Kanoko Sakurakouji

Je trouve les dessins juste magnifique, malgré le cou un peu étrange de Akane ^^ . De plus, l'histoire est vraiment passionnante, pleine d'informations sur le milieu des courtisanes, avec un mystère qui a conduit l"héroine dans ce milieu et un peu d'humour en prime.

J'avoue être un peu déçue de ma lecture, c'est peut-être parce que j'avais envie de lire ce titre depuis longtemps. J'aime beaucoup l'ambiance du quartier des plaisirs mais je trouve qu'on reste beaucoup en surface dans ce premier tome. Je ne parviens pas à dire si j'apprécie l'héroïne ou non, pour l'instant je la trouve un peu quelconque. Aucun personnage ne retient vraiment mon attention, j'ai l'impression qu'il va falloir du temps avant d'apprendre à les connaître. Il ne se passe pas grand chose et pourtant il y a beaucoup à lire. Beaucoup de bla bla pour peu d'action. Ce qui me donne envie de poursuivre ce sont les objectifs d'Akane qui a vraisemblablement décidé de devenir courtisane pour retrouver l'assassin de ses parents. Je me demande ce que la suite de l'histoire nous réserve mais j'espère que le rythme de lecture sera un peu plus divertissant.

J'ai bien accroché à l'histoire, le contexte historique étant intéressant, ce premier tome pose hyper bien les bases et présente aussi les personnages, avec en fin de livre de plus longues explications historiques concernant la prostitution à cette époque.

Les petits schémas et dessins des perso sont sympa. J'adore le coup de crayon de l'illustratrice. J'ai été happée par l'histoire ! La suite !

À force de le voir sur Instagram, et souvent cité comme coup de coeur, j'ai voulu découvrir ce manga.

Aucun érotisme dans ce premier tome. C'est le suspense et le dépaysement historique qui priment : Akane, orpheline de quinze ans, choisit de devenir courtisane dans une maison close de grand luxe, l'Akebonoro, dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara, à l'époque d'Edo. Elle veut en apprendre plus sur le meurtre de ses parents. Elle débute son apprentissage (danse, chant, écriture...) afin de devenir une courtisane accomplie . Le jeune homme sur la couverture, Sosuke Omiya, suffisamment cynique et distant pour qu'on ne connaisse pas ses véritables motivations, propose d'acheter sa liberté, ce qui ne sera possible que quand Akane sera vraiment lancée en tant que courtisane, donc deux ans plus tard... À cela s'ajoutent d'autres personnages, tous bien campés, et qu'on découvre au fil de la lecture.

Les dessins sont superbes, l'histoire bien écrite avec beaucoup de notes de bas de pages et un dossier de quatre pages à la fin. Ce n'est pas un josei, encore moins un hentai, mais presque un seinen.

Ce premier tome donne en tout cas envie de découvrir la suite.
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L'héroïne de la courtisane d'Edo est une jeune femme de quinze ans issue de la noblesse militaire japonaise. Dès le premier regard, elle dégage un je ne sais quoi qui captive l'attention. Jugée trop vieille par les protagonistes pour devenir une courtisane, la jeune fille est pourtant vendue à une maison close. L’Akebonorô l'un des plus prestigieux établissements du quartier des plaisir devient son nouveau foyer. Derrière l'acceptation de sa condition, Akane cache un secret. Son désir de vengeance et de retrouver le meurtrier de ses parents distille en elle, la force de tenir face aux initiations qui l'attendent.



Le dessin offre une vision de traits doux, délicats, tendres, presque trop mignons. Il permet de jouer sur les sentiments. Il attire le regard et laisse les mots prendre du poids. Car l'univers auquel est confronté Akane n'a rien d'adorable. Il est brut, sombre, sulfureux et entraîne une traînée d'érotisme soft dans son sillage. Tout est nuancé. Presque retenu dans ce premier tome, comme une mise en bouche. J'ai aimé voir comment la destinée de la jeune fille est présentée. Pièces après pièces comme dans un échiquier, l'auteur de Black bird et Last notes pose habillement ses pions pour créer un récit passionnant. Kanoko Sakurakouji possède un trait frais, dynamique, pétillant et savoureux. Il m'a conquise. Littéralement. Et la trame a accentué le charme.



Malgré son sujet, point d'étalages de nudités, point de caractère sexuel développé à gogo toutes les pages. C'est étonnant. D'une certaine manière leur quasi absence augmente l'intensité et donne un poids supplémentaire à la présentation de l'avenir d'Akane, du rôle de Rittchi ou de Sôsuke dans son quotidien. Le propos se concentre sur le caractère de son héroïne face aux événements. Fort. Intense. Remarquablement bien mis en scène, les échanges se savourent. Akane et Sôsuke Ômiya envoient des étincelles à chacune de leur rencontre. Leur jeunesse les rapproche. Mais chacun a une vision précise du rôle de l'autre.



Au delà de la romance qui se devine, les courtisanes et les geishas se dévoilent sous des traits fascinants. Les profils se détachent, les conditions et les étapes se dévoilent. Les jeunes filles sont très tôt plongée dans ce palais des plaisir. Leur éducation et leur choix ne sont pas de leur propre chef. Les autres les dominent. Les autres les poussent dans une direction. Les sourires servent de façade. Les graphismes magnifiques accentuent sur ce jeu des apparences. L'envie d'en connaître davantage s'ancre dans le coeur et y demeure. L'envie de savoir si Akane arrivera à ses fins prend aux tripes.



En bref, la courtisane d'Edo m'a surprise. Très agréablement. Entre son graphisme et son histoire, j'ai succombé. Le récit promet bien des aventures. Le ton de complaisance empreint envers l'héroïne semble être là pour adoucir le fond plus tragique. Le drame reste tapi dans l'ombre. Les mystères entourant chacun des protagonistes principaux ne demandent qu'à être dévoilés au fil des tomes. Une intrigue avec du potentiel se dessine. Les prémisses d'un coup de coeur se sont installés pour moi. A voir si la suite conserve toute sa séduction.
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Akane, jolie jeune fille issue de la noblesse militaire, décide à l'âge de 15 ans d'intégrer la maison close Akebonoro dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara. Quelles sont ses réelles motivations? Sosuke est-il sous son charme ou a-t-il un plan sournois en tête ? Ritchi réussira-t-il à la protéger ?

Les dessins des coiffures et des costumes sont magnifiques et nous offrent une réelle immersion dans le quotidien de ces courtisanes.

Un shojo mêlant intrigue et histoire à l'époque d'Édo, premier tome qui donne envie de connaître la suite !

J’ai beaucoup apprécié ce premier tome ! On se plonge dans un contexte historique qu’on ne connait pas vraiment et on en apprend plus sur les courtisanes et prostituées de l’époque d’Edo. Akane est un fille très intéressante, au début on ne sait pas pourquoi elle a rejoint un maison close mais on l’apprend au détour d’un chapitre. Son passé a fait qu’elle a pris une décision importante, marquant sa vie à jamais. Sôsuke est quand a lui assez mystérieux on ne connait pas ses véritables intentions envers Akane et si c’est là de la gentillesse ou juste pour ce moquer d’elle qu’il fait tout ça. Même si personnellement je pencherais plus sur de la gentillesse. J’ai aimé également en apprendre plus sur le quartier de Yoshiwara et de tout ce qui l’entoure. C’est un premier tome qui promet un suite très intéressante.



Ma note : 17/20 Un shojo mature qui promet d’être encore très intéressant par la suite !

#Frimousse
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Une bonne immersion dans l’ère Edo…



Dans ce manga, l’histoire se déroule dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara durant l’ère Edo. On suit Akane, une orpheline de 15 ans issue de la noblesse militaire. Celle-ci décide de se présenter à une maison close de luxe après l’assassinat de ses parents…



J’ai vraiment adoré découvrir ce manga, que cela soit pour l’univers ou l’époque à laquelle il se déroule.



J’ai vraiment apprécié Akane qui est le personnage principal. C’est un personnage fort de caractère. Cette jeune femme est déterminée à tout pour accomplir « sa mission » dont on ne sait encore rien…



Elle va être amenée à rencontrer l’insolent Sôsuke, un jeune maître intriguant, bel homme et qui semble enchaîner les femmes…



Rassurez-vous, on suit en effet des courtisanes, des prostituées, mais ce premier tome ne comporte aucune scène de sexe (en dehors d’un dessin sur une estampe !).



J’ai vraiment beaucoup aimé suivre Akane en tant qu’apprentie courtisane. Ce premier tome pose le décor. On va alors découvrir avec cette jeune fille le quartier de Yoshiwara à cette époque. On va alors être amené à en apprendre les coutumes, les rituels…



Du coup, vous vous doutez que j’ai vraiment été fan de ce côté très traditionnel du Japon !



Enfin, niveau graphismes, j’ai là aussi été totalement conquise. Que cela soit par le décor, les kimono et autres éléments de l’histoire, j’ai adoré le coup de crayon de l’auteur !



J’ai vraiment été conquise par ce premier tome qui ne comporte pas vraiment de romance à proprement parler pour le moment. Tout est axé sur la mise en place de l’histoire et la découverte de l’univers et de l’époque pleine de coutumes. Ce côté Japon traditionnel m’a vraiment beaucoup plu et j’ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette saga !
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J'ai lu les 6 premiers tomes de cette série qui se goupille vraiment bien entre intrigue policière et amoureuse. Ce manga enjolive sans doute un peu la vie des ces courtisanes (aka prostituées de haut rang) mais c'est un shojo... assez bien dessiné et qui donne assez de grain à moudre pour qu'on attende la suite avec impatience.

Un shojo très légèrement pimenté mais surtout particulièrement bien dessiné. Je trouve le trait à la fois très "kawai" et extrêmement sensuel. Le choix des poses des personnages est très réfléchi et magnifiquement rendu. Il y a dans les shojos en général et dans celui-ci en particulier un certain art pour faire monter la tension au travers de simples images, toujours chastes, mais qui en disent long...

Le thème de la prostitution est abordé avec douceur et tact. Au final on a presque l'impression qu'il s'agit de geishas plutôt que de courtisanes.

L'histoire laisse plein de suspense à ce stade. On n'a pas toutes clefs en tant que lecteur. C'est intriguant. J'ai hâte de découvrir la suite.

Après le meurtre de ses parents, Akane est contrainte d'intégrer une maison de plaisirs pour y être apprentie. Une épreuve d'autant plus difficile qu'Akane est issue de la noblesse militaire, une caste privilégiée sous cette ère d'Edo.

Puis Sôsuke, un jeune homme, sous des dehors aussi séduisants qu'arrogants s'intéresse de très prêt à la jeune Akane au point de dépenser des sommes conséquentes pour l'apprentie oïran. Mais il semblerait que les motivations du jeune Sôsuke ne soient pas purement esthétiques ou luxurieux.



Attention méga surprise ! Pour la non adepte des shôjo que je suis, je dois avouer que je n'ai pas poussé de soupirs en découvrant le personnage de cette histoire qui, par ailleurs, sait faire preuve de caractère et de détermination. Bien sûr, j'ai été charmée par l'atmosphère historique du récit, les arrières-plans et les reconstituions minutieuses des costumes ajoutant du charme à l'ambiance globale. Et présenter l'intrigue comme une énigme quasi policière avec des secrets à percer sur les passés des personnages et des personnages un peu trop voyeurs pour être lisses m'a même donner la curiosité de découvrir la suite !

C’est mon amie Julie du webzine Songe d’une nuit d’été qui m’a fait découvrir cette série en me prêtant les 5 premiers tomes, et elle a tapé dans le mille car j’ai beaucoup aimé ce début de série ! Je prend le parti de faire une chronique par tome car il se passe beaucoup de choses et il me semble donc plus pertinent de procéder ainsi.



L’intrigue se passe au Japon d’Edo, dans le quartier des plaisirs. Akane est une jeune orpheline issue de la noblesse militaire, qui a vu ses parents se faire assassiner. Elle décide de rejoindre la maison close l’Akebonorô pour retrouver le meurtrier, ainsi laissé pour seul indice à Akane la vision d’un tatouage en forme de demi-lune. La jeune fille va alors devoir apprendre les codes d’un nouvel univers qui s’ouvre à elle.



Lors de sa recherche d’un nouveau client suite à une directive d’Asakeno, sa future soeur instructrice, elle fait la rencontre de Sôsuke Ômiya, le fils d’un riche marchand qui va très vite lui en faire voir de toutes les couleurs et semble la détester d’office. L’ancien serviteur d’Akane, Riitchirô, sera aussi de la partie, prêt à tout pour la protéger et l’aider au mieux dans sa quête.



Je pense qu’il est intéressant de suivre l’histoire depuis une maison close, lui intime et public à la fois dans lequel beaucoup de secrets peuvent être révélés. Sans compter sur les relations entre courtisanes qui peuvent parfois être difficiles car c’est un milieu très compétitif.



Ce premier tome de La Courtisane d’Edo sert avant tout à poser les bases de l’intrigue. On apprend à connaître Akane et jusqu’où va sa motivation. Mais aussi quels seront les personnages importants par la suite et les divers liens qui les unissent. Si ce premier tome m’a beaucoup plu, la suite est tout aussi plaisante à lire !
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Voilà un cadre atypique pour déployer une intrigue shojo classique ! Une héroïne plongée, de son plein gré, dans le monde de la prostitution, ce n’est pas banal. Et ce contexte jette une ombre sur l’intrigue qui pourra susciter chez le lecteur ou la lectrice malaise ou au contraire délectable tension.




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Tout d'abord merci beaucoup à Babélio, pour cette masse critique, qui ma permise de découvrir l'univers manga. Et oui, La courtisane d'Edo est mon premier manga, donc merci aux Pika éditions également.

Tout d'abord, j'ai beaucoup apprécié les dessins. C'est fin , gracieux.

Les personnages sont haut en couleurs, ils ont tous leur part de secret qui m'a beaucoup intriguée. Lorsque beaucoup de jeune femme n'ont pas le choix que de ce retrouver dans ce milieu, Akane à choisit d'y entrer et vise le sommet. Jusqu'où ira t'elle pour réussir son projet?



Ce que j'ai beaucoup apprécié dans ce manga, c'est que cela à beau traiter d'une condition terrible pour les jeunes femmes, devenir courtisanes. Il n'y a pas de scène de sexe obscène, ou un langage obscène, toutes les pages. (contrairement à un roman pour adulte qui traiterai du même sujet, en serai blindé) .



Bon, pour conclure. C'est une très bonne découverte. Je dois avouer que de lire le livre à l'envers, et que les bulles se lisent dans un autre sens aussi.

Cela ma un peu gâché la découverte.

J'irai bien m'offrir la suite lorsque l'occasion ce présentera, car Akane m'intrigue et j'aimerai bien savoir ce qui se passera avec Sôsuke par la suite :)



PS: J'ai adoré la petite carte reçu avec le livre. C'est bien la première fois que cela m'arrive avec une séléction de masse critique :) Merci rien que pour cela @PikaEdition
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Tome 10, pas mal de réponses et d'événements importants dans ce volume. La fin semble proche et le but d Akane paraît atteint. Mais les choses sont elles vraiment réglées ? Tout cela paraît bien trop " facile"... Cela mettra t il réellement un terme à sa relation avec Sosuke ?

J'avaiis acheté le dixième tome de "la courtisane d'Edo" de Kanoko Sakurakouji avant le confinement. J'ai lu ce dizième tome beaucoup plus rapidement que les neuf tomes précédents soit parce qu'il y a moins de répliques (mais je n'en suis pas sûre) soit parce qu'il est beaucoup plus rythmé (ce dont je suis sûre). Ce dixième tome a en effet des allures de dénouement aussi bien au niveau de la vengeance poursuivie par Akane qu'au niveau de son histoire d'amour avec Sosuke. Je ne sais pas ce que comportera le tome 11 (quelques ultimes rebondissements ?), mais il est certain que cette série commençait très bien avant de connaître un net ralentissement dans les tomes 6 à 9, alors que le tome 10 apporte tous les éléments de résolution sans qu'on ait le temps de voir les pages passer. J'ai été assez surprise. Mais j'ai vérifié à la fin : 190 pages comme les autres volumes.


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"On a vu souvent rejaillir le feu d'un ancien volcan qu'on croyait trop vieux."



J'ai un peu tardé avant de lire le onzième tome de "la courtisane d'Edo" de Kanoko Sakurakouji, série qui m'a longtemps passionnée, mais les derniers tomes m'ont progressivement perdue avec les affaires liées à Nakamura, avec la formation du clan des alliés d'Akane réuni autour d'elle pour établir la culpabilité de Nakamura, à la trame autour du médecin Makimura... l'histoire se traînait un peu en longueur malgré un rythme enfin plus rapide dans le tome 10, mais pas suffisant pour que je me précipite sur le tome 11 dès sa sortie. Pourtant Akane et Sosuke forment toujours un couple très agréable à suivre et à regarder dans le Japon de la période d'Edo. L'histoire de leur couple tragique m'avait vraiment plu dans les 5/6 premiers volumes. Or... surprise ! Ce onzième tome est excellent avec un dénouement imprévisible, une romance qui touche à sa fin de fort belle façon et à l'aune de ce qu'on apprend ici, la série tout entière brille d'un nouvel éclat. Pas mal d'éléments ont dû m'échapper, en fait... en résumé, c'est dans l'ensemble une très bonne série qui aurait pu être excellente si elle avait duré 8 ou 9 tomes, mais ne boudons pas notre plaisir : la fin valait qu'on y parvienne.🙂


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Nakamura niant toute implication dans la mort des parents d'Akane, la réhabilitation de son nom et de sa famille n'est toujours pas possible. Cela laisse encore une chance à son amour avec Sôsuke ... Mais qui est donc le véritable coupable ? Le moment des révélations et des trahisons est proche avant la fin de la série

Le déroulement du tome est bien équilibré, on alterne avec les moments de calme, de la vie qui continue à l'Akebonorô, avec les passages clés qui alimentent l'intrigue principale et tiennent le lecteur en haleine.
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Cet avant dernier tome fût pour moi riche en surprise et en émotion, ainsi que captivant. Honnêtement je n'avais pas du tout devinée l'identité du coupable, ce qui fut un gros point positif pour moi. Et que dire de la fin du tome ? A part que le tome suivant, qui est aussi le dernier de la série, va encore être riche en émotions !

Vivement la suite et fin !