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Critiques de Joanna Russ (10)
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Des gens (extra)ordinaires

Des Gens (Extra)ordinaire est un recueil de 5 nouvelles de Joanna Russ publié en 1984. Le recueil avait alors gagné le Hugo.



Les histoires sont très vaguement rattachées ensemble par des dialogues entre chaque nouvelle. Mais honnêtement, rien ne les rapproche vraiment. Les histoires, styles et époques changent, sans parler des personnages.



La première nouvelle est en fait une novella racontant un raid viking arrêté par une religieuse qui tient tête aux envahisseurs. Par la parole dois-je préciser.



Puis on passe à du voyage dans le temps, puis des univers parallèles et ainsi de suite. En fait, le seul point commun des nouvelles est leur thème : La diversité sexuelle.



Et c'est plaisant de lire des autrices de l'époque qui ne sont pas Ursula Le Guin explorer cela d'une façon complètement différente.
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

L’Humanité-femme (The female man, 1975) est un livre que j’avais repéré dans l’essai d’Anne Larue ‘Libère-toi cyborg !’. Longtemps introuvable, il a été réédité cette année chez Mnémos.



J’étais très impatiente de le lire, il m’a d’ailleurs été offert pour mon anniversaire.



Après avoir été nominé pour le Nebula du meilleur roman en 1975, ce roman a remporté un Tiptree rétro en 1995. Il a également reçu le ‘Gaylactic Spectrum Hall of Fame’ en 2002. Le Gaylactic Spectrum récompense depuis 1998 des œuvres de science-fiction, de fantasy et d'horreur qui explorent les thèmes LGBT de manière positive.



Ce roman suit la vie de plusieurs femmes qui vivent dans des mondes différents (parallèles et aussi à des époques différentes). Ensemble, elles vont explorer les aspects la condition féminine de chaque monde. Cela leur permettra de faire le point sur leur vie, de redéfinir ce que signifie être femme.



D’un côté, j’ai beaucoup aimé les passages qui concernent les réflexions de l’auteure sur la condition féminine dans les différentes sociétés imaginées. Ce roman a beau avoir presque 50 ans, il est regrettable de constater que certaines choses ne changent pas.



D’un autre côté, ce livre m’a donné du fil à retordre car j’ai l’impression (et pas que) de ne pas avoir bien compris ce qu’il se passait. La narration est très particulière et pas fluide du tout. Le changement de perspective d’un personnage à l’autre rend l’histoire confuse et je me suis souvent demandée « mais qui parle ? »



Le titre n’est toujours pas mieux traduit que lors de la première édition française en 1977. Cela donne l’impression que le roman est centré sur Lointemps ce qui n’est pas correct. Il faut reconnaître que le titre traduit par ‘L’autre moitié de l’homme’ c’était encore pire. J’avais énormément aimé le commentaire de Larue à ce sujet.



Bref, je ne sais pas trop comment noter ce livre. Il est original, intéressant et mérite d’être lu. Il est aussi très exigent et pas facile à lire.









Challenge XXe siècle 2023

Challenge mauvais genres 2023

Challenge plumes féminines 2023

Challenge multi-auteures SFFF 2023
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

Plusieurs femmes, venant d’univers parallèles se rencontrent. Elles échangent sur leur quotidien, les différences de traitement que leur imposent les hommes (ou qu’elles leur imposent), leurs ambitions. Avec la participation de la mystérieuse narratrice qui ne peut s’empêcher de donner sans cesse son avis. Une mosaïque de réflexions passionnantes et passionnées.



Commençons par ce qui m’a obligé à abandonner cette lecture pendant quelques jours avant de la reprendre : ce livre est davantage une mosaïque de scènes, plus ou moins liées entre elles qu’un roman tel que j’en lis habituellement aujourd’hui. Certains éléments de sa structure (passages narrés selon un narrateur différent, sans préciser qui est qui avant plusieurs chapitres, par exemple) m’ont rappelé le Nouveau roman français. Entre autres certaines œuvres de Nathalie Sarraute que j’avais adorées dans lesquelles l’autrice met en scène un dialogue entre plusieurs personnages. Et l’on comprend progressivement que ce sont plusieurs voix qui s’élèvent dans son esprit. Dialogue avec elle-même en fait.



Malgré cette hypothèse que j’ai transposée, sans réelle preuve, à L’Humanité-femme, cette tendance qu’a Joanna Russ à nous lancer dans le bain sans nous donner aucune explication m’a conduit à lire « en aveugle » certaines pages, ne comprenant pas vraiment qui parlait et de quel endroit. Et, pour une fois, j’ai remercié les concepteurs de la quatrième de couverture (que je ne lis quasiment jamais, mais là j’ai fait une exception salutaire) : ces quelques lignes m’ont donné des clefs me permettant de m’y retrouver un peu, surtout entre les différents personnages (les J… on en parle plus tard) et les lieux / époques.



Il est évident que Joanna Russ met en scène plusieurs femmes à différentes époques et même en différents lieux (dont l’étrange Lointemps – le nom lui-même est assez explicite). L’occasion pour elle de dresser un tableau de la position de la femme dans la société. Dans la sienne, celle des États-Unis des années 70 : femme objet, qui ne vit que par rapport à l’homme, pour le regard de l’homme. Sans réelle personnalité propre puisque sa place par rapport à ses concitoyens et concitoyennes est déjà prédéfinie : elle devra se marier et s’occuper de son mari. Mettre ses désirs profonds au placard et vivre selon les injonctions sociétales.



Face à ce tableau, on a l’extrême que représente Janet, qui vient de Lointemps. Dans cette société futuriste, plus d’hommes. Je vois déjà quelques personnalités de notre époque s’en étrangler et crier au scandale. D’ailleurs, dans le livre, lors d’une série d’insultes, la traductrice a employé le terme de « féminazie » que je trouve assez moderne. Après quelques rapides recherches, il semblerait qu’il ait été popularisé dans les années 1990, soit après le roman. Cela vaudrait le coup pour quelqu’un qui lit l’anglais mieux que moi de vérifier dans la version originale. Quoiqu’il en soit, ce terme ne dépare pas du tout dans le contexte. Surtout que le débat lancé par Joanna Russ est encore tout à fait d’actualité. Cinquante ans après. Et j’imagine que tout ne va pas se résoudre rapidement.



D’autres J, comme Joanna, apparaissent dans le roman, mais je vous laisse le plaisir de la découverte.



Comme vous l’aurez compris à la lecture des lignes qui précèdent, L’humanité-femme est un récit qui ne se contente pas de raconter une histoire. Il pousse un cri, parfois d’une grande violence, contre le sort fait aux femmes dans les États-Unis des années 70. Et on pourrait élargir ce cadre. Il démontre parfois jusqu’à l’absurde combien certaines conventions sociales sont stupides et dénuées de la moindre justification. Et cela est fait avec brutalité, de façon cru. Joanna Russ appelle un sexe un sexe, une vulve une vulve. Et elle n’hésite pas à retourner les clichés en les poussant à l’extrême. Comme ce personnage féminin qui possède un homme esclave, créature docile et sans volonté propre, se promenant nu dans la demeure et dont le seul rôle est de satisfaire les besoins de sa propriétaire. Sans aller aussi loin, nombre de scènes sont des cris de révolte totalement compréhensibles. Il est d’ailleurs désolant de se dire que certaines scènes pourraient encore se dérouler aujourd’hui, avec de minimes ajustements. Les préjugés, les habitudes sociales ont la vie dure. Pourtant, n’en déplaise à certains conservateurs obtus, certaines mériteraient largement de disparaître dans les oubliettes les plus profondes.



Rien que le titre a donné lieu, pour sa traduction, à des réflexions et des tâtonnements. L’original, The Female Man, devait-il être retranscrit par L’autre Moitié de l’homme ? Vraiment pas. Ce fut pourtant le choix à l’époque. La préface de Stéphanie Nicot est à ce propos et à bien d’autres fort éclairante.



L’Humanité-femme est une lecture exigeante, difficile par moments. Mais salutaire. Les éditions Mnémos, avec leur collection « Stellaire », font une œuvre capitale en remettant à notre disposition des textes à la traduction vieillie et pas toujours faciles à trouver. Des textes qui permettent de mettre en perspective nos réflexions et notre regard sur le monde qui nous entoure. Un voyage temporel à moindre frais sacrément bienvenu.
Lien : https://lenocherdeslivres.wo..
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

L'HUMANITÉ-FEMME de Joanna Russ aux @editionsmnemos est le chef d'œuvre culte de cette rentrée littéraire 2023, un roman de science fiction saisissant, stupéfiant, foisonnant d'esprit. D'une plume Incisive, virtuose, l'autrice nous entraîne dans une histoire visionnaire qui résonne avec les problèmes et défis de notre société contemporaine.

Dans le monde de Lointemps, un virus a décimé les hommes, seules les femmes ont survécu et vivent, depuis 10 siècles, font des filles,  dans le multivers de cette terre de substitution. Des femmes du passé, du présent et du futur forment ce récit à la voix polyphonique.  Tout débute quand l'une d'elles, Janet, est propulsée en plein Broadway en 1975.

Monumental du premier mot  jusqu'à son apothéose,  L'HUMANITÉ-FEMME délivre un message féministe où le patriarcat est dénoncé dans une grande modernité. Les thèmes comme les héroïnes s'entrecroisent dans une puissance et une dérision mordantes.  La technologie, l'écologie le patriarcat, le pouvoir,  la différence, la transmission,  sont autant de pièces maîtresses de ce roman orchestré d'une main de maître par une des fondatrices de la science fiction nord américaine.  C'est un roman qui évoque l'aliénation féminine dans un monde masculin. Il parle de libération nécessaire, d'émancipation 

Cinématographique jusqu'à la narration  subtile qui oscille entre les héroïnes, L'HUMANITÉ-FEMME est le récit de la femme plurielle dans toutes ses dimensions. Une réflexion sur la place fondamentale de cette dernière dans la société. Un roman fondamental de la science fiction féministe qui décrypte les problématiques d'aujourd'hui comme de demain.

L'HUMANITÉ-FEMME est de ces chefs d'œuvre qui vous marquent au fer rouge 📖&#xNaN
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

S’il est des romans déstabilisants, celui-ci en fait définitivement partie. Sa forme un peu hachée, entrecoupée, avec des chapitre courts et parfois complètement décontextualisés a le mérite de questionner et de surprendre, mais également de laisser le lecteur toujours un peu « en-dehors ». Du moins, c’est ce que moi j’ai ressenti. J’avais parfois l’impression de lire des notes plus qu’une véritable histoire et eut un peu de mal à rester dedans, bien que toujours, d’autres parties viennent me happer et m’empêcher de laisser tomber la lecture.



Vous l’aurez compris, c’était une expérience étrange, qui ne m’a pas toujours emballée, et pourtant, je dirais qu’elle vaut quand même le coup, justement pour cette notion « d’expérience » (j’aime toujours les romans ambitieux et prise de risque).



D’autant que si l’Humanité-femme est ciblé sur un sujet, c’est le féminisme, et c’est fait d’une manière diablement percutante, aussi directe qu’elle peut être détournée, clash et doté d’un humour acéré qui – je dois bien le dire – est plutôt délicieux.



De quoi parle ce livre ? Il n’a pas d’intrigue à proprement parler ; c’est surtout la rencontre de femmes venant de milieux (voire de lieux) différents, aux parcours aussi dissemblables que possible, qui se confrontent à un sexisme frappant pour certaines, incompréhensible pour d’autres, voire complètement intégré pour les dernières. Sexisme aussi affligeant qu’il est parfois tourné au ridicule ; encore une fois selon qui y fait face et sa manière d’y réagir.



Bref. Un texte unique, à n’en pas douter, qui a peut-être un peu vieilli (mais pas tant que ça ?) qui met les pieds dans le plat et tape du poing sur la table… et il n’y a pas à dire, c’est efficace.
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

Publié en 1975, The female man, de Joanna Russ, est une œuvre qui transcende les frontières traditionnelles de la science-fiction, offrant une exploration profonde et provocatrice des thèmes liés à la condition des femmes et aux dynamiques sociales. Je l'ai découvert à l'occasion de sa réédition en 2023 par Mnémos, avec un titre retranscris, je trouve, de façon bien plus pertinente que la traduction initiale. L'autre moitié de l'homme est presque une insulte à l'oeuvre de Russ.



L'une des forces majeures du livre réside dans son approche narrative novatrice. Russ jongle habilement avec les perspectives en introduisant le point de vue de plusieurs femmes issus de mondes parallèles. Chacune d'entre elle incarne une facette unique de la condition féminine à son époque, permettant à l'autrice d'explorer diverses réalités et expériences. J'ai trouvé cela habilement réussi de la part de Russ, qui imagine avec une facilité déconcertante la condition des femmes dans des sociétés imaginées. Cette structure narrative complexe lui donne la possibilité d'explorer une large dimension thématique.



Les héroïnes du récit sont dotées d'une grande profondeur psychologique, chacune représentant une voix distincte dans la conversation sur la féminité. Leurs interactions, parfois conflictuelles, révèlent les nuances subtiles des enjeux liés à leur condition, enrichissant ainsi la trame narrative.



Le ton provocateur de Russ et son engagement audacieux envers le féminisme se manifestent à travers des scènes parfois dérangeantes, mais toujours pertinentes. Le roman encourage la réflexion et remet en question les normes sociales établies, nous incitant à considérer de manière critique les structures de pouvoir et les attentes sociales.



Cependant, bien que la richesse thématique du roman soit évidente, la complexité de la narration est parfois déconcertante. La structure non linéaire et les transitions abruptes entre les perspectives demandent une attention particulière à la lecture.



Pour conclure, je dirais que L'Humanité-Femme mérite pleinement sa reconnaissance en tant qu'œuvre majeure de la SF féministe. Il s'agit d'une contribution exceptionnelle à la littérature qui continue d'influencer et d'inspirer, encore aujourd'hui, les discours et idées féministes, témoignant de la vision audacieuse de Russ.
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

La question est comment ai-je pu lire 166 pages sur 289 de ce truc avant d’abandonner ?



Car il faut bien dire, ce livre est une sorte de brouillon et de fragments éparses de textes où l’on ne comprend pas grand-chose. C’est un bordel incroyable, on comprend à peine ce qui se passe, qui est le narrateur, qui change d’ailleurs souvent en cours de paragraphe sans prévenir…



Je pense que j’ai tenu car si on n’essaye pas de comprendre quoi que ce soit mais que l’on lit juste les scènes indépendamment, certaines sont très évocatrices ou ont de sympathiques idées concernant un futur féministe… Mais globalement c’est un gros bordel quasiment illisible et à déconseiller…
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Des gens (extra)ordinaires

Voici un recueil de 5 nouvelles qu'il est difficile de décrire, mais ce que l'on peut dire c'est, qu'à part le 1er texte "Âmes", tous les autres (en même temps y en a que 4) tournent autour du sujet de l'identité sexuelle, de l'homosexualité et du travestisme (pas forcément dans cet ordre-là).



L'écriture est complexe et poétique par moment et le tout serait bien agréable à lire s'il ne servait pas des histoires qui pour certaines sont biens compliquer à aborder dans leur ensemble.

Pour faire simple, je dois bien avouer que je n'ai pas toujours compris ce que voulait nous dire l'auteur, et moi, qui pourtant ne m'intéresse pas à cela, j'aimerai bien savoir ce qu'il y avait dans sa tête au moment où elle était en train de les écrire.



Bref, il n'est pas utile d'aller plus loin, car ce genre de livre ne s'explique pas vraiment, il se lit, tout simplement.

Je ne peux, non plus et pour les mêmes raisons, ni le conseiller, ni le déconseiller, car il est tellement personnel, étrange, que seule sa lecture peut permettre de le juger.



Ps : Je rajouterais, pour ceux que l'étiquettes SF pourrait rebuter, qu'ici ce genre est très discret, ne servant que de décor à un sujet bien plus profond et bien plus ancré dans le réel, l'identité sexuelle.
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

Drôle, profond, provoquant… Le roman, résolument novateur pour son époque, bouscule les préjugés, fait résonner la colère des femmes sans jamais tomber dans l'apitoiement ou la critique facile. Une lecture salutaire à toute époque !
Lien : https://syfantasy.fr/critiqu..
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L'autre moitié de l'homme (L'Humanité-Femme)

Joanna Russ écrit un roman qui malheureusement résonne et résonnera encore longtemps dans nos sociétés humaines : Comment peuvent vivre ensemble l'Homme et la Femme idéels et idéalisés sans abîmer les êtres réels dans lesquels ils sont incarnés ?

L'autre moitié de l'homme est déroutant. Pour servir son histoire et sa réflexion sur la cohabitation homme-femme l'auteure utilise un narrateur pluriel -Jeannine, Janet, Joanna, Jael-. L'une des voix de ce narrateur est explicitement la réelle autrice du livre ce qui donne des passages savoureux dans lesquels, par exemple, elle critique la forme du roman en imaginant ce qu'on en dirait d'un point de vue académique ou normatif.

Le propos est clairement la dénonciation du patriarcat et ses conséquences. Elle nous plonge dans les paradoxes qui font tenir notre société inégalitaire, elle nous met face à la réalité de comportements induits par l'endoctrinement éducatif.

En peu de pages on vit avec Joanna Russ : ses utopies, ses fantasmes, les impasses se sa réflexion, ses frustrations,...

Il n'y a pas de solutions mais des constats, un besoin de chercher, de trouver d'autres voies, de former des "guerrières" d'un nouveau genre.

Un roman militiant qui s'adresse directement au lecteur, un manifeste ou un roman, quelque chose entre les deux. Une vraie histoire de SF qui m'a fait penser à ma lecture du récent Périphériques de William Gibson dans sa structure qui perd puis repêche le lecteur avant la noyade pour lui montrer le tableau final depuis la bonne distance, éclairant tout ce qui vient d'être lu. Aussi et surtout parce qu'ils traitent tous deux de voyages dans les multivers...

Un classique qui mérite son statut et surtout d'être lu en entier 😜

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