Citations de James Keene (23)
"Norris compare les tueurs en série à des "animaux sauvages" parce qu'ils sont "fascinés par les traces de leurs crimes. Ils se rendent sur la tombe de leur victimes et assistent à leur enterrement". Et même après l'enterrement, explique-t-il, le tueur en série "aime garder son crime vivant dans son souvenir en lisant des articles de journaux sur sa victime, ou bien en retournant sur le lieu ou il l'a trouvée." p.164
"En fait, selon lui (Egger), "l'identification d'un tueur en série est souvent le fruit du hasard ou d'un coup de chance", suite à une "enquête de police classique sur un événement criminel en apparence sans rapport." p.160
( ... ) "Egger écrit que "Les services de police d'aujourd'hui ne sont tout simplement pas capables d'identifier ou d'appréhender les meurtriers qui tuent des inconnus et errent d'États en État ..." Contrairement aux assassins imaginaires tels que Hannibal Lecter, selon Egger, les hommes qui commettent des meurtres multiples ne sont pas si doués que ça pour tuer - c'est juste que les flics ne sont pas très compétyents pour les attrapper." p.158
Le psychologue Joel Norris écrit : « Les tueurs en série qui ne se font pas attraper finissent souvent par se suicider. C’est le dernier acte d’une vie de désespoir et d’impuissance absolus… Mais la plupart des tueurs en série trouvent le moyen de se faire arrêter avant d’opter pour le suicide. Ils sont alors trop déprimés et ne prennent plus soin de dissimuler leurs crimes.
C’était une journée froide et ensoleillée, et Keene se concentrait sur un petit moineau qui s’était posé sur une branche devant la fenêtre. « C’était au beau milieu de l’hiver, et ce petit oiseau était toujours là. Je l’ai fixé du regard pendant tout le test en me disant : « Bientôt je serai dehors avec toi.
Larry Hall avait besoin de retourner sur le lieu de ses enlèvements, de collectionner ou fabriquer des objets associés à cela.
Cette pulsion de meurtre entraine des actes révélateurs obsessionnels et compulsifs.
Mais on m’a accordé une seconde chance .
Non seulement de sauver ma peau, mais aussi de m’acquitter envers la société de mes mauvais choix.
Dans la vie, il arrive que l’on prenne de mauvais tournants. C’est ce que j’ai fait.
Dans la vie, il arrive que l'on prenne de mauvais tournants. C'est ce que j'ai fait. Mais on m'a accordé une seconde chance .
Non seulement de sauver ma peau, mais aussi de m'acquitter envers la société de mes mauvais choix.
Cette pulsion de meurtre entraine des actes révélateurs obsessionnels et compulsifs. Larry Hall avait besoin de retourner sur le lieu de ses enlèvements, de collectionner ou fabriquer des objets associés à cela.
Contrairement aux assassins imaginaires tels que Hannibal Lecter, selon Egger, les hommes qui commettent des meurtres multiples ne sont pas si doués que ça pour tuer - c'est juste que les flics ne sont pas si compétant pour les attraper.
Dans la vie, il arrive que l’on prenne de mauvais tournants.
Jusqu’alors, je ne crois pas que j’appréciais pleinement la vie et l’importance qu’il y avait à être simplement avec ceux que j’aimais
Je n'arrive pas à comprendre ces prix que l'on donne, je ne sais pas si on est sur les mêmes passions en plus sur la couverture ils osent comparer avec le silence des agneaux?
C'était une journée froide et ensoleillée, et Keene se concentrait sur un petit moineau qui s'était posé sur une branche devant la fenêtre. "C'était au beau milieu de l'hiver, et ce petit oiseau était toujours là. Je l'ai fixé du regard pendant tout le test en me disant : "Bientôt je serai dehors avec toi."
"Larry, fit l'inspecteur, pourquoi ne lui parlez-vous pas de vos rêves?" (...) "Parfois, expliqua-t-il à Miller, les yeux toujours baissés, je rêve que je tue des femmes. mais je crois que c'est juste un rêve."
En fait, dit Jimmy : "Je sentais les murs se refermer sur moi"
Le psychologue Joel Norris écrit : "Les tueurs en série qui ne se font pas attraper finissent souvent par se suicider. C'est le dernier acte d'une vie de désespoir et d'impuissance absolus... Mais la plupart des tueurs en série trouvent le moyen de se faire arrêter avant d'opter pour le suicide. Ils sont alors trop déprimés et ne prennent plus soin de dissimuler leurs crimes." (p. 248)
"Ce ne sont pas des gens qui campent sous les autoroutes en parlant tout seul, explique [un psychiatre médico-légal]. L'extériorisation de leur trouble est une chose temporaire - très épisodique, très impulsive."
La description clinique de la dualité saisissante des tueurs en série - à un moment si sereins, puis soudain si sauvages - n'est pas sans rappeler les légendes de loups-garous. (...) Les récits d'hommes qui se transforment en loups remontent à la mythologie grecque, mais d'après 'The Book of Werewolves' de la spécialiste du folklore Sabone Baring-Gould, c'est dans l'Europe médiévale que les histoires de loups-garous gagnèrent en importance, après des séries de meurtres commis par des nobles dérangés. (p. 138-139)