Citations de Julietta Suzuki (48)
_ Je suis content de t'avoir retrouvée. Trop mignonne ! Allez, viens, suis-moi !
_ Va t-en, sale pervers !
_ Hein ?
_ En effet, c'est bien elle... une vraie sauvageonne.
_ Il te fallait vraiment une preuve ?! Crétin, va !!
Lorsque je me remémore... Toutes ces années que nous avons passées ensemble... Je n'ai que de bons souvenirs...
Devenir humain, cela signifie vivre dans le monde des hommes. Et partager le quotidien de Tomoé devenu mortel ... Nanami... cela signifie... Que tu ne seras plus une déesse... Tu ne seras plus qu'une jeune fille normale.
Mon vrai corps est devant moi... Je suis venu pour ça ! Je n'ai pas à m'occuper d'une humaine... C'est sa faute, si elle est venue jusqu'ici ! Les faibles doivent mourir ! Mais alors ... Qu'est-ce que je suis en train de faire ?
Tu n'es pas en droit d'exiger quoi que ce soit. Que les choses soient claires, tu es mon esclave. Je dispose de toi comme je l'entends. Je pourrais te réduire en cendres si je le voulais... Alors remercie-moi d'épargner ta vie.
Ce n'est pas une maladie... Mais le signe d'une vielle malédiction. Il ne lui reste plus que sept jours à vivre, tout au plus.
- Tomoe...Sauve moi...
- Et merde !
Tomoé: La vie des humains est bien trop courte pour qu'on les empêche de la mener comme ils l'entendent. Alors, si elle choisit de rester avec lui, je ne l'empêcherai pas.
Kurama: Laisse-moi t'apprendre une bonne chose, renard ignare. C'est parce que la vie humaine est trop courte qu'il est important de leur dire ce que tu as à dire parce qu'après, il sera trop tard et tu le regretteras éternellement.
Tomoé: Tu peux rester ici, si tu veux. Moi, en tout cas, je rentre.
Nanami: Hein? Mais pourquoi je resterais ici toute seule?
Tomoé: Pour les beaux yeux de Jirô, tiens! Il semble beaucoup tenir à toi. Les hommes assez bêtes pour t'aimer ne courent pas les rues, alors ne le laisse pas filer.
Nanami: Grrr! Tu as raison, contrairement à toi, lui, au moins, il prendra soin de moi.
Tomoé: Je n'en doute pas une seconde. Il te traitera comme une princesse, étant donné qu'il te prend pour une nymphe céleste. Va le rejoindre si c'est ce que tu veux, je ne te retiens pas.
Nanami: C'est horrible ce qui vous arrive... je m'en veux tellement... pardon, tout est de ma faute...
Jirô: Ne pleure pas. Je n'aurais pas supporté de voir la femme que j'aime mourir devant moi, voilà tout.
Tomoé: Comme ça, au moins, je ne risque rien.
Nanami: Quoi?! Tu ne risques rien?! C'est plutôt à moi de dire ça! D'ailleurs, je vaais enfiler une autre couche de vêtements au cas où tu m'agresserais!
Tomoé: Bonne idée. Tu remues tellement dans ton sommeil que tu finis toujours à moitié à poil.
Nanami: Quoi?!! Mais comment tu sais ça, espèce de pervers?!!
Tomoé: J'y peux rien, moi, si tu es exhibitionniste. Enfin bref, au moins, tu seras en sécurité auprès de moi, ce n'est pas si mal...
Nanami: Et donc, cette personne à Izumo m'a appris que les sentiments amoureux des yôkaï étaient plus forts que les nôtres et qu'ils pouvaient aimer un être humain pour l'éternité même après sa mort. Sachant cela, il n'est plus question pour moi de mettre la pression à Tomoé.
Kayuko: Ah là là... qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre! Tu n'es vraiment qu'une imbécile. ça veut dire que les yôkaï sont fidèles en amour, c'est plutôt une bonne chose.
"Comme les yôkaï vivent plus longtemps, leurs souvenirs et leurs sentiments ne s'altèrent pas comme ceux des humains et leur amour peut ainsi traverser les siècles sans jamais périr. Aimer une personne et la désirer comporte tellement de risques pour un yôkaï."
Tomé: Toi... tu es encore amoureuse de moi?
Nanami: Hein? Euh... ben oui, je t'aime!
Tomoé: Ah bon.
Nanami: Mais tu sais, je ne me fais aucune illusion, j'ai bien compris que tu ne m'aimais pas, alors, surtout, ne t'en fais pas!
Tomoé: Il suffisait que Nanami sourie pour que je me sente rassuré. Je savais toujours où elle était et j'accourais auprès d'elle au moindre problème. Il ne se passait pas un jour sans que je pense à elle, même quand elle était loin de moi. J'ai toujours cru que c'était parce que j'étais son messager. A présent que je ne le suis plus, elle devrait être sortie de mon esprit, pourtant elle continue à m'obséder. Bon sang, mais pourquoi je pense autant à elle?!
Mizuki: Le fait que tu aies pactisé avec Nanami n'a rien à voir là-dedans. Si tu penses autant à elle, c'est parce que tu es amoureux tout simplement.
Kirihito: Ton corps est si chaud...
Nanami: Kyaaaah! Lâche-moi, espèce de sale profiteur! J'appartiens à Tomoé, alors ne t'avise plus de me toucher!
Nanami: T'as fini de faire le joli cœur?!
Tomoé: Qu'est-ce que tu as à rouspéter chaque fois que je touche une humaine? Je t'ai pourtant répété je ne sais combien de fois que les humaines ne m'intéressaient pas, toi y compris.
Nanami: Mouais... de toute façon, je ne te crois pas parce que je sais, moi, qu’autrefois, tu étais amoureux d'une fille humaine.
Nanami: C'est parce qu'elle t'a embrassé, c'est ça?!
Tomoé: Et alors? Où est le problème? Je ne suis pas devenu son messager que je sache. Je n'appartiens qu'à toi seule, alors cesse de t'inquiéter!
Nanami: ça te dirait qu'on sorte ensemble après les cours? On pourrait aller au parc et monter sur la grande roue.
Tomé: Non!
Nanami: Pourquoi?
Tomoé: Parce que je n'ai pas envie que tu m'embêtes en me déclarant ton amour, comme la dernière fois.
Nanami: Je te reconnais, tu es bien Tomoé!
Tomoé: Bien sûr que c'est moi! Tu t'attendais à voir qui?! Le père Noël?!