Jean Léturgie

💣 Première lecture de l'année pour l'histoire du soir de mon petit fan de BD avec le Tome 29 des aventures du cow-boy solitaire.



💣 Cette fois, les Dalton vont jouer les amnésiques afin de sortir du pénitencier.

Lucky Luke sera chargé de veiller à ce qu'ils ne s'échappent pas et vérifier que leur amnésie est bien réelle.

En bande dessinée c'est bien pratique, un coup sur la tête et vous voilà amnésique ! Un autre coup et tout rentre dans l'ordre !

Mais, Lucky Luke les connait bien et sait où le bas blesse.



💣 Finalement assez peu de texte mais une BD assez efficace et drôle, malgré les répétitions de certaines séquences et du texte.

Retour de Spoon et White pour un tome 9 qui ne s’affiche pas tel: pas de petit numéro 9 sur la tranche ou la couverture. J’ai un peu douté que ce soit une nouveauté, mais si.

On retrouve nos héros comme on les a quitté: aussi fous, irresponsables qu’à leur début. On découvre dans ce tome que Spoon a de qui tenir d’ailleurs.

L’humour m’a paru un peu moins irrévérencieux que’les tomes précédents, l’histoire un peu plus confuse aussi.

Les dessins sont sympas et on lit cet album rapidement mais il manque un petit quelque chose des tomes précédents pour en faire une vrai réussite.

Cette BD est constituée de quatre courtes aventures qui se lisent sans déplaisir mais qui ne présentent ni réelle originalité ni dynamisme.

J'ai bien aimé "La bonne aventure", de facture classique et efficace mais sans surprise.

La statue et le ranch maudit ne présentent pas vraiment d'intérêt, j'ai même trouvé que la première n'avait aucun sens au niveau de la narration.

Le flume est sympa mais trop classique et répétitif.

Bref, loin d'être un des meilleurs tomes de la série

Ces profs dont les élèves aiment tant se moquer ... à juste titre!



Je ne connais cette série qu'au travers de ce tome 17, jubilatoire une planche sur 2, mais un peu trop gentille le reste du temps.



Bien, mais l'humour pourrait être plus incisif ou décapant.

Pour être remis en liberté, Les Dalton feignent l'amnésie. Luky Lucke va leur servir de chaperon pour s'assurer de leur réelle maladie.



Il n'y a pas vraiment d'histoire dans ce tome, où seul l'humour à sa place. Pas vraiment le meilleur des Luky Luke même si l'on sourit de temps à autre.

Une bonne idée de lecture dans une salle d'attente. Le chien est très mignon, il a toujours une goutte de bave en-dessous des babines.

Deuxième enquête des deux pires flics de NY. Cette fois, ils sont à la poursuite d'un tueur en série, fusillades et bavures au programme, sans oublier les références et caricatures multiples, entre autres : Calvin & Hobbes, de Niro, et un spécialiste des Serial killers qui pourrait bien être (je n'en jurerai toutefois pas !) Stéphane Bourgoin, ... Bref, on s'amuse bien dans cette histoire haletante, et hilarante, à condition de ne pas être trop fine bouche, car ici la finesse n'est pas l'atout majeur!

Spoon, le nabot dingue de la gâchette, et White le "wasp" type, sont les 2 flics les plus lamentables de NY. Tous les deux amoureux de la journaliste Courtney Balconi, ils la suivent dans un hôtel où se réunit une secte, les vrais problèmes vont commencer avec une prise d'otages. Ce premier opus d'une série est riche en gag pas toujours de bon goût et de références cinématographiques (voir les caricatures d'acteurs hollywoodiens). Parue chez Vents d'Ouest, elle aurait eu tout aussi bien sa place chez Fluide Glacial, car son humour est plus dans sa veine, en tout cas, j'aime bien ce duo déjanté !

Je n'aurai pas grand chose à écrire de plus que les critiques précédentes, mon avis rejoins ceux déjà émis. On sent dans les dialogues que les auteurs tentent de faire des blagues et jeux de mots à la façon de Goscinny, malheureusement, ça ne marche pas. Cette déception est croissante au fil de la lecture et atteint son paroxysme arrivé à la révélation finale qui ne surprend pas car assez mal emmenée tout au long de l'histoire et moyennement crédible... Mis à part ça, l'album m'a permis de découvrir le personnage de Sarah Bernhardt, surtout grâce à l'encart de fin en fait...

Pour empêcher la construction d'un pont sur le Mississipi qui risquerait de compromettre les affaires juteuses d'un maire ( qui a des méthodes dignes de la mafia), ce dernier va tout mettre en œuvre pour faire échouer le projet.

Lucky Luke va faire de son mieux pour aider l’ingénieur Eads à mener à terme la construction de ce pont, qui existe d'ailleurs toujours à Saint-Louis dans le Missouri.

Kid Lucky, ou l'enfance de Lucky Luke et son apprentissage de la loi de l'Ouest. Une idée originale, et plein de petites références extérieures. Beaucoup d'humour... Que demander de plus ?

A noter : Les Dalton enfants sont déjà nuls, mais en plus assez peu esthétiques avec leur crane pelé et leur mèche !!!

C'est un album simple, mais très réussi.

Rantanplan devient cette fois un fugitif !



Le titre fait référence à un grand film (dans sa version française) mais s'en démarque par bien des égards. Il y a certes quelques références à certains acteurs du Hollywood d'antan, mais là n'est pas le plus important. Nous avons ici droit à une histoire dans laquelle Rantanplan devient un héros regretté par ses fidèles du pénitencier, tout en mettant à mal la prison la plus sûre du monde...



L'humour, marque de fabrique de la série est ici omniprésent, même si par moment cela fini par lasser. Les punitions inlassablement répétées, finissent par agacer le lecteur, tout comme quelques jeu de mots avec les noms des personnages, pas toujours des plus fins. D'autres formes d'humour pourront également heurter les esprits les plus chafouins des temps présents.



Malgré ces faiblesses, l'histoire est menée de main de maître et se suite avec plaisir. La qualité des dessins, les univers nouveaux y sont également pour beaucoup.



Un bon cru donc, bien qu'il ne soit pas excellent non plus, mais qui réservera un bon moment.

Voici, Rantanplan, tel un don Vito Corleone canin recherché avec une promesse de forte récompense à la clé.



Cette première de couverture en dit long et est tout à fait adaptée à ce grand classique de la bd. Il s'agit d'une histoire d'un seul tenant, peut-être un peu longue au démarrage. Il faudra donc composer avec une introduction à rallonge avant de rentrer dans le vif du sujet. Et quel sujet !



Contrairement à ce qu'annonce le titre, il n'y aura ici que quelques clins d’œil au roman et au film éponyme. Ces références sont habiles et bien pensées, laissant la place à la découverte d'un album inspiré qui réserve de belles surprises au lecteur ! Entre Rantanplan qui dévore les billets de banque, vit une grande aventure, deux frangins bien décidés à réunir un rançon et Pavlov mandaté pour retrouver Rantanplan, le programme est particulièrement dense. L'humour est bien présent, bien que de nos jours, les esprits chagrins pourraient intenter un faux procès au motif de la grossophobie.



Les dessins nous immergent immédiatement dans le Far-West de Morris, tout proposant quelque chose de différent de la série Lucky Luke.



En somme voici un très bon album !

Dans cette BD on retrouve 4 histoires de Lucky Luke :

- le ranch maudit ;

- la bonne aventure ;

- la statue, où apparaissent les Dalton ;

- le flume.

Dans celui-ci, l'homme qui tire plus vite que son ombre se fera même surprendre par celle-ci. Et Jolly Jumper se fera ériger une statue.

Je renoue petit à petit avec la BD, et surtout Lucky Luke.

Neveu de Gaston, gaffe au neveu GASTOON.

Il me semble y retrouver des personnages connus des histoires de Gaston, mais ces personnages ont beaucoup rajeuni.

J'ai essayé, mais je n'ai pas le même plaisir. Je vous laisse vous faire votre propre opinion.

Bonne lecture.

Mmmmmmmmmmmmmmmmmh… Je suis perplexe. En lisant le Pony Express, j'avais l'impression de ne voir que l'ombre de Lucky Luke. Je vois l'ombre qui tire moins vite que le cow-boy, et non, le cow-boy, qui tire plus vite que son ombre. Certes, c'est plutôt amusant, parfois ; mais où sont les gags, hein ?! où sont-ils, les gags ? La démarche du puriste, qui refuse toute innovation, m'a toujours semblé bien absurde, ce n'est donc pas une démarche de puriste que j'adopte là. C'est une démarche de critique littéraire, qui voit des défauts à cet ouvrage, indépendamment des qualités des autres ouvrages de la même série. C'est parfois plaisant, mais les scénaristes enchaînent platitudes sur platitudes, et l'aventure ne vaut pas un détour par la librairie.

C'est de la bd gentillette et bien grattée. Du trait rond et des histoires qui conviennent plus pour les enfants.

Le concept me semble tout de même plus acceptable et logique que "le petit Spirou"!

C'est comme le silence des agneaux sans le côté suspense intenable avec deux flics qui se font concurrence, y compris pour gagner le coeur d'une journaliste.



Le dessin un peu enfantin n'est pas mauvais. Le scénario est assez moyen et l'histoire peut être agréable pour les références qu'elle contient sur les grands films du cinéma américain.



Cette bande dessinée ne fait pas trop dans la finesse et se révèle tout juste plaisante.

Le problème quand on prend de la bouteille, c’est que, forcément, beaucoup d’histoires finissent par se répéter et fortement se ressembler.

Mais si on a su garder un coeur d’enfant et un regard itou, ce Lucky Luke avec Morris à la barre est un réussite digne de tous les autres volumes de la série première.

L’univers décalé et truculent de l’Ouest qu’a construit Morris fonctionne toujours pour mon plus grand plaisir. Même si Luke ne fume que pour se donner une contenance et que personne ne tue plus les alligators du Mississippi.

Qu’est-ce qui fait la personnalité d’un homme ? 
Une bosse et plus rien n’est pareil !

Une bosse et voilà oubliée votre vie et vos relations. Plus d’envie de tuer Lucky Luke, fini ce besoin pressent de manger, cette fixation au stade anal d’Averell.

Au fond, les albums de Lucky Luke sont de véritables traités de psychanalyse et de philosophie. Tenez, je suis sûr qu’un jour, en université, des thèses même…

C’est drôle, iconoclaste et potache (comme dans tous les albums de Morris).