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Critiques de José Carlos Carmona (23)
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Pour l'amour du chocolat

Si vous vous attendiez à saliver ---- comme moi--- , plonger au coeur des senteurs exquises du chocolat chaud ,de la cannelle délicieuse ,des effluves de pralines qui embaument, succulentes friandises, gourmandises diverses et secrets de fabrication ....veuillez s'il vous plaît passer votre chemin.....



Seule est mentionnée la trace du chocolat à travers une boutique, plutôt une fabrique nommée " "Le petit chocolat Troadec "du nom de son fondateur , un des membres de cette saga familiale ....qui deviendra un empire ....



Ce petit livre au titre alléchant nous conte les soubresauts de l'histoire du vingtième siècle, entre Lausanne ,la Suisse des années 20 et l'Amerique du jazz., deux continents, krach boursier et guerre mondiale, épisodes de vie, espoirs, lettres .....sans pralines ...

Nous survolons à l'aide de chapitres trés courts :



Chacun une dizaine de lignes, la vie en accéléré de George, Alma, Adrian, et bien d'autre personnages habités par l'amour en grand de la musique, violoncelle, orchestre .....péripéties dramatico- tragique, maladie, adultère, suicide ,mort...



Petits bonheurs et grandes tragédies s'égrainent sur près de quatre - vingts ans à l'aide d'éléments historiques, politiques et culturels qui servent de repères .

L'écriture est légère , sobre et subtile, précise , l'auteur dit tout en quelques lignes , des jets dépouillés , laconiques, qui interpellent car l'essentiel en quelques mots ajustés ne nous suffit pas .

Nous sommes étourdis et parfois faisons marche arrière pour repérer tel ou tel membre de cette famille dont je ne révélerai rien .

Pas de développement. Rapidité , densité et condensé d'émotions .

Reste le goût du chocolat, même pas...

Extrait : "Comment est- ce l'Europe ? "demande un jour Eleanor à sa tante Alma -"-- C'est ancien" ---

Voilà , nous restons sur notre faim , si j'ose dire ,....

" Tout jeu est un être joué. "

" Le mystère divin de la vie est sa simplicité ..."
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Pour l'amour du chocolat

En Suisse, Adrian Troadec est prêt à tout pour Alma Trapolyi la femme dont il est amoureux, même ouvrir une boutique de chocolat. Mais ce ne sera pas suffisant, Alma pourtant en choisira un autre et partira pour l'Amérique. Mais Adrian est tenace.

Ce petit livre de 147 pages très très aérées, a l'allure d'un conte au goût de chocolat pas assez corsé à mon goût!
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Pour l'amour du chocolat

Et par curiosité, seulement par curiosité, il décida de continuer à vivre



100 petites chapitres. Quelques morceaux de vie.



Adrian, de la musique, aux échecs et enfin au chocolat pour séduire Alma.



Alma et son violoncelle, son dédain, son mariage avec un autre, un Mel aviateur étasunien. Alma plus tard aimée.



Eleanor la nièce, « Quand elle arriva en Suisse après son premier voyage d’adulte en avion, elle vomit sur le ciel helvétique ».



Des musiques en morceaux, des instruments en déshérence ou en possible renaissance.



Becki, le jazz et George, la paternité, Eleanor.



Et d’autres, bousculé-e-s par les violences du siècle.



Une construction qui semble simple, entre épisodes de vie, espoirs et lettres.



Et derrière ces petits paragraphes…



La maladie et la claudication.



La lancinante répétition des mort-e-s.



Chocolats, échecs et musique.



Derrière le sucré chocolaté, la montée du fascisme, l’incarcération d’Al Capone, l’élection de Roosevelt, le Reichstag incendié, la collectivisation forcée stalinienne, la grande dépression, « et la Suisse semblait préservée comme une île vierge à l’abri des mauvais vents », Pearl Harbor, la seconde guerre mondiale, les persécutions raciales, des Espagnols exilés après la guerre civile, la prise de l’Albanie par Mussolini, les Balkans, l’abolition de la ségrégation raciale aux États-Unis, Gene Kelly et New York, New York, un poème de Whitman, Psychose, le droit de vote enfin acquis des Noirs, etc.



Les immigrations et les identités toujours mouvantes et recomposées.



Guliano et l’étude du violon. Sa mort « le 21 juillet 2001, à vingt-sept ans, sur une place de Gênes ».



100 chapitres sur les brisures des êtres et du monde.



Une lecture polyphonique des échecs, des douceurs et des sens.



« De ma fenêtre, je regarde le lac Léman. Presque plus personne ne joue aux échecs ».
Lien : https://entreleslignesentrel..
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Pour l'amour du chocolat

La seule raison qui m'a poussée à terminer ce livre est sa concision : une heure de lecture à tout casser...

Pour le reste, aucun intérêt !

Et d'abord le titre qui laisse supposer des délices, des effluves, des saveurs exquises, des secrets de fabrication, de la gourmandise... mais rien ! Juste l'histoire d'un type qui, par hasard, devient le plus gros fabricant suisse de chocolat, alors pourquoi ce titre quand on ne parle de chocolat que de façon anecdotique ???

Pour l'histoire, le XXème siècle et ses soubresauts sont condensés en 180 pages (voire 1/2 pages) au cours desquelles se déroule en accéléré la vie d'une (petite) famille, qui subit son lot de bonheurs et de coups du sort : l'auteur semble nous dire qu'au regard de l'histoire, les malheurs des gens ne pèsent pas bien lourd... Soit, mais encore faudrait-il que ces gens éveillent en nous un intérêt quelconque : les personnages agissent (ou n'agissent pas) mais aucune épaisseur psychologique dans ces portraits qui ne peuvent ni attacher ni émouvoir.... Quant à l'écriture, rien à en dire, elle est purement factuelle.
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Pour l'amour du chocolat

A travers l'histoire d'amour contrariée d'Adrian Troadec et Alma Trapolyi, entre la Suisse et les Etats-Unis, José Carlos Carmona évoque le XXème siècle et beaucoup des bouleversements qui l'ont agités. De la Seconde Guerre Mondiale, à la lutte des droits civiques aux Etats-Unis en passant par la Guerre civile espagnole.



L'écriture est simple, et avec cete simplicité, l'auteur parvient à toucher à des réalités sensibles avec une justesse étonnante. Les chapitres très courts sous forme de vignettes facilitent la lecture de ce roman déjà bien court.



Le problème de ce roman, c'est qu'il y a beaucoup de choses qui s'enchaînent de manière artificielle, comme en passant dans un poème surréaliste. On ne voit pas toujours bien les liens entre les personnages et les évènements historiques. Comme avec le surréalisme, le fond du problème est peut-être qu'en réalité il n'y a pas de lien.

Pour moi il m'a manqué plus de développements, de la profondeur dans la réflexion, dans la construction des personnages et leur rapport au monde.



C'est dommage, mais j'ai au moins eu le plaisir de lire en espagnol. C'est toujours mieux que rien !
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Pour l'amour du chocolat

Je l’avoue. C’est le titre plus que toute autre chose qui a attiré puis retenu mon attention. C’est donc en imaginant qu’il allait être question de chocolat, même si le quatrième de couverture parlait aussi d’amour, de musique, d’années qui défilent, que j’ai entamé la lecture du premier roman de l’Espagnol José Carlos Carmona.



Si le chocolat est bel et bien présent dans Pour l’amour du chocolat, il n’a ni les effluves, ni les parfums, ni les teintes, ni les textures qui auraient dû être les vedettes d’un roman qui porte sur le chocolat et l’amour qu’il suscite. Ce qui m’a beaucoup déçue, même si je me suis laissée prendre au jeu de cette histoire qui se déroule sur deux continents à la fois pendant une quarantaine d’années. Une histoire qui, de plus, ne fait pas dans les détails, et nous précipite, d’un court chapitre à l’autre, vers une fin annoncée par le premier chapitre, où la nièce de celle qui fut l’épouse (après l’avoir dédaigné malgré son talent pour les échecs et à la suite du décès de son mari responsable de sa traversée de l’Atlantique) de celui qui fit fortune dans le chocolat rencontre enfin son oncle.



C’est donc partagée que je me trouve à l’heure d’écrire quelques lignes autour de Pour l’amour du chocolat, qui d’une part répond aux promesses faites par le résumé, mais pas à mes propres attentes.



Il s’agit donc d’un livre pour ceux qui aiment les romans plus factuels que tissés par les émotions, et qui, maintenant avertis, ne s’attendront pas à saliver devant des étalages de pralines et autres gourmandises qui brillent par leur absence.
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Pour l'amour du chocolat

Suisse, début des années 20, Adrian Troadec est un livreur de lait sans instruction lorsqu’il tombe fou amoureux d’Alma Trapolyi, fille d’un chef d’orchestre et violoncelliste de grand talent. Prêt à tout pour séduire la jeune femme qui reste insensible à son charme, il se met en tête d’apprendre la musique puis les échecs pour se rapprocher de son père et de l’objet de son amour.



En vain. Mais en découvrant son amour pour le chocolat, il décide d’ouvrir une chocolaterie, espérant qu’enfin la jeune femme éprouve les mêmes sentiments que lui.



Je vous avoue que c’est bien évidemment ce titre très gourmand qui m’a attiré en premier lieu, la quatrième de couverture promettait une saga familiale savoureuse et mouvementée. Mouvementée elle l’est car en seulement un peu plus de 160 pages très aérées, José Carlos Carmona que je découvre ici, fait pleuvoir les rebondissements.



Savoureuse, elle ne l’est pas et c’est bien dommage. Un titre tellement alléchant promettait des saveurs, des effluves de chocolat, des secrets de fabrication… en un mot de la gourmandise et il n’est est rien ! Adrian devient totalement par hasard le plus gros fabricant de chocolat sans avoir pour autant la passion du chocolat.



Le schéma narratif est quant à lui un peu particulier puisque le récit est découpé en cent chapitres d’une dizaine de lignes à deux pages chacun qui croquent les personnages, leurs évolutions et leurs péripéties avec une économie de phrases et de mots qui assèchent un peu trop le récit à mon goût mais ce n’est pas vraiment ça qui m’a gênée.



Lire la suite...
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Pour l'amour du chocolat

Trop de personnages qui déboulent trop vite dans cette histoire ; trop d'évènements relatés qui n'amènent rien au récit, si ce n'est à le délayer et à le rendre insipide.



Dommage, l'histoire aurait pu être intéressante si elle avait été traitée avec moins de précipitation pour nous laisser déguster les effluves de la musique et du chocolat réunis.



Il n'y a finalement que la photo de couverture que j'apprécie dans ce livre.
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Pour l'amour du chocolat

Adrian Troadec, contrairement à ce que ce patronyme laisserait supposer, est citoyen Helvète. Nous faisons sa connaissance en 1922, année de ses dix-huit ans, dans sa bonne ville de Lausanne. Profession, livreur de lait. Un jour, sa route croise celle d'Alma Trapolyi.



Joueur d'échecs, Adrian Troadec élabore moult stratégies pour conquérir la belle avant de découvrir que le chocolat sera sa planche de salut. Mais de maladresses en rendez-vous manqués, la vie en décide autrement. L'année même où il ouvre sa première boutique, Le Petit Chocolat Troadec, Alma embarque pour l'Amérique.



Et sur l'échiquier du monde les petites histoires rencontrent alors la grande Histoire. De voyages en exils, d'airs de jazz en morceaux classiques, de morts en naissances, l'auteur tisse une toile dont Adrian Troadec et sa chocolaterie restent le centre.



Une jolie déclinaison des thèmes universels, l'amour, la fuite du temps, la transmission, le hasard, sur fond des grands événements du XXe siècle. Un condensé des hommes et du monde mené avec maestria.




Lien : http://moustafette.canalblog..
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Pour l'amour du chocolat

Un livre à lire d'une traite (c'est comme les chocolats : dès qu'on a commencé la boite, on veut la finir...).

L'entrelacement des histoires dans l'Histoire accroche le lecteur. L'emploi des temps (passé, passé antérieur, futur, conditionnel) lui donne une saveur certaine.
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Pour l'amour du chocolat

"Pour l'amour du chocolat" de José Carlos Carmona est un petit livre magique, qui a tout pour lui. Porté par le style vivace, net et précis de l'auteur, il se range facilement du côté des pépites du grand auteur Stefan Zweig, dont la bibliographie n'est plus à faire ! Dès les premières lignes, José Carlos Carmona rend le lecteur absolument dépendant de sa lecture et il n'est pas étonnant qu'il termine cet ouvrage en une heure ! L'un de ses points forts est donc le suivant : sa capacité à happer le lecteur dans son monde, à le faire s'attacher à ses personnages et à trembler pour eux. Car nous pleurons avec eux, nous rions avec eux, nous aimons avec eux. Un condensé d'émotions pures desquelles transparaît une forte sincérité. 



Quant au chocolat ? C'est une autre affaire. Il n'est qu'un élément capital dans l'histoire, et non pas une quelconque entité, omniprésente au fil des pages. Nous savons qu'il est là et que grâce à l'amour que nous lui portons, - d'où le titre - il peut rassembler des cœurs, mais il n'apportera pas au lecteur, le délice et l'ivresse tant espérés. Dommage, c'est le seul point négatif à ce petit bijou littéraire qui nous permet néanmoins de saluer avec brio le talent de l'auteur !
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Pour l'amour du chocolat

Une saga d'amour, d'Histoire et (un peu seulement) de chocolat

Je m'attendais à une savoureuse et onctueuse saga romanesque aux accents épicés et cacaotés. J'ai été surprise par l'aspect très télégraphique des chapitres et surtout ..par le manque de chocolat! En effet, si la fabrique de chocolat est un fil rouge, il est très ténu et le lecteur n'a pas le plaisir de découvrir l'univers gourmand que le titre et l'illustration de couverture semblaient promettre. En même temps, la brièveté des chapitres fait que l'intrigue avance vite et efficacement. Les faits, rien que les faits, pas de place pour des longueurs et les évasions inutiles!



On se balade entre deux continents, entre deux parties d'échecs, de désillusions amoureuses en conflits mondiaux, de sentiments cachés en retrouvailles émouvantes, le tout en accéléré. Juste le temps d'apprécier un personnage qu'il a déjà vieilli de vingt ans ou pire. La sobriété et la légèreté peuvent vraiment plaire, une fois le lecteur averti.



Un court roman qui se lit très vite mais qui laisse vraiment sur sa faim, frustrant les gourmands !
Lien : http://petitesmadeleines.hau..
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Pour l'amour du chocolat

Dense et irrésistible comme du chocolat noir
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Pour l'amour du chocolat

pour l'amour du chocolat aurait du s'appeler pour l'amour d'une femme car je m'attendais à une saga familiale autour de cette friandise alors qu'on suit leurs péripéties dramatico-tragique au début 20ème siècle. le chocolat restant le point de départ mais ensuite peu présent, je me suis sentieflouée sur la marchandise.
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Pour l'amour du chocolat

Quand l’amour du chocolat et l’amour de la musique se croisent cela donne « Pour l'amour du chocolat » de José Carlos Carmona, un roman où les destins s'entrecroisent.

J'ai trouvé ce livre tellement plaisant que j'ai eu envie de l'offrir à ma mère. La ponctuation de l'histoire d'une lignée par le repérage d'éléments historiques, politiques ou culturels est vraiment bien et bravo pour l'excellente traduction.

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Pour l'amour du chocolat

Entre Lausanne et l'Amerique, une histoire d'amour familial. Texte très court, consit lecture très facile
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Pour l'amour du chocolat

une belle histoire d'une vie qui traverse des périodes sombres de notre époque mais sans pathos, une peinture des "hypocrisies" de l'âme humaine mais sans noirceur.....il se dévore tout simplement (comme le chocolat)
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Pour l'amour du chocolat

Critique de Juliette Einhorn pour le Magazine Littéraire



Cela s'appelle avoir de la suite dans les idées. Adrian Troadec, le héros de Pour l'amour du chocolat, mettra trente et un ans à séduire Alma, la femme qu'il aime. Pour lui complaire, il sera devenu champion d'échecs, rien de moins, avant de fonder une fabrique de chocolat. Leurs aventures se déploient au fil d'une traversée drolatique du XXe siècle, synopsis tragi-comique qui réduit les faits à leur plus simple formulation. La destinée y balance les événements, petits drames et grandes joies, comme des projectiles phénoménologiques, inscrits dans un enchaînement arbitraire et désacralisé de causes à effets, à mi-chemin entre Ionesco et Duras.



Après trois décennies passées aux États-Unis, où son frère l'a rejointe, reconnaissant au passage l'enfant d'un autre, Alma rentrera en Suisse épouser son amoureux transi le temps de deux chapitres, avant que son sort soit scellé en une ligne et demie. Adrian songera au suicide, avant de décider de poursuivre l'aventure, « par lâcheté et par curiosité », des fois que... L'avenir lui donnera raison, puisque sa nièce, Eleanor, sur laquelle s'ouvre le roman et qui aura mis cent pages à traverser l'Atlantique, décidera de le rejoindre. Elle saura trouver le bonheur, mais attention aux fruits empoisonnés... Les efforts convergents de tous les personnages seront dissous en une demi-seconde, le temps d'une catastrophe absurde et fulgurante.



Succession de séquences fragmentaires agencées sous la forme d'un feuilleton sucré salé, ce roman fondé sur des faits réels a reçu le prix de l'Université de Séville et déclenché un véritable engouement dans la péninsule Ibérique. Il célèbre le rire énorme, tonitruant, du désespoir absolu et sans importance, laissant dans son sillage une fragrance fort pénétrante, celle de « l'histoire, des souvenirs et des espoirs ».
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Pour l'amour du chocolat

Une généalogie racontée de manière très simple et courte, sous forme de 100 "points". Le lien avec le chocolat est très subtil, il est plutôt le fil conducteur, le roman traitant principalement de la poursuite de ses rêves, de la quête du bonheur et de la capacité à le reconnaître quand il est là. L'absurdité de certains événements et des répétitions m'ont un peu dérangée. Rien d'exceptionnel...Je suis un peu restée sur ma faim avec la fin du livre...
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Pour l'amour du chocolat

C'est un curieux petit roman qui retrace une saga familiale sur près de 80 ans. En Suisse et en Amérique, l'amour, le chocolat, les échecs, la musique, réunissent et séparent les protagonistes.

L'auteur écrit de très courts chapitres, quelques lignes où seuls les faits sont rapportés, sans emphase, petites tragédies et grands bonheurs s’égrainent ...

Une surprise littéraire, un chocolat noir qui peut surprendre par son amertume ...

A déguster sans modération.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr/
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