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Citations de Kei Lam (21)


Je ressentais une différence, sans véritablement en prendre conscience.
C'était comme si j'avais nagé toute ma vie à contre-courant et que, soudainement, on me demandait de nager dans un lac.
Je n'ai réalisé que bien plus tard avoir grandi en portant le poids de tous les rêves et espérances de mes parents. (p.147)
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Enfin si, ils parlent tous français !

Juste pas le même ...

Il y a celui de Carole et Gérard, niveau avancé, celui de mon père, niveau "basique avec accent chinois", et celui de ma mère, niveau "un sourire vaut mieux que deux tu l'auras".
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A la maison nous avons un système de langage propre à notre famille. Chacun parle son dialecte natal en plus du mandarin auquel vient maintenant s'ajouter le français.

Cela fait cinq langues au total. Dans une phrase, il m'arrive de mélanger le cantonnais, le mandarin et le français. Il y a des mots que je connais que dans une seule langue.
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Mon niveau de français et mon manque de culture sur la France à l'époque ont créé des lacunes dans certaines matières, notamment en histoire.
Louis XIV, la Première et la Seconde Guerre mondiale étaient aussi réalistes pour moi que les fables de La Fontaine. (p.75)
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Mes cousines consacrent un budget monstrueux aux produits cosmétiques pour avoir un joli teint. Elles veulent ressembler à des petites japonaises à la peau blanche. Il est très mal vu en Chine d'avoir une peau mate car cela rappelle les « paysans » exposés au soleil.  (p.108)
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Ils collectionnaient des vers à soie de toutes les couleurs comme si c'étaient des cartes Pokémon. (p.93)
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N'ayant pas d'autres membres de ma famille en France, ça m'a donné l'impression de n'avoir ni mémoire ni passé. C'est sans doute pour ça que j'ai toujours été mauvaise en histoire.
Le fait d'être née à Hong Kong, sachant que cette ville s'apparente plus à Londres ou New York qu'à Pékin, ne fait qu'accentuer ce sentiment de « non-appartenance ».  (p.82)
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J'oubliais que j'étais chinoise sauf quand on me le rappelait.
- Mais tu as le visage tout aplati !!!
- Non, mais en vrai ton prénom c'est quoi ?
- Vous mangez vraiment des chiens ?  (p.64)
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Ma mère m'a expliqué que mon père avait des rêves tellement grands qu'il était facile de s'y accrocher...
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Mes parents n'ont pas de religion mais ils ont bizarrement des croyances et des superstitions… (p.127)
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Je me suis retrouvée dans une église à apprendre le catéchisme avec d'autres petits enfants chinois…
Je crois qu'ils [mes parents] se préoccupaient plus que je me trouve d'autres copains chinois que de faire mon éducation religieuse. D'autant plus que mes parents sont athées, même pas un tantinet bouddhistes.
J'étais déçue…
Il faut dire qu'un homme souriant et bien en chair me rassurait plus qu'un homme ensanglanté sur une croix.(p.126-127)
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J'ai constaté que les Français avaient des animaux domestiques et aimaient les chiens.
Le chien de chasse de Claire, qui faisait deux fois ma taille, tenait absolument à dormir avec moi ou plus précisément sur moi.
J'ai donc passé la nuit entière sous le lit de mon amie, à regarder son chien dormir dans mon sac de couchage et à l'écouter ronfler. (p.60)
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On dit que les Chinois mangent tout ce qui a des pattes sauf la table et tout ce qui vole sauf l'avion… mais vous admettrez que le fromage c'est pas mal non plus !!!
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A première vue, Paris m'a paru calme, triste, vieillot et silencieux comparé à Hong Kong.
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Mon père avait des rêves tellement grands qu'il était facile de s'y accrocher.
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Mes parents s’informaient au travers d’un journal acheté dans les quartiers chinois. Pour la communauté chinoise résidant en France, écrit en mandarin.
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Oh, purée! Sur la vie d'ma mère, y a un daron en pyjama!
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À la maison, mon livre préféré n'était pas un livre illustré. C'était un livre composé de 365 poèmes chinois. Chaque poème était en fait une devinette pour chaque jour de l'année.
6 lune 5 soleil (5 juin)
DE GRANDS YEUX
UNE GRANDE BOUCHE
LA QUEUE EN FLEUR
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C'était une minuscule boutique, située dans un énorme centre commercial. Je prenais un malin plaisir à faire sursauter les clients à la moindre occasion.

Hong Kong sera toujours pour moi un énorme centre commercial, où mes oncles, tantes et cousines dépensent tout leur argent !
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- J'ai montré ton livre à ton grand-père.
- C'est vrai ? Mais qu'est-ce qu'il a dit ?
- Que tu es un phénix d'or parmi les poules.
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