'ont permis de faire cette découverte.

Une fois compris le système de lecture, j'ai pris plaisir à lire ce manga.

On côtoie donc des sujets de société graves, sérieux comme la dureté du marché du travail, l'entreprise, la société de consommation avec un univers fantastique, original. C'est plaisant à lire . On va suivre Miharu qui las d'enchainer des CDD et des petits boulots et qui rêve de signer un CDI va "accepter" de suivre le père fouettard dans son entreprise qui est pour le moins particulière!

N'étant pas habituée du tout à ce genre, je n'ai pas su apprécier les dessins, je n'arrive pas à discerner un sourire d'une grimace ou encore des pleurs ! c'est dommage.

Je suis également étonnée que le père fouettard soit associé au père noël, c'est St Nicolas qui ne va pas être content :-)

C'est le titre qui m'a donné envie de le découvrir... L'histoire est assez tarabiscotée avec les différents personnages (le Père Fouettard, le Sac ?) mais Miharu, au centre du manga, tient le haut du panier ! Ses réactions avec sa mère ou avec ses nouveaux collègues valent le coup ! J'ai aimé quand il change complètement de réactions d'un instant à l'autre. On se demande si le Père Fouettard a bien fait de le prendre à son service (bon, il a volé un gâteau) mais on se découvre un talent... Un bon moment de détente même si parfois, on est dans l'exagération ! A suivre.

Jésus et Bouddha sont toujours en vacances dans la banlieue de Tokyo. Pendant qu'ils s'essaient à diverses activités sur terre, au ciel, leurs disciples se sentent seuls...



Un cinquième tome certes divertissant mais dont les gags tombent un peu à plat si l'on manque de références. C'est sympathique de suivre les deux amis dans leur visite de la ville, de la célèbre tour de Tokyo à la statue d'Hachi à Shibuya, pourtant on se lasse de les voir, en ravis de la crèche, découvrir le mode vie japonais.

Cette série bénéficiait d'une bonne idée de base mais n'a pas su se renouveler. Dommage.

Jésus et Bouddha en ont marre du ciel. Ils ont décidé de s’octroyer quelques vacances bien méritées et louent un appartement dans le Japon des années 2000. On ne les savait pas copains, mais bon, pourquoi pas, après tout… Le rôle crucial qu’ils ont pu jouer dans l’histoire de l’humanité ne devient plus qu’un lointain passé d’acteurs désormais révolu. A présent eux-mêmes, c’est-à-dire communs et triviaux, ils se réunissent en coulisse et essaient de rester anonymes au milieu d’une foule qui, de toute façon, a perdu toute notion religieuse. D’ailleurs, Jésus évoque seulement Johnny Deep, et les japonais s’évertuent vainement à appuyer sur le front de Bouddha qu’ils prennent pour un interrupteur.







Toutefois, les mauvaises habitudes professionnelles ne disparaissent pas de si vite. Avoir tenu le rôle de Jésus ou de Bouddha, ça laisse des traces. Il suffit que Jésus soit un peu contrarié pour que s’ouvrent ses stigmates, tandis que Bouddha émet une aura lumineuse sitôt qu’il est touché par la félicité. Leurs aptitudes physiques et spirituelles leur permettent de remporter le gros lot à la fête foraine ou d’affronter le grand-huit en toute quiétude. Entre deux attractions, Jésus et Bouddha vont faire du shopping. Jésus ne résiste pas aux attraits des boutiques et vide son porte-monnaie sans compter. Lorsqu’il ne reste plus rien dans le frigo, Bouddha lui propose de rendre comestible le plat de pierres qu’il lui présente…







Le mythe tombe en miettes. Jésus et Bouddha ont très bien réussi à s’adapter au monde des années 2000 et s’avèrent aussi futiles et dispersés que leurs semblables. C’est bien la peine de vivre aussi longtemps pour rester aussi con.

Le choix est clairement assumé d’exploiter deux figures sacrées pour les transposer dans le milieu trivial du Japon consumériste. Le ressort comique de l’histoire tient entièrement au décalage ainsi produit, et génère en effet quelques situations truculentes, mais pas de quoi en défriser Bouddha. Surtout, le rythme s’épuise rapidement. Les scénettes s’enchaînent mais ne suivent pas de fil conducteur spécifique. Jésus et Bouddha sont livrés à eux-mêmes, dans un quotidien vidé de toute signification. Sur un tome, la matière à explorer est suffisante. Elle pourrait même suffire à combler un deuxième tome. Mais lorsqu’on sait que cette série en comporte sept au total, on a un peu du mal à imaginer comment les gags vont pouvoir se renouveler. Peut-être Johnny Deep finira-t-il par retrouver Jésus pour lui casser la gueule et de lui demander de retourner gentiment dans son ciel ?




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Pour se récompenser de leur dur labeur et de leurs taches brillamment accomplies, Jésus et Bouddha décident de se louer un appartement sur Terre pour enfin profiter des joies de leur création.



Mouais.... L'idée était sympa, mais malgré quelques clins d’œil bien trouvés et quelques touches d'humour notables, le traitement de fond de ce manga est trop "jeune" pour moi. Un tel sujet aurait pu être bien plus poussé, alors qu'ici on se contente d'un scénario un peu palot dans le style des premiers films de Jim Carrey... mouais, trop light pour moi.



De ce fait il est très peu probable que je lise la suite : tant d'autres sériées de qualité m'attendent !

Les vacances de Jésus et Bouddha m'a attiré par son titre. Un peu méfiante malgré tout, je me suis lancée dans le premier tome en me disant "Pourquoi pas?"



Le manga se veut résolument tourné vers l'humour en recourant tant aux caractéristiques de ses deux principaux protagonistes que sur des éléments de la culture contemporaine. On y découvre notamment que Jésus est souvent confondu par les pauvres mortels avec le Johnny Depp alias Jack Sparrow. Quant à Bouddha, mince et filiforme, il vit mal de découvrir que les effigies à succès le représentant sont celles où il apparaît rigolard et ventripotent. La haine après les longues années d'ascèse pour trouver la ligne!



Peu de véritable scénario ici; plutôt une succession de saynètes permettant gags et quiproquos. L'humour reste assez potache. Même si certaines scènes m'ont fait sourire, le tout ne présente au final pas grand intérêt et risque fort, au fil des volumes, de devenir lassant si l'auteur reste sur ce principe scénaristique. Je m'arrêterai donc à ce premier tome.

La patinoire, les solderies, les manga-cafés, le cinéma, etc. Jésus et Bouddha n'en finissent pas de découvrir les facilités, mais aussi les pièges, du monde moderne. Si Jésus s'éclate, Bouddha reste plus circonspect mais tous deux s'adaptent vaille que vaille tout en préservant le secret sur leur véritable identité.





De belles idées et beaucoup d'humour pour ce quatrième tome qui relève le niveau du précédent. On y découvre un Jésus fantasque, accro aux jeux en ligne, mais aussi sujet au mal des transports depuis sa montée au ciel ou très méfiant à l'égard des pommes à cause d'Adam et Eve. Bouddha quant à lui est toujours aussi susceptible en ce qui concerne son poids et s'impose diverses mortifications pour garder son statut d'Eveillé et ne surtout pas retomber dans le cycle des réincarnations, ce qui n'est pas une mince affaire dans cette société de consommation où les tentations sont nombreuses de s'attacher aux biens matériels. Quelques informations sur leur religion respective viennent émailler le récit des aventures rocambolesques de ces deux héros hors du commun. Un bon divertissement.

Fatigués par 2000 ans de bons et loyaux services, Jésus et Bouddha décident de s'accorder des vacances sur terre et louent un appartement à Tokyo. Bien décidés à vivre comme des humains ordinaires, ils expérimentent le métro, la piscine, la fête foraine, etc. Mais ce n'est pas toujours facile de passer inaperçu quand on marche sur l'eau ou qu'on brille de mille feux à la moindre contrariété!



Présenté comme une "comédie délirante" ce manga est en effet très drôle. Même si je n'ai pas ri à chaque page, j'ai souvent souri de voir Jésus et Bouddha se confronter aux tracas de la vie quotidienne. Certains gags tombent un peu à plat mais d'autres les rattrapent. C'est un premier tome très prometteur même si je me demande comment le mangaka va poursuivre ces folles aventures sans finir par tourner en rond...A suivre donc.

Jésus et Bouddha sont toujours en vacances sur terre. Le temps passe et voilà déjà les fêtes de fin d'année. C'est l'occasion pour Bouddha de préparer un anniversaire surprise à un Jésus tellement emporté dans le tourbillon de la consommation qu'il en oublie ce que Noël signifie pour lui.





Dans la continuité du premier, les gags s'enchaînent et les deux héros dévoilent deux personnalités totalement opposées. Jésus est cigale, Bouddha est fourmi. Des choses drôles, d'autres moins, mais comme prévu, rien de nouveau. Il va falloir se faire à l'idée que le mangaka a trouvé un angle et qu'il compte le dérouler à l'infini.

A lire à petites doses, pour sourire et se détendre.

Un manga qui détend...

Jésus et Bouddha sont sur terre en colocation à Tokyo.

Nous les suivons dans leur vie de tous les jours pleins de quiproquos.

Quasiment, tous les gags sont liés au décalage entre leur divinité et la vie courante au Japon pour de simples mortels.

Ils sont rentiers donc pas de gags lié au monde du travail.

Chaque thème est traité en une quinzaine de pages. Les références à leurs vies précédentes sont fréquentes, mais abordables.



Le dessin est parfois un peu trop réduit et bâclé.

Est-ce une tare du premier tome ?

Avec le succès, davantage d'assistants seront-ils affectés aux tomes suivants ?



Ce n'est pas le manga humoristique du siècle, mais j'y ai passé de bons moments de lecture

Le retour de Jésus et Bouddha sur terre, voilà un titre qui ne pouvait que me plaire. Que pouvaient-ils venir y faire ? Comment allaient-ils réagir dans notre monde ? Voilà qui me faisait rêver d'un petit paradis dans l'univers des mangas, d'autant plus qu'il était cité comme best-seller au Japon.

Alors là, rien de tout cela, je n'irai pas jusqu'à dire que je me suis retrouvée en enfer mais ma lecture ne fut pas loin du purgatoire.

Le fouillis des dessins, les clichés religieux, le manque de provocations renouvelées la transformèrent en un chemin de croix où la délivrance du Golgotha fut une joie infinie : l'abandon du livre.

J'insiste -Mon père, pourquoi m'avez-vous abandonné et rien n'est permanent- je fus la mécréante, j'en tiens seule la responsabilité.



J'absous Babélio et la maison d'éditions.

On retrouve Jésus & Bouddha qui sont toujours aux prises avec la vie quotidienne.

Même découpage que les tomes précédents : en une quinzaine de pages on suit Jésus et Bouddha dans une nouvelle expérience.



Pour ce tome, le meilleur moment est l'onsen.



On retrouve un personnage croisé auparavant : un Yakuza

Sur une méprise, il pense que Jésus est le fils d'un boss...Ce qui est un peu vrai dans un certain sens



Sympathique et drôle je continue

Les vacances de Jésus et Buddha 2. Saint young men. De Hikaru Nakamura aux éditions Kurokawa. 6€70, dépôt légal Septembre 2011. Je n'ai pas bien compris quel était le public cible pour cette œuvre. Les croyants en Jésus/et en Buddha. Les fans de lecture comique bien que ce ne soit pas vraiment drôle. Ou bien les fans de yaoi qui trouvent que Jésus et Buddha qui prennent des vacances sur Terre et qui font tout pour rester incognito, elles trouvent ça trop kawaii. Je pense sur l'option "yaoi kawaii" mais peut-être que le public visé, c'est ceux qui ont tout ces éléments. Quelque chose qui m'a légèrement dérangé, Jésus est un peu décrit comme un genre de simplet et on a limite l'impression que Buddha est son tuteur. Comme quand il demande à Buddha l'autorisation pour s'acheter un nouvel ordinateur. Beaucoup de tentatives d'humour qui tombent à l'eau. Des jeux d'esprits avec la cote des personnage exemple "Loué moi même!" ou transformer l'eau de la piscine en vin... Si Jésus et Buddha revenaient sur Terre, je les attendrais de pied ferme pour améliorer le monde, le rendre meilleur, pas pour se cacher et manger des ramens, acheter des robots de cuisine et chevaucher des cerfs, etc... Tout ça parce qu'un Auteur a trouvé que c'était trop Kawaii de traiter Jésus et Buddha comme des petites peluches toutes mignonnes. Non, Jésus, Bouddha, ça se combine mal avec le lulz et le yaoi qui je sens va émerger tôt ou tard. A vrai dire je ne suis pas un prêtre avec un balai dans le ***. Mais les prophètes, ne constituent pas un bon sketch. Vous désacralisez totalement la chose, c'est comme si vous mettez Roosevelt et De Gaulle dans "Les Chtis VS les Marseillais" XD... Bref, j'ai eu pitié pour ses figures bibliques et Tibétaines, qui n'auraient jamais pris de "vacances" en réalité et auraient endossés leur ****** de responsabilités!:( J'ai persévéré jusqu'au tome 2, mais j'ai connu de biens meilleurs mangas ces derniers temps : Gunnm Last Order, The Promised Neverland, Assassination Classroom... Donc voilà je ne vous recommande pas ce manga qui sans être méchant au final, est inapproprié. Je l'ai lu parce que j'attendais de recevoir un autre livre et qu'il n'était pas long XD...
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Ce manga ne me laissera pas un souvenir impérissable.

L'idée de départ est originale et promettait une histoire drôle et percutante.

Il n'en est rien, car même si je reconnais que la lecture a été fluide je n'ai à peine souri que deux ou trois fois.

L'humour est assez particulier et pas très fin.

Les deux personnages ne sont quant à eux pas très expressifs et guère attachants.

Le dessin n'a lui rien d'extraordinaire.

Un flop pour moi...

Nous suivons toujours Jésus et Bouddha qui découvrent quelques fêtes japonaises. Saint Valentin est par exemple un prétexte à des quiproquos.

Le thème des jeux vidéos lui par contre n'est pas assez ou mal exploité.



L'humour se base comme lors des précédents volumes sur le décalage entre les situations réelles et la façon de réagir de ces deux grands fous.



Il y a malgré tout une répétition des ressorts comiques.

Souvent, une personne qui écoute des conversations divines les prend pour des dialogues sur des évènements terrestres. Ce qui provoque un décalage parfois drôle. Mais moins drôle si la situation se répète.



Il est temps de faire une petite pose dans la série pour y revenir un peu plus tard. Il faut parfois faire un petit détour ailleurs pour mieux apprécier

J'ai continué avec plaisir la lecture de cette série.

Ce volume se déroule autour de la période de Noël. Jésus et Bouddha continuent à faire du tourisme et à découvrir les modes de vie des humains. Ils sont toujours aussi accro à la société de consommation, chacun dans son style.

J'aime surtout le relation d'amitié entre les deux qui prennent soin l'un de l'autre sous la "super-vigilance" des anges...