Asuza avait dans le volume précédent trompé d'une certaine manière sa petite copine officielle qu'est Rise. Cette tromperie marque une rupture des règles et de la sincérité de l'engagement qu'il avait fait envers Rise. De ce fait, un châtiment lui est préparé. Ran et Mori, les larbins de Nobunaga lui injecte un produit paralysant, son châtiment ? La fuite avec en poursuivant les folles furieuses de cette école de nymphos en manque. Une chasse à l'homme est ouverte. La fuite n'est pas facile, Asuza peut compter sur certains de ses amis garçons, Rise hésite, peut-elle vraiment donner son aide à un type qui ne la considère pas ? Et Nobunaga lâche ses fauves.
La course poursuite est longue, on ne sait jamais sur qui on va tomber au détour d'un couloir, si ce n'est une forte probabilité de lycéennes folles alliées. Ce volume est un peu plus mou que les précédents dans le sens où la péripétie est assez longue et surtout qu'on ne connait pas la fin mot de l'histoire. On découvre de nouveaux personnages tout autant sadique et pervers les uns que les autres.
Ce volume confirme cependant une chose, ce manga bien que complètement irréaliste et à prendre au quatrième degré donc une image de la femme assez naze. Certes on rigole, les situations sont tellement décomplexées et impossibles qu'on se laisse facilement prendre au jeu, mais si on réfléchit un peu c'est assez violent comme image. On montre ici une normalisation de la considération des autres comme étant un objet, en l'espèce pour assouvir ses propres désirs sexuels.
Ouai, on va éviter la psychanalyse mais il faut toujours garder en tête que dans la vraie vie, ça ne se passe pas comme ça et que ce manga est le fruit de fantasmes.
Après moins sérieusement, ce qui est plutôt sympa dans ce volume c'est le rapprochement d'Akamaru et Risa, Akamaru est un personnage assez énigmatique mais nous laisse voir une personnalité passionnée. C'est un personnage qui intéresse beaucoup car on ne sait pas exactement quelle est la nature de ses sentiments envers Rise.
Ce tome est tout aussi divertissant que les précédents bien qu'on note chez lui un certain «sur-place ».
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