Julien Artigue

C’est l’été, Zoé est partie en forêt avec sa copine Nina cueillir des mûres. Mais cette dernière doit partir précipitamment et Zoé décide de ne pas la suivre. Alors que son vélo a déraillé et qu’elle commence à avoir peur, elle va rencontrer un homme ressemblant à un yéti. Zoé devient alors curieuse : qui est cet homme et pourquoi cet aspect ? Où vit-il ? Alors que la mère de Zoé lui passe un savon lorsque qu’elle raconte son histoire, la jeune fille va finalement essayer de se rapprocher de lui…



Je n’avais jamais lu mais avais déjà entendu parler de l’éditeur jeunesse le Muscadier qui revendique haut et fort s’adresser « à tous les lecteurs qui résistent encore à l’asservissement des esprits ». Certes, des faits de société sont abordés ici comme l’écologie ou l’importance du regard sur le physique des gens mais je trouve les mots un peu forts quand même. En tout cas, je suis contente d’avoir lu ce roman de la collection « rester vivant » et je remercie l’éditeur et Babelio pour cette découverte dans le cadre de l’opération Masse critique jeunesse/jeune adulte.

Sur un thème très actuel un bon petit roman plein d'humour.



Inès rêve (évidemment) d'avoir un téléphone portable, et si possible le tout dernier Byphone. Trop jeune, trop cher, et surtout, ses parents sont contre l'usage immodéré de cet appareil.

Quand elle passe en 6e, elle espère avoir gagné la partie, et oui, ses parents se décident, mais ... en lui donnant le vieux téléphone de sa grand-mère.

Que faire d'un appareil qui ne vous permet ni de prendre des photos, ni de surfer sur Internet, ni même de communiquer avec les copains ? Et qui en plus vous met la honte si vous le sortez devant les autres. Juste permettre aux parents de rester en contact, seulement le mauvais côté pour Inès. Des parents qui ne semblent pas se douter de l'impact de l'avis des autres au collège.



Jusqu'au jour où elle découvre l'objet de ses rêves, curieusement installé subrepticement dans son cartable. D'où peut-il provenir ? Le rendre est la solution la plus évidente, mais à qui ? Et puis, il est si chouette.



De méprise en malentendu, sa vie frôle l'enfer, le rêve se transforme en cauchemar.



Quelques invraisemblances, mais en plus d'un tableau très réaliste de la 6e, une bonne réflexion sur l'impact de cet appareil, indispensable à tout collégien. Inès est une gamine plutôt responsable, et malgré quelques idées parfois saugrenues pour arriver à ses fins, son bon sens l'emporte souvent.



On s'amuse bien avec cette lecture, et c'est une jolie peinture du collège et des jeunes collégiens. Je pense que ça va bien leur plaire, les amuser, et les faire aussi un peu réfléchir.


Lien : https://livresjeunessejangel..

Dans le cinquième titre de cette série, mettant en scène Lucas et ses amis Élisa, Bastien et Nico, il est question de déguisements. Il est vrai que ce titre sort début février 2021 alors que le mardi gras tombe cette année-là le 16 février. La préparation du Carnaval est le motif du récit. La chute m'a vraiment déplu. Faire attribuer le prix du meilleur déguisement par la maîtresse à celle qui se déguise exactement en elle et en plus voir la gagnante réclamer comme récompense une dictée tous les jours de la semaine est d'un très mauvais goût et pas seulement pour les enfants du récit. La pointe d'humour, dans la phrase qui suit l'annonce de cette proposition passera d'ailleurs totalement inaperçue aux jeunes lecteurs ; il s'agit de « Quoi ? Des dictées ? Tous les jours ? Et pourquoi pas de l'orthographe tant qu'elle y était » (page 115).



Personnellement je doute fort que « Laisse-moi tranquille et occupe-toi de tes oignons » soit à classer dans la catégorie des proverbes, comme l'auteur le décrète ; on aurait gagné non seulement à expliquer le sens de celui authentique cité, à savoir « C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase » mais en donner au moins deux autres véritables comme « on ne vend pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué ». Quant à la définition d'un proverbe donnée page 11, elle est non seulement indigente mais totalement inexacte. La voici : « un proverbe c'est une phrase bizarroïde », il aurait était bon de partir, pour la vulgariser vers un public de jeunes enfants, de cette définition : « formule présentant des caractères formels stables, souvent figurée, exprimant une vérité d'expérience ou un conseil de sagesse pratique ».



De plus j'ai vu avec un enfant de CE2 l'immensité de mots ou expressions à expliquer ; ceci en fait tant dans les registres familier, courant et très ponctuellement soutenu. Il est d'autre part déjà bien difficile d'expliquer une expression et de faire mémoriser son sens à un jeune enfant, modifier cette expression me semble un procédé qui n'apporte rien. le jeune lecteur sera totalement hermétique à l'humour qui entend passer et n'apprendra pas l'expression authentique. Voici quelques exemples : « me faire cuire un boeuf » (page 45), s'en moquer comme de sa première cheville (page 65), yeux de sphinx (page 76).



Bref l'auteur a fait ce livre pour se faire plaisir et je ne doute pas qu'il se soit bien amusé à l'écrire. Rappelons qu'un livre appartient aussi à ses lecteurs et je regrette que Julien Artige n'ait pas donné à ces derniers plus de moyens pour qu'ils se l'approprient. Je ne connais pas cette série et j'espère que ce récit est conçu dans un esprit carnavalesque qui ne se retrouve pas dans les autres volumes. Les ouvrages documentaires chez Gulf Stream sont toujours d'une exceptionnelle qualité tant par le choix des thèmes que par la façon de les traiter, ma déception envers ce récit de fiction n'entame en rien la bonne image globale des productions de cet éditeur.

Ce petit livre est une façon ludique et amusante d'expliquer aux enfants ce qu'est ce mouvement populaire qui est un droit pour tous : la grève. Non seulement, il leur explique le procédé, mais il leur faire aussi prendre conscience qu'il faut bien choisir ses revendications, et qu'un système en place n'est pas à 100% mauvais.

Bien sûr, le texte est écrit de façon simple, pour se mettre à la portée des plus jeunes lecteurs.
Lien : http://www.lalecturienne.com..

La bonne nouvelle vient de tomber, le jeudi 9 novembre, Mme Lafrape, la maîtresse de la classe de cm2 va faire grève. Les enfants sont ravis et ils se remémorent les anciennes grèves et ils ont hâtes, vont-ils être gardé par Viviane ou la maman de Nico ?



Finalement, non ils ont la chance d'avoir la piscine municipale rien que pour eux. Les bambins vont s'en donner à cœur joie sauf que le lendemain arrive vite et c'est très difficile de reprendre son quotidien d'élève. Très très dur même, alors c'est décidé ils vont eux aussi se mettre en grève sauf qu'ils ne savent pas vraiment en quoi consiste la grève, ils vont avoir une explication de leur maîtresse qui va indiquer qu'ils ont oublié qu'elles étaient leurs revendications, ils vont donc se concerter et écrire des requêtes.



La maîtresse va lire ces demandes et propose de mettre en place ces nouvelles règles dès le lundi...



La grève des enfants est une histoire drôle mais aussi intéressante sur la notion de grève et j'ai beaucoup aimé le personnage de Mme Lafrape, qui en allant dans le sens des enfants va leur montrer pourquoi il existe des règles tant dans la vie quotidienne (alimentation, sport...) que scolaire (système de notes, différentes matières)...



Pour finir, une petite revendication : je souhaite vite retrouver la plume de cet auteur.

Qui a dit que la parole de l'enfant n'était pas entendue? La dessus, Mme Lafrape, s'était montrée exemplaire.

A l'écoute et pédagogue, la meilleure des maîtresses pour l'ensemble la classe. Elle avait entendue. Nico et Bastien se sont encore battus pendant la récré- il vaut mieux que Mme Lafrape l'ignore- mais ils étaient d'accord.. Elle qui se saisissait parfois de la grève, pour une raison qui échappait encore à la classe et offrait delà de bien meilleurs temps créatifs que les cours de mathématique et de français, Mme Lafrape s'était très ouvertement enquis de la feuille de doléances de la classe et dans un geste de parfaite compréhension, avait décidé de participer à cet élan vers l'épanouissement général.

Si les adultes pouvaient s'arrêter de travailler pour cela, la classe des CM2 pouvait prétendre à ce droit de grève pour dire non aux cours barbants, non à tous les légumes verts de la cantine et beaucoup plus de piscine.

Mme Lafrape promit que dès lundi, les choses seraient telles que la classe l'avait rêvé mais en mieux et quelle était aussi ravie car cela lui ferait aussi moins de travail.

Jeux à gogo, frites et beignets à volonté à la cantine! C'est quand même chouette la grève pour les enfants!



 



: Julien Lartigue se sert du droit fondamental d'expression qu'est la grève pour pondre une comédie plutôt amusante avec des enfants. La chose uniquement vue par la lorgnette des petits CM2 de Mme Lafrape donne un joyeux bazar. Ne le nions pas, un professeur absent et un jour de grève ont toujours pour les enfants résonné comme de grandes journées de récréations améliorées saluées par des Youpi et Hourra non dissimulés.

Que perçoivent les enfants de ces événements qui contraignent leurs professeurs d'école à les "abandonner" pour une journée?

Les petits héros de Julien Lartigue qui détestent l'école se montreront bien plus gourmands et réclameront des journées idéales sans contraintes, selon leurs plaisirs et leur bon vouloir parce que l'école et les cours de Mme Lafrape, c'est nul !.

Mme Lafrape saisira tranquillement la balle au rebond afin de leur faire entrevoir doucement quelques réalités à leur niveau.

L'auteur offre une perspective des choses perçues par des enfants plutôt amusante-et pas si éloignée de la réalité, vue par eux, on en conviendra- et les énergies déployées pour les garder ou « martyriser » à coup de leçons ennuyeuses sont traitées avec beaucoup de dérision et humour.

Mme Lafrape et le personnel de l'école se régalent de cette gentille facétie au final très instructive sur la bonne alimentation, la valeur des notes, l'importance des cours dispensés et la nécessite de respecter des règles dans une école, une leçon pétillante et exit de culpabilisation. Accessible, léger, drôle et intelligent.

Le portable que j'ai gagné !

Inès est en 6ème. Elle est malheureuse car elle ne peut pas avoir un téléphone.

Ses parents sont vraiment catégoriques ! C'est non : elle ne peut pas avoir son portable. Mais Inès n'a pas fini d'être surprise.

Ce livre est fantastique. Je suis très bien arrivé à le lire et j'aime trop le prénom de la fille et la fin de l'histoire est super.

Mariela

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C'est mon rêve

Inès veut tellement un super téléphone qu'elle en veut à ses parents de refuser. Un jour, elle se trompe de sac et trouve à l'intérieur le portable de ses rêves. Elle n'ose pas le dire à ses parents. Elle reçoit un message inconnu... Que va-t-elle décider ?

J'ai aimé ce livre car moi aussi je voudrais avoir un iphone. Quand elle reçoit des messages inconnus, ça fait un peu peur.

Encore un roman jeunesse sur la première guerre mondiale, allez-vous peut-être dire ! En tout cas, c'est ce que je me suis dit. Et pourtant, et pourtant, ils sont tellement doués nos auteurs jeunesse que ça fonctionne encore !



Il faut dire qu'ici il y a deux angles nouveaux : c'est vu du côté américain et puis surtout c'est centré sur Stubby, chien héros des tranchées. Et alors ça, c'était une vraie nouveauté pour moi. Si je savais que les chiens, chevaux et autres animaux avaient joué un rôle important lors de cette guerre, c'est la première fois que j'en lisais un récit.



C'était très intéressant, une mine pour les enfants pour apprendre sur la vie des tranchées mais également du voyage des américains jusqu'en France. Un vrai cours d'histoire. Les faits, les morts et les blessés ne sont pas cachés mais c'est adapté pour les 10-11 ans. Stubby apporte le côté mignon qui plaira aux enfants (mais aussi aux plus grands^^). Et quand on pense que tout est vrai !



Je recommande très chaudement !



PS : super également les petites info en fin de livre sur le "vrai" Stubby.

Un gentil petit roman jeunesse qui se lit très vite. Agréable, frais, moderne, il ravira les jeunes collégiens. Une histoire à suspens où l'objet le plus important pour les jeunes (ou beaucoup moins jeunes !), LE PORTABLE, tient le rôle principal.

C'est un thème d'actualité pour lequel beaucoup de parents se questionnent à juste titre. A quel âge peut-on autoriser l'usage du téléphone portable ? Mon enfant est-il assez mur, responsable pour avoir un portable ? Quels peuvent être les dérives ?



L'histoire pleine de quiproquos va entraîner la jeune Inès, élève en 6ème, dans une spirale très stressante pour elle. Alors, même si j'ai découvert très tôt la réponse à l'énigme, je pense que ce livre plaira à ma fille de 11 ans et au public jeunesse car il est assez bien écrit, simple sans être gnangnan, rythmé.

Adapté je pense aux 10-13 ans.



Merci à Babelio pour ce masse critique, à l'auteur Julien Artigue et les éditions ScriNeo.

C'est lors d'une Masse critique que j'ai reçu cet ouvrage. Les éditions Scrinéo sont souvent des ouvrages de qualité mais là, je suis un peu déçue voire mitigée sur ce petit roman.

Le thème : une jeune fille qui veut un téléphone portable (comme l'ensemble de ses camarades), qui voit son souhait refusé par ses parents et qui un jour trouve un portable dans son cartable...sujet banal !

En découvrant ce portable, Inès s'imagine tout une histoire complètement loufoque ( quelqu'un lui aurait mis ce téléphone dans son sac mais se serait trompé, elle ne reconnait pas les personnes qui lui envoient les message)...bref toutes une série de coïncidences assez invraisemblables se déroulent..

Quant à la fin, Inès fait preuve d'une grande maturité pour une jeune fille de son âge...maturité qui va en opposition avec tout le reste de l'histoire.

Bref, décevant !

Toutefois, c'est facile à lire et devrait plaire à certains lecteurs..quoique.

Droits de l’enfants chez Oskar Editeur, c’est une petite collection que j’apprécie beaucoup ( et mes élèves aussi ) . En effet, c’est l’occasion à chaque court roman d’aborder des thématiques très variés et réalistes sur le thème des droits de l’enfant.



Dans Papa, l’argent et moi… c’est une adolescente de onze ans qui confie, à travers de nombreuses lettres à sa mère, comment son quotidien vire au cauchemar lorsque son père se met à ne plus penser qu’à une chose : l’argent ! Le père veut faire des économies sur tout, s’invente des excuses auxquelles sa fille ne croit bientôt plus et surtout qu’elle trouve injustes et incompréhensibles car ce papa a une bonne fiche de paie ! Un vrai mystère que la jeune fille va essayer d’éclaircir ( et nous avec ) tout en se confiant sur les bouleversements de sa vie quotidienne.



Papa, l’argent et moi… est un roman touchant qui parle bien du basculement dans la précarité pour une jeune fille habituée à un quotidien plus joyeux : restaurants, cinéma, belles vacances, beaux vêtements, jolie maison,…tout cela n’est bientôt qu’un lointain souvenir lorsque son père commence, après le départ de sa mère, à devenir radin. Le lecteur découvre les répercussions de cette situation sur le quotidien de la jeune fille mais aussi son impact sur son esprit et son rapport aux autres ( elle s’éloigne de ses amis).



J’ai trouvé que la situation était très bien décrite par Julien Artigue. Le lecteur va aussi suivre les investigations de l’adolescente pour comprendre ce qu’il arrive au père de famille. La révélation n’est pas vraiment une surprise pour un lecteur expérimenté mais je ne m’attendais pas forcément à quelque chose d’original puisque l’idée de cette collection est d’aborder les tracas du quotidien et pour le coup c’est très bien évoqué ! Je regrette simplement que l’auteur n’est pas davantage expliqué la fuite de la mère de famille, qui me semble assez incompréhensible et égoïste quand on voit dans quelle situation elle a laissé sa fille : cela aurait pu être mieux abordé.
Lien : http://www.lirado.fr/papa-ar..

Inès rêve d'avoir, comme tous ses amis, un téléphone portable. Pas de chance ! Ses parents sont contre. Aussi quand elle découvre un vendredi soir, dans son propre sac un Byphone tout neuf dernier cri, elle hallucine et se demande qui a bien pu se tromper de sac. Elle est tentée et décide de le garder pour le week-end. Mais très vite, elle sera déçue. Le portable a un code secret. De plus, la valeur de l'objet l'angoisse. Mille euros, cela représente beaucoup d'argent pour sa famille et puis elle a peur d'être prise pour une voleuse. Des nuits sans dormir !

Un petit livre sur un sujet primordial pour les enfants, avoir un portable en sixième. Ici le thème est traité de façon purement humoristique.

Le sujet est très intéressant, écologique et militant à souhait, mais le récit manque un peu de rythme. Et peut-on faire croire aux enfants que tous les problèmes peuvent se résoudre via facebook ?...

Une courte histoire très drôle, en même temps qu'une petite explication sur la grève, pourquoi, à quoi ça sert.



Bastien et ses copains n'aiment pas, mais alors vraiment pas l'école ; du moins les temps entre deux récréations.

Quand leur maîtresse les avise qu'elle sera absente pour cause de grève, bien entendu, tout ce qu'ils entendent, c'est l'absence, et ils sont ravis.

Dommage que ça passe vraiment trop vite (du moins de leur point de vue, car les avis des quelques adultes qui ont pu les garder tous pendant les grèves précédentes sont assez différents)

J'ai aimé d’ailleurs ce récit des jours de grève précédents, tout en humour, sans insister, mais où l'on devine fort bien la lassitude des adultes.



Et donc si la maîtresse a eu le droit de s'absenter pour cause de grève, pourquoi les élèves n'en feraient-ils pas autant à son retour ?

Très intelligemment, la maîtresse va fort bien jouer le jeu :

Vous voulez faire grève, pas de problème, mais quelles sont vos revendications ?

Ah, ne pas aller en cours ne suffit pas ?

Les élèves ne peinent pas pour trouver des tas de choses à corriger.

Et la maîtresse de leur promettre que tout va s'arranger selon leurs souhaits : ne pas travailler de toute la journée, manger tout ce qu'ils préfèrent, faire du sport tout l'après-midi....

Est-ce finalement si bien que ça ?



Un humour léger, une belle démonstration. Facile à lire et vraiment drôle.

Un auteur à suivre...

Le livre m'a bien plu zéro défaut pour moi il est très pacionnant aventure peu de suspens amusant avec les personnages qui joue la scène les émotions recenti par les personnages sont très varié,je vous conseil vivement de lire ce livre.



Tiripou🐵

Ce qui m’a plu dans l’histoire c’est la petite idée pour avoir le portable de ses rêves. Les personnages que j’ai apprécié le plus : le personnage principal et son ami Alex. Les actions que j’ai trouvé les plus marquantes c’est quand elle est restée seule au collège. C’est un bon livre très amusant.

Armony

Un livre à faire peur



Julien Artigue est l'auteur du roman le portable de mes rêves.

Une fille nommée Inès essaie de convaincre ses parents d'avoir un portable mais malgré tous ses arguments, ses parents ne veulent pas.

Elle décide donc de préparer un plan pour convaincre ses parents d'avoir un portable. La première étape est d'inviter ses amis pour l'aider à convaincre ses parents. le plan va mal tourner car les amis d'Inès vont rester sur leur portable toute la soirée. Cela conforte les parents d'Inès dans leur idée à ne pas lui acheter de portable. Or, un jour, Inès se retrouve toute seule en permanence et alors qu, elle cherche un livre dans son sac, elle y trouve un portable un « byphone 12 » le tout dernier. À qui est-il ? Elle décide de le garder. Quelques jours plus tard, après avoir réussi à charger le téléphone, elle reçoit un message bizarre lui demandant si son nouveau téléphone lui plaît sans savoir qui était l'auteur de ce message… Inès commence à s'inquiéter.

J'ai aimé ce livre car il y a beaucoup de suspense jusqu'à la fin.



Matthéo



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Un téléphone à tout prix !!



«Le portable de mes rêve » est un roman écrit par Julien Artigue.

C'est la rentrée en 6ème et Inès rêve d'avoir son premier téléphone portable. Mais elle a beau supplier ses parents c'est toujours la même réponse : « NON ». Elle prévoit plusieurs plans pour convaincre ses parents mais aucun ne fonctionne. Un jour, Inès est dans la permanence toute seule, elle cherche un livre dans son sac et elle tombe sur un « byphone 12 » ! C'est le tout dernier téléphone. Inès décide de le garder tout le week-end, mais elle reçoit un message étrange comme si quelqu'un savait qu'elle avait ce téléphone. C'est ce jour-là que Inès commence à s'inquiéter. Mais que va-t-il se passer ?

J'ai apprécié cette histoire car il y a beaucoup de suspens, beaucoup d'actions et on pouvait toujours s'attendre à des surprises. de plus, ce livre montre qu'il ne faut pas avoir un téléphone trop tôt.

Je recommande ce livre pour ceux qui aiment l'action et le suspens, ceux qui aiment l'aventure et les petits curieux.



Lévie

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Le moins qu'on puisse dire est que les jeunes héros de cette histoire ont de la suite dans les idées ! Quand leur maîtresse leur annonce une surprise pour le lendemain, leur imagination s'emballe et il faut avouer que c'est assez drôle !

Si ce tome est loin d'être mon préféré dans la collection Premiers romans de Gulfstream, il reste plaisant et permet aux enfants d'avoir des héros auxquels s'identifier. Le texte est simple, la police d'écriture suffisamment grosse et aérée pour faciliter la lecture. Les illustrations sont également un petit plus non négligeable.

Je suis un peu partagée :



D'abord je n'ai pas apprécié que la couverture mentionne "avec des BD en anglais" alors que non, il n'y aucune BD là-dedans.

Une illustration (toutes les deux ou trois pages) avec une à trois phrases, même si celles-ci sont prononcées par des personnes différentes, ça ne constitue pas une BD, mais un roman illustré.



Or, c'est bien l'idée BD qui nous a incité à l'acheter, car c'est en général ce qui attire les petits lecteurs.



Le roman lui-même m'a plu.

Une petite histoire assez drôle, racontée à deux voix :

Bella est certaine de gagner le concours de mini-miss, organisé par sa mère qui a mis tout en œuvre pour la voir triompher.

Elisa, elle, est certaine de ne pas vouloir y participer, mais son père s'est "fait avoir" par la mère de la précédente et a inscrit Elisa sans lui demander.



Sauf que ... les concours de mini-miss étant interdit en France (depuis 2013 je crois), la mère a rusé, et organisé un pseudo concours de talents.

Et tout est parti en vrille, mais pourquoi ?

Et l'histoire ne va pas s'arrêter là !



On s'amuse bien, entre la prétention incroyable d'une, et l'indifférence de l'autre sur le sujet.



Pour ce qui est du niveau bilingue, j'ai beaucoup plus de mal à juger.



Je n'ai évidemment pas le niveau d'une collégienne en anglais. Je suis assez nulle, avec juste quelques restes de mes lointains cours.

Quelques phrases en anglais émaillent le texte, pas forcément compréhensibles mais pas vraiment gênantes pour suivre l'histoire.

Les dialogues me paraissent moins évidents, le langage parlé n'est pas ce qui est le plus facile à déchiffrer quand on débute.



J'espère pouvoir ajouter l'avis de quelques collégiennes (je n'ose même pas essayer de le proposer à des garçons) mais il est probable que les demoiselles de mon entourage ne vont pas avoir envie de faire l'effort de le lire !



En bonus, une version audio gratuite sur Chattycat.fr. Ce n'est pas négligeable pour une langue étrangère !
Lien : http://livresjeunessejangeli..

C’est un livre de Julien Artige édité par Scrinéo. C’est un roman d’enquête qui parle de téléphone…



C’est l’histoire d’Inès qui entre en 6ème et qui pendant les grandes vacances a supplié ses parents d’avoir un téléphone pour la rentrée mais sans succès. Un jour en permanence, elle découvre le dernier Byphone dans son sac! Elle est persuadée que quelqu’un s’est trompé et elle va attendre que le propriétaire vienne le réclamer...jusqu’à ce qu’elle reçoive des messages bizarres...A qui appartient ce téléphone? A vous de le découvrir...



J’ai très bien aimé ce livre, je trouve que c’est génial pour notre âge (11-12 ans). Il y a du suspense et en plus c’est un peu ma situation, je m’appelle Inès et je voudrais un téléphone.



INES