AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Jean-Michel Frodon (17)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Il était une fois le cinéma

Merci aux éditions Gallimard Jeunesse Giboulées et à Babelio pour m'avoir fait parvenir Il était une fois le cinéma dans le cadre de l'opération Masse Critique Jeunesse. Cette édition de luxe a manifestement été bien travaillée, de manière à attirer l'œil (couverture renforcée, couleurs chaleureuses, illustrations, photographies, affiches de films, papier de grande qualité). Elle ne peut que retenir l'attention et donner une idée de cadeau... mais attention au prix !



Pour un ouvrage destiné à la jeunesse, le texte est franchement complexe. Les phrases sont parfois longues et bien souvent l'on perçoit que Jean-Michel Frodon est un spécialiste et qu’il n’adapte pas toujours son propos à son public. Pourtant dans de nombreux passages, il s'adresse directement à celui (ou celle) qui lit, fait le choix de simplifier certains concepts. Tout cela donne l'impression qu'il est difficile de coller une étiquette à l'ouvrage. Pour des jeunes ? Oui mais à partir du collège ou du lycée, difficile avant, même si les parents accompagnent l'enfant.



En tous cas, les moins jeunes, trouveront ici un ouvrage intéressant. Il est vivement conseillé pour qui désire connaître les fondamentaux du 7ème art. L'histoire, les épisodes oubliés, les avancées technologiques, la place des différents pays, les grands genres, les rapports de force dans l'industrie cinématographique, les actrices et acteurs, les films, la complémentarité culture-exploitation financière, le rapport aux autorités... Assurément, le savoir qui est compilé dans ces quelques pages (un peu plus de 200 mais avec de très nombreuses illustrations) est riche, très riche ! Il s'agit d'un véritable coup de maître car il y a beaucoup, mais sans faire trop et lasser. Le tout est habilement conçu, les chapitres sont nombreux mais très courts, percutants et bien mis en couleurs. Le style de l'auteur est franchement agréable ce qui permet une lecture d'ensemble plaisante. D'ailleurs, Il était une fois le cinéma ce lit comme un roman...



Il est toutefois nécessaire de déplorer un certain nombre de choses. Au premier chef, les jugements de valeurs sont beaucoup trop présents et trop fréquents (et pas seulement pour donner un avis sur un nombre forcément limité de films). Les illustrations sont nombreuses (en début de chaque chapitre) mais peu exploités. Il aurait été plus logique de disséminer tout cela dans le texte et de les choisir avec plus de discernement. Certaines images (doublées) n'apportent pas grand-chose, surchargeant peut-être même l'ensemble. Il aurait également été intéressant de glisser des fiches, ou à minima une liste des films évoqués.



En somme, voilà un bel ouvrage, qui risque de plaire davantage aux adultes qu'aux enfants. Ceux-ci vont sans doute se montrer plus exigeants et ils ont bien raison, au vu du prix ! Le livre reste toutefois un véritable traité en l'honneur du cinéma facile à lire.
Commenter  J’apprécie          83
Il était une fois le cinéma

Voilà un ouvrage sur le cinéma plus à destination des enfants ( il est paru chez Gallimard Jeunesse en octobre) même si contrairement à ce qui est indiqué, les enfants de 10 ans devraient être un peu perdus devant la complexité ( et le manque d'images du livres). Il faut dire que c'est Jean-Michel Frodon qui est aux manettes, un spécialiste du cinéma, qui a travaillé aux Cahiers du Cinéma et au monde et qui est en général très érudit et très pointu. Ici, s'il fait un effert de vulgarisation, il faut quand même connaitre un peu le cinéma pour ne pas se perdre devant le vocabulaire et le jargon quand même assez pointu.



Mais pour un ado déjà passionné de 7ème art, ce livre, extrêmement riche d’informations est une mine d'or. ON est littéralement transporté dans le passé pour mieux saisir les origines du cinématographe,



Car le cinéma, c'est beaucoup de choses à la fois, et son histoire commenc e il y a trèslongtemps, bien avant ce 28 décembre 1895, jour de la première séance publique du Cinématographe des frères Lumière.



C'est cette formidable odyssée que l'on raconte ici : ces passions, ces inventions, ces destins fabuleux ou brisés, tous ceux qui font et tout ce qui fait le cinéma. Ses inventeurs de génie (les frères Lumière, Thomas Edison, Georges Méliès...).Ses stars et ses monstres sacrés (Griffith, Chaplin, Welles, Truffaut...). Ses grandes puissances (la France, les États-Unis, puis l'Allemagne et l'Italie, et aujourd'hui l'Asie...).Ses mutations (le passage du muet au parlant, du noir et blanc à la couleur, le numérique, la 3D...). Et ses grands mouvements(l'expressionnisme, le néoréalisme, la Nouvelle Vague...). La fabuleuse aventure d'un art qui ne cesse de se réinventer, parce que le monde auquel il appartient ne cesse de changer...



Dans un style clair et précis, Frodon réussit le tour de force de transmettre aux plus jeunes sa passion pour le néo-réalisme italien, les vagues de la Nouvelle Vague française, le nouvel Hollywood et plus proche de nous, mais peut-être plus loin dans le rêve, les envolées poétiques numériques du thailandais Apichatpong Weerasethakul sur lesquelles se conclue cet ouvrage indispensable.



Le cinéma, tout le monde connaît, mais au fond, on ne sait pas si bien ce que c'est. Grâce à ce superbe ouvrage, plus personne ne l'ignorera.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
Commenter  J’apprécie          110
Il était une fois le cinéma

Une très belle introduction à l'histoire du cinéma pour les enfants à partir de 12 ans. Mais aussi pour les adultes désireux de s'initier au 7e art. Suivant un parcours chronologique, bien illustré, cet ouvrage n'en oublie pas pour autant les cinémas du monde et développe aussi sur le cinéma contemporain. Un livre à conseiller, à offrir aux grands comme aux petits !
Commenter  J’apprécie          00
Il était une fois le cinéma

L'histoire/Le sujet : Le cinéma, en effet tout le monde connaît. Mais l'histoire du cinéma reste bien souvent vague dans les esprits... Les images bougent, mais depuis quand ? Et par quoi ce tout nouvel art est-il passé pour arriver à la consécration de blockbusters ou d'animés qui sont aujourd'hui notre quotidien. C'est à la tâche immense d'être le plus clair, mais aussi le plus précis possible, que s'est attelé l'auteur. En 27 courts chapitres, il balaye plus de cent ans d'histoire, des origines françaises puis américaines en passant par la consécration du cinéma russe ou allemand, de la Nouvelle Vague au Nouvel Hollywood, et de finir sur l'avènement des nouvelles technologies dans le 7ème art.



Le style : Très clair, mais aussi très très agréable à lire, l'auteur a fait le choix de beaucoup scinder son ouvrage. Chaque chapitre donc est très précis sur une époque ou un lieu. Mais malgré le fait que cet ouvrage soit un documentaire, J.M. Frodon est un véritable conteur, et on le lit comme on lit une histoire. Quel plaisir !



Et la couverture alors ? Trois symboles, trois périodes (sans parler de Chaplin sur la 4ème). Tout à fait ce qu'il fallait pour ce type d'ouvrage.



En conclusion ? Ce livre m'intéressait car j'ai toujours été passionnée de cinéma. J'essaie depuis longtemps, avec mes collègues, de transmettre cette passion aux élèves, et de leur faire comprendre que la magie du cinéma vient aussi de son histoire. Même si je me suis déjà beaucoup documentée sur le sujet, j'ai trouvé grâce à cet ouvrage des explications claires, au niveau des enfants, pour comprendre des phénomènes, des périodes pas toujours faciles à saisir. Le livre porte parfaitement son titre "Il était une fois le cinéma", car on y entre comme dans un conte, et quand on commence un chapitre, il est hors de question de le lâcher. C'est un ouvrage très complet, qui donne une vraie vision global du septième art, de sa construction à nos jours, et il permet d'en observer les grandes évolutions. Même s'il ne peut pas se suffire à lui-même pour un passionné adulte, il répond à mon sens parfaitement à l'attente d'un jeune public avide de premières connaissances. Et c'est à ce sens que j'en recommanderai la lecture.







Pourquoi ce livre ? Parce qu'il m'a était envoyé suite à une opération Masse Critique Jeunesse il y a quelques semaines. Un énorme merci donc à Babelio et à Gallimard Jeunesse pour cet envoi !
Lien : http://sofynet2008.canalblog..
Commenter  J’apprécie          00
L'art du cinéma

Jean-Michel Frodon, critique et enseignant, qui a dirigé les Cahiers du Cinéma, parcourt ces divers aspects dans leur ampleur historique et géographique, culturelle et sociale, en se plaçant sous le signe de l'émotion: en cherchant «ce qui aura fait bouger, vibrer, ce qui aura transporté les spectateurs et transformé les perceptions du monde».
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          30
La critique de cinéma

Grace à ce livre, j’ai découvert un épisode intéressant de la critique de cinéma, un débat initié par Jacques Rivette en 1961 dans les Cahiers du cinéma. Voilà, il s’agit d’un questionnement sur l’enjeu éthique, dont le point de départ est un film aujourd’hui oublié, Kapo, sombre évocation des champs de concentration. (Le réalisateur est l’italien Gillo Ponecorvo). Le critique Jacques Rivette, le plus engagé et le plus radical de ceux qu’on a appelé « Les Jeunes Turcs », rappelle que la gravité du sujet impose la plus grande rigueur. Peut-on être réaliste en montrant les camps ? « Toute tentative [de réalisme] est nécessairement inachevée (« donc immorale »), tout essai de reconstitution ou de maquillage dérisoire et grotesque, toute approche traditionnelle du « spectacle » relève du voyeurisme ». (pages 59, 87 et 92) D’ailleurs cela se situe dans la droite ligne de l’énoncé de Godard : « les travellings sont affaire de morale ».



En dehors de cet épisode, le livre aborde l’histoire de la critique de cinéma en France et présente en annexe des extraits qui ont marqué les esprits. Cependant, la première moitié est plus aride, elle rappelle la définition de la critique et enfonce des portes ouvertes.



Un autre thème, un autre extrait qui résume la polarisation des mensuels Les Cahiers – Positif dans les années 50 :

« La violence des prises de position des uns et des autres ne se comprend que dans le contexte d’une atmosphère passionnelle, où les enthousiasmes pour certains films et certains réalisateurs se conjuguent avec la virulence des engagements politiques, sur fond de guerre froide et Guerre d’Algérie. C’est dans ce contexte qu’il faut replacer les affrontements devenus légendaires entre les Cahiers du cinéma et Positif. [ ] Schématiquement, on peut dire que Positif, tout en revendiquant ses goûts critiques, privilégie un rapport descriptif au cinéma, fondé sur le contenu des films [ ] tandis que les Cahiers incarnent un rapport plus aventureux, plus exploratoire vis-à-vis de ce qui se joue dans les films » (p 57-58)

Commenter  J’apprécie          30
Le cinéma à l'épreuve du divers

Jean-Michel Frodon analyse le cinéma à la rencontre du divers du monde ainsi que son rôle dans la transformation de nos sens, de notre regard et de notre compréhension.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
Commenter  J’apprécie          00
Le cinéma chinois

De même que le recueil sur le cinéma africain, ce volume dédié au cinéma chinois offre la même qualité de travail condensé avec en bonus, un compréhension des codes cinématographiques du pays.

Un très belle ouvrage qui promet pour le reste des volumes.
Commenter  J’apprécie          30
Le cinéma d'Edward Yang

Le critique et historien du cinéma Jean-Michel Frodon rend un bel hommage à Edward Yang, fer de lance du Nouveau Cinéma Taïwanais au début des années 1980. Edward Yang a grandi à Taipei - la ville avec ses mutations, sa modernité aliénante, sert de cadre à la plupart de ses films - au sein d'une famille venue de la Chine continentale. Son père, modeste fonctionnaire du régime de Tchang Kaï-chek, lui inculque les valeurs traditionnelles du confucianisme. Très tôt il s'intéresse au dessin et au manga. Il part étudier et travailler dans l'informatique aux Etats-Unis. Mais il revient à Taipei au début des années 1980, dans une société encore régie par la loi martiale, et se consacre au cinéma. Il réalise sept films, dont seul son dernier "Yi-Yi" obtint une véritable reconnaissance internationale, affectionnant les structures narratives denses et complexes, les décors urbains sophistiqués, influencé par le cinéma d'auteur qu'il contribue à développer avec beaucoup d'exigence et de singularité, se heurtant très souvent, après la censure du pouvoir totalitaire, aux lois du marché. Il permit aussi de restituer une mémoire qui avait été longtemps confisquée à Taïwan en montrant dans l'un de ses plus grands films "A brighter summer day" la société taïwanaise des années 1960.
Commenter  J’apprécie          390
Le cinéma et la Shoah

ien des films sur la période nazie ont été réalisés. Certains parlent de la Shoah, un sujet fort. Un défi se pose : Comment faire pour raconter alors que, par sa dimension et son poids d’horreur, l’événement défie le langage ? Quelques titres s'épinglent d'eux-mêmes : Le Dictateur, La Liste de Schindler, Nuit et Brouillard, La vie est belle, Shoah, la série TV Holocauste, Au nom de tous les miens, ... Chaque réalisateur a trouvé son angle narratif? Des longs métrages pour la plupart acclamés. Des oeuvres de mémoires ? Certainement !
Commenter  J’apprécie          00
Le monde de Jia Zhang-ke

Le cinéma de Jia Zhang-Ke est poignant. Et comme le souligne à la fin de ce livre Walter Salles, les films de Jia Zhang-Ke se réverbèrent longtemps après leur projection. Walter Salles avait découvert le cinéaste chinois au tout début de sa carrière lors d'un festival et il lui consacrera plus tard un très beau documentaire "Jia Zhang-Ke, un gars de Fenyang", dans lequel on retrouve une partie des entretiens présentés ici par Jean-Michel Frodon. Jia Zhang-Ke a tourné son premier long métrage, "Xia Wu artisan pickpocket", alors qu'il était encore étudiant à l'académie de cinéma de Pékin, sans autorisation, avec un très petit budget et des acteurs non professionnels, caméra à l'épaule, déambulant dans les rues de Fenyang, sa ville natale, dont certains quartiers étaient alors en pleine démolition. Les images brutes et intenses du film rappellent le néoréalisme italien, mais aussi de par sa jeunesse, sa révolte latente, la nouvelle vague. Né en 1970, Jia Zhang-Ke incarne une génération, une époque, celle qui après la révolution culturelle et un début d'ouverture et de développements économiques avait soif de liberté, celle qui vit la répression de la place Tienanmen puis les mutations rapides d'une chine convertie à l'économie de marché. Les films de Jia Zhang-Ke sont dans la plupart des cas restés interdits en chine. Jean-Michel Frodon nous fait partager dans ce livre sa passion pour un cinéaste majeur.
Commenter  J’apprécie          200
Les graphogènes

Claude Mollard a parcouru les voies urbaines pour découvrir et photographier tout un monde insoupçonné, celui des tags ou des graffiti (je n'ai jamais bien su faire la différence entre l'un et l'autre), un monde, une faune également, petites œuvres offertes aux passants qui bien souvent n'y prêtent guère d'attention. Ainsi à travers ce livre voici l'occasion d'éveiller votre sens de l'esthétique, de transformer votre regard sur le street art !
Commenter  J’apprécie          00
New York mis en scènes

Un texte court mais passionné sur la ville la plus filmée ou du moins représentée au cinéma, au monde. Un livre richement documenté et bourré d'anecdotes et de photos sur certains des plus mythique film du cinéma. Une véritable ode au cinéma mais également à New-York dans ce que la ville à a offrir de plus extravagant, de plus vibrant et donc de plus cinématographique. Un livre fait pour les passionnés de cinéma ou les amoureux de New-York qui veulent explorer ou redécouvrir la ville à travers une autre perspective. J'ai passé un très bon moment de lecture avec cet ouvrage qui m'a donné à la fois envie de retourner le plus vite possible à New-York pour voir "en prise de vues réelles" tout les lieux évoquer dans l'ouvrage mais aussi de m'organiser des séances de visionnages de tous les chefs d'oeuvres du septième art évoqué dans les pages de ce texte.
Lien : https://mabibliothequerose.b..
Commenter  J’apprécie          00
New York mis en scènes

Une grande ville inspire les cinéastes. Si les grands espaces américains se sont étalés au fil des meilleurs westerns, New York se voit au cinéma dans sa verticalité. Il suffit de voir la statue de la liberté ou l’Empire State Building pour savoir que l’action se passe à New York.



Woody Allen et Martin Scorcese ont consacré une grande partie de leur filmographie à cette ville, apportant leur lumière sur les ponts, lieux et quartiers.



Il y a peu de films sur l’histoire fondatrice de New York, il ne faut pas écorner le mythe. New York est une ville du XXe siècle. L’histoire commence avec l’arrivée des migrants à Ellis Island, la promesse du rêve américain qui tourne vite à la désillusion puis très vite la violence engendrée par les antagonismes sociaux et ethniques. Le gangstérisme et la mafia italienne vue par Scorcese et Coppola, la mafia chinoise ( L’année du dragon de Michael Cimino), juive ( Il était une fois en Amérique de Sergio Leone) puis la condition des Noirs ( Ragtime de Milos Forman…)



Le cinéma s’est ensuite tourné vers l’impitoyable finance avec Wall Street ( Un roi à New York de Charlie Chaplin, Wall Street d’Oliver Stone…)

Jusqu’au jour où cette ville violente fut elle-même la cible des violences avec l’attentat du onze septembre, « l’évènement le plus vu de toute l’humanité » qui continue de hanter l’univers du cinéma.



Mais, à contrario, le cinéma inspire aussi ceux qui découvrent la ville. Qui ne se souvient pas d’une scène d’un film que l’on a aimé devant un pont, un bâtiment, un lieu ou un jardin? Même si certains endroits n’existent plus, et c’est cela aussi la magie du cinéma, se souvenir et constater l’évolution d’une ville, certaines scènes sont inoubliables.

L’arrivée aux Etats Unis du personnage de L’émigrant ( Charlie Chaplin 1917) avec la statue de la liberté. King Kong ( Cooper et Schoedsack 1933) perché en haut de l’Empire State Building. Le quartier de Greenwich Village dans Inside Llewyn Davis ( Frères Cohen 2013). Central Park avec Marathon Man ( John Schlesinger 1976). Et pour terminer en beauté, Marilyn Monroe dans Sept ans de réflexion ( Billy Wilder 1955) sur la bouche d’aération situé sur le trottoir au coin de Lexington et de la 52nd Street.



Je n’ai cité ici que quelques titres de films mais l’index final comprend 13 pages de références avec tous les genres et les époques. J’ai apprécié aussi les treize planches finales qui posent quelques scènes de films sur des quartiers de New York.

Si le format poche est appréciable pour emmener ce livre en voyage, je regrette qu’il ne mette pas suffisamment en valeur les photos.

En tout cas, cette petite collection Ciné Voyage est une approche originale pour découvrir une ville. Elle plaira tant aux cinéphiles qu’aux amateurs de voyages.
Lien : https://surlaroutedejostein...
Commenter  J’apprécie          10
New York mis en scènes

Un petit guide très complet pour découvrir New York comme au grand écran.

Retrouvez les endroits phares de New York qui ont servis aux tournages de vieux films cultes.

Entre les cartes, les photos et les index impossible de passer à coté des lieux de tournages les plus réputés de la grosse pomme.

Marchez dans les pas des héros des différents films de Luc Besson, Woody Allen ou encore Hitchcock

Un guide réellement indispensable, à glisser dans la valise des cinéphiles qui iront visiter NYC.

Commenter  J’apprécie          10
Robert Bresson

Analyse très fine du cinéma de Robert Bresson ("Le procès Jeanne d'arc" , "Les dames du bois de Boulogne"). A compléter comme toujours, (si on le souhaite) pour les ouvrages de cette collection des Cahiers du cinéma.

En l'occurrence, avec le livre du réalisateur "Notes sur le cinématographe".
Commenter  J’apprécie          20
Robert Bresson

Quand l'un des plus grands journalistes de cinéma s'attaque à la montagne Bresson , cela ne peut se manquer . Il y a ici une telle maitrise du sujet que cela en est troublant . Peut étre bien le plus grand livre sur cet auteur majeur , honteusement oublié aujourd'hui , ou l'on considére Danny Boon comme un vrai réalisateur . Un livre essentiel sur un genie du cinéma contemporain , qu'il convient absolument de découvrir.
Commenter  J’apprécie          30


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean-Michel Frodon (76)Voir plus

Quiz Voir plus

Quand les aliments portent des noms insolites ou pas...

Les cheveux d'ange se mangent-ils ?

Oui
Non

10 questions
157 lecteurs ont répondu
Thèmes : nourriture , fruits et légumes , fromages , manger , bizarreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}