Hisaya Nakajo

Sano a essayé d’embrasser Mizuki. Mizuki ne s’en remet pas. Elle ne comprend pas ce qu’il passe. Elle a peur de prendre ses désirs pour des réalités. Mizuki se déguise en garçon. Est-ce que tout ça signifie qu’il a des sentiments pour (elle) lui ? Comment va-t-elle faire pour le regarder en face, d’autant plus que ce quasi-baiser l’obsède ? En tout cas, les scènes comiques et pleines de quiproquos ne s’arrêtent pas là. La tension augmente entre les deux protagonistes et elle ne reste pas invisible. Nakatsu commence à se douter de quelque chose. Est-ce que Sano n’aurait pas des sentiments pour Mizuki ? Deviendra-t-il un rival ? Toute cette tension met à mal ce trio d’amis. Mizuki et sa naïveté n’arrangent rien. Vont-ils réussir à trouver un chemin d’entente ? Est-ce que Sano va dévoiler ses intentions à Mizuki ? Si oui, quelle sera la réaction de Mizuki ? Va-t-elle se douter de quelque chose ?



Dans ce tome, la(e) lectrice(eur) sent que les choses avancent entre nos deux protagonistes doucement, mais sûrement. Le comique de situation ajoute du piquant à l’attente. C’est tellement addictif.
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Ashiya Mizuki est une fervente admiratrice de l’athlète de saut en hauteur Izumi Sano. C’est pour cette raison qu’elle quitte l’Amérique et se fait passer pour un garçon afin d’intégrer au Japon l’école de garçons où Sano étudie. Un défi difficile que Mizuki est prête à relever. Son désir de rencontrer l’athlète, et de le voir sauter, constitue sa principale motivation. Seulement une fois sur place, elle apprend qu’il a abandonné le saut en hauteur. À cœur vaillant, rien d’impossible ! Cependant, la tâche de va pas être aisée car Mizuki doit également veiller à ce que sa véritable identité ne soit pas découverte.



Hana Kimi est probablement une de mes séries Shojo favorites avec Dengeki Daisy. Certes, l’intrigue de départ n’est pas d’une grande originalité (une jeune fille se faisant passer pour un garçon afin de se rapprocher de celui qu’elle admire) mais l’auteur parvient à éviter les clichés en construisant une histoire pleine de rebondissements, alternant situations comiques et dramatiques. Si l’humour est omniprésent, il côtoie une vaste palette de sentiments. Au sentiment amoureux s’ajoute la jalousie, le désir de l’autre, la peur d’être rejeté. Au désir de victoire se mêle la peur d’échouer, la crainte de décevoir et le doute de soi. Les personnages ne s’éloignent pas vraiment du modèle shojo (la jeune héroïne, le garçon populaire, le meilleur ami amoureux etc.) en revanche ils possèdent une personnalité, une identité bien marquée qui les différencie des autres. La diversité des personnages et de leurs caractères donnent de la profondeur au récit.

Alala ! On peut pas dire que Mizuki soit très rapide à comprendre ce qu'il se passe autour d'elle. C'est pourtant pas les occasions qui manquent durant tout le tome quinze mais bon, si elle ouvrait les yeux maintenant la série perdrait pas mal de son intérêt mais aussi de son côté humoristique. Parce qu'il faut bien le dire, parce que entre les gaffes de Sano, Mizuki qui ne pipe rien et Nakatsu qui se fait des grands délires... on a de quoi bien rire à leur dépend.



Mais bon, ils sont quand même mignons tout plein tous les trois et puis, c'est cela qui fait le charme de cette série.J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le fait que l'auteur se focalise un peu plus sur l'amitié entre Sano et Nakatsu. C'est vrai qu'on les voyait depuis le début comme deux camarades de classe qui s'entendaient bien, mais il n'était pas vraiment clair qu'ils soient tous les deux amis. Et c'est une chose de rétablit maintenant.



D'ailleurs en parlant de relation, j'ai hâte de voir les retrouvailles entre Sano et son petit frère. Si l'on parle de Shin dans ce tome, c'est sûrement qu'on va très bientôt le revoir, et peut-être même aussi leurs parents. J'aimerais bien découvrir leur belle-mère. Elle a l'air d'être une personne au fort caractère et la voir avec Sano pourrait être intéressant.

Enfin, on en apprend plus sur Nakatsu ! Il était quand même temps ! C'est étrange d'ailleurs qu'on en apprenne toujours plus sur les personnages seulement quand leurs parents sont là... Enfin bon, ce n'est pas le plus important en soit, vous allez me dire. Nakatsu est pour ainsi dire le troisième héros de la série. Il est quasiment toujours présent et on suit depuis le début l'évolution de ses sentiments envers Mizuki. En un sens, on pourrait même dire qu'il est une sorte de Mizuki au masculin. Ils sont tous les deux très naïfs et si innocents qu'ils arrivent toujours à nous faire rire devant leur totale incompréhension des choses les plus évidentes.



Le rôle de la mère en général est très présent dans ce tome, c'est sûrement une des raisons qui font que j'ai trouvé ce tome très attendrissant. Il est toujours difficile de voir son enfant grandir et de grandir soit même d'ailleurs. L'auteur met très bien en avant ces sentiments là. On découvre aussi ce qu'une mère est prête à supporter et à endurer pour ses enfants. On joue encore beaucoup sur les sentiments dans ce tome 20, mais c'est encore et toujours très agréable.



La fin de ce tome est centrée sur Nakao. Je n'aime pas du tout ce personnage, et cela depuis le début. Je le trouve très antipathique et agaçant. Je n'arrive même pas à avoir de la peine pour lui. Je n'irais pas jusqu'à dire "tant pis pour lui", surtout après ce qui lui arrive à la fin de ce tome, mais je n'ai décidément aucune empathie pour lui... J'espère que le tome 21 ne sera pas trop focalisé sur lui du coup.

On retourne à nos histoires habituelles entre Sano et Mizuki. Ce n'est pas que cela me lasse un peu, j'aime quand même bien les voir tous les deux se prendre la tête à essayer de savoir ce que l'autre pense. C'est souvent très comique et attendrissant, mais j'aimerais de l'action !!! Donc on dit merci à la mère de Nakatsu qui débarque sans prévenir et qui met tout l'univers des élèves du dortoir 1 sans dessus dessous. J'aime bien ce genre de personnages, un peu comme les différents membres de la famille de Nanba Minami. Le côté décalé et comique donne tout de suite un peu de peps à l'histoire et il est beaucoup plus amusant de lire les tomes dans ces cas-là.



Du côté de nos amoureux... Rien de bien nouveau. L'évidence même ne saute toujours pas aux yeux de Mizuki, mais au moins cela nous donne des scènes cocasses ! J'adore les discussions entre le docteur Uméda et Mizuki d'ailleurs. Ils sont à l'opposé l'un de l'autre mais leur relation est très touchante et il faut bien le dire Uméda est un peu la bouée qui permet à Mizuki de garder la tête hors de l'eau. Il pourrait d'ailleurs être plus direct avec elle et ne pas que lui lancer des sous-entendus ! Cela ferait peut-être avancer les choses plus vites !

Comme on pouvait s'en douter, les retrouvailles père/fils ne se sont pas vraiment déroulées comme Mizuki le voulait. Il faut dire que c'était un peu courru d'avance. Même si on n'en sait pas grand chose, Sano semblait ne pas s'entendre avec son père depuis longtemps. Et c'est grâce à Shin, son petit frère, que l'on comprend un peu mieux pourquoi.



Le problème récurrent entre les fils et le père Sano est qu'ils sont aussi têtus l'un que l'autre. Mizuki s'en rend vite compte d'ailleurs, et c'est à cause de cela qu'ils n'arrivent pas à communiquer. A chaque fois que notre héroïne est avec l'un des hommes Sano, ils sont doux comme des agneaux et attentionnés avec elle. Mais dès qu'ils sont l'un en face de l'autre... C'est l'explosion ! Cette nouvelle "intrigue" est vraiment rafraichissante. On reste bien sûr toujours focalisé sur Mizuki et Sano, mais le fait de s'intéresser à d'autres protagonistes fait aussi du bien à l'histoire, car il faut bien l'avouer, le fait que les deux héros se tournent autour en continue est un peu lassant quelque fois.



Les dernières pages, cependant, vont peut-être faire bouger les choses ! J'ai hâte de voir la suite de l'événement de cette fin de tome, du coup !

L'introduction du petit frère de Sano est l'une des meilleure surprise de la série. On ne le voit pas beaucoup, certes, vu qu'il arrive assez tardivement, mais en plus d'être un personnage attachant, il permet de découvrir d'autres facettes de son grand-frère. Et je trouve plus pertinent de nous l'avoir fait découvrir maintenant car nous avons ainsi eu le temps de bien comprendre Sano et il est d'autant plus facile de saisir sa personnalité maintenant.



J'ai maintenant hâte de voir la rencontre entre Sano et son père. Leurs relations ne sont pas aux beaux fixes ce qui nous promet des moments d'émotions comme l'auteur sait nous en donner !

Ah la saint valentin ! La fête des amoureux apporte toujours son lot de petits soucis dans les manga se déroulant dans des lycées (même ailleurs d'ailleurs, en y réfléchissant bien, à croire que les mangaka n'aiment pas tellement cette fête !). Alors quand en plus, l'héroïne se fait passer pour un garçon et qu'elle offre des chocolats à celui qu'elle aime... Mais ce qui est bien, c'est qu'après vingt et un tomes, ce petit geste permet enfin de faire bouger les choses pour nos deux héros, et il était temps !!



Toujours pleins d'émotions et de bons sentiments, nous avons aussi droit à une petite histoire concernant le passé de Yujiro (le chien du dortoir) et encore une fois, ces petits flash-back sont très intéressants car ils nous en apprennent toujours un peu plus sur les personnages.



Un tome bien sympathique, donc, qui permet enfin aux fans de voir ce qu'on attend tous depuis le premier tome... Enfin, une partie seulement ! Donc à voir pour les prochains deux derniers tomes.

La première partie de ce tome est consacrée à nos deux héros et on peut dire qu'ils sont mis sous pression ! Obligés de partager leur chambre avec un autre étudiant, Misuki va vite être rappelée à l'ordre ! Eh oui, avec Sano qui connaît la vérité, être une fille semblait être tout à fait facile mais avec un autre étudiant masculin dans la chambre, c'est une autre histoire. Donc, encore une leçon de vie pour Misuki qui doit réapprendre à être beaucoup plus prudente. Cette situation donne un nouvel élan à sa relation avec Sano, d'ailleurs. Je me demande quand il va enfin se décider à lui avouer qu'il sait qui elle est vraiment. Cela éviterait beaucoup de problèmes au jeune couple. Mais visiblement l'auteur, Hisaya Nakajo, n'est pas prête à passer à cette étape là à mon grand malheur.



La seconde partie était, pour ma part, beaucoup plus intéressant. Considérée comme un hors-série, elle se focalise sur l'un de mes personnages favori : le docteur Uméda. J'ai toujours aimé ce personnage. Avant tout pour son côté très paternaliste envers Misuki et aussi pour son caractère assez spécial. Il me fait beaucoup rire la plupart du temps et le fait qu'il soit si attentionnée avec Misuki révèle son vrai caractère. Il était donc amusant de voir l'époque où il était adolescent et où il se cherchait encore. Lui consacrer autant de pages était vraiment sympathique, et même si cela ne m'a pas forcément permis de plus le cerner, il n'en reste pas moins l'un des personnages le plus attachants de la série.

"Parmi eux" est mon premier manga lue en totalité , est franchement je garderai cette histoire à tout jamais dans ma mémoire.

Personnellement , j'adore les personnages androgynes , ce qui commence bien avec une héroïne de ce style.

Les dessins sont doux et agréables à regarder, et le scénario est franchement bien pensé.

Sur ce je conseille fortement pour les adeptes de Shojo !

J'ai vraiment adoré cette longue série de manga, qui a d'(ailleurs été adaptée en dramas japonais et coréen ! L'histoire est très romantique avec un triangle amoureux et tout le tralala... Mais surtout, dans ce manga, le personnage principal fille va se " déguiser " en garçon à long terme pour rejoindre le champion de saut en hauteur japonais qui est son idole.



Mizuki Ashiya est une jeune fille japonaise qui habite aux Etats-Unis. Elle est passionnée d'athlétisme et réussit à convaincre ses parents de l'envoyer étudier au Japon, avec un but secret : celui d'intrégrer le lycée de Sano Izumi, le champion japonais de saut en hauteur qu'elle idolâtre. Le souci est le suivant : le lycée de Sano Izumi, le lycée Osaka est un lycée privé pour garçons... Alors, Mizuki décide de se travestir à long terme et d'intégrer ce lycée. Bien évidemment, ses parents n'en savent rien et pensent que le lycée Osaka est un simple lycée mixte...

Mais se couper les cheveux ne veut pas dire qu'elle est un garçon, le secret ne restera donc pas indéfiniment secret...



En tous cas, je vous conseille vraiment cette série de manga, c'est une histoire, certes romantique, mais touchante.

C’est les tomes que j’apprécie le moins. Il y a un concours entre les dortoirs. C’est un concours sportif. Quel dortoir va gagner ? Quelles sont les épreuves sportives ? Il est un peu moins addictif que les...

La suite de ma chronique :


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Je me rends compte que je vous parle beaucoup du trio : Sano, Mizuki et Nakatsu. Cela n’enlève rien aux autres personnages. Les élèves du dortoir n° 2 valent tous le détour. Dans ce tome, à cause d’une dispute entre les chefs de dortoir, les différents dortoirs se lancent dans une chasse au trésor. C’est pour nous l’occasion de faire un zoom arrière, de voir un peu plus les personnages secondaires :



Nanba, le chef du dortoir n° 2, il est orgueilleux, un vrai tombeur superficiel. En même temps, il est amusant, toujours prêt à faire la fête, et là pour soutenir son dortoir.

Nakao, le petit gars légèrement efféminé, amoureux fou de Nanba. Il le poursuit de ses assiduités et ne s’avoue pas vaincu. J’avoue, il m’impressionne. Il est une source d’inspiration pour Mizuki aussi.

Sekimé : un élève que l’on voit un peu plus dans ce tome-ci. Il se questionne sur son futur et demande même conseil à Sano. Il veut faire son choix seul, se tromper si nécessaire, mais lui aussi ne lâche rien.

Ce dernier est au premier plan dans ce manga, car comme Mizuki il se cherche encore. Il est en plein dilemme entre sa passion et le chemin le plus facile.



Mizuki est perdue quant à son avenir. Elle ne sait pas ce qu’elle fera l’an prochain. Ira-t-elle en fac et pour quoi faire ? Sera-t-elle avec Sano ? Retournera-t-elle en Amérique ? Pourquoi n’est-elle pas capable de se projeter ?



Ce volume illustre bien le choix difficile d’un adolescent face à son avenir professionnel. Sur le moment, on a l’impression que c’est une décision irrévocable. Elle fait peur. Elle est lourde, et pour certains elle est évidente. Personnellement, j’étais comme Mizuki, pas très sûre de mon projet professionnel, même une fois choisies mes études. Je n’ai pas pu m’empêcher de me demander « Est-ce vraiment ça que je veux ? Suis-je taillé pour ça ? ». Alors je comprends tout à fait Mizuki, mais aussi Sekimé. Ils sont touchants tous les deux.
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Je les ai enchainés mais qu’est-ce que j’y peux j’adore cette saga. Elle est tellement drôle, comique et légère.



Ce tome est très bonne lecture et super drôle. Mizuki est confrontée à une nouvelle difficulté. Ils vont devoir accueillir un élève du dortoir 1. Il faut qu’elle cache sa véritable nature à une personne de plus. Va-t-elle y arriver ? Sano est sur les dents ? Mizuki ne comprend pas.



Ma chronique :
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Nakatsu a invité Mizuki au bal. Mizuki ne se voit pas refuser d’être sa cavalière, mais elle est déçue de ne pas pouvoir danser avec Sano. Pourtant, la chance lui sourit. Ses espoirs pour le bal de Saint Bolssom n’ont pas été vains, ils sont trop beaux Mizuki et Sano. On voit une vraie complicité, c’est trop mimi. Qui va gagner le prix du plus beau couple ? Mizuki et Sano ont-ils une chance ?



Mizuki reçoit un message assez inquiétant de son frère « retourne à la maison ». Elle ne peut s’empêcher de se faire des films. L’un de ses parents ne va pas bien. Est-ce que quelque chose de grave est arrivé à sa famille ?



Ce tome est l’occasion d’apprendre à connaître la famille de Mizuki. La (e) lectrice (eur) a connu le frère de Mizuki dans les précédents tomes. Il est tellement protecteur envers Mizuki. Est-ce que ses parents sont du même acabit ? En tout cas, ils sont tous les deux très chaleureux et très joyeux. Son père est comment dire très empoté et avec un sourire toujours sur les lèvres. J’ai adoré ce personnage.




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Je ne me lasserai jamais de les relire. Ce manga est à chaque fois une bouffée d’air frais qui rebooste mon moral. Mizuki et Sano nous conte une histoire assez fleur bleue mais avec un certain nombre de situation comique, de quiproquo… Mizuki et ses camarades de classe sont revenus de leur voyage à Hokkaido. Elle et Sano sont un peu bousculés par les événements. Dans tout cela, Julia, la meilleure amie de Mizuki, ne peux s’empêcher de mettre les deux pieds dans le plat. Cela n’arrange pas le micmac. Et en même temps, ce sera peut-être l’occasion pour nos deux protagonistes d’ouvrir les yeux sur leurs sentiments respectifs et de se les avouer ou pas ?



Ce tome contient certaines révélations qui donnent encore plus de sens à l’histoire. L’auteure en profite aussi pour en dévoiler un peu plus sur la famille de Sano et montrer un autre visage de notre cher Nakatsu, le gaffeur du groupe.

La fin me donne envie de connaître la suite et me fait aussi grincer des dents. Je n’y peux rien, j’ai franchement du mal avec les injustices et quand on s’attaque à des personnages que j’adore. Alors la, c’est le summum.

Je me lancerai dans la suite très bientôt !
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Le frère de Mizuki vient lui rendre visite au Japon. Problème, il ne sait pas que Mizuki est dans un lycée pour garçon. Comment va-t-elle s’en sortir ? Son frère sera-t-il dupe? En tout cas, c’est un nouveau personnage assez comique. A ma première lecture du tome 3, je n’avais pas beaucoup apprécié ce personnage, maintenant je trouve qu’il ajoute du piquant à l’histoire.
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Si le précédent volume laissait la part belle aux personnages secondaires, le couple Sano/Mizuki retrouve ici sa place centrale. Pour notre plus grand plaisir, leur relation connaît ENFIN une nette évolution. Après tout ce temps à se tourner autour, les deux tourtereaux s'avouent enfin leurs sentiments ! Cependant, le dénouement vient habilement nuancer tout ça.

La relation entre Sano et Mizuki est toujours au second plan dans ce volume 10. La mangaka choisit de centrer son intrigue sur d'autres personnages, parmi lesquels Sékimé, mais surtout Nakatsu. L'arrivée de sa mère complique sérieusement les plans du jeune homme. Bien que cela soit intéressant, le manque d'interaction entre Sano et Mizuki se fait un peu sentir.

Ca a été mon premier manga. C'est Le manga que je relis volontiers car je sais que je vais rigoler et me laisser submergée par mes émotions. Il s'appelle "reviens-y".

Bonne lecture à tous