Citations de Kimberly McCreight (209)
"Mon instinct me dit que ça va aller. Que si j'ai le courage de garder la foi, si j'ai la force de garder l'espoir, je vais m'en sortir. Je vais survivre à cette épreuve comme j'ai survécu à tous les drames qui me sont arrivés. Quel qu'en soit le prix."
Le bonheur était mon pays d’adoption, pas ma terre natale.
Ça n’aurait pas été si grave si je n’avais pas compté les minutes qui me séparaient du moment où je pourrais lui pardonner. Mais allez donc pardonner à quelqu’un qui ne cherche pas à s’excuser.
Cependant, petit à petit, laborieusement, la part la plus sombre de son chagrin avait commencé à s’alléger ou peut-être à changer, ne lui laissant qu’un sentiment de manque. Kate commençait même à accepter qu’elle aurait beau essayer désespérément de s’accrocher aux moindres détails relatifs à sa fille, elle ne pourrait pas empêcher leur effacement progressif. Elle ne pouvait que faire le deuil de leur perte.
Et, Amelia, a-t-il lancé, je suis sérieux quand je te dis de faire attention. Parfois on n'arrive à évaluer la vitesse d'un courant que lorsqu'on est sur le point de basculer dans une chute d'eau.
Tu devrais au minimum te confier à quelqu'un. La honte et l'aliénation sont le terreau des oppresseurs.
Et j'ai essayé. J'ai essayé de l'attraper moi aussi. J'ai essayé de toutes mes forces de m'accrocher.
Et j'ai essayé. J'ai essayé de l'attraper moi aussi. J'ai essayé de toutes mes forces de m'accrocher.
Soudain ses ongles frottèrent contre le carton. La boîte était juste allée se coincer un peu plus loin. Elle l’ouvrit d’un coup sec, mais quand elle passa la main dedans elle vit tout de suite qu’il y avait un problème. L’enveloppe à l’intérieur était trop mince.
Quand on est pris dans un cyclone d'emmerdes, la question n'est pas de savoir si la situation va partir en vrille, c'est quand. p.408
Tu es la seule personne au monde qui prendra soin de toi. Plus vite tu le comprendras, mieux tu te porteras. p.342
Le bonheur était mon pays d'adoption, pas ma terre natale. Je m'attendais toujours à en être expulsée du jour au lendemain. p.187
Ils sont à notre poursuite. A ma poursuite, pour être exacte. Ils sont déjà là. Des voix dans le lointain, qui s'approchent, terrifiantes. Ce n'est qu'une question de temps.
Mais savez-vous ce qui est le plus fou? Si je fait abstraction de tout çà, je crois vraiment au fond de moi que je peux parcourir le kilomètre et demi qui me sépare du quai. Je le sais, c'est tout. Peut être que c'est tout ce qui compte. Parce que si j'ai appris quelque chose durant ces dernières semaines c'est que la force est un autre mot pour désigner la foi. Le véritable courage, c'est de garder espoir.
-Tu es sensible, Wylie, c'est tout, avait-elle coutume de me dire. Le monde a besoin de gens comme toi.
Notre avenir ne repose pas entièrement sur notre passé
Notre avenir ne repose pas entièrement sur notre passé
les premières pages ne me disaient rien et puis l' auteure m' embarquée..........
Zadie m'avait d'abord prit Dylan, et maintenant elle allait aussi me prendre mon avenir.
Les yeux des autres sont nos prisons, leurs pensées notre cage.
Il était trop tard pour changer quoi que ce soit. Trop tard pour faire des choix différents. Pour être une meilleure mère. Kate ne pouvait qu'être la mère qu'elle étai, la mère d'Amelia : la conservatrice de son souvenir, la gardienne de ses secrets, l'adoratrice de son cœur. Et ça, elle le serait toujours.
Amelia Baron
"Je suis enracinée, mais je m'écoule." Virginia Woolf, Les Vagues