Le résumé:Pour une histoire de gastro-entérite, Benjamin est cloîtré, seul, à la maison. Trois cambrioleurs débarquent et découvrent, horrifiés, le malade éberlué. Prise d'otage, demande de rançon. Après quelques jours de cavale, les kidnappeurs abandonnent leur otage. Fin de l'histoire. Sauf que, pour Benjamin, plus rien n'est pareil désormais. Un véritable gouffre s'est ouvert en lui, que tout le monde refuse de voir.
Voila,ce livre ma beaucoup plus car cette enfant d'environ mon âge raconte c'est problème physique et morale en vers d'autres élèves a la fin du livre.
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Marco est un jeune de banlieue. Pris dans la spirale infernale du trafic de drogue, de la violence subie, du mal-être et de l'ignorance, il n'a qu'une envie, que la fin du monde arrive pour que tout s'arrête enfin...
Un roman fort, qui décrit avec justesse la vie de certains jeunes de banlieues pris dans un engrenage.
Marco n'a pas une vie facile : ses parents préfèrent son frère boxeur, son meilleur ami se drogue et il se retrouve malgré lui embarqué dans les affaires d'un dealer mais il garde toujours l'espoir en l'amitié et en la volonté d'une vie simple. Il est confronté chaque jour à une certaine violence (physique et morale) mais il y a heureusement aussi des personnages secondaires qui lui viennent en aide pour lui donner la force d'avancer coûte que coûte.
Un récit intense, un certain malaise parfois, mais qui ne m'a pas laissée indifférente...
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Marco, 14 ans, une vie dans une banlieue, un petit appartement, un père qui flirte avec l'alcoolisme depuis qu'il est au chômage, un frère passionné de boxe qui aime l'utiliser comme punchingball, une mère qui travaille pour faire vivre la maisonnée et traine une fatigue énorme.
Au collège, rien de bon. Un climat de tension, des profs qui ne font rien pour l'apaiser, des gestes de violence, une CPE qui n'entend pas ce qu'on lui dit mais ce qu'elle veut entendre et pour Marco, des résultats qui n'engagent rien de bon.
Son meilleur pote, Jean-Baptiste dit Banane, Marco le voit de loin en loin. Drogué, accro, il n'a jamais sur se remettre de la mort de son père.
Son espoir à Marco, c'est la fin du monde. C'est à ça qu'il s'accroche : l'Apocalypse, le jugement dernier, l'égalité pour tous et le paradis pour ceux qui ont morflé sur Terre. Pourtant, il n'y pas grand chose de religieux dans cette croyance.
Pas étonnant dans tout ça que Marco se retrouve à faire un petit boulot pour un dealer du quartier. Un peu d'argent, une protection, de quoi rendre le quotidien moins sombre. Mais évidemment, ça n'aide pas vraiment...
J'ai lu ce livre dans un cadre de "lecture obligatoire" sinon, il est clair que la 1ere et la 4e de couverture auraient réussi à m'écarter malgré un titre intrigant.
Pour moi, on peut le lire de deux façons.
Le première en fait un livre sombre, manichéen, aux personnages secondaires caricaturaux et aux rebondissements prévisibles, d'un auteur qui aime s'écouter écrire (parce qu'avec cette lecture là, le livre devient vite long et pénible à lire).
La seconde (celle que j'ai adoptée) demande de prendre un poil de recul par rapport au récit mené à la première personne. Le regard que porte Marco sur le monde est assez manichéen mais quel adolescent de 14 ans ne pense pas comme cela le monde qui l'entoure ? D'autant que Marco n'est pas vraiment "tiré vers le haut" : il ne s'investit absolument pas dans ses études, il ne sait pas parler avec les adultes, au sein de sa famille, la communication est rompue... Quand les images du World Trade Center en feu passe aux JT, ses parents ne réagissent pas. Il est enfermé dans le petit monde de sa banlieue.
Personne n'est là pour lui apprendre à prendre du recul jusqu'à ce que son professeur d'Histoire parle avec lui et lui mette un livre entre les mains puis que la bibliothécaire prenne le relais.
Oui, Marco a un côté un peu balourd, il n'est pas toujours "fut-fut" ce qui donne aux récits des rebondissements souvent attendus. Oui, on aurait peut-être préféré qu'il tire les leçons de ses erreurs, tout ça tout ça, qu'il appelle la police, qu'il ramène son pote à l'hôpital par la peau des fesses pour qu'il fasse sa cure de désintoxication, qu'il "se réveille".
Mais quel jeune des banlieues ferait ça ? Quel adolescent de 14 ans ne se laisserait pas avoir par le demande pressante d'un ami qui veut juste qu'on le laisse tranquille ? Lequel verrait dans la compulsion de sa mère vis à vis du nettoyage de l'appartement quand la visite surprise de l'assistante sociale peut intervenir à tout moment, une marque d'amour, de peur de le perdre ? Lequel penserait que son frère n'est pas un mauvais bougre quand les échanges avec celui-ci consistent essentiellement en des combats de boxe ? Lequel ne se ferait pas avoir par les belles paroles valorisantes d'un caïd de la cité quand chez lui, jamais un compliment ou une marque de tendresse n'est prononcé ?
Je pense que ce livre est très juste quand à la façon dont on peut voir le monde à 14 ans et que le lecteur doit véritablement le prendre à un deuxième degré de lecture, ne pas s'arrêter à la présentation et au regard de Marco. La fin devient alors une fin ouverte : réalité ou "délire" de Marco ?
Seule fausse note, par contre : le langage. Si le style est très prenant, la langue bien maniée, on a du mal à imaginer un ado de 14 ans en échec scolaire avec un tel vocabulaire.
Je garde ce livre dans mes bonnes surprises, à adresser à des lecteurs qui sauront prendre le recul que le narrateur ne prend pas.
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A la suite de divers mauvais choix, Marco, un peu naïf, un peu paumé, peu épaulé par sa famille, se trouve embringué dans la spirale violente et glauque d'un milieu qu'il ne cotoyait que de loin avant...
Je n'ai pas du tout aimé ce roman, n'ayant ni réussi à trouver le personnage principal attachant, ni réussi à comprendre vraiment où le narrateur voulait en venir, ni apprécié le langage pseudo-jeune ou pseudo-banlieue (j'hésite) mêlé parfois d'expressions trop soutenues pour sortir de la bouche de jeunes de banlieue justement et pour être compris par des ados...
Franchement ce livre m'est tombé des mains !
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Belle histoire percutante dont le ton semble assez juste. Des personnages très émouvants. Une ambiance parfois très "plombante", noire et des évènements vécues par les deux personnages sont particulièrement accablants.
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Ce roman policier/thriller pour ado est très efficace dans son immense majorité. En effet, durant les 3 premiers quarts du roman, on tourne les pages avec vigueur car nous avons hâte de découvrir la suite : qui est la victime ? Que s’est-il passé ? Comment la traque va-t-elle se terminer ? De nombreuses questions auxquelles on souhaite avoir des réponses qui font oublier les éléments peu crédibles. Mais voilà, plus je pense à cette lecture avec du recul, plus je lui trouve des défauts, l’envie de connaître la suite n’étant plus là pour gommer certaines invraisemblances.
Premier souci, j’ai trouvé que l’auteur avait trop voulu tirer son récit en longueur. Pour moi, l’histoire aurait gagné à se terminer lors de la révélation de l’identité du coupable. La partie prise d’otages par le meurtrier et la course-poursuite qui s’ensuit était en trop. Elle servait uniquement à mettre en valeur l’héroïsme de certains personnages, notamment Jordan (le criminel en fuite qui a tué une fillette lors d’un accident de voiture) afin de le faire s’amender et de montrer que, certes, il a tué une petite fille mais il a permis de sauver plusieurs vies. Il n’est donc pas méchant le bougre, il a juste fait les mauvais choix et s’est très mal entouré. Il n’en reste pas moins qu’à mes yeux il a tué quelqu’un...et que de sauver des vies ne permet pas d’excuser le fait qu’il en ait pris une. Cela peut l’aider dans sa reconstruction mais je trouve qu’ici l’auteur a tendance à dédouaner un peu trop facilement son personnage. Montrer un prisonnier en fuite qui n’est qu’un humain imparfait et qui cherche à se reconstruire, oui, mais en profiter pour « excuser » son crime, non. Ce sentiment a en plus été renforcé par l’apparition d’un personnage medium sorti de nulle part qui affirme à Jordan « elle ne t’en veut pas ». Comme une autorisation à ne plus se sentir coupable donc... Bref, je trouve que l’auteur insiste trop sur cet aspect de l’intrigue, le simple fait que Jordan ait sauvé Ludovic aurait dû suffire à conduire le prisonnier sur le chemin de la rédemption, pas besoin d’en rajouter une couche. De plus cette partie prise d’otages donne lieu à une scène surréaliste où le meurtrier et sa complice discutent comme s’ils ne tenaient pas en joue un groupe de personnes. C’est bien pratique d’un point de vue narratif afin de faire comprendre au lecteur de quoi il en retourne, mais pour la crédibilité de la scène, on repassera.
Deuxième souci, plus l’intrigue avance, plus les facilités du scénario sont mises en exergue. L’enquêtrice cerne en effet un peu trop vite tous les éléments qui peuvent faire avancer l’enquête, elle est de suite sur la bonne piste, se rend exactement au bon endroit... etc Bref, elle fait preuve d’un instinct hors du commun. Encore une fois, bien pratique pour faire avancer l’intrigue mais pas pour rendre l’ensemble crédible. Je l’avoue, tous ces petits détails n’apparaissent pas forcément à la lecture car, comme je l’ai dit, on est pris par le suspens. Mais une fois que l’on en a repéré un (pour moi, la fin a été le catalyseur de ce phénomène) et que l’on repense à tête reposée aux scènes lues auparavant, on se rend compte des nombreuses petites faiblesses parsemées dans le récit.
Niveau personnage, je n’ai pas particulièrement accroché à celui de Carla, l’enquêtrice, mais j’ai bien aimé l’ado Ludovic. Quant à Jordan, c’est une bonne chose d’avoir son point de vue mais, pour moi, l’auteur guide trop le lecteur quant à l’image qu’il doit avoir de ce personnage. Il aurait dû le laisser se faire son propre avis plutôt que d’insister sur le fait que, grâce à sa présence, plusieurs vies ont été sauvées pour effacer le fait qu’à cause de sa présence, il en a pris une (mais ce n’était pas vraiment sa faute, car les freins de la voiture utilisée pour accomplir son activité de criminel étaient mal entretenus, on nous le répète bien...)
Mon sentiment vis-à-vis de cette lecture est donc complexe. A l’instant où j’ai refermé le livre, je vous aurais dit « c’était bien, très prenant, même si le dernier quart du roman n’était pas nécessaire ». Mais en y repensant au moment d’écrire cette critique, quelques jours plus tard, je vais vous dire : le suspens de l’histoire fait oublier les faiblesses ou incongruités de l’intrigue à l’instant T, mais, a posteriori, il est difficile d’affirmer que c’est un bon roman policier à cause des invraisemblances qui émaillent le récit. Par contre, c’est un thriller efficace dans le sens où l’on est pris dans l’histoire dès les premières pages.
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Je n'ai lu qu'un tiers environ du livre. Passé une centaine de pages, l'intrigue avait très peu avancé, ce qui me semble gênant pour du polar destiné aux ados / jeunes adultes.
Je n'ai pas réussi non plus à m'attacher aux personnages, et celui du père, volontairement détestable, tombe dans la caricature.
Un problème de rythme donc, même si je ne peux me prononcer sur l'intrigue et la chutes qui sont peut-être excellentes... Mais voir des personnages marcher dans la montagne pendant 120 pages, c'est juste lassant.
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J'ai bien aimé dans ce roman : l'intrigue policière, et les différents chapitres avec les points de vue des différents personnages. La situation familiale des deux jeunes est originale et bien décrite. le personnage de Carla fait réfléchir sur la place des femmes dans le métier de la gendarmerie, ainsi que dans son couple. J'aurai aimé en savoir davantage sur ce personnage. Des indices sur sa vie sont disséminés au fil des chapitres, mais ils manquent de consistance. Une suite est-elle prévue ?
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Ce thriller efficace de Jean M. FIRDION se passe dans les Pyrénées près d'un refuge de montagne à 1420 m d'altitude.
Ce roman est rythmé par un récit à trois voix singulières. Jordan, jeune délinquant vient de s'évader du tribunal de Pau et Carla, une jeune gendarme se lance à sa poursuite. Dans le même temps et dans la même vallée béarnaise arrive Ludovic, adolescent de 14 ans qui doit retrouver son père pour passer ses vacances en montagne.
L'intrigue commence le 20 juillet par la découverte du corps de Cora, jeune mineure partie randonner dans une colonie de jeunes. Un flash-back ramène le lecteur deux jours avant pour expliquer les circonstances du drame et comprendre le rôle joué par chacun des protagonistes.
Malgré quelques incohérences et le manque de crédibilité de certaines situations, le récit reste fluide et le suspense est maintenu tout au long du roman.
Les personnages sont tous attachants. Alors qu'il est malentendant, le jeune Ludo se débrouille presque seul en montagne du fait de l'irresponsabilité de son père et fait preuve de débrouillardise et d'une grande maturité.
Le jeune évadé, inconséquent au départ et la policière très engagée ne sont pas lisses, ils possèdent leur zone d'ombre mais restent profondément humains.
Les décors quant à eux sont somptueux et la description des randonnées, malgré les orages et les difficultés, donnent envie de redécouvrir ces paysages pyrénéens sauvages et encore préservés.
Ce texte, destiné aux adolescents, aborde habilement la question de la responsabilité et de la rédemption toujours possible même après un événement destructeur. L'issue de l'enquête est optimiste, tous les personnages ont évolué en bien par leur courage et leur foi en l'autre.
J'ai découvert ce roman dans le cadre de la présélection 2024 du Prix des Collégiens et lycéens de Charente.
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Refuge 1420 est roman policier de bonne facture se déroulant dans les Pyrénées.
Jordan, accusé de "hit and run", réussit à s'échapper du TGI de Pau où il allait être jugé. Direction l'Espagne.
Ludovic, 15 ans, abandonné par son père en pleine montagne, alors qu'ils devaient passer les vacances ensemble. Le jeune garçon doit se débrouiller seul. Heureusement, sa passion pour les Indiens Lakotas va l'aider.
Carla, gendarme déterminée, veut à tout prix capturer Jordan avant qu'il atteigne l'Espagne. Elle veut aussi retrouver Ludovic, dont le couteau a été retrouvé planté dans le corps de la jeune Cora.
Un roman plein de rebondissements, en cela que les chapitres sont à chaque fois consacrés à un des personnages et s'alternent, ce qui maintient le lecture en haleine. Refuge 1420 pourrait très bien être lu par des adultes également.
Seul souci, les "papa" et "maman" trop présents à des endroits où "père" et "mère" eussent été plus adéquats.
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Moi qui aime les thrillers et polars, c'est toujours avec du recul que je lis ce genre adressé aux ados. En effet, le glauque est nécessairement moins présent et l'intrigue parfois moins intéressante...
Et bien avec "Refuge 1420" j'ai été agréablement surprise. J'ai très vite accroché à l'histoire, aux personnages et au lieu (montagnes pyrénéennes).
Le récit est assez addictif. J'avais très envie de savoir qui était la victime et bien évidemment l'auteur de ce meurtre. J'ai beaucoup aimé le personnage de la gendarme. Même si son intuition est si juste que cela peut paraître un peu gros... Sa personnalité pleine de fragilités (secret douloureux) qui paradoxalement fait sa force la rendent crédible à mes yeux.
Tous les personnages sont bien développés. Ce qui permet de facilement se les représenter et d'intégrer l'histoire.
Ce que j'ai apprécié dans ce roman c'est l'évolution de mes sentiments vis-à-vis d'un personnage (je ne vous dis pas lequel) au fur et à mesure de l'histoire. Cette ambivalence qui va m'accompagner une bonne partie de l'histoire et qui participe au plaisir de ma lecture.
Enfin, conformément à la collection "Rester Vivant" de l'éditeur le Muscadier, ce roman aborde divers thèmes tels que la place des femmes dans un métier plutôt masculin (la gendarmerie), la responsabilité de ses actes en tant qu'ado mais aussi adultes, les liens familiaux parfois complexes, etc... Un bon moyen pour nos ados d'ouvrir leur sens critique.
J'ai passé un agréable moment de lecture avec ce polar que je recommanderai bien à mes ados !
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J'ai failli abandonner ma lecture dès le premier chapitre. En effet, le premier dialogue m'a semblé un stéréotype de dialogue policier. La description de la gendarme a continué à me décourager (son désir de thé bien caricatural). Le dialogue avec Annie et les regards entendus, puis Ludovic qui se réveille sans savoir s'il est mort ou pas... Aïe, cela a failli être trop pour moi, craignant de tomber dans un polar fantastique.
Finalement, c'est un polar plutôt classique que l'on suit et il n'est pas si désagréable que cela ! Un petit goût de début de série peut-être ? Avec le secret de famille de Clara, la relation qui se noue avec son co-équipier, une possible rivalité avec un autre...
J'ai apprécié la clarté du calendrier, les aller-retour entre les Pyrénées et Pau, le personnage de Ludovic avec son handicap, sa relation avec ses parents, ses passions, certaines surprises dans les personnages, le temps de la traque qui est assez lent au début.
J'ai moins apprécié les jeunes au bord de la route (le fantastique, je vous dis), les revirements de choix de Jordan et Ludovic à la fin, l'incohérence de certaines scènes à mon goût (les bergers qui laissent un jeune blessé partir seul ?)
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Roman policier pour adolescents écrit par un sociologue, chercheur au CNRS, spécialisé dans l'étude des populations vulnérables et les difficultés d'insertion de celles ci.
Facile à lire, style parfois "scolaire", l'histoire est bien menée et nous conduit a une "happy end" concensuelle : chaque acteur: bon ou méchant(s) a un rôle précis sur la scène finale.... densité de population maximale ....pour 2 balles et un trait d'arbalète !
Les principaux personnages _ils sont 3 _ la gendarme-frais-émoulue, passionnée et compétante, le jeune délinquant malchanceux et sans tuteur, l'ado malentendant tiraillé entre ses 2 parents séparés, racontent à tour de rôle un chapitre.
L'action se déroule dans un décor que semble bien connaitre l'auteur : les Pyrénées ariegeoises , sous le pic du midi d'Ossou, autour du refuge 1420 (existe t il?). Un plan dessiné et signé J M Fridion est joint . La randonnée de montagne et les bivouacs, sous l'orage ! sont bien décrits... et donnent envie ?
Donc :pour ados, bon suspens, belle moralité, aventure initiatique pour les 3 héros . 3/5
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