Hisaya Nakajo

Un chouette petite (enfin 24 tomes quand même) série, à la fois légère, drôle et émouvante. Des personnages attachants qui ne vous laisseront pas indifférents !

Un chouette petite (enfin 24 tomes quand même) série, à la fois légère, drôle et émouvante. Des personnages attachants qui ne vous laisseront pas indifférents !

Bien que je ne sois pas spécialement une lectrice de mangas, j'ai beaucoup apprécié celui-ci. Le concept est sympa me plait même si un peu classique et les touches d'humour également. Il y a aussi du sport de l amitié sincère et de l'amour. J'aime beaucoup ce manga de par les personnages attachants (personnellement j'adore sano notre sportif déchu et le docteur qui connait le secret de mizuki , nanba le tombeur de ses dames ) et drôles (surtout le doc et nakatsu). Mizuki, le personnage principal est par contre peut être excessivement naïve mais bon d'un côté ça fait le charme de l'histoire.

En plus de parmi eux l'auteur nous offre une petite histoire d'une quarantaine de pages (La cage d'un été ) qui parle d 'un amour d'été qui fini par une belle histoire amour.

Un très bon premier tome, je conseille cette saga vivement.


Lien : http://univers-livresques.ek..

Bon je vais commencer par la fin, mais j'adore vraiment la famille du docteur Uméda ! Sa sœur Io est à mourir de rire à chaque fois, pourtant mis à part quand elle est avec Mizuki, elle est assez terrifiante ! Le côté vraiment décalé de cette famille me fait vraiment regretter de ne pas les voir plus souvent. C'est bien dommage parce qu'ils apportent beaucoup de fraicheur à l'histoire !



Passons au début et à la quasi totalité du tome dix en fait : Akiha ! Le photographe fait encore des siennes et Mizuki tombe bien sûr dans le panneau et se laisse attendrir (un spécial épisode fou-rire avec le coup de tête de notre héroïne à Akiha ! Le moment le plus drôle du tome, sans aucune doute). Du coup, on passe les trois quart du tome avec le quatuor principal (Mizuki, Sano, Nakatsu et Namba). C'était assez sympathique de les voir une nouvelle fois évoluer dans l'univers du photographe, hors du lycée. En plus des moments très drôles, on sent bien que ces quatre là tissent des liens de plus en plus forts les uns avec les autres. Un très bon tome, donc, que j'ai pris plaisir à lire sans aucune fausse note !

Misuki décide de se trouver un petit job pour pouvoir pallier à ses dépenses. Elle trouve un poste d'assistante dans un studio photo et notre héroïne apprend à faire face au vrai monde des adultes et en particulier à celui du monde du travail. Ce tome est assez intéressant de ce point de vu là. Il n'est pas évident de se faire une place lorsqu'on est aussi jeune dans cet univers bien codifié et Misuki fait des erreurs. Mais seulement parce qu'elle ne supporte pas les injustices et les caprices de certains. En cherchant et en écoutant les adultes qui l'entourent elle arrive cependant à comprendre les rouages de tous ces codes et finit même par comprendre le mannequin vedette qui lui menait pourtant la vie dure au tout début.



Ce que j'apprécie dans cette série et qui est très parlant dans ce tome, c'est avant tout cette façon de montrer le passage du monde de l'enfance à celui de l'adulte. Cela n'est jamais évident car comme je l'ai dit plus tôt, il faut apprendre de nouveau code de vie, d'être, et quand, on est comme notre héroïne, cela peut entrainer des conflits internes. Grandir c'est avant tout accepter des compromis. C'est assez réducteur en soit, mais c'est en grande partie ça. Et même si Misuki ne changera pas complètement face à cette prise de conscience, je suis sûre qu'à l'avenir, elle saura faire face plus facilement aux périples qui l'attendent.

Au début de ce huitième volume, l'auteur nous propose une petite parenthèse sur le docteur Uméda. Nous découvrons un épisode de sa jeunesse, alors qu'il est encore lycéen. Nous assistons à ses premiers ébats amoureux pour un garçon. Cette histoire nous permet de voir le docteur Uméda sous un autre jour.

De manière générale, cet tome est centré sur le triangle amoureux formé par Mizuki, Sano et Nakatsu. Depuis que le docteur Uméda lui a rappelé qu'elle était en quelque sorte un mouton au milieu de loups, Mizuki est de plus en plus intimidée par Sano. Elle prend conscience de la masculinité du jeune homme. D'ailleurs, l'auteur nous montre que Mizuki n'apprécie pas seulement Sano pour son talent en tant que sportif, sa personnalité, son courage, mais aussi son physique ! Sano ne va rien faire pour rassurer Mizuki. Au contraire, il se montre de plus en plus entreprenant, un peu malgré lui d'ailleurs. Il ne maîtrise désormais plus ses sentiments et ne cherche pas vraiment à les dissimuler. La preuve est en que lorsque Nakatsu lui demande ce qu'il ressent pour Mizuki, il répond tout simplement : je l'aime. Ça a le mérite d'être clair !

Ce cinquième tome est décidément très riche en rebondissements. L'auteur centre une partie de son intrigue sur Nakatsu et ses démêlés avec un professeur l'accusant à tort de tricherie. Cet évènement est l'occasion pour l'auteur de nous montrer une facette plus sérieuse et sensible de Nakatsu, personnage que l'on est habitué à toujours voir joyeux, insouciant, énergique. L'auteur en profite pour nous montrer à quel point l'amitié est importante et essentielle dans des moments comme celui-ci. Un vent de révolte contre le professeur Kitahama et ses méthodes souffle bientôt sur le lycée. Mizuki n'est pas étrangère à cette rébellion. La jeune fille se démène pour soutenir Nakatsu et rétablir son innocence. C'est à ce moment qu'Akiha le photographe jette son dévolu sur Mizuki et finit par percer son secret. Sano est quant à lui de plus en plus frustré de voir Mizuki si inconsciente.

Mizuki et ses camarades de classe partent en voyage scolaire à Hokkaido, la région natale de Sano. Autant dire que pour Mizuki, le voyage s'annonce des plus excitants. A mesure que le voyage approche, Sano, lui, est de plus en plus renfermé et morose. Mizuki comprend rapidement qu'il garde peu de bons souvenirs de son enfance et qu'il entretient une relation conflictuelle non seulement avec son frère cadet mais surtout avec son père.

A chaque tome, l'auteur trouve le moyen de relancer intelligemment l'intrigue. Dans ce quatrième volume, il nous dévoile une nouvelle facette de Sano. Nous découvrons un jeune homme profondément marqué par le décès de sa mère lorsqu'il était enfant et étouffé par l'autorité paternelle. Cet aspect de l'intrigue donne une dimension plus dramatique au manga. Ce côté dramatique est contrebalancé par les joutes humoristiques auxquelles se livrent Julia et Nakatsu. L'auteur intègre également un nouveau personnage, un photographe du nom d'Akiha. Nul doute que ce personnage atypique, à l’œil expert, va mettre en péril l'identité de Mizuki...

Enfin un tome un peu plus intéressant. Je dois bien avouer qu'avec le tome huit j'avais un peur de la suite, mais continuer avec le professeur tyrannique était une très bonne chose. Pour une fois on ne se focalise pas sur le couple Mizuki/Sano, mais plus sur Nakatsu et aussi tout le lycée en même temps. Nous sommes beaucoup plus plongés dans l'univers scolaire que les fois précédentes, et mine de rien même si cela ne fait pas avancer l'histoire pour nos deux héros, le tome neuf permet au moins de découvrir cette solidarité au sein des dortoirs et des classes. C'est plutôt sympathique pour changer un peu.



La seconde partie revient sur le photographe que nous avions revu dans le tome huit. Le duo qu'il forme avec le docteur Uméda est assez comique, et on découvre un personnage haut en couleurs. Par contre, même s'il fait tout pour pousser à bout Sano, les dernières images de ce tome sont peut-être le prémisse de problèmes pour Mizuki. Il semblerait que le photographe est deviné qu'elle était une fille. Affaire à suivre donc, même si je pense qu'il ne dira rien (quel intérêt a-t-il à le faire ?) mais il pourrait embarasser Mizuki.

Ce tome n'a pas réellement d'intérêt. Oui, c'est assez méchant, je dois bien l'avouer, maison n'avance pas du tout dans la trame principale. Le seul point intéressant et de voir notre héroïne, Mizuki, entourée de filles. Pour la jeune femme, c'est un changement de taille et on peut voir qu'elle n'a pas perdu toutes ses caractéristiques de "fille". Elle reste une midinette avant tout malgré tous les efforts qu'elle déploie et les crêpages de chignon ne sont pas très loin.



Je trouve d'ailleurs un peu poussé, cette idée de déguiser les garçons de l'école en fille pour qu'il y ait un nombre à peu près égaux de "filles" et de garçons au bal de Noël... Franchement, qui ferait cela ?!



Les parties les plus intéressantes sont celles où l'on revoit Rio et où l'on découvre les grands-parents de Namba (et donc les parents de Rio et du docteur Uméda). Une bonne rigolade à ce moment-là ! Mais sinon... le reste du tome est plat.

GROS COUP DE COEUR!



Mon shoujo preférée (de tout ce que j'ai pu lire jusqu'à maintenant) .

Mizuki, le personnage principal, est juste trop mignonne ! On s'attache a elle, comme à tout les autres personnages d'ailleurs .

C'est ce que j'ai beaucoup apprécié dans ce manga ! L'auteur ne laisse pas sur le côté ses personnages. Et je me suis attachée à chacun d'entre eux . Même si bien sûr, leur vie ne sont pas beaucoup developpées, cela suffit pour qu on apprenne à les connaitre !

L'histoire entre Mizuki et Sano est très bien mené et les dessins de l'auteur sont très beaux !!

J'ai même versé des larmes à la fin ... Hé oui... je me suis tellement attachée aux personnages que savoir que c était la fin m'a rendu si triste ...

Je recommande vivement ce shojou !

Malheureusement je crois qu'il n'est plus commercialisé en France....

Quel régal que cette série ! Conseillée par une amie, je ne regrette pas du tout de m'y être plongée, plutôt de l'avoir terminée !



L'héroïne a un sacré caractère pour se faire passer pour un garçon et intégrer un dortoir masculin. Elle a malgré tout les fragilité d'une jeune fille de son âge et ces faiblesses la rendent très humaine et touchante.



Autour d'elle, j'adore chacun des garçons, plus ou moins déjanté. Je suis fan du docteur en particulier.



Celui qu'elle aime s'aperçoit rapidement qu'elle est une fille et les quiproquos s'enchaînent. Nous lecteurs, savons qui elle est, savons qui sait et on se régale de ce que cela entraîne.

Que dire de ce tome huit... Déjà que la présence de Julia a quand même fait pas mal avancé l'histoire dans le sens où le personnage parvient à nous éclairer sur les sentiments de Sano envers Mizuki et aussi de voir un peu du passé de notre héroïne, notamment les moments qui nous montrent bien pourquoi elle a choisi de venir au Japon pour Sano.



Après, il y a quand même beaucoup "d'intrigues" dans ce tome. La beuverie du début, Julia, le retour de Shin, le retour du photographe, le professeur jaloux... C'est un peu dur de faire le lien avec tous ces événements. Surtout qu'on aura probablement pas de suite (sauf peut-être avec le photographe qui est une connaissance du docteur Uméda... mais ça reste à voir). Du coup, on est un peu perdu avec tout cela, on en perd le fil conducteur. C'est assez bizarre comme type de narration...

Alors autant j'aime bien les histoires flash-back, autant les histoires qui ne servent à rien et qui prennent la moitié d'un tome et qui plus est coupe une histoire en cours au beau milieu du moment le plus intense... je trouve cela ridicule ! Autant mettre ce genre d'histoire en fin de tome comme la plupart des mangaka le font et ne pas les faire durer trois chapitres entiers. Franchement, je n'ai même pas lu cette partie, juste regarder les images vite fait, et je n'ai absolument rien perdu.



Les deux parties les plus intéressantes étant le début et la fin du tome qui se focalisent sur la relation de Sano et de son père. J'aime beaucoup comment cette partie de l'histoire a été traitée par l'auteur. Ni naïve, ni "facile", juste vraie. Et toujours plein d'émotions. Mizuki est toujours aussi mignonne a vouloir aider tout le monde et a passé en second plan pour ne pas faire de la peine à ceux qui l'entourent. Même si je la trouve beaucoup trop naïve, j'apprécie ce côté là de sa personnalité. Elle grandit petit à petit apprenant de ses erreurs et cela en fait une très bonne héroïne.

Un tome assez dynamique où on a pas le temps de s'ennuyer pour un sous. Il se passe d'ailleurs peut-être trop de choses et elles ne sont pas assez exploitées à mon goût. Il est vrai que ce ne sont que des détails après tout, mais on est quelque fois un peu perdu dans l'histoire. Les personnages nous aident en nous faisant "revivre" les moments que nous n'avons pas vu, mais du coup c'est assez frustrant.



Sinon, l'histoire entre Sano et Misuki suit son petit chemin. Le retour de l'héroïne aux États Unis est quelque peu riche en émotions, vu que Mizuki n'a pas dit toute la vérité à ses parents et que Sano débarque lui aussi en Amérique, mais cela entraîne pas mal de scène assez cocasse, et rencontrer la famille de Misuki est assez amusant. On arrive bien à voir de qui elle tient son caractère.

La rumeur court au Lycée d’Osaka qu’une fille s’est introduite dans leur internat. Les élèves sont en effervescences. Mizuki a peur que tout le monde devine que c’est elle. Elle ne veut pas devoir quitter Sano. Mais lui laissera-t-on le choix ? Comment réagiraient ses camarades de dortoirs s’ils savaient que la rumeur est fondée ?



Quand je me dis que c’est le dernier tome, j’ai du mal à y croire. J’aimerais savoir la suite, avoir un bonus sur Nakatsu et Julia (s’il y a une fanfiction, je suis preneuse). J’adore la conclusion de cette histoire.







Par contre, bizarrement à cette relecture, je me suis rendu compte que je ne l’avais jamais vraiment lu. Je pense l’avoir toujours un peu survolé pour arriver direct à la conclusion. En soi, ce n’est pas un tort, c’est mon petit côté fleur bleue qui prenait le dessus. Seulement, c’est dommage, parce que j’ai loupé la dernière apparition de tous les amis de Mizuki, leur incompréhension face à la situation, mais aussi leur réaction parfois inattendue. À cette relecture, je me dis que ça en valait le détour. Nakao est peut-être celui qui m’a le plus émue. Il est présenté comme étant superficiel et très égocentrique. Et pourtant, c’est sa réaction qui m’a le plus surprise et fait fondre. Kayashima lui est égal à lui-même et nous fait doucement sourire.



En résumé : une belle conclusion à cette histoire. C’est encore un tome qui m’a fait rire.
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Nakatsu a reçu une visite qui l’a un peu déboussolé. Sa mère a fait le voyage depuis Osaka pour venir le trouver. Elle lui demande de revenir avec elle et de s’occuper du magasin familial. Seulement, Nakatsu a un autre rêve pour son avenir. C’est un grand fan de football, mais il aimerait encore plus devenir joueur professionnel. Réussira-t-il à se faire entendre ? Sa mère est une femme de caractère et têtue. Cependant, elle montre un tout autre visage à Mizuki. Elle fait preuve de sensibilité. Mizuki est perdue. Elle ne comprend pas la mère de Nakatsu. Comment une mère peut-elle empêcher son fils de réaliser son rêve ? Mizuki aimerait soutenir son ami. Elle a l’impression d’être en dessous de tout. Elle ne fait que l’écouter, peut-être est-ce suffisant ? Nakatsu et son éternelle bonne humeur se livrent avec sérieux. C’est un nouveau visage, il est touchant, il gagne en profondeur et il le mérite. Sa relation avec Mizuki prend une nouvelle tournure. Et Sano ne sait pas trop quoi en penser. Où est sa place ? Est-ce que ce trio va évoluer et avancer ? Sano va-t-il faire le premier pas ? J’attends avec impatience la suite. J’ai vraiment envie qu’ils se dévoilent et en même temps, je les comprends, ils ont peur de perdre leur amitié. Pourtant, ils sont tellement aveugles, cela peut être agaçant et addictif. Grrr !
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Oh, là, là, ça prend une certaine tournure ! Sano est à cran et il demande à Mizuki s’il peut l’embrasser. Le cerveau de Mizuki s’enflamme. Après cette confrontation, elle n’arrive plus à regarder Sano en face. Il faut cependant qu’elle se ressaisisse avant que son comportement alerte les autres. Il est très suspect et puis difficile d’éviter son camarade de chambrée surtout quand on partage un lit en hauteur dans une petite chambre. Va-t-elle réussir à se ressaisir ? Les autres vont-ils s’interroger ?



La relation entre Sano et Mizuki évolue. Les événements rajoutent du piquant et me rendent totalement addict. Ils donnent lieu à des scènes mignonnes et pleines d’émotions. Je suis tellement à fond derrière ce couple. J’ai vraiment envie de les bouger et en même temps leurs hésitations et la peur du rejet de l’autre sont justifiées et adorables. Cela n’empêche pas que cette situation me met légèrement à cran.


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Dans ce tome, il y a un sacré tournant dans la relation de Sano et Mizuki. Ils se sont disputés et Sano est parti en courant. Elle voulait l’aider, mais elle s’est trop mêlée de ce qui ne la regardait pas. Elle a peur d’avoir détruit sa relation avec Sano. Cette dispute aura-t-elle un bon démêlé ? En tout cas, elle peut compter sur Nakatsu pour qu’il la réconforte. Il change un peu de visage. Il laisse le rôle de l’amoureux transi pour être plus un ami. Il prête son épaule pour pleurer à Mizuki et essaie de la soutenir du mieux qu’il peut. Il est attendrissant dans ce volet. Mizuki évolue, elle se livre plus et Nakatsu devient son confident. Elle s’épanche ses sentiments pour Sano. La situation est plus concrète.



Sano reviendra-t-il vers elle ? S’excusera-t-il le premier ou le fera-t-elle ? A-t-elle réussi à l’aider en mettant les deux pieds dans le plat ? Toute cette histoire pèsera Sano à gagner la première place sur le podium ? Et ceux mêmes contre son petit frère Shin ?



Shin Sano est un autre personnage qui vaut le détour. Il est plus impulsif que Sano, une vraie tête brûlée, aussi borné que son frère.
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Les choses se sont remises en place entre notre trio d’amis favoris. Mizuki a retrouvé sa place et Sano et Nakatsu sont un peu plus en phase même si leur rivalité/amitié complique légèrement la donne. Voir le duo Sano et Nakatsu sans Mizuki fait plaisir, car on profite aussi de leur complicité un peu plus musclée, mais toujours pleine de gentillesse.



Une autre facette de ce cher Sano !



Après avoir eu un petit aperçu de la famille de Mizuki, la (e) lectrice (eur) grappille d’autres informations sur Sano, mais surtout sur sa relation conflictuelle avec son père. Seulement, on n’en connaît pas l’origine. La mangaka emploie ce tome à nous mettre sur la voie. J’ai hâte d’en savoir plus. Surtout qu’on revoit enfin Shin, le petit frère de Sano, et en plus, ils vont concourir l’un contre l’autre. Qui des deux frères va remporter le tournoi ? Arracheront-ils le titre au tenant du titre, Kagurazaka ?



Cet athlète est assez imbu de lui-même, mais j’adore les piques qu’il envoie à Sano et Mizuki. Malgré les affirmations de ces deux-là, il pense qu’ils sont en couple et il est du genre têtu. C’est assez tordant.



En résumé : j’aime toujours autant, bien que pour moi, cette saga n’ait plus aucun secret. Les personnages sont mignons et amusants.
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