C'est une découverte que j'ai faite en Europe, où j'ai visité des tonnes de musées : quand on est sincèrement touché par une oeuvre d'art, peu importe qu'un million de personnes l'aient déjà admirée avant. À l'instant où elle prend une signification particulière à vos yeux, elle vous appartient.
Il faut prendre la vie par la main, même si on ne sait jamais dans quelle direction elle va nous entraîner. On ne garde pas toujours le contrôle. Mais est-ce qu'on a une autre option ? Tout lâcher ?
Il y a un syndrome qui s’appelle l’effet du témoin. Plus le nombre de spectateurs d’un événement grave est élevé, plus les chances que quelqu’un intervienne sont faibles...
J’aimerais juste aider quelqu’un, je crois. Être gentille. Personne ne l’est assez...
On vient, en quelque sorte, de remporter une victoire ensemble. Et c’est comme si la ville enneigée, ou au moins tout le pâté de maisons nous appartenait. Ou alors, plus simplement, cet instant. Un instant que je ne préférerais partager avec personne d’autre au monde...
C'est tout moi. Dès que quelqu'un a besoin de quelque chose, je suis là. Mais où est-ce que je suis lorsque personne n'a besoin de rien ? Là est toute la question, mes amis...
« C’est une manie chez moi : transformer les gens de la vraie vie en personnages de la fiction sur laquelle je travaille. Je les croque dans mon carnet de dessin, puis je note quelques détails. Leur nom, l’endroit où ils vivent, ce qu’ils font, ce qu’ils désirent. Des pensées-vers de terre qui surgissent de nulle part et de partout. Observer les gens est une des raisons pour lesquelles j’aime autant prendre le métro à New-York. Et je suis aussi fascinée par le fait que c’est un endroit à la fois bruyant et silencieux. À l’extérieur du wagon, on dirait que plusieurs univers se fracassent les uns contre les autres, mais ici, à l’intérieur, presque personne ne parle. «
Quand on est sincèrement touché par une oeuvre d'art, peu importe qu'un million de personnes l'aient déjà admirée avant. À l'instant où elle prend une signification particulière à vos yeux, elle vous appartient.
Je n’ai pas la moindre idée de l’endroit ou je veux aller ni de ce que je veux faire, que ce soit à cet instant précis ou d’en façon générale dans ma vie...
– L’argent est une solution de facilité. La vraie gentillesse se trouve ailleurs.
– La vraie gentillesse est facile, aussi.
– Tu crois ?
– Il suffit de décider de l’être. »