Justine Brax

Un album au texte chantant rythmé. Une grand-mère italienne raconte à sa petite fille le fascisme, pourquoi sa famille est partie d'Italie alors que son père et sa mère ont résisté à la persécution. Tout à changé quand ils s'en sont pris à Nonna.

Un focus sur une partie sombre de l'histoire italienne que je ne connaissais que vaguement.

Une belle histoire avec de superbes illustrations.

Je suis tombée sous le charme des dessins de Justine Brax il y a peu, et je connais Sébastien Perez pour ses collaborations avec Benjamin Lacombe depuis un moment, alors quand une histoire parlant de dragons les réunis, je sais que c'est fait pour moi !



Cet album est à nouveau un petit bijou. Dans son très grand format, on admire à chaque tournant les dessins de Justine Brax que l'histoire imaginée par Sébastien Perez porte jusqu'à des sommets. On y suit les aventures d'un jeune garçon élevé par des dragons qui voudrait à son tour en devenir un, mais pour cela il doit mener une quête à travers les différents royaumes opposés aux dragons où il apprend bien des choses.



C'est une histoire de fantasy somme toute assez classique avec son jeune héros différent mais plein de potentiel, qui grandit au fil de ses aventures et de ce qu'il apprend, mais les auteurs ont réussi à en faire un très joli conte grâce aux beaux sentiments qu'ils lui ont insufflés, des sentiments plein d'humanité et d'amour.



Les dessins sont sublimes. Ils ont un coté tribal avec des répétitions de motifs dans les teintes de bleu et rouge que j'ai adoré. Ce sont les couleurs de la dessinatrice on dirait puisqu'on les retrouve souvent dans ses oeuvres, mais ici c'est bien plus sombre que dans Pirate de coeur pour mieux accompagner l'ambiance de l'histoire.



Avis à tous les amateurs d'album jeunesse, de fantasy et de dragons, ce très beau livre est fait pour vous !
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"La robe rouge de Nonna" est un album empli de force et d'espoir, une histoire vraie, arrivée à une petite fille, quand elle vivait en Italie avec ses parents, dans les années 1920. Ces années noires de fascisme, où Mussolini et ses "chemises noires" ont instauré la dictature et la terreur... Le père de Nonna et sa mère, ont résisté tant qu'ils ont pu, mais lorsque les chemises noires s'en sont pris à leur petite fille, ils sont partis pour la France.

Un très très bel album, un vrai coup de coeur en ce qui me concerne, les mots sont bien choisis, le récit est parsemé de mots et paroles en italien, rendant le texte plus doux, et les illustrations de Justine Brax sont sublimes. Un livre à lire AVEC ses enfants, pour les aider à mieux comprendre cette histoire.
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Un album retraçant la vie difficile de Salif Keita, célèbre artiste malien, né albinos qui fait de sa différence une force pour lutter contre l'intolérance.

Un texte poétique, des illustrations magnifiques ponctuées de tissus africains, des références à ses oeuvres (l'enfant lion) : tout est fait pour nous plonger dans cette histoire. Personnellement, cela m'a donné envie d'aller écouter sa musique.

Plus généralement, on est sensibilisé à la dure réalité du sort des albinos dans la culture africaine qui les considére comme une malédiction.

Une double page documentaire en fin de livre et des liens pour aller plus loin.

Bref, un coup de coeur!

Voici un album qui m'a tapé dans les yeux dès son arrivée en librairie, en octobre. Pour cause : avez-vous vu cette magnifique couverture ?



Venez en librairie : en vrai elle est encore mieux ! A l'intérieur, on n'est pas déçus. On retrouve ces nuances de bleu très riches, rehaussées par des touches de rose, le tout dans une poésie et une délicatesse incroyables. Ces dessins tout en poésie m'ont donné envie d'en savoir plus sur cette illustratrice, Justine Brax. J'apprends en fait que je connaissais déjà un peu son travail, à travers l'album Mowgli, le livre de la jungle paru en 2014. En tous cas, je vais la suivre de près maintenant !



Mais revenons-en à nos dragons ! (OK, la blague était nulle...). Toute la poésie des illustrations, on la retrouve également dans le texte, signé Sébastien Pérez (dont je vous reparlerai prochainement). On parlait de Mowgli juste avant non ? Parce que là, au début, on se sent obligés d'y penser. Yomon est un "petit d'hommes" (je cite) élevé parmi les dragons. Mais la ressemblance s'arrête là, car les dragons n'ont pas l'air aussi bienveillants envers Yomon que les loups avec Mowgli. Ce sont des créatures majestueuses (là encore, c'est par l'illustration qu'on l'apprend) qu'on sent très fières. On comprend donc aisément pourquoi Yomon veut à son tour devenir un dragon, quels que soient les obstacles qui se dressent devant lui. Ces obstacles, ce sont en fait cinq rois ayant chacun dérobé quelque chose aux dragons. Il va les voir un par un et les persuade de leur rendre le bien des bêtes. On voit que cet enfant est rempli d'une grande sagesse, bien plus que les souverains qui sont orgueilleux et ignorants. Mais la rencontre avec le cinquième roi risque de remettre toute l'histoire en question : il est réputé comme étant le plus cruel et l'entrevue risque d'être dure. Et c'est alors que... je vous laisse le soin de lire l'album pour savoir ce qu'il advient de ce jeune Yomon !



On a donc affaire ici à un véritable conte initiatique adapté même aux plus jeunes : libre à chacun d'y comprendre ce qu'il voudra puisque cet album revêt en fait plusieurs niveaux de lecture. Soit on le prend simplement comme une belle histoire emplie de merveilleux. Sinon, c'est le conte initiatique comme je l'ai dit : comment cet enfant, Yomon, va affronter ce destin et devenir adulte, à sa façon !



Fils de dragons, c'est donc un merveilleux album, à mettre sans hésitations entre toutes les petites mains !
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Il s'agit là d'un bel album mais le sujet (le facisme) n'est pas abordable pour des enfants. Il est plutôt destiné à des adolescents qui pourraient avoir du mal avec le support. Au demeurant, le texte est sobre, les illustrations splendides. J'aurais cependant volontiers attendu qu'un disque accompagne l'album qui tourne autour d'une chanson italienne...

Ce grand album, majestueux, à la couverture dorée, est un régal pour les yeux. Voici un livre que l'on touche à peine pour ne pas l'abîmer, que l'on feuillette avec délicatesse et que l'on parcourt avec émotion. Un livre coup de cœur sans l'ombre d'un doute.



Maxime Rovère nous y propose une adaptation au plus proche du texte original de Rudyard Kipling. Tirée du "Livre de la jungle" et du "Second Livre de la jungle", l'histoire de Mowgli y est contée de manière chronologique et bien plus fidèle que l'adaptation des studios Disney que nous connaissons. D'ailleurs ne cherchez pas à y retrouver la joie et l'insouciance du dessin animé de votre enfance. Voici une fable philosophique emprunte d'une grande sagesse dans laquelle la peur, le rejet, le déracinement et les ravages de l'homme sur la nature sont au cœur du récit. Néanmoins, ce texte n'est pas noir. Il est d'une beauté et d'une justesse qui ne peuvent laisser indifférent.



Alors bien sûr, nous retrouvons l'histoire que nous connaissons : Sur leur territoire, les loups découvrent "un petit d'homme". Mère louve se prend aussitôt d'affection pour celui qu'elle appellera Mowgli, la grenouille. Baloo, l'ours brun, va lui enseigner la loi de la jungle et Bagheera, la panthère noire, va veiller sur lui. Mowgli apprendra le langage des différents clans et pourra ainsi se faire comprendre et respecter de chacun. Néanmoins la loi de la jungle est dure et chaque faux pas peut lui coûter la vie, d'autant que Shere Khan, le grand tigre, est bien décidé à récupérer ce qu'il considère comme sien : le petit de l'homme. [...]
Lien : http://www.livres-et-merveil..

Je viens de découvrir ce livre grâce à la sélection des Incorruptibles* CE2-CM1 pour cette année scolaire 2013-2014. Il a été remis à ma fille, en classe.

Très peu de textes, quelques phrases scandées, avec de nombreuses répétitions…



Il raconte l’histoire de Salif Keita, Malien, albinos, et rejeté de par sa différence par tous, à commencer par sa famille, dont le père est riche et puissant ! En s’enfuyant, sa mère le sauve de la mort ! En effet, les albinos sont synonymes de honte, indésirables, enfants du Diable, les coutumes veulent le tuer ! Rejeté par tous, ne pouvant devenir instituteur, il s’égosille dans les champs de son père pour effrayer oiseaux et singes… C’est là que sa voix naît et lui est révélée : musicien, voilà ce qu’il veut être ! Mais à nouveau les coutumes et traditions s’y opposent en raison du statut social de son père…



A 19 ans, errant, chanteur et mendiant dans Bamako, il est finalement remarqué !



Désormais, tous l’acclament, jusqu’au-delà des frontières africaines…



Et dire, qu’il aurait dû mourir…





Le livre se conclut sur une brève biographie de Salif Keita, la condition des albinos et la fondation qu’il a fondée et financée pour aider de diverses manières les albinos du Mali : crèmes solaires et lunettes de soleil, une école et une clinique de santé, et surtout faire changer les mentalités traditionnelles sur l’albinisme.



D’ailleurs, par l’achat de cet album (11,20€), chacun peut également soutenir la fondation Salif Keita pour les albinos du Mali. Michel Piquemal lui reverse la totalité de ses droits d’auteur.





Pour conclure, voici quelques liens pour entendre, et découvrir ses chansons, que je ne connaissais pas du tout avant la lecture de ce magnifique album !

Je finirai avec la citation qui conclue cet album : « Je suis un Noir, ma peau est blanche. Et moi j’aime bien ça. C’est la différence qui est jolie. »





Belle découverte et coup de cœur !


Lien : http://vivrelivre19.over-blo..

Cet album met en lumière une période de l'histoire très rarement traité en littérature jeunesse (en tout cas, moi je n'en ai pas rencontré) : la montée du fascisme en Italie.

J'ai pourtant 2 reproches à faire à cet album:

-il est très lourd. Le sujet n'est pas un sujet facile, et je trouve que rien ne vient alléger un temps soit peu les propos. Pas de respiration positive pour le lecteur, à part au tout début avec la petite fille qui questionne sa grand-mère.

-les illustrations. Sombres, pesantes, elles n'allègent pas vraiment la lecture!

En bref, un propos intéressant, mais des lourdeurs, à mon sens.

Une petite fille intriguée demande à sa grand-mère Nonna pourquoi quand elle chante, c'est toujours en italien. L'explication est prétexte pour évoquer son enfance, son face à face avec les Chemises Noires et son arrivée en France. Un album généreux (comme la Nonna), tout de rouge vêtu, qui nous retrace un voyage douloureux mais rempli d'amour et d'espérances.

A. Avalle

La robe rouge de Nonna est un album dont on fêtera l'année prochaine les 10 ans mais qui résonne encore d'actualité en cette période d'élections italiennes. Michel Piquemal, s'est inspiré du récit d'Isabelle Chatellard, illustratrice jeunesse, qui lui a raconté l'histoire vraie de sa grand mère italienne, émigrée en France dans les années 20 alors que l'Italie subissait le joug de Benito Mussolini. Magnifiquement illustré par Justine Brax, l'album, édité chez Albin Michel jeunesse, permet de découvrir et de se souvenir de l'histoire des opposants au régime fasciste.



La robe rouge de Nonna est un album nécessaire et touchant. Accessible et très évocateur grâce au texte de Michel Piquemal et aux illustrations de Justine Brax, il permet aux jeunes lecteurs de découvrir un pan de l'histoire du XXème siècle à travers une histoire familiale et humaine. L'incarnation de cette petite fille la robe rouge reste longtemps en tête, comme les paroles de la chanson Bella ciao, dont on trouvera les paroles complètes et leur traduction, ainsi qu'un texte documentaire, en fin d'album.



Chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/la-robe..

Le genre de ce livre est un album .



Ce livre parle des fascistes ( qui imposent une autorité arbitraire ) Il parle aussi de l'Italie .Le personnage principal est une fille elle est belle . Elle a de longs cheveux noirs les yeux vert foncé . Elle porte une robe rouge son nom est Nonna . Nonna est mystérieuse et intéressante car elle ne parle pas d'elle , elle reste neutre .



Ce livre m'a plu car il est intéressant et il nous apprend des choses sur les fascistes , Mais je n'ai pas trop aimé car ce livre ne parlait que des fascistes . ( Toujours le même sujet )



Je conseille ce livre car il apprend beaucoup de choses sur la vie en 1920 et sur les fascistes , je le conseille pour toutes les personnes qui cherchent à en savoir plus sur les fascites .

« Nonna ! Pourquoi tu chantes toujours en italien ? » demande une petite fille à sa grand-mère. Nonna est une macaroni comme on disait alors des italiens émigrés en France entre les deux guerres.



Nonna raconte alors à sa petite fille l’histoire de sa famille et pourquoi elle et les siens ont du fuir l’Italie de Mussolini en 1922.



Le père de Nonna est alors un ouvrier communiste athée, deux gros défauts aux yeux des chemises rouges et des prêtres qui font alors la loi en Italie.



Il commence par perdre son emploi, la vie devient extrêmement difficile pour Nonna et sa famille mais ils tiennent bon jusqu’au jour où les fascistes s’en prennent à Nonna, obligeant la famille à l’exil.



L’histoire racontée par Michel Piquemal dans La robe rouge de Nonna et sublimement mise en couleur par Judith Brah, est une histoire vraie, celle de la grand-mère d’Isabelle Chatellard, une illustratrice d’origine lyonnaise qui l’avait racontée à Michel Piquemal qui nous la narre à son tour.



Un très bel album sélectionné pour le prix des Incorruptibles sélection CM2/6è qui enseignera à ses jeunes lecteurs la difficulté de vivre dans un état totalitaire, en l’occurrence ici l’Italie fasciste qui subit le joug de Benito Mussolini, un journaliste devenu dictateur, qui de 1922 à 1945 va faire régner la terreur dans la péninsule grâce à ses chemises noires, que vont combattre les rouges communistes.



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Lien : https://deslivresdeslivres.w..

Un des 6 livres de la sélection 2013-2014 du grand prix des Incorruptibles pour les CE2-CM1.

Salif est né albinos dans une famille noble... comment deviendra-t-il Salif Keita, musicien et chanteur au talent reconnu par tous?

« Una mattina, mi son svegliato

O bella ciao, bella ciao, bella ciao ciao ciao…»

Ces paroles, les premières d’une chanson populaire italienne de protestation devenue, après modification, un hymne à la lutte antifasciste des partisans (la Résistance italienne contre les nazis), ces paroles rythment l’histoire que Nonna, grand-mère italienne joyeuse, va raconter à sa petite fille qui se décide un jour à « la cuisiner » sur le passé de sa famille.

Alors Nonna raconte. Elle raconte son père, ouvrier, non baptisé « un senza dio » comme lui reprochent cruellement les curés, un ouvrier instruit sympathisant communiste. Elle raconte l’arrivée au pouvoir des Chemises noires en 1922 et les conséquences sur sa famille. Elle raconte son père sans travail désormais, obligé de louer ses bras à la journée, sa mère rejetée par ses amies parce que son époux est communiste. Elle raconte l’humiliation subie lorsqu’elle était petite fille parce qu’elle portait une robe rouge, couleur proscrite dans ce régime totalitaire.

Un album inspiré d’une histoire vraie magnifiquement servi par les illustrations fortes de Justine Brax. Une page à la fin du livre rappelle le contexte historique.

A lire à partir de 8 ans.

Très bel album retraçant le parcours de Salif Keita chanteur africain surnommé "la voix d'or de l'Afrique". Celui-ci a eu une vie difficile, rejeté dans son pays à cause de son albinisme. Il deviendra un très grand chanteur et portera haut les couleur de l'Afrique et de la tolérance .

" Je suis un Noir, ma peau est blanche. Et moi j'aime bien ça. C'est la différence qui est jolie."

Un texte poétique signé Piquemal, de magnifiques illustrations... un régal !!!!

De plus l'auteur reverse la totalité de ses droits d'auteur à la fondation Salif Keita pour les albinos du Mali....

Un très bel album pour apprendre à connaître le musicien Salif Keita. Celui-ci est africain et albinos, ce qui fait qu'il se retrouve marginalisé étant enfant. Cependant, il ne se laisse pas abattre et se découvre rapidement un don pour la musique. Son talent lui permettra d'apprendre à s'affirmer et à devenir une célébrité.

Cet album regroupe différentes thématiques que l’ont peu ou non développer en fonction de l’âge et du ressenti des plus jeunes. En tant qu’adulte j’ai été ému par la peine, la douleur mais aussi la douceur de cet enfant. Mon fils lui est trop jeune pour avoir tout cerné mais pourtant il a su mettre certains mots comme « triste » ou « wahou » lors de certains passages.



Mais je pense que les illustrations en sont aussi pour beaucoup car elles sont magnifiques est attirent l’œil. De plus elles sont vraiment en adéquation avec le texte. Les deux mélangé rendent un rendu parfait Un album que je ne peux que vous conseiller.
Lien : https://lalectricedyslexique..

Histoire vagabondes contes d’Afrique d’Yves Pinguilly et de Justine Brax



Tout d’abord je dirais que ce livre est un recueil de trois contes Africains qui m’ont donné envie de voyager et d’aller découvrir l’Afrique. Ce recueil m’a donnée envie d’aller découvrir l’Afrique car les contes parlent d’animaux et de paysages qu’il n’y a pas en France : les hyènes, la savane etc.

De plus, chaque conte est illustré par des dessins. Ces dessins sont magnifiques car je trouve qu’ils sont bien faits et chaque dessin représente des personnages de l’histoire avec des couleurs autour.

Ensuite, ce qui m’a intéressé, c’est la découverte des animaux ainsi que la découverte des paysages. J’ai bien ce livre les histoires sont courtes et variées. Par exemple 11 pages par contes

Enfin, dans l’ensemble ce livre est facile à lire.Je le conseille malgré que par moment les contes sont un peu hachés. Le vocabulaire est facile à part quels mots Africains

Valentin

Ce sont des contes africains avec une morale. On a l'impression qu'ils sont racontés par un griot. Ces contes ont pour but de nous divertir mais aussi de nous instruire. On apprend par exemple qu'il faut se contenter de ce que l'on a; ou qu'il ne faut pas se fier aux apparences; on trouve toujours plus malin que soi ...

J'aime la couverture du livre et les illustrations en aquarelle.



Ilyès.B